En me plongeant dans la Parole de Dieu, je viens de relire Habakuk. J’ai été saisie par son caractère actuel. A un moment donné, en Habakuk 2: 5, Dieu prévient de l’arrivée de cinq malheurs.
Nous pouvons faire la corrélation ou plutôt le rapprochement avec notre monde actuel:
– malheur sur les accapareurs: voici les banquiers et les financiers.
– malheur sur les malhonnêtes : voici les médias vendus au mensonge
– malheur sur les violents: voici les mafias gouvernementales
– malheur sur ceux qui font boire leur prochain : je pense à ceux qui droguent les gens pour leur faire faire ce qu’ils ne veulent pas faire eux-mêmes.
– malheur sur les idolâtres qui font des sacrifices à tous ces faux dieux
(Entre autres, à Moloch, pour dévorer nos enfants, via IVG, IMG, mais aussi pédophilie…)
Dans Habakuk 3 on voit nettement ce que cela provoque, entre autres la maladie mortelle:
4 C’est comme l’éclat de la lumière; Des rayons partent de sa main; Là réside sa force. 5 Devant lui marche la peste, Et la peste est sur ses traces
Mais aussi: de la détresse, de l’épouvante, des inondations… Cela se passe actuellement un peu partout. Certes, depuis des années, mais cela s’accentue chaque année, dans la gravité et la fréquence:
10 A ton aspect, les montagnes tremblent; Des torrents d’eau se précipitent; L’abîme fait entendre sa voix, Il lève ses mains en haut.
Ensuite, Habakuk annonce très nettement : » le manque de tout » dont nous aurons à souffrir.
Mais malgré toutes ces calamités, Notre Dieu est formel en Habakuk 2: 4 ( version Semeur, qui est pour une fois très bonne):
» Si quelqu’un flanche, c’est qu’il n’est pas droit de cœur, mais celui qui aura circoncis son cœur (selon
Jérémie 4: 4), celui- là seul vivra au travers de sa foi. »
Il n’y a pas d’ alternative. C’est la séparation, la sanctification, la préparation dans la repentance, la consécration du chrétien vrai qui fera la différence.
Voilà, notre Dieu ne peut pas être plus clair pour nous en ces temps bizarres.
Pour conclure, j’écrirai simplement que Habakuk nous ouvre la voie.
Soyons confiants dans la providence divine au jour du malheur: même avec un ventre vide, la présence de mon Dieu me nourrira. « Mon juste vivra par la foi »
Je prie pour moi, pour vous, et pour tous ceux qui liront mon petit texte.
Soyez bénis.
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