Rien ne va plus depuis qu’elle est revenue de l’hôpital, cette nonagénaire. Tout allait bien pourtant avant cette banale opération : elle s’occupait de sa maison, faisait ses courses, cuisinait, bref elle galopait encore pour son âge et pas qu’un peu !

Mais voilà, ils l’ont gardé plus longtemps et surtout elle a eu la « piquouse » miraculeuse qui empêche le vilain petit virus Covid19 (20-21-22 bientôt 23 ?) qui sévit dans les rues de notre beau pays même dans le petit bourg où elle réside.

Elle a cru, elle a obéi, elle a tout fait bien, et pourtant aujourd’hui elle se déplace avec beaucoup de difficultés, a perdu ses repères dans sa propre maison et confond la droite de la gauche.

« Je comprends pas, non je comprends pas », me répète-t-elle. Moi si. Néanmoins, je me tais, parce que je sais qu’elle n’écoutera pas, qu’elle n’entendra pas, mais surtout qu’elle ne me croira pas. Près de deux semaines que j’interviens chez elle, pour l’aider, toutefois je sais que ça ne durera pas, je le sens et j’ai raison : ce soir elle a été prise de tremblements, une de ses jambes échappe à présent à son contrôle, ainsi que ses bras accompagnés de spasmes assez violents. Je reconnais les signes, enfin plutôt un des nombreux symptômes, les incontournables effets secondaires du « vaxxin » expérimental si merveilleux !

La reverrai-je ?

Ils sont de plus en plus nombreux à nous solliciter nous « les rebelles », parce que les hôpitaux sont surchargés et ces « malades » si dociles auxquels on souriait avec complaisance et reconnaissance pour leur soumission, on n’en veut plus tout à coup ! Trop de questions embarrassantes, pas de pronostic clair, pas de solution surtout, parce que ce qu’ils ont à présent dans le corps est non seulement vivant mais terriblement « productif voir créatif » et ça les dévore littéralement !

Je me sens comme anesthésiée par cette détresse qui ne peut plus être dissimulée. Partout où je vais les témoignages abondent dans ce patelin si tranquille hier et qui ne l’est plus vraiment aujourd’hui.

Il faudra s’y habituer dorénavant, le monde a été bouleversé et ne sera plus jamais comme avant : ils ont planifié et mis tous les jalons pour ce qui s’en vient, c’est à dire une catastrophe suffisamment traumatisante semant confusion et peur pour instaurer enfin leur « nouvel ordre mondial », le fameux « reset ». Et pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, l’adversaire va obtenir ce qu’il désire ardemment depuis sa chute : la domination et l’adoration qu’il pense légitime.

« …Et il lui fut donné autorité sur toute tribu, tout peuple, toute langue, et toute nation. Et tous les habitants de la terre l’adoreront, ceux dont le nom n’a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie de l’agneau qui a été immolé. » Apocalypse 13.8

Certains de mes frères et sœurs commencent à faiblir, pas par manque de foi, mais par une tristesse profonde de voir tant de gens inconscients, y compris nos proches parfois, marcher vers un abîme de souffrances et de détresses qui s’élèvent à l’horizon, un horizon bien sombre.

Moi-même parfois je ressens une peine m’accabler parce que si la vérité nous affranchit, nous voyons l’étendue du mal avec une lucidité spirituelle qui peut faire mal.

Toutefois, notre espérance est extraordinairement puissante et notre amour envers Celui dont les promesses sont véritables est d’une force infinie, Jésus-Christ, fait chavirer nos cœurs de joie et d’attente, malgré tout.

« Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés. Car j’ai l’assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur. » Romains 8.37

Tribulations à venir : LE RÊVE

Je suis chez moi, la nuit est tombée et l’obscurité m’environne. Je cherche l’interrupteur, je cherche la lumière : elle illumine tout à coup la pièce, juste un instant. Puis plus rien. Tout redevient noir. J’appuie encore et encore mais rien ne fonctionne. Néanmoins, étrangement, il y a une luminosité derrière moi, elle luit faiblement mais suffisamment pour que mes yeux puissent voir toute la pièce.

Je pense que les temps vont s’obscurcir et qu’il deviendra difficile de parler de l’Évangile, et qu’il nous faut nous préparer à l’enlèvement ? À des tumultes ?

Un autre endroit, dévasté cette fois-ci, je ne sais pas où je suis. Les immeubles sont en ruines, et ce qui manque désespérément à tous, c’est l’eau. L’eau que des gens cherchent avec frénésie, devenant presque fous ! Parfois j’entends des cris de joie, mais de courte durée : l’eau qu’ils trouvent est tarie ou impropre à la consommation. La soif est impitoyable jusqu’à l’hystérie, et je suis impuissante face à ce déferlement d’angoisse.

La lumière, la soif, l’eau… Se pourrait-il que la PAROLE ne soit plus ou devienne une denrée rare ou inaccessible dans un temps proche où la plupart des disciples de Jésus ne seront plus sur terre ?

« Voici, les jours viennent, dit le Seigneur, l’Eternel, Où j’enverrai la famine dans le pays, Non pas la disette du pain et la soif de l’eau, Mais la faim et la soif d’entendre les paroles de l’Eternel. Ils seront alors errants d’une mer à l’autre, Du septentrion à l’orient, Ils iront çà et là pour chercher la parole de l’Eternel, Et ils ne la trouveront pas.… » Amos 8.11

Je pense qu’il est de chacun de se préparer durant l’année 2023, car je sens que tout peut arriver.

Que Dieu vous garde et vous guide chaque jour davantage dans la VÉRITÉ vous armant de courage, de foi, de persévérance et d’espérance.

Amen.