Je termine ce mois de mai avec une grande perplexité …
Je ne me souviens pas d’avoir vécu aussi confortablement un mois de mai  depuis ma petite enfance.
Habituellement, mai, juin, juillet, ce sont des mois d’enfer allergique, yeux qui démangent irrépressiblement, sensation d’avoir du poivre en abondance à l’intérieur du nez, de la gorge, de l’œsophage. Nez qui  coule façon cataractes de Schaffhausen …
Lycéen, puis étudiant, j’ai dû passer tous mes examens malade comme un chien.
C’est en 1998 que j’ai commencé à prendre des antihistaminiques.
J’avais dû aller à une réunion en Bulgarie pour le travail.Je suis parti un jour de mai chaud et sec à Luxembourg, le premier. Rien que sur le trajet en autobus entre le Kirchberg et l’aéroport de Findel, j’ai senti que j’inhalais des « bidons » de pollen. Arrivé à l’hôtel à Sofia, je me souviens que je me suis assis sur le sol, la tête sur le lit, me sentant exactement comme un poisson hors de l’eau suffoquant sur une berge. J’ai eu l’impression que cela avait pris un temps interminable avant que je me remette. Heureusement, il n’y avait pas de pollen allergisant à ce moment-là à Sofia et mon séjour y fut une planche de salut.
Je pris dès lors des antihistaminiques jusqu’à ce qu’un de mes neveux également allergique me renvoie à une étude américaine démontrant que les gens qui prenaient des somnifères ou des antihistaminiques de synthèse tombaient davantage malades d’Alzheimer que le reste de la population. Mes antihistaminiques allèrent directement dans la poubelle. Cela devait être en 2015 ou 2016.
Je passai à des traitements naturels à base de gouttes de bourgeon de cassis et de tisane d’ortie. Les symptômes étaient atténués mais la gêne habituelle restait bien présente.
Alors, qu’est ce qui a pu se passer ?
En y réfléchissant bien, je me suis dit que, ce qui a changé, c’est que, depuis 2020, je prends tous les jours du zinc et de la vitamine D et, depuis l’an dernier, de la silice, après avoir entendu les conférences du Dr Exley sur l’empoisonnement à l’aluminium, notamment via l’eau du robinet et tous les aliments contenant de l’eau du robinet.
J’ai donc commencé à chercher si l’une de ces substances a un effet curatif sur les allergies et … c’est bien le cas du zinc !
En y repensant, je n’avais pas pu prendre de zinc au printemps 2020. Notre sinistre Xavier Bettel avait estimé que les magasins dans lesquels j’achète des vitamines et des oligo-éléments n’étaient pas « essentiels ». Ils furent donc fermés alors que les pharmacies pouvaient continuer à débiter tous les philtres et bouillons de onze heures  de la pharmafia ainsi que toutes les supercheries du narratif, les masques, les tests. Cela, c’était « essentiel ».
Ce n’est donc qu’en 2021 et en 2022 que j’ai pu passer la période de mai à juillet couvert par la prise de zinc. Comme j’ai télétravaillé au printemps 2021 et encore largement en 2022, alors que j’ai cessé ma vie active le 15 juin, j’ai pu être abusé à croire que j’étais nettement moins malade parce que je restais à la maison.
Mais, cette année, j’ai travaillé dans mes jardins et je vois bien que mon corps n’a plus les crises allergiques d’antan. Il me reste des épisodes de migraine et peut-être même plus fréquents et aigus qu’avant. Mais quelques gouttes d’huile essentielle de camomille romaine sur le front me soulagent rapidement et durablement. Bref, je ne me souviens pas avoir vécu un printemps avec une telle qualité de vie.
Alors, tout bien considéré, je me dis que, s’il n’y avait pas eu le coronacircus, je ne saurais toujours rien des propriétés exceptionnelles du zinc en tant que stimulant et réparateur du système immunitaire.
Je ne suis pas dupe. J’appartiens aux générations qui ont été vaccinées à tour de bras dès la mamelle. Mes problèmes d’allergies, c’est l’équivalent du cadeau « Bonux » de toutes les injections subies avant l’âge de 10 ans, l’âge où le système immunitaire atteint assez de maturité.
Si le coronacircus a révélé combien la médecine occidentale, par pans entiers, n’est plus qu’un appareil distributeur des drogues du cartel de trafiquants « pharmafia », cela ne date pas d’hier.
J’ai souffert pendant des dizaines d’années des inconforts des allergies saisonnières, j’ai pris des antihistaminiques, des désensibilisants … alors qu’il suffisait de prendre du zinc pour obtenir des résultats spectaculaires que je n’avais jamais obtenus avec le moindre perlimpinpin de pharmafia.
Quelle faillite, grossière, colossale faillite de cette médecine admirée, idolâtrée dirais-je même, alors que, au final, elle est profondément dysfonctionnelle, en ce sens qu’elle ne remplit pas la fonction que la société en attend: guérir, le plus simplement du monde avec les principes actifs les plus simples disponibles.
La médecine est phagocytée par la pharmafia. Et tout ce que nous en apprenons au jour le jour, que la pharmafia met des nanostructures jusque dans les anesthésiants, montre qu’elle sombre corps et biens, comme un Titanic, du dysfonctionnel au carrément nuisible.
Nous arrivons à un point où recourir à la médecine officielle va être tout simplement un « no go » pour nous, devenir aussi impensable qu’aller consulter un sorcier vaudou !
On en est là.