J’ai effectué une traduction en francais d’un article publié en allemand par la praticienne Dr Ute Krüger. En voici le lien:
Dr Ute Krüger, elle-même alors praticienne en oncologie, fut l’une des premières à alerter sur l’explosion des turbo cancers à partir de 2021, c’est à dire des cancers qui sont décelés déjà au stade 4, qui résistent aux traitements oncologiques classiques et qui sont très souvent mortels en moins d’un an. A la plupart d’entre vous, cela rappellera des cas dans l’entourage.
Et effectivement, pour moi qui vit à cheval sur le Benelux, la Scandinavie, la Bretagne, la région de Paris, j’ai bel et bien été effaré du nombre de cas de tels cancers dont j’ai entendu parler au travers de mes entourages.
Je n’ai aucune formation médicale par contre j’ai été juriste et j’ai exercé en tant que tel pendant 33 ans successivement dans deux institutions de l’Union européenne. En tant que juriste, je ne peux que partager et soutenir l’appel du Dr Krüger: des produits expérimentaux à ce point suspectables d’entraîner des effets secondaires gravissimes, y compris la mort, doivent être retirés du marché. Ce sont manifestement des produits défectueux au sens de la directive 85/374/CEE. Je renvoie à cet égard à l’arrêt de la Cour de justice de l’Union européenne dans l’affaire C-621/15 qui fait jurisprudence:
Contrairement à ce que voudrait tant l’industrie pharmaceutique, il n’est pas requis, pour constater le caractère défectueux d’un vaccin, que les victimes prouvent le lien de causalité scientifique entre l’injection et une ou plusieurs pathologies survenues. La Cour se satisfait d’indices précis, graves et concordants. En clair, quand nombre de gens auparavant en parfaite santé développent des pathologies et ont tous le point commun d’avoir été injecté par un même vaccin, la Cour estime avec énormément de bon sens que c’est alors au fabricant du vaccin d’apporter la contre-preuve que son vaccin n’y est pour rien.
En ce qui concerne la traduction, je l’ai faite aussi littérale que possible. J’ai ajouté entre crochets et en italiques quelques précisions qui m’ont semblé nécessaires à une meilleure compréhension du texte.
J’ai ajouté in fine 5 notes personnelles corroborant des constats du Dr Krüger ou les complétant au regard de la situation propre de la France (et du Benelux).
J’estime que ce que nous vivons depuis 2021 est la plus criminelle et la plus corrompue des grandes opérations de l’industrie pharmaceutique qu’il m’ait été donné de vivre.
En présence de cela, il y a trois attitudes:
– une minorité de complices se tait parce qu’elle retire des retombées pécuniaires confortables de ce scandale sans précédent,
– une très grande majorité a décidé de faire l’autruche, de se laisser persuader que l’eau est sèche et que le feu mouille, en quelque sorte,
– une petite minorité, telle les Gaulois du village d’Asterix, a décidé qu’elle résisterait à l’escroquerie mensongère, coûte que coûte. J’en fais partie. Tant qu’il n’y aura pas encore trop d’aluminium dans mon cerveau, et je fais en sorte pour qu’il n’y vienne aucun aluminium vaccinal, je dénoncerai partout et en toute occasion le crime vaccinal en cours.
Qu’on ne compte pas sur moi pour chanter « maréchal nous voilà ».
Je reproduis ci-dessous l’article traduit:
Ceci est la traduction en francais d’un article publié le 2 octobre 2024 en allemand dans le journal berlinois ”Berliner Zeitung”.
Voici le lien vers l’article original en allemand:
Une pathologiste met en garde contre les vaccins contre le Corona: „Cette technique à ARNm n’a pas été suffisamment testée“
L’auteur de l’article a travaillé en tant que médecin-chef en pathologie clinique de plusieurs cliniques suédoises. Depuis les vaccinations contre le corona, elle a remarqué l’apparition d’une nouvelle forme de ”turbo cancers”.
Ute Krüger
L’article original est une contribution en Open-Source. La maison d’édition berlinoise ”Berliner Verlag” donne la possibilité à toutes les personnes intéressées de proposer des textes de contenu pertinent et d’un niveau de qualité professionnel.
Depuis mon enfance, je voulais devenir médecin pour pouvoir venir en aide aux gens. Mon intérêt pour le microscope s’est éveillé lors d’un cours de biologie au lycée de Seelow dans le Brandebourg. J’ai été vraiment fascinée de découvrir par la structure des plantes sous fort grossissement. Après mon année de stage en 1989 dans le service de soins cardiaques aigus à l’hôpital de Berlin ”Charité”, j’ai étudié la médecine à l’Université Humboldt de Berlin. Dans ma thèse de doctorat, j’ai analysé près de 7 500 cas d’autopsie. A cette occasion, j’ai comparé les diagnostics posés par les médecins cliniciens, par exemple les causes de décès, avec les résultats de l’autopsie à des fins de contrôle qualité. Au cours des années suivantes, j’ai travaillé comme médecin assistant en pathologie clinique à l’hôpital ”Oskar Ziethen ”de Lichtenberg et j’ai réussi l’examen de spécialiste en pathologie en 2004. Le microscope devint mon compagnon quotidien.
Du fait de la perspective de ne pas pouvoir concilier travail et famille en tant que médecin en Allemagne, je suis partie à Växjö, dans le sud de la Suède, en 2005 avec mon compagnon d’alors. J’y ai travaillé pendant dix ans en tant que médecin-chef en pathologie clinique à l’hôpital central et j’ai également été directeur médical ces quatre dernières années. Au cours des huit années suivantes, j’ai travaillé comme médecin-chef en pathologie clinique à l’hôpital national de Kalmar, en Suède, et en même temps comme médecin-chef à l’Institut des sciences cliniques de l’Université de Lund, en Suède.
À l’université, j’ai fait des recherches sur le thème du cancer du sein pour mieux comprendre la biologie des tumeurs et les facteurs de risque du cancer du sein. L’objectif était de découvrir comment pourrait être empêchée cette maladie. Parallèlement à mes débuts à Kalmar et à Lund, j’ai été membre du conseil d’administration de la Société suédoise de pathologie pendant cinq ans afin d’améliorer la qualité de la connaissance de la pathologie en Suède. Au total, je peux me prévaloir d’une expérience de 25 années de travail en pathologie. Jusqu’en 2022, j’ai diagnostiqué des milliers de cancers et d’autres maladies dans le cadre de mon travail clinique en tant que spécialiste du cancer du sein.
A l’automne 2021, des cas de cancers inhabituels ont commencé à se multiplier
À l’automne 2021, j’ai remarqué un changement dans la fréquence du cancer du sein dans mon travail de routine à l’hôpital. J’ai vu plus fréquemment que d’habitude des tumeurs chez des patientes plus jeunes , souvent entre 30 et 50 ans, et j’ai vu des tumeurs à croissance plus agressive et donc des tumeurs plus grosses. Souvent, il n’y avait non pas seulement une, mais plusieurs tumeurs dans un sein. Le cancer du sein semblait également survenir plus fréquemment dans les deux seins en même temps. En outre, il m’a sauté aux yeux qu’il arrivait manifestement plus fréquemment que des patientes qui avaient été auparavant guéries d’un cancer du sein aient des rechutes. Il s’agissait alors de tumeurs de croissance très agressive avec une propagation très rapide des tumeurs dans tout le corps, ce qui survint à plusieurs reprises quelques mois après la vaccination contre le corona.
Ayant vu un lien entre ces « nouvelles » tumeurs et la vaccination contre le Covid-19 (ci-après plus simplement désignée ”vaccination corona”), j’ai signalé de nombreux cas à l’Agence suédoise des médicaments. J’ai également essayé, à l’occasion de la deuxième conférence en pathologie à Berlin, de trouver des collègues germanophones afin de réfuter ou de confirmer mon hypothèse de ce que j’ai appelé « turbo-cancer » dans le sillage de la vaccination corona. Je voulais lancer une étude de grande ampleur. Mon objectif était de suspendre toutes les vaccinations corona jusqu’à ce que cette question soit clarifiée. Malheureusement, un seul collègue pathologiste, autrichien, s’est montré intéressé et a répondu à mon appel. A deux seulement et en ayant à côté mon activité clinique quotidienne à accomplir, un tel travail ne pouvait pas être mené à bien.
Au fil des mois, j’ai reçu de nombreux courriels de collègues, de proches et de personnes concernées au sujet du turbo cancer. Il semblait donc que je n’étais pas la seule à avoir remarqué un lien possible entre les vaccinations corona et des cas de cancers agressifs.
Une étude britannique d’octobre 2023 a examiné la mortalité par cancer chez les 15 à 44 ans. Il s’agit donc de personnes très jeunes pour lesquelles le cancer était auparavant une cause plutôt rare de décès. S’agissant du cancer du sein chez la femme (1), il s’est avéré qu’il y avait eu une augmentation de 28 pour cent des décès par ce type de cancer en 2022. Les chiffres du cancer du pancréas étaient encore plus alarmants : on a enregistré une augmentation des décès de 80 pour cent pour les femmes et de 60 pour cent pour les hommes (2). En outre, une augmentation de 120 pour cent des décès chez les hommes [sexe masculin] causés par cancer de la peau (mélanome) fut constatée.
La surmortalité reste inexpliquée
C’est aussi pour cette raison que c’est si préoccupant puisque que nous sommes effectivement confrontés à une surmortalité inexpliquée depuis 2021.
Si l’on regarde les taux de mortalité en Allemagne au cours des quatre dernières années (3), on constate une surmortalité significative, surtout ces dernières années. Dans l’avant-projet d’une publication de cette année, il est manifeste que la surmortalité dans la première phase de la pandémie avant la vaccination est en corrélation avec les infections et les décès dus au corona (4). Cependant, au cours des deuxième et troisième années de la pandémie, on note une augmentation significative de la surmortalité, qui ne peut pas être expliquée par les infections corona, mais se voit en relation avec les vaccinations corona.
Selon l’étude, plus les vaccins furent administrés, plus la surmortalité fut élevée. En outre, la surmortalité a varié considérablement entre les Länder [note de ma part: équivalent en Allemagne de régions en France et en Belgique] au cours des deux dernières années de la pandémie. Pour la troisième année de la pandémie, le taux de surmortalité était de 5 à 6 pour cent à Berlin, dans le Brandebourg et en Saxe, tandis qu’à Brême et dans la Sarre, le taux de surmortalité était environ deux fois plus élevé, soit 11 pour cent. La surmortalité est en relation avec le nombre de personnes vaccinées contre le corona dans les Länder. Dans l’étude, il est littéralement écrit: « Plus on administre de vaccins dans un Land, plus la surmortalité augmente. » [Dr Ute Kruger avait traduit cette citation en allemand à partir d’une autre langue]
Dans ce travail scientifique, le nombre de mortinaissances a également été examiné. A nouveau, il s’avère que le nombre de mortinaissances au cours de la troisième année de la pandémie est en corrélation avec le nombre de vaccinations corona dans la population.
Dans l’avant-projet d’une autre publication parue en août 2024, la surmortalité en Autriche a été examinée. Entre autres choses, l’âge du défunt y est également pris en compte. Il s’avère que le taux de surmortalité chez les 15-29 ans atteint le chiffre incroyable de 34 % pour l’année 2023.
Dès août 2021, le célèbre pathologiste et directeur de l’Institut de pathologie de l’hôpital universitaire de Heidelberg, le Prof. méd. Peter Schirmacher, mit en garde au sujet du nombre élevé de décès dus à la vaccination non répertoriés. Fin novembre 2022, il publia une étude et expliqua peu de temps après les résultats de ses recherches dans une interview avec la revue Die Welt. L’étude a porté sur des personnes décédées, de manière inattendue au regard de ce qui était connu de leur état de santé, au cours des 14 premiers jours suivant la vaccination. Dans 30 pour cent des cas, il y avait un lien entre la vaccination et le décès. Schirmacher a souligné que des investigations plus approfondies étaient nécessaires mais s’est demandé si « dans un cas ou un autre, la crainte de mettre en lumière des résultats désagréables » ne pourrait pas faire obstacle à la poursuite de la recherche à cet égard.
Les autopsies fournissent des constats importants
Sans autopsie, il n’est pas possible de déclarer à l’Institut Paul Ehrlich , Institut fédéral des vaccins et des médicaments biomédicaux, des décès comme imputables aux effets secondaires de la vaccination. Dans ce contexte, il convient également de mentionner que de nombreuses personnes vaccinées sont décédées subitement à leur domicile. Lors du constat médical de décès sur simple examen externe du cadavre, les causes du décès ont été classées dans la rubrique « naturelles » et aucune autopsie n’a été pratiquée. Ce faisant, des décès pouvant être éventuellement liés aux vaccinations corona n’ont pas été inclus dans les statistiques.
En 2021, je fis la connaissance du Professeur et docteur en médecine Dr. Arne Burkhardt, un collègue pathologiste très compétent. Avec l’avocat Elmar Becker, il avait décidé d’investiguer les décès survenus après les vaccinations corona. Burkhardt voulait vérifier s’il existait un lien de causalité entre la vaccination et la mort. De nombreuses personnes en Europe s’étaient tournées vers lui après que des proches étaient décédés après avoir été vaccinés. Les rapports d’autopsie des pathologistes ou des médecins légistes n’avaient constaté aucun lien entre la vaccination corona et le décès. Cependant, les proches doutaient de ce résultat et firent le nécessaire pour que les instituts de pathologie ou de médecine légale envoient des tissus de leurs défunts au professeur Burkhardt.
Ce travail, probablement unique au monde, débuta au premier semestre 2021 dans son laboratoire de pathologie à Reutlingen. À l’été 2021, le pathologiste expérimenté Prof. Dr. Walter Lang rejoignint l’équipe.
Dans près de trois quarts des 89 décès examinés jusqu’en juin 2023, les constats indiquent selon Burkhardt un lien entre le décès et la vaccination corona. Il fut constaté que les lésions tissulaires dépendent du nombre de vaccinations corona. Ainsi, les lésions tissulaires graves étaient significativement plus fréquentes chez les personnes décédées après plusieurs vaccinations contre le coronavirus qu’après une seule vaccination. Dans plus de la moitié des cas, la cause du décès était due à une inflammation du muscle cardiaque. La plus jeune personne décédée était une étudiante de 16 ans. Il était connu que tous les nouveaux vaccins corona pouvaient déclencher une inflammation du muscle cardiaque [myocardite]. Cela se retrouve également dans l’analyse des rapports de la firme Pfizer sur les effets secondaires indésirables de son vaccin. Cependant, au vu des résultats des professeurs Burkhardt et Lang, la fréquence indiquée dans l’analyse de Pfizer semble nettement minorée.
Dans près de 90 pour cent des décès examinés par Burkhardt et Lang, une inflammation des vaisseaux sanguins, grands et petits, avait été constatée. D’une fréquence très supérieure à la moyenne s’avéra celle de l’inflammation de l’aorte, le plus gros vaisseau sanguin de notre corps. Vous pouvez bien vous imaginer que l’inflammation de la paroi du vaisseau conduit à sa fragilisation et que la pression peut alors le rompre, ce qui provoque chez la personne une hémorragie rapidement mortelle.
Des maladies auto-immunes consécutives à la vaccination ?
Les deux pathologistes ont également décrit des modifications inflammatoires des organes, appelées maladies auto-immunes. Il s’agit de maladies dans lesquelles le système immunitaire de l’organisme attaque ses propres tissus. À ce stade, je voudrais expliquer brièvement comment fonctionnent les vaccins à ARNm sur la base des connaissances actuelles. Cette vaccination modifie la programmation cellulaire des cellules saines du corps. Avant ces vaccinations corona, notre corps ne produisait pas ce que l’on appelle la protéine Spike. Depuis ces vaccinations corona basées sur l’ARNm, nos cellules saines produisent ces parties du coronavirus qui sont présentes à leur surface . Pour les cellules de défense immunitaire de l’organisme, ces cellules [auparavant saines] sont [devenues] étrangères et c’est pourquoi elles les attaquent [comme elles attaqueraient n’importe quel agent pathogène].
Voici pourquoi des cellules saines (mais présentant les protéines Spike) sont attaquées et une inflammation en résulte, appelée réaction auto-immune. Une étude coréenne publiée en juillet de cette année dans la revue scientifique reconnue Nature montre que, après une vaccination de rappel, c’est-à-dire une deuxième vaccination corona, il existe un risque accru de développer certaines maladies auto-immunes. Sont mentionnés ici la pelade [chute de cheveux par plaques], le psoriasis et la polyarthrite rhumatoïde. Il est important de mentionner à ce stade que ces complications [auto-immunes] liées à la vaccination peuvent toucher pratiquement tous les organes.
Après la mort inattendue et soudaine de notre cher collègue Burkhardt, j’ai considéré qu’il était de mon devoir de rendre publiques les constatations qu’il avait découvertes. En un an, j’ai compilé ces résultats et les ai publiés dans le livre « Vacciné – Décédé (5)– Atlas histopathologique des dommages causés par la vaccination Corona », publié en août 2024. 57 cas de patients sont présentés, dont la grande majorité des décès ont un lien démontrable avec l’injection du vaccin à ARNm contre le Covid-19. Le livre s’adresse principalement aux pathologistes, mais aussi aux médecins d’autres disciplines et aux personnes non-médecin intéressées par la santé.
D’une part, les images de coupes de tissus sont présentées afin de sensibiliser les collègues travaillant en pathologie de routine et en médecine légale à ces découvertes totalement nouvelles et de mettre en évidence les altérations typiques induites par les injections d’ARNm. D’autre part, les descriptions de cas correspondante sont incluses, qui documentent les circonstances tragiques et les diverses souffrances subies par les personnes après ces vaccinations.
Occurrence accrue de maladies neurologiques
Les maladies neurologiques sont également plus fréquentes après les vaccinations corona. Voici un exemple tiré de mon travail de pathologiste : j’ai fait autopsier un patient décédé après avoir été vacciné deux fois contre le coronavirus. En raison d’une maladie maligne antérieure, il avait reçu une chimiothérapie et un traitement pour atténuer la réponse immunitaire. Il avait reçu parallèlement deux doses de vaccin contre le Covid-19.
J’affirme que n’importe quel non-médecin comprend qu’on ne peut pas, d’une part, brider le système immunitaire [le décédé ayant eu un traitement pour atténuer la réponse immunitaire] et, d’autre part, administrer un vaccin qui présuppose que le système immunitaire soit au plus haut degré d’activité. L’homme développa des paralysies dans tout le corps relativement peu de temps après les vaccinations et est décédé trois mois plus tard. Je voulais publier ce cas avec deux professeurs très expérimentés de l’hôpital universitaire de Lund, en Suède, et de la Charité de Berlin. A cette fin, j’ai été en contact avec le British Medical Journal, revue spécialisée reconnue, pendant plus de six mois. On m’a demandé à plusieurs reprises d’apporter des modifications au texte et de nouvelles colorations en laboratoire, pour ensuite recevoir, après de nombreux contacts par courrier électronique, le bref message qu’un cas similaire venait d’être publié et que la revue n’était plus intéressée par mon article.
Sur ce, je me suis ensuite tournée vers une autre revue, dans laquelle le texte a été publié en décembre 2022. Malheureusement, cet article est introuvable sur Pubmed, la plateforme de publications scientifiques – je voudrais l’appeler le « Wikipédia des scientifiques et des médecins ». La question se pose donc de savoir combien d’études scientifiques et de rapports de cas publiés ne peuvent être trouvés sur cette plateforme.
Auparavant, les vaccins étaient généralement développés et testés pendant sept à huit ans avant d’être approuvés. Le vaccin corona, en revanche, testé de manière complètement insuffisante, a été mis sur le marché même pas au bout d’un an.
Non seulement d’innombrables personnes sont tombées malades après ces vaccinations corona, mais de nombreuses personnes sont également décédées après ces vaccinations. Dans une étude de juin 2024, des effets secondaires graves ont été détectés après ces vaccinations à ARNm dans 11 pour cent des vaccins Pfizer et 21 pour cent des vaccins Moderna. En comparaison, à l’occasion de vaccinations antérieures contre la grippe, on n’observa que de zéro à quatre pour cent d’effets secondaires graves. En regard de cela, la probabilité de mourir d’une infection corona n’est plus que de 0,1 pour cent. De mon point de vue, la vaccination contre le corona n’était et n’est malheureusement encore qu’une expérience sur nous, les humains.
D’autres chiffres alarmants concernent le taux de natalité. Une étude sur les naissances de bébés vivants en Europe à partir de 2022 montre qu’il y a une baisse du nombre de naissances allant jusqu’à plus de 10 pour cent dans tous les pays examinés. Dans ce contexte, les coupes de tissus du laboratoire de Burkhardt ont montré que la protéine Spike pouvait être retrouvée dans les ovaires. Ce fait conduit à la conclusion qu’une inflammation peut également s’y produire, ce qui peut provoquer des cicatrices et une éventuelle infertilité. Un nombre considérablement réduit de spermatozoïdes a été trouvé dans les coupes de tissus des testicules de jeunes hommes décédés ; un cas est également enregistré graphiquement dans le livre susmentionné. Ces modifications des organes sexuels sont effrayantes et pourraient expliquer la baisse des taux de natalité.
De la politique au lieu de science
On sait désormais, depuis qu’ont été rendu publics des documents initialement gardés secrets de l’équipe de crise de l’Institut Robert Koch (RKI) en Allemagne, qu’il n’y avait et n’y a aucune base scientifique pour de nombreuses mesures imposées au niveau politique en relation avec le Corona.
Les scientifiques et les médecins qui ont étudié de manière approfondie les conséquences de ces vaccinations contre le coronavirus ont été taxés de complotistes, de théoriciens du complot ou même d’extrémistes de droite. Ma tentative de mettre en garde contre le turbo-cancer après les vaccinations contre le corona a été décrite dans les médias suédois comme un sabotage – un sabotage contre la campagne de vaccination qui prévoyait de vacciner tout le monde dans la région médicale contre le corona.
Compte tenu de la circonstance que la politique dictait désormais ce qu’est la science, j’ai démissionné de mon poste de médecin-chef à l’hôpital de Kalmar et à l’hôpital universitaire de Lund. J’ai été profondément choquée et je ne pouvais plus accepter de faire partie d’un système de santé aussi peu scientifique. L’un de mes principes est de ne pas nuire aux gens [primum non nocere], comme je l’ai juré dans le serment d’Hippocrate (la formulation de l’éthique médicale).
Je voudrais faire appel à vous, passez à l’action. Informez-vous. Remettez tout en question, y compris ce qui vous est présenté à plusieurs reprises sur un plateau d’argent dans les médias. Vérifiez également les références de la littérature scientifique que j’indique.
Les dégâts causés par ces vaccins à base d’ARNm contre le Corona sont désormais connus. Cette technologie d’ARNm n’a pas encore été suffisamment éprouvée et testée. Renseignez-vous pour savoir sur quelle base ont été fabriqués des vaccins avec lesquels vous souhaiteriez vous faire vacciner à l’avenir.
Et pensez y : la peur affaiblit notre système immunitaire. Soyez le plus possible dans la nature et renforcez-le ainsi. Notre corps estfantastique, soutenez-le et faites-lui confiance ainsi qu’à vous-même !
…/…
Dr. Ute Krüger est une pathologiste avec 25 ans d’expérience professionnelle. Elle vit en Suède depuis près de 20 ans. Aujourd’hui, elle travaille dans son propre cabinet de médecine holistique [note de ma part : c’est à dire qui considère le patient dans son intégralité par opposition à une médecine fragmentée en spécialisation organe par organe et qui fait l’impasse sur leur interaction d’ensemble].
Ceci est un article soumis dans le cadre de l’initiative open source de « Berliner Zeitung ». Avec l’open source, la maison d’édition berlinoise « Berliner Verlag »offre à toute personne intéressée la possibilité de proposer des textes au contenu pertinent et d’un niveau de qualité professionnel. Les contributions sélectionnées seront publiées et honorées.
Cet article est soumis à la licence Creative Commons (CC BY-NC-ND 4.0). Il peut être utilisé librement par le grand public à des fins non commerciales, à condition que l’auteur et le Berliner Zeitung soient nommés et que toute modification soit exclue.
(1) note de ma part: il arrive que même des hommes aient des cancers du sein, en ce cas surtout quand la famille a un gène qui y prédispose. J’ai eu connaissance d’un tel cas à Gouvy en Belgique
(2) note de ma part: je confirme l’avoir entendu aussi dans mon entourage familial sur Paris
(3) note de ma part: aussi dans d’autres pays dont la France
(4) note de ma part: il semble qu’il faudrait aussi tenir compte dans ces statistiques d’apparente ”mortalité COVID ”de l’administration, en France de Rivotril, au Royaume-Uni de Midazolam, dans des cas où les patients âgés étaient en contre-indication respiratoire pour recevoir de tels sédatifs
(5) ici, Dr Krüger fait un clin d’oeil à la propagande officielle allemande au moment du déferlement de l’hystérie vacciniste. Comme la plupart des participes passé commencent par « G- » en allemand, le gouvernement avait utilisé le slogan « trois G » pour « vacciné ou guéri ou testé » (geimpft oder genesen oder getestet). Le titre du livre de Dr Krüger est à deux G «vacciné / décédé » (geimpft / gestorben)
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