Bien sûr que nous vivons une sidérante régression dans le paganisme. Or, le paganisme était animé par des démons (1Corinthiens 10:19-20). Les « gay prides » sont une frappante résurgence des bacchanales de débauche de l’Antiquité. Quant aux prétendus « jeux olympiques », carrément jeux païens, ils commencent par des incantations sur une flamme allumée en Grèce dans le nom de faux dieux païens. Est-ce sans conséquence, par exemple, d’arborer sur soi une ceinture au nom d’hermès, le faux dieu éphèbe qui personnifie toute la lascivité et la sensualité fluide de la Grèce païenne que nous revivons aujourd’hui avec la confusion des genres ?
En fait, Dieu livre les idolâtres à leurs idoles, lesquels sont des démons et ils en retirent le droit de ficeler leurs captifs dans leurs péchés. C’est bien ce qui sous-tend la fin du premier chapitre de l’Epître de Paul aux Romains.
Bien sûr que nous vivons une sidérante régression dans le paganisme. Or, le paganisme était animé par des démons (1Corinthiens 10:19-20). Les « gay prides » sont une frappante résurgence des bacchanales de débauche de l’Antiquité. Quant aux prétendus « jeux olympiques », carrément jeux païens, ils commencent par des incantations sur une flamme allumée en Grèce dans le nom de faux dieux païens. Est-ce sans conséquence, par exemple, d’arborer sur soi une ceinture au nom d’hermès, le faux dieu éphèbe qui personnifie toute la lascivité et la sensualité fluide de la Grèce païenne que nous revivons aujourd’hui avec la confusion des genres ?
En fait, Dieu livre les idolâtres à leurs idoles, lesquels sont des démons et ils en retirent le droit de ficeler leurs captifs dans leurs péchés. C’est bien ce qui sous-tend la fin du premier chapitre de l’Epître de Paul aux Romains.