Suite
RÊVE REÇU À L’AUTOMNE 2022
Une sorte de maladie étrange et nouvelle a commencé à se manifester parmi les habitants d’une ville, même les médias en parlent. Il ne s’agit que de quelques individus, mais cela commence à inquiéter la population : les personnes frappées par cette maladie ont toutes le même symptôme : elles n’arrivent plus à dormir. Ces gens sont fatigués, épuisés, exténués, car les jours et les jours passent et ils n’arrivent même pas à s’assoupir pour une courte sieste. Ils aimeraient tellement pouvoir fermer les yeux et se reposer ne serait-ce qu’un instant mais ils n’y arrivent pas. Ils en deviennent fous de fatigue ! Aucun traitement médicamenteux ne semble pouvoir les aider.
Ces pauvres hères accablés d’épuisement, se sont rapidement mis à errer dans les rues de la ville, de jour comme de nuit, désespérés, comme des âmes en peine, traînant leur insupportable mal-être et désirant – si cela était possible – trouver le moyen d’en sortir. Ils en deviennent inquiétants, leurs visages aux traits tirés, aux yeux plus que cernés font peur à leurs concitoyens. Ces « malades » en deviennent même agressifs verbalement avec les passants qu’ils croisent, jalousant leurs vies confortables et leurs nuits reposantes, leur reprochant cela par toutes sortes d’invectives, plus pitoyables que méchantes.
Une petite partie de la population, à la fois inquiète d’attraper ce mystérieux « virus », et exaspérée de croiser ces « malades » dans les rues, décide alors de quitter la ville pour se « protéger ». Je réalise à ce moment que cette ville est plutôt de taille moyenne, de forme circulaire, ceinte de remparts, dont on ne peut sortir que par une seule et unique porte, située tout au nord.
Comme il fallait s’y attendre, des embouteillages se forment rapidement ; les automobilistes klaxonnent, pestent, s’impatientent. Il semble qu’ils se sont donnés le mot et ont décidé de quitter la ville le même jour.
Je me retrouve soudainement à la porte de la ville côté extérieur, sur une sorte de parvis pavé, pour piétons, en train d’observer tous ces véhicules quitter la ville. Et je remarque aussi que quelques individus « malades » errent sur ce parvis. Soudain, un de ces « malades » se met à me chercher querelle car je suis une personne « saine » contrairement à lui. Décidé à ne pas me laisser faire, je le houspille vertement en lui demandant de me laisser tranquille, et le repousse assez violemment, ce à quoi le « malade », dans un accès de désespoir, de folie ou de rage, répond en me mordant très fort au bras, avant de se sauver et d’entrer dans la ville. Cela s’est passé en une seconde, je n’ai pas eu le temps de réagir, je suis choqué et me demande à voix haute ce qui lui a pris, me reprochant également ma réaction, honteux de mon énervement du départ.
Dans mon rêve je sais que le « malade/mordeur », suite à cet « incident », a enfin pu trouver un court moment de sommeil après des jours voire des semaines sans avoir pu fermer l’œil. Car il s’était produit quelque chose d’étrange : juste après m’avoir mordu, il s’était senti soudainement très calme. Non pas paisible, mais plutôt calmé chimiquement comme par un médicament ou une drogue.
Il en avait conclu que la seule chose qui pouvait soulager sa « maladie » était de faire du mal à quelqu’un, quel qu’il soit. Faire du mal aux autres allait le soulager et lui permettre d’enfin se reposer. Mais le temps de repos était limité, il fallait rapidement chercher une nouvelle « dose » de sommeil.
La nouvelle s’est vite répandue parmi les « malades ». Ces derniers se sont mis à poursuivre des gens dans la rue pour les frapper ou les mordre, espérant ainsi profiter d’une dose de ce sommeil désespérément désiré. Quand un « malade » frappait ou mordait quelqu’un, plus il le faisait fort plus sa dose de sommeil était importante. Je me souviens aussi avoir remarqué qu’au début, quand ces malades faisaient du mal à quelqu’un, ils en éprouvaient du remord malgré tout. Mais leur besoin d’une dose de sommeil prévalait. Sauf que plus ils le faisaient, moins leur conscience les travaillaient. C’est comme si leur humanité les quittait peu à peu et ne restait plus que de la bestialité.
Problème infiniment grave : quand quelqu’un parmi les habitants se faisait mordre, il attrapait « la maladie du manque de sommeil » à son tour, et un peu plus tard, se mettait à suivre l’exemple de son ancien agresseur, en frappant ou mordant des personnes saines.
Suite aux agressions, un climat de terreur, de panique totale règne dans la ville ! Climat entretenu par les médias qui ne parlent que de ça. Les habitants, angoissés, terrorisés, soit se terrent chez eux, enfermés à double tour, soit cherchent à fuir à tout prix ! Mais un problème de taille se pose : la ville est cernée de remparts et la seule porte se situe au nord ; or, la vague d’agressions et de contamination a démarré dans le nord de la ville précisément, et, via les « agresseurs/mordeurs », commence à descendre vers le centre de la ville. Il s’agit d’une sorte de lente vague qui en fin de compte, tout le monde l’a compris, couvrira toute la ville, du nord au sud. Elle avance inexorablement, en emportant avec elle de plus en plus de personnes, de manière exponentielle. Les fuyards cherchent alors à se sauver en voiture et à remonter vers le nord par les petites rues, en évitant les grandes artères fréquentées ; plus les heures passent, plus ils savent que la remontée de la ville sera compliquée car ils tomberont certainement sur des bandes d’« agresseurs/mordeurs ».
À ce moment du rêve, je pars avertir les membres de ma famille (mon épouse et mes enfants, mes parents, mes frères et leur famille) car nous habitons dans l’extrême sud de cette ville, et leur dire qu’il est temps de prendre la fuite à notre tour, qu’il vaut mieux partir sans tarder. Sans explication, je sais que grâce à l’aide de l’Éternel, nous sortirons de la ville, même si je ne sais pas comment. En revanche, je suis presque « gêné » (dans le rêve), je ne sais pas trop si le fait que nous soyons toujours présents dans la ville malgré la situation est 1) de la négligence, de la torpeur spirituelle, dans le sens où nous n’avons pas su entendre le Saint-Esprit nous enjoindre de fuir, ou 2) au contraire, que cela vient du fait que notre cœur est resté en paix, sans inquiétude des éléments déchaînés autour de nous, par la confiance dans le Tout-Puissant que nous servons.
Quand j’arrive à nos différentes habitations, je préviens mes proches, les pressant et leur demandant de commencer à charger les véhicules avec le nécessaire, sans superflu. Je leur précise aussi que nous pouvons compter sur l’aide de notre Seigneur, qui nous ouvrira la route.
Détail que je note en un clin d’œil : nos habitations sont de jolies et vieilles demeures (pierre ou brique, je ne sais plus), nous possédons également un bâtiment agricole, type grange ou étable, même s’il ne semble pas exploité. Une rue passe au pied de nos maisons. Le Sud de la ville est la zone la plus verte et naturelle.
Mes deux filles me disent qu’elles souhaitent aller aux toilettes avant le départ. Elles montent alors un escalier métallique extérieur par lequel on accède aux toilettes situées à l’étage. Je les accompagne et reste sur le petit palier en haut des marches. Du haut de cet escalier, de ce point de vue élevé, je découvre avec stupéfaction en levant mes yeux vers le Nord que des hordes d’agresseurs arrivent déjà dans le quartier ! Alors qu’on pensait avoir encore un peu de temps pour se préparer ! Déjà quelques-uns d’entre eux, les plus rapides sont au bout de la rue ! J’alerte les filles, leur disant de se dépêcher et de venir me rejoindre, qu’on descende les escaliers ensemble. Mais au moment où nous allons descendre les marches, quelques agresseurs voient de loin mes filles (ce sont des petites filles), ils deviennent alors comme fous, rien ne compte plus pour eux que de venir les mordre. Je suis pourtant là, mais je vois dans leur regard fou et bestial qu’entre un adulte et un enfant, leur choix se portera immédiatement sur l’enfant ! Je me place en bas des escaliers, mon corps en écran entre mes fillettes et ces gens devenus comme des bêtes. Je suis plein d’adrénaline, prêt à en découdre, à donner ma vie pour mes filles s’il le faut ! Je repousse avec mes pieds les premiers assaillants, essayant de vite libérer un passage et frayer un chemin pour mes filles et moi. Le rêve s’arrête ici.
NB1 : alors que je suis le premier à être mordu dans ce rêve, il n’y a aucune conséquence fâcheuse pour moi, je ne suis pas « infecté ».
NB2 : on m’a fait la remarque que ce rêve fait penser à un scénario de films avec des zombies. Je précise donc que je ne suis pas du tout amateur de ce type de films, je n’en regarde jamais. Je n’ai pas pu être influencé.
Note Michaël :
⇒ Il faut encore quitter/fuir la VILLE, Babylone, et ses dangers, sa folie, sa méchanceté. Il semble que des hordes démoniaques sont libérées dans ce rêve, à l’image de la violence dans tous les domaines dont nous sommes témoins dans notre société actuelle.
La fin du rêve continue de nous poser question : d’un côté il y a l’assurance que Dieu est avec nous, que nous nous en sortirons, mais dans les faits il semble qu’il n’y ait pas d’issue, que cela sera très compliqué de fuir sans dommages… Y a-t-il eu négligence ? Manque de sérieux ?
RÊVE REÇU EN SEPTEMBRE 2022
Je joue du piano dans une très grande assemblée chrétienne. C’est une femme pasteur qui mène le temps de louange. Je remarque tout de suite qu’elle est belle, elle soigne son apparence.
Puis vient le temps de la prédication, je pars m’asseoir dans les rangs. Il s’avère rapidement que la prédicatrice ne fait rien d’autre que raconter sa vie, ses succès notamment dans l’éducation de sa fille, qui grâce à elle a bien réussi dans la vie. Elle encourage chacun à suivre son exemple. Dans tout cela, rien de spirituel, que de l’humain matérialiste !
Tandis que cette femme pasteur parle au micro, je réalise tout à coup que depuis le début elle n’est pratiquement pas habillée, je ne m’en rends compte que maintenant ! Elle est en petite tenue aguichante et très dénudée, voulue résolument « sexy », c’est-à-dire avec un soutien-gorge et un string, ainsi que des talons aiguille !
Je me lève aussitôt de mon siège, outrée, et quitte précipitamment l’assemblée, suivie par ma voisine.
Le rêve s’arrête ainsi.
Note MAV: Ce rêve rappelle étrangement ce qui est dit de l’Eglise de Laodicée: une invitation à sortir de ces lieux
Note Michaël :
⇒ L’état d’une partie de l’Eglise… Dans ce rêve, c’est le sermon tout humain, séduisant (la mort en finalité) qui ressort d’abord. Rien de spirituel, aucune puissance, pas de vie ; plus de Parole écrite ni prophétique proclamée… (d’où la mort).
Puis le choc de la séduction sexuelle jusque dans l’Eglise ! À prendre au premier degré… eh oui ! le sexe, l’immoralité… l’esprit du monde a réussi à les faire entrer dans les assemblées. Ce n’est plus dénoncé.
Mais la séduction par l’impudicité c’est aussi l’adultère spirituel, le compromis, la séduction, la tiédeur… qui démarre toujours de façon sournoise, insidieuse dans un premier temps. Nous avons tous été séduits d’une manière ou d’une autre, un jour ou l’autre, mais notre Seigneur qui est bon pour nous, a su nous alerter pour nous ramener avec amour dans La vérité. Et Il continue, sans jugement, à nous garder.
RÊVE REÇU DÉBUT OCTOBRE 2022
Dans ce rêve, l’Éternel me prévient à l’avance par un songe (un rêve dans un rêve) que le gouvernement prépare des plans machiavéliques dans le but de réduire la population mondiale très rapidement. Leur idée est de faire passer un test physique obligatoire à chaque individu. Tout est en préparation pour bientôt. Les « forts » continueront à vivre, les autres… mourront. Ils seront les « faibles », les bouches inutiles, qu’il faut supprimer.
Et le Seigneur me révèle donc par ce songe que le test physique sera une terrible épreuve d’apnée. En effet, je vois que le gouvernement compte enfermer des groupes de gens (il me semble qu’il s’agit de groupes de 30 à 50 personnes à la fois) dans des pièces vitrées étanches (comme des aquariums géants), les remplir d’eau petit à petit jusqu’au plafond, et attendre 3 minutes avant d’évacuer l’eau. Ceux qui se noieront seront les « faibles », les « forts » auront acquis le droit de vivre par leur endurance physique.
Dans la scène suivante, je suis en train de faire une séance d’entraînement d’apnée, je sais qu’il me manque encore quelques secondes. Je ne suis pas encore capable de tenir 3 minutes sans air, mais paradoxalement je suis en paix, sans stress. Je sais que le jour de mon épreuve je serai prête.
Je comprends aussi que mon mari a été « convoqué » par le gouvernement dans le but de passer l’épreuve, et qu’il est même en train de la passer. J’ai la certitude en Esprit qu’il va réussir et revenir à la maison me rejoindre.
Car oui, cela peut paraitre étrange, je sais que le Seigneur m’a prévenue prophétiquement (et certainement d’autres de Ses enfants) afin qu’avec mon entourage, nous nous entraînions intensément, comme des sportifs, afin de réussir l’épreuve et de survivre. Le reste de la population ne sait pas ce qui l’attend, le gouvernement cache ses plans, mais il ne peut pas les cacher à Celui qui connaît tout et qui les révèle à qui il veut.
En me réveillant, j’avais l’assurance que quoi que l’adversaire prépare à l’avenir, si le Seigneur a prévu que nous vivions, nous n’avons pas à nous inquiéter et éplucher tous les sites internet de « ré-information », c’est lui notre « lanceur d’alerte » qui saura nous prévenir et nous faire déjouer les plans de l’Ennemi. C’est la pensée qui m’est venue spontanément au réveil.
RÊVE REÇU DANS LA NUIT DU SHABBAT DU VENDREDI 16 AU SAMEDI 17/12/2022
Scène de départ : Je sors d’un bâtiment, accompagnée de deux connaissances, et je constate que ce bâtiment se situe en haut d’une assez grande colline.
L’instant d’après, d’un coup, je me retrouve seule. Je remarque qu’en bas de cette colline on arrive à la mer.
Soudain, des nuées d’oiseaux, innombrables, apparaissent dans le ciel, comme cela s’observe lors d’une catastrophe imminente, et cette nuée d’oiseaux fuit la côte pour prendre la direction des terres. Un sentiment de trouble et d’urgence m’étreint aussitôt.
À ce moment de mon rêve je savais que je devais téléphoner à ma mère, car nous avions préalablement convenu d’un rendez-vous en un point donné à mi-chemin, ou plutôt à « mi-colline », sur la pente qui descendait vers la mer. Mais pas de réseau, impossible de la joindre.
Contre toute logique, puisque les oiseaux venaient d’indiquer qu’une catastrophe était imminente et qu’il valait mieux prendre l’autre direction, je prends quand-même la décision de descendre la colline et de marcher jusqu’au point de rendez-vous choisi à l’avance avec l’idée de prévenir ma mère que quelque chose de mauvais et d’imminent est sur le point de se produire, puis de prendre la fuite ensemble dans la bonne direction.
Dès l’instant où je me mets en marche, je réalise que cette « colline » sur laquelle je me tiens depuis le début est en réalité complètement bétonnée, de bas en haut et de haut en bas, pas un arbre, pas un brin d’herbe. Pas de vie. Et je suis absolument seule.
Sur la route, en avançant vers le point de rendez-vous, je remarque que je suis en train d’approcher un gigantesque bunker, une quinzaine de mètres devant moi. Une ouverture voûtée, de plusieurs mètres de large en forme l’entrée, telle une grande gueule ouverte, sombre. Comme l’ouverture d’une grotte.
Tout à coup, alors que rien ne le laissait présager, surgissent de cette ouverture des sortes de très grands insectes, des êtres inqualifiables, possédant quatre pattes et une paire d’ailes avec lesquelles ils se déplaçaient en volant. Grands comme des humains, il en sortait des milliers, des dizaines voire des centaines de milliers. C’était un flot ininterrompu, indénombrable. Leurs yeux étaient très gros, rappelant ceux des mouches, et le plus inquiétant était une sorte d’aiguillon, de dard, qui sortait de leur front. Des êtres évidemment maléfiques.
Jusqu’alors absolument seule sur cette colline, je constate à cet instant que je suis entourée d’une foule de gens. C’est une très grande foule, remplissant toute cette pente de la colline, étrangement organisée en rangs, et qui marche et descend sans but vers la mer. Comme hypnotisée.
En volant, les êtres maléfiques fondent alors sur cette foule et se mettent à plusieurs pour piquer chaque personne, et il semble que leur but n’est pas tant de faire mourir rapidement tous ces gens mais plutôt de leur faire le plus de mal possible et les laisser agoniser dans de terribles souffrances. Ces insectes démoniaques progressent en volant rangée par rangée.
Étonnamment, il n’y a aucun son, c’est alors que je me rends compte que depuis le début je suis une témoin visuel, mais que je n’entends rien. Je vois bien que les personnes piquées souffrent, je l’observe sur leur visage et la posture de leur corps, mais je n’entends aucun cri.
Quand je m’aperçois que les insectes-démons sont sur le point de s’en prendre à moi, je m’écrie « Seigneur ! » dans ma langue maternelle – c’est le premier mot qui m’est venu – et ces derniers me laissent, ils ne m’attaquent pas. C’est alors que je m’évanouis.
Dans la scène suivante, je me réveille dans une sorte de très grande salle souterraine. Une immense grotte souterraine, dont les parois sont simplement de la roche, froide, sans lumière extérieure. Pour tout éclairage, des flambeaux sont disposés sur les murs.
Je suis au milieu d’un groupe d’une trentaine de personnes. Tout le monde est très calme, serein, malgré l’enfermement. Nous sommes regroupés dans un coin de la salle. Je sais que notre rassemblement là comme prisonniers de cet endroit souterrain était la conséquence de l’attaque démoniaque antérieure, du fait que les démons-insectes n’avaient pas pu nous piquer. Nous avons été protégés de l’attaque, mais faits prisonniers justement pour cette raison.
Chose étrange : au moment où je venais de me réveiller de mon évanouissement, au milieu de ce groupe, à l’instant-même quelqu’un venait d’égorger un agneau dans le coin de la grotte où nous étions. Le sang coulait encore de sa gorge. Et je « sais » que le but était de l’apprêter, de le cuire et de le manger. En promenant mon regard dans la pièce autour de moi, je peux constater qu’il n’y a aucun moyen de cuisson. Cela ne semble nullement un sujet d’inquiétude pour le groupe, il semble évident pour tous que cet agneau sera notre nourriture, la question « comment sera-t-il mangé » ne se pose même pas.
À l’autre extrémité de cette immense salle, dans un coin, un autre groupe. Ceux-là souffrent atrocement de leurs blessures, sont presque mourants, ils gémissent de douleur et de peur. Je sais que ces personnes ont été piquées par les démons-insectes. Personne n’a été soigné, certains vont même mourir. Ils sont terrifiés.
En découvrant cet autre groupe de personnes, avec mon groupe nous décidons que nous partagerons avec eux la viande de l’agneau quand elle sera cuite.
Le rêve s’arrête ici.
Note Michaël :
⇒ Au premier degré, la première partie du rêve semble avoir un lien direct avec l’!njecti0n (avec extorsion de consentement) de ces dernières années. Serions-nous d’ailleurs alertés que ce qui s’est produit en 2020 (et suite) n’était qu’un « exercice d’entraînement », avant autre chose de bien plus terrible et autoritaire qui vient ? Nous le croyons. Et seuls ceux qui ont le sceau de l’Esprit Saint seront gardés, les rachetés de l’Agneau.
La seconde partie du rêve semble évoquer la répression/persécution contre ceux qui n’acceptent pas les diktats autoritaires. L’Ecriture nous l’a promise, autant nous y préparer que vouloir l’éviter.
La partie où il y a un agneau immolé, dans le but de le manger : on peut en déduire que quel que soit l’endroit et les conditions dans lesquels nous nous trouverons, Jésus saura toujours se rappeler à nous, Il sera là avec nous, en tant que Celui qui a souffert. I
Il y a le groupe : entre frères et sœurs nous saurons toujours nous rappeler le Sacrifice de Jésus, et manger Sa Parole ensemble. Voire prendre le pain et le vin, ou du moins se rappeler ce qu’Il a fait pour nous, être en communion. La révélation de la Croix et de la Résurrection, n’est-ce pas tout ce qui est essentiel, et ce qu’il nous reste en fin de compte quand tout nous a été enlevé ?
Cela fait penser à ce que Watchman Nee (apôtre Chinois du début XXème siècle, immense érudit), emprisonné pendant les 20 dernières années de sa vie (mort en prison) a vécu. Il avait écrit sur un petit bout de papier et caché sous l’oreiller de sa cellule : « Christ est le fils de Dieu qui est mort pour le rachat des pécheurs et est ressuscité le troisième jour. C’est la plus grande vérité dans l’univers. Je meurs en raison de ma croyance en Christ. Watchman Nee ». Il avait tout résumé en quelques mots. Et c’était à cette révélation essentielle qu’il s’accrochait au milieu de la persécution, des sévices et privations vécus en prison.
Note MAV: L’agneau fait évidemment penser à la Pâque. Les démons-insectes qui piquent font évidemment penser à l’obligation vaccinale d’un produit expérimental dont les effets nocifs se font déjà sentir, et ce n’est pas fini.
Je pourrais dire que ces rêves successifs ont été des mises en garde divines, et s’adressent à nous tous. Non – Apocalypse 13 nous le révèle – le plan du N.O.M. n’est pas achevé. Ce n’était que le commencement des douleurs. La marque de la bête arrive…
Laisser un commentaire
Vous devez être identifié pour poster un commentaire.