N ° 6 de la série de 20 » LA DERNIÈRE RÉFORME »
Je vais parler aujourd’hui d’une chose vraiment incroyable, une chose qui change le monde en ce moment-même, qui change de nombreuses vies par ce que nous appelons le « kick-starting ». Il s’agit d’aider les gens à faire le premier pas. Il ne s’agit plus seulement de théologie, là nous passons à la pratique. Nous devons agir d’après la Parole et ne pas se contenter d’écouter l’enseignement.
http://www.thelastreformationfrance.com/the-pioneer-school-francais/
Vidéo :
Dieu nous a montré une manière de lancer les gens afin qu’ils commencent à mettre la Parole en pratique. Et grâce à cela, nous voyons beaucoup de vies transformées. Il faut comprendre que la foi c’est comme un muscle, elle grandit quand on l’utilise. Si vous voulez avoir une foi forte, commencez par utiliser la foi que vous avez déjà. Vous avez besoin d’entraîner votre foi pour la voir grandir.
J’ai hâte de vous partager cet enseignement ; je vous donnerai des conseils pratiques à la fin, tout ce dont vous avez besoin pour être lancés. Cette leçon peut changer votre vie et celle de votre entourage. Dieu vous bénisse.
L’outil le plus puissant pour faire des disciples
Ce que je vais partager maintenant, c’est l’outil le plus puissant pour ranimer la flamme et apporter un réveil. J’ai vu tellement de vies changées avec cela. C’est en train de se répandre partout en ce moment-même aux Pays-Bas, en Finlande, en Suède, beaucoup de choses se passent également au Danemark et dans beaucoup d’autres pays…
Lorsque j’ai vu qu’il y avait autant de gens qui suivaient la Pioneer School, j’ai pensé que lorsqu’ils saisiront ce que je vais partager maintenant, cela va changer le monde. C’est un outil vraiment très puissant. On peut l’utiliser pour voir des vies transformées, des villes entières changer. Le terme que je veux vous enseigner c’est « Kick-start ». Quand mes amis me contactent, ils disent souvent : Hé, nous venons juste de kick-starter quelqu’un… Je vais kick-starter quelqu’un demain…
Quand ils disent qu’ils vont kick-starter quelqu’un, je comprends ce que cela signifie. Il y a plusieurs années, j’avais une moto. Pour la démarrer, j’appuyais sur la pédale et je tournais le contact, le moteur était lancé et je pouvais rouler. Notre vie chrétienne aussi a besoin d’être démarrée, d’être kick-startée. Nous utilisons ce mot quand nous entraînons les gens, les aidons à commencer à obéir à Dieu, notamment pour guérir les malades.
Mais j’ai aussi kick-starté les gens à baptiser les autres dans le Saint-Esprit. J’avais avec moi des personnes qui n’avaient jamais baptisé personne dans le Saint-Esprit, et à cause de cela, elles avaient beaucoup de craintes. Mais je les ai lancées, je leur ai montré comment faire, elles ont appris, et elles pouvaient le faire d’elles-mêmes.
Il y a de nombreuses vidéos sur le site thelastreformation.com, où vous pouvez voir comment on forme des chrétiens qui n’ont jamais guéri auparavant. C’est vraiment très simple, nous leur disons : Venez et suivez-nous. Nous allons dans la rue et cherchons une personne malade. Puis on dit : Posez vos mains sur eux et priez. Et quand ils l’ont fait et qu’ils ont expérimenté leur première guérison, il se passe quelque chose en eux, c’est comme un moteur qui vient juste de démarrer. Ce qu’ils ont lu et entendu dans l’église devient soudain plus que de la théologie, ça devient la vie !
Jésus n’est pas venu avec de la théologie, il est venu avec la vie ! Sa Parole ne sert pas à discutailler ou à construire des doctrines. Il est venu nous apporter sa Parole pour que nous la mettions en pratique. C’est quand vous commencez à la mettre en pratique qu’elle devient vie en vous.
J’ai parlé la dernière fois de guérison et ça a ouvert les yeux de beaucoup. Mais si vous ne mettez pas en pratique ce que j’ai enseigné, si vous ne mettez pas la Parole en pratique, vous vous trompez vous-mêmes… Parce que ce que j’ai enseigné la dernière fois continuera alors à n’être que de la théologie, et ce ne sera toujours que de la connaissance. Mais quand vous l’appliquez et que vous voyez que c’est plus que de la théologie, quand vous sortez, que vous posez les mains sur les malades et qu’ils guérissent à travers vous, à ce moment ça devient la vie !
La première fois que vous expérimentez cela, nous appelons ça le « kick-start » : le moteur qui est en vous démarre et soudain vous vous dites : Ohhhh, j’en veux plus ! Et ce moteur va complètement changer votre vie. Quand nous lançons les gens dans la guérison, ça change tout, et pas seulement la guérison, parce qu’alors tout devient vie. Ça change aussi la vie de prière, la façon de lire la Bible, la recherche de Dieu dans le jeûne, la façon d’annoncer l’Évangile, et des gens sont sauvés à travers eux. Il ne s’agit donc pas que de guérison mais c’est un bon moyen pour lancer le moteur.
Vous pourrez voir sur le site un grand nombre de vidéos où des chrétiens sont juste ébahis. Vous ne pouvez pas vivre cette expérience en lisant des livres. Vous ne pouvez pas la vivre en restant assis à regarder cette vidéo.
Non, la seule façon de la vivre, c’est d’agir d’après ce que vous avez entendu.
Je vais parler du « kick-start », la manière dont cela a commencé pour moi, comment nous l’avons utilisé pour voir tant de vies changées, comment vous pouvez l’utiliser pour changer votre entourage. Je vous donnerai à la fin des conseils pratiques afin que vous puissiez sortir et être lancés. Et quand vous aurez appris tout ça, c’est toute votre vie qui va changer.
Je me souviens, quand j’étais nouveau dans la foi, j’allais dans une église, et j’avais comme des « lunettes ecclésiales ». À cette époque, je pensais que si je continuais d’aller aux réunions, aux campagnes, je grandirais juste grâce aux séminaires, aux campagnes et à l’enseignement biblique… En fait, je pense que j’attendais qu’un prophète vienne un jour me voir pour me dire : « Torben Sondergaard, j’ai une prophétie pour toi. Dès aujourd’hui elle commence à s’accomplir. Tu as désormais le pouvoir de guérir les malades. Dès aujourd’hui tu peux le faire, tu as la foi. Voilà maintenant ton ministère. À partir d’aujourd’hui, tout va exploser! »
Je pensais vraiment ça. Beaucoup aujourd’hui pensent la même chose, ils sont assis à l’église, écoutent l’enseignement et attendent que quelque chose se produise, quelque chose de surnaturel. Quelque chose d’incroyable, un prophète qui vient et qui les désigne, ils se réveillent un matin avec la foi et tous ceux pour qui ils prient sont guéris… J’ai vraiment pensé ça, je n’y crois plus aujourd’hui parce que c’est un mensonge.
Tellement de gens attendent quelque chose, mais il n’y a rien à attendre. Jésus a déjà tout accompli. Je pense que beaucoup seront déçus s’ils s’attendent à recevoir un ministère comme ça.
Je pense que c’est beaucoup plus pratique : on apprend en faisant. C’est exactement ça le « kickstart » : on commence à pratiquer pour apprendre. Encore une fois, la foi c’est comme un muscle. Elle grandit seulement quand on l’utilise. Il ne s’agit pas d’aller écouter les enseignements à l’église et soudain: Ohhh, vous avez une grande foi ! Comment avoir une grande foi ? En utilisant ce que vous avez déjà. Comment apprendre à faire quelque chose? En la faisant. Et quand vous pratiquez beaucoup, vous devenez bon et vous grandissez. Le kickstart, c’est juste faire le premier pas, et quand on a fait ce premier pas, on se dit : Eh, je peux le faire ! Et si on continue à faire un pas après l’autre, on voit qu’on grandit toujours plus.
Guérir les malades. Concentrons-nous là-dessus. La prochaine fois, je parlerai de la Bonne Nouvelle.
Guérir les malades et annoncer l’Évangile, ce n’est pas juste une option, non, c’est un ordre qu’Il nous a donné. Si vous êtes un disciple de Jésus, vous renoncez à vous-même, vous prenez votre croix, et vous acceptez de le suivre. C’est ce qu’il nous demande, guérir les malades et annoncer la Bonne Nouvelle. C’est quelque chose que nous pouvons apprendre. Ce n’est pas si difficile si nous faisons des disciples à la manière de Jésus. On apprend en faisant. Et encore une fois, c’est toujours possible aujourd’hui.
Si une personne malade était venue à Jérusalem deux jours après que Jésus meure sur la croix, elle n’aurait pas dit : Oh non, si seulement j’étais venue deux jours plus tôt ! Si j’étais venue deux jours plus tôt, j’aurais été guérie, mais Jésus est parti… Non, il n’est pas parti car il a envoyé son Saint-Esprit sur terre. Et nous sommes toujours son Corps aujourd’hui. On voit que ça a continué dans le Livre des Actes, on voit les foules venir aux disciples et tous étaient guéris, exactement comme quand Jésus était là. La seule différence que nous voyons entre Matthieu 9:35 et Actes 5:16 c’est qu’ici, c’est Jésus physiquement sur terre, et là, c’est le corps de Jésus avec le Saint-Esprit. Jésus est toujours le même aujourd’hui, il n’a pas changé, même 2000 ans après.
D’après la Parole, c’est vraiment clair que nous sommes appelés à faire cela. Mais notre problème aujourd’hui vient de la théologie, de la religion et de la tradition. Et toutes ces choses si claires, nous les rendons impuissantes par notre théologie. Nous disons par exemple : Tout le monde n’a pas le don de guérison. J’en ai déjà parlé, je ne reviendrai pas dessus, mais ce petit passage dans la Bible, cet enseignement s’est infiltré dans l’église et aujourd’hui des millions de chrétiens sont infidèles à Dieu. Ils n’obéissent pas à la parole de Jésus juste à cause d’un passage de la Bible mal compris.
Jésus a appelé ses disciples à faire cela, il les a appelés à faire d’autres disciples et à l’imiter. Tout est tellement clair. Mais soudain, ça ne compte plus parce que « Tout le monde n’a pas le don de guérison ».
C’est la religion qui s’est infiltrée dans l’église. On prend une ligne ici, une phrase là, on sort tout du contexte et on en perd toute la puissance. Ce n’est pas seulement pour la guérison, pour le parler en langues aussi, ou pour le baptême du Saint-Esprit. Presque tout ce qui est si clair dans le Livre des Actes, nous en supprimons la puissance. Nous disons : Non ce n’est pas comme ça, parce qu’un verset dit ceci, un autre dit cela… Je déteste vraiment ça ! Nous avons besoin de retirer nos lunettes. Et nous avons besoin de considérer l’image dans son ensemble.
J’ai ici un e-mail dans lequel on retrouve ça : « Cher Torben, merci pour cette leçon. Nous regardons les enseignements le dimanche. Et après avoir regardé la leçon 5, il y a eu un long silence. Les gens étaient choqués, « Ouhhh c’est quoi ça ? » Il y avait beaucoup à apprendre et cela nous a donné beaucoup de questions à poser à Dieu. Mais j’ai deux questions. Toutes les personnes pour qui tu as prié ont-elles été guéries ? »
Je peux dire que non, pas encore. Parce que je suis toujours en train d’apprendre. Je vois de plus en plus de guérisons mais j’ai prié pour beaucoup de gens qui n’ont pas été guéris. Et là, je veux vous dire quelque chose. Paul disait en Corinthiens : Imitez-moi comme j’imite Christ. Je vous dirais la même chose. Imitez-moi comme j’imite Christ. Cela signifie que là où j’imite Christ dans ma vie, vous devriez aussi m’imiter, mais là où je n’imite pas Christ, vous ne devriez pas m’imiter non plus.
Il est tentant de poser cette question : As-tu fais ceci ? Et je réponds : Non. – Ah, alors je n’ai pas besoin de le faire non plus… Ce n’est pas moi que vous devez suivre, mais Christ. Je ne veux suivre personne d’autre que Christ, je regarde à lui. Quand je fais des erreurs, quand je manque de maturité dans un domaine, n’en faites pas une excuse, parce que ce n’est pas moi qu’il faut imiter dans ce domaine, c’est le Christ. Imitez-moi seulement dans les domaines où j’imite Christ.
Je veux souligner cela parce que je vais vous donner des conseils pratiques pour faire les premiers pas dans la prière de guérison. Et je me mets à un bas niveau pour que tout le monde puisse commencer. Par exemple, je vais dire de ne pas commencer par prier pour des maladies graves, commencez à utiliser les muscles de votre foi avec quelque chose que vous pouvez soulever. C’est un bon conseil que je peux donner à beaucoup pour débuter. Mais si vous êtes plein de foi, ne soyez pas limités par ce que je vais vous conseiller. Parce que ce sont des conseils pour aider.
Actuellement nous sommes à un certain niveau, mais nous grandissons, et je grandis moi aussi, vous le voyez dans mes vidéos. Si je vous dis de commencer avec ce qui semble possible pour vous, ne vous limitez pas à ça, car si vous avez la foi pour aller à l’hôpital et prier pour tout le monde, alors faites-le, parce que ça ressemble plus à ce que Jésus faisait. Donc oui, j’ai prié pour beaucoup de gens qui n’ont pas été guéris, beaucoup, beaucoup. Mais j’apprends en faisant, et il y en a de moins en moins qui ne sont pas guéris immédiatement.
J’apprends encore à ne pas abandonner, car quand je persévère dans la prière, je finis par voir le résultat. Donc je ne dis pas que les gens ne sont pas guéris car je pense qu’il y a de la persévérance à avoir.
Une autre question. Pourquoi aller dans la rue pour chercher des gens malades alors que les hôpitaux en sont pleins ? Des gens qui désespèrent d’être guéris. Je peux aussi dire qu’il y a beaucoup de gens malades dans les églises. Ça ne devrait pas être le cas, mais ça l’est. Pourquoi je vais dans les rues ? Parce que c’est un endroit libre. Pour moi c’est juste une question de liberté. Si je vais dans un magasin, je me sens libre. Mais si un agent de sécurité dit que je ne suis pas autorisé à y prier, j’arrête et je m’en vais. Parce que je ne peux pas prier librement si je dois faire attention aux personnes qui m’observent. C’est pourquoi je ne vais pas souvent à l’hôpital. Je ne suis pas autorisé à faire cela, mais j’y suis allé et j’ai prié pour des malades. Et puis je pense que c’est bien d’avoir une bonne expérience. Et c’est pourquoi je vais beaucoup dans la rue, pour nous aider à grandir dans la foi. Cela fait partie intégrante du kickstart.
Je suis allé à l’hôpital, j’ai vu des nouveaux chrétiens aller à l’hôpital dès le premier jour, parce qu’ils n’ont pas la même crainte que moi – rappelez-vous, imitez-moi comme j’imite Christ – mais je me bats encore avec la crainte. Je progresse, mais j’ai un arrière-plan, j’ai aussi beaucoup de traditions. J’ai besoin de les dépasser. Et Dieu m’aide, pleins de nouvelles choses se produisent.
Quand il s’agit de discipolat, j’essaie de tout donner dans les domaines où je ressemble à Christ. Dans les domaines où je me bats encore avec la crainte, je ne transmets pas ma crainte aux gens. Je dis: OK, si tu as la foi, fais-le. J’encourage les gens à grandir. Et je veux vous dire : vous n’avez pas à grandir aussi lentement que moi. Vous avez la possibilité d’exploser et de devenir très rapidement comme Jésus. Donc, ne soyez pas limités par ce que je partage ici avec mes conseils pratiques. Je veux essayer d’être à un niveau où je peux travailler avec les gens, les entraîner. Utilisez cela, mais ne soyez pas limités. J’espère que vous comprenez ce que je dis.
J’ai reçu un autre e-mail : « Shalom Torben, merci pour la vidéo. J’ai beaucoup pleuré en la regardant. C’est ce que j’attendais depuis des années. J’ai une question sur Jacques 5:16. C’est au sujet du refus de pardonner qui est une porte ouverte au péché et à la maladie. » Et je crois cela, que le refus du pardon et le péché peuvent ouvrir une porte. « Mais d’après Jacques 5:16, on dirait qu’il faut pardonner avant de pouvoir être guéri. Donc, il peut y avoir un obstacle à la guérison, et ça peut être le refus de pardonner. »
Et un autre e-mail : « Cher Torben, je trouve vos leçons incroyables et passionnantes. Merci. J’aimerais remettre votre enseignement sur la guérison dans son contexte, Jacques 5:14. C’est un verset qu’on a utilisé dans l’église pour affirmer que tous ne peuvent pas guérir. Que tous ne sont pas en position pour guérir ou n’ont pas assez d’expérience pour cela. »
Deux lettres au sujet de Jacques 5:16. Nous allons voir tout ça. Je reviens sur ce qu’il vient d’écrire : « Vous n’avez pas la bonne position pour guérir et vous n’êtes pas assez expérimentés pour cela. Réfléchissez à cette dernière affirmation : vous n’êtes pas assez expérimentés. Quand quelqu’un vous dit cela… c’est tellement fou, c’est tellement stupide ! Si je vous disais : Vous ne pouvez pas baptiser parce que vous ne l’avez encore jamais fait. C’est la même chose. Quand est-ce que je commence à baptiser si je dois avoir baptisé avant de pouvoir le faire ?
On ne peut pas dire ça, ou dire qu’on ne peut pas à cause du manque d’expérience. Quand aurais-je acquis de l’expérience si je ne peux jamais le faire ? Regardez à quel point c’est tordu ! Passons maintenant à Jacques 5. Je vais faire court parce qu’il y a beaucoup à dire. Je vais lire Jacques 5 avec les lunettes religieuses, ce que les gens disent souvent. « Si quelqu’un est malade parmi vous, appelez les anciens de l’église et qu’ils prient pour lui, versez de l’huile sur lui au nom du Seigneur Jésus et la prière avec foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera. Et s’il a péché, il lui sera pardonné. Confessez vos transgressions les uns aux autres, priez les uns pour les autres et vous serez guéris. »
Voici ce que disent les lunettes : si quelqu’un est malade, seul un ancien peut prier pour lui. Tout le monde ne peut pas le faire car seul un ancien peut le faire. Alors ils vont voir le malade, et très saintement, ils versent l’huile et font une prière particulière et disent que la personne est guérie… Ou alors ces personnes sont malades à cause du péché dans leur vie, et avant qu’ils puissent être guéris, ils doivent demander pardon pour leurs péchés : avant que je prie pour vous, de quel péché devez-vous vous repentir ? Et une fois qu’ils se sont repentis, alors on peut prier et ils sont guéris. C’est à peu près ce que les lunettes disent…
Mais que dit Jésus ? Comment les lunettes s’accordent-elles avec tout ça ? Jésus a-t-il dit que seul un ancien peut prier pour un malade ? Non. Voyons-nous dans la vie de Jésus que si vous avez péché vous ne pouvez pas être guéris ? Non. Tous ceux qui ont été guéris étaient pécheurs. Et tout le monde priait, pas seulement les anciens. Et devons-nous oindre tout le monde ? Nous ne voyons pas souvent cette onction dans la Bible. Que faisons-nous quand un passage de la Bible s’oppose à ce que le reste affirme clairement ? Chaque fois qu’il y a quelque chose de très clair dans la perspective biblique et qu’un verset comme celui-là semble être en opposition avec le reste, on sait que la perspective est toujours la vérité.
La théologie arrive et dit : Non, ça c’est vrai, c’est la perspective qui est fausse. Non, la perspective est toujours vérité. Regardez Jésus : voilà la perspective biblique, et ce passage ne correspond pas. Que faisons-nous alors ? Nous prions. Nous demandons au Seigneur de nous révéler la vérité sur ce texte parce que la perspective est vraie mais ce passage dit quelque chose de différent. Il y a donc quelque chose que je ne comprends pas.
Il y a juste trois jours, j’ai eu une révélation, c’était fantastique, le Saint-Esprit est le meilleur enseignant du monde ! Il va nous montrer la vérité et la vérité va nous rendre libre. Alors que j’étais dans cette question, je ne comprenais pas complètement Jacques 5. J’étais devant ma Bible et je disais à Dieu : Ok, je sais que c’est la vérité mais je ne comprends pas ces versets. Ouvre mes yeux, aide-moi à comprendre. Soudain, le Saint-Esprit est venu et le Seigneur m’a montré la vérité. C’est fantastique ! Êtes-vous prêts à retirer vos lunettes ? À voir les choses d’une nouvelle façon ? C’est juste un exemple de la manière dont la théologie peut tuer les gens, et lorsque vous retirez vos lunettes, vous voyez soudain d’une nouvelle façon.
Jacques 5… Il faut d’abord connaître le contexte. C’est la lettre la plus ancienne. C’est une lettre qui a été écrite dans les débuts de l’Église. Quand Étienne a été lapidé, les chrétiens juifs ont été éparpillés et Jacques leur a écrit cette lettre. C’est une lettre très ancienne, destinée en grande partie à des nouveaux dans la foi. C’est une lettre très pratique qui reprend beaucoup du sermon de Jésus sur la montagne. C’est une lettre pratique au sujet de la foi, des œuvres, de la sainteté, être comme Dieu, le péché… Donc c’est une lettre très simple et très pratique destinée à des nouveaux croyants. Il faut bien comprendre cela.
Et Jacques demande : Y a-t-il parmi vous des malades ? « Parmi vous » peut signifier beaucoup de choses. Ce n’est pas forcément le chrétien le plus rempli du Saint-Esprit, non. Il a demandé : Y a-t-il parmi vous des malades ? Appelez les anciens de l’église. L’ancien n’est pas une position, il n’a pas été ordonné pour avoir une position. Ce mot « ancien » dans ce passage, est le même que dans le fils prodigue, dans Luc 15 : Le fils aîné travaillait dans les champs. Ce sont les mêmes mots ici, « aîné » et « ancien ». Un autre passage dans Actes 2:17. Les jeunes gens auront des visions et les vieillards des rêves. C’est encore le même mot. Mais avec nos lunettes, nous pensons que « ancien » est une position. Non, « ancien » signifie juste plus expérimenté, plus âgé. Mais dans l’Église, « ancien » n’a pas forcément de rapport avec l’âge. C’est souvent le cas, plus on est âgé, plus on a d’expérience, mais « ancien » peut aussi signifier « mature ». Appelez les chrétiens anciens, matures de l’église et qu’ils prient.
Puis nous voyons l’onction d’huile. Rappelez-vous, c’est au début de l’Église, les juifs connaissaient l’onction selon leur tradition. L’huile était une chose par laquelle ils pouvaient avoir de la foi et comprendre de quoi il s’agissait, mais ce n’est pas l’huile qui guérit. Il dit : Priez avec foi et la prière guérira le malade. Donc il dit : « Y a-t-il quelqu’un de malade ? Appelez quelqu’un de plus mature et qu’il prie pour vous parce que s’il y a des malades chez vous, alors vous n’êtes pas encore matures. Vous n’avez pas compris ce que Jésus a fait sur la croix, car vous n’êtes pas capables de guérir les malades, donc appelez quelqu’un d’autre pour le faire.
Puis il dit : confessez vos péchés les uns aux autres. Il n’a pas dit que seuls les malades doivent confesser leurs péchés, non, il dit : confessez vos péchés les uns aux autres. Pourquoi ? Pour qu’ils puissent être guéris ? Non. Pour qu’ils puissent être pardonnés de leurs péchés. Car après avoir dit de confesser les péchés, il dit : la prière du juste est très efficace. Et puis il parle d’Élie qui était un homme juste qui a prié et Dieu a répondu.
Voilà donc ce qu’il dit : Il y a parmi vous des malades, Ok. Appelez d’autres personnes, des anciens plus matures, et qu’ils guérissent les malades. Eh oui, peut-être êtes-vous malades parce que vous vivez dans le péché. Repentez-vous et vous serez sauvés.
Et il ajoute : confessez vos péchés les uns aux autres. Pourquoi ? Parce que 1 Jean 1: 9 dit : Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité. Dès qu’ils ont confessé leurs péchés, ils deviennent justes car Dieu les a pardonnés. Et alors ils peuvent prier et les gens sont guéris. Donc le malade n’a pas besoin de se confesser pour être guéri. Il n’a pas été guéri parce que cette personne n’a pas été capable de le guérir parce qu’elle a elle-même du péché dans sa vie.
Il dit : appelez quelqu’un qui est juste afin qu’il prie avec foi et vous guérisse. Avez-vous du péché ? Confessez vos péchés et vous n’aurez plus à demander l’aide d’un ancien car tout le monde peut guérir les malades. Vous voyez ? Ça prend un tout autre sens !
Puis il termine le chapitre par : celui qui ramènera un pécheur de la voie où il s’était égaré sauvera une âme de la mort. Il dit ça juste après. La Bible n’utilise jamais le mot « pécheur » pour un chrétien qui marche avec Dieu. Non, nous sommes saints : aux saints à Corinthe… aux saints à Éphèse… nous sommes saints. Mais ici, il utilise le mot « pécheur » car ces gens n’étaient pas justes. Et c’est pourquoi ils ne pouvaient pas guérir les malades. Alors il dit : Appelez un chrétien mature et qu’il guérisse le malade. Puis demandez le pardon, confessez mutuellement vos péchés afin d’être justifiés. Car si vous confessez vos péchés, Dieu est fidèle et vous purifie de toute injustice. Et la prière d’un homme juste est vraiment forte.
Vous voyez, c’est ce que la Parole dit. Je sais que j’ai pris beaucoup de temps pour parler de ça, mais c’est très important.
Le kickstart. Comment cela a commencé ?
Ça a commencé pour moi il y a 6 ans. Je donnais un enseignement au sujet de la guérison, ça s’appelait : Guérir les malades en une heure, avec ce titre-là, parce que j’avais un enseignement d’une heure ! Et j’ai eu l’idée qu’il ne fallait pas juste en parler mais aussi de la montrer. La veille de mon enseignement, j’ai pris avec moi un jeune, converti il y a un mois et lui ai dit :
- Veux-tu prier pour des malades afin qu’ils soient guéris ?
- Oui, bien sûr
- Peux-tu venir avec moi pendant une heure ? Je veux faire quelque chose avec toi.
- ..
- Il est 4h52 et dans une heure, à 5h52 nous reviendrons ici. Tu es prêt ? Monte avec moi dans la voiture.
Et nous sommes allés en ville. Je lui ai dit : Suis-moi. J’ai prié pour des malades et ils ont été guéris. J’ai dit : Tu as vu ça ? Maintenant c’est à toi. J’ai trouvé un malade, il a prié et cette personne a été guérie elle aussi. Une heure plus tard, nous étions de retour. Je lui ai dit : N’en parle à personne. Parce que je vais utiliser cela demain pour le séminaire et ça doit être une surprise, et il était d’accord.
Mais quelque chose d’autre s’est produit. Que s’est-il passé ? Il est allé partout pour dire à tout le monde ce qu’il venait de faire. Quand j’ai vu cela, je me suis dit : Mmm… Intéressant, je lui interdis d’en parler mais il ne peut s’empêcher de raconter à tout le monde de ce qu’il venait de vivre ! C’est comme ce que nous lisons dans la Bible, les disciples ne devaient pas parler de Jésus mais ils ne pouvaient s’empêcher de raconter ce qu’ils avaient vécu, vu et entendu. C’était la même chose avec ce jeune, je trouvais ça intéressant.
Alors une lutte a commencé dans mon cœur parce que je crains Dieu et je veux ce qui est juste. Mes lunettes religieuses me disaient : Si ce n’est pas de l’amour, ne le fais pas. Ça doit être guidé par l’Esprit et je n’étais pas guidé par l’amour à ce moment. Je n’étais pas guidé par l’Esprit, j’avais fait cela juste pour avoir un témoignage à présenter, c’était la seule raison. Alors qu’ai-je fait ? J’ai demandé au Seigneur : Aide-moi, montre-moi ! Ça ne va pas, je ne veux pas faire ça, je veux être guidé par toi, je veux faire les choses avec amour. Je veux agir de la bonne manière… Et je luttais avec ça parce que c’était mécanique.
Le même soir, j’étais à une réunion. Je priais lorsque la conductrice de louange dit : Je veux tout le monde avec moi pour prier, j’ai un fils, Yeva, peut-on prier pour lui, il ne vit pas avec le Seigneur… Il se trouve qu’on avait prié dans l’après-midi pour quelqu’un qui s’appelait Yeva. Il connaissait cette église et il était très ouvert. Je lui ai demandé :
-Ton fils s’appelle Yeva ?
-Est-ce qu’il a un problème au pied ?
-Oui, comment le sais-tu ?
-Il n’a plus de problème, il a été guéri cet après-midi.
Elle était tout étonnée. Pour moi c’était vraiment fort parce que j’avais cette lutte : est-ce la bonne manière de faire ? Je ne me sentais pas guidé par l’amour, je n’ai pas senti le Saint-Esprit me parler, je l’avais fait juste pour avoir un témoignage à présenter le lendemain… Je luttais avec ça alors qu’en fait j’ai vu que nous étions guidés par l’Esprit : nous avons été une réponse à sa prière ce soir-là, et ce n’était pas moi qui avais prié pour son fils, c’était le jeune converti !
Depuis beaucoup ont témoigné qu’effectivement, lorsque nous lançons les personnes de cette manière, il semble qu’il n’y ait pas d’amour. Mais l’amour n’est pas toujours un sentiment, l’amour n’est pas toujours exaltant. Être guidé par l’Esprit ce n’est pas… Wooo ! Non, c’est vraiment très pratique. Dieu a dit de le faire alors on le fait, et quand on le fait, on est guidé par l’Esprit, qu’on le ressente ou non. J’ai tellement de témoignages à ce sujet !
Si on n’a pas l’amour, on ne peut rien faire. Même si on se livre soi-même aux flammes, ça ne compte pour rien du tout. Nous n’avons donc pas seulement besoin d’amour pour guérir les malades, on a besoin d’amour pour vivre. Mais l’amour est versé en nous par le Saint-Esprit. Es-tu né de nouveau ? Tu as l’amour en toi, mais il faut laisser sortir. Comment faire ? Pas en s’asseyant à l’église à attendre.
Quand Jésus voyait la foule, il était ému de compassion. Quand expérimentons-nous l’amour ? Quand nous sommes dehors, et c’est ce qui s’est passé. D’abord, on ne le ressent pas, mais quand on commence à être sur le terrain, il grandit en nous.
J’ai de nombreux témoignages. Par exemple, j’étais en Suède, quelqu’un voulait sortir. Vous voulez être kick-starté ? Ok, je vous prends avec moi, allons-y. J’ai pris cette personne avec moi. Juste du travail pratique. Elle voulait être lancée. J’étais disponible et je l’ai prise avec moi. Que s’est-il passé dehors ? Elle a rencontré une femme qui était bouddhiste. « Je ne crois ni en Jésus ni en Dieu… mais j’ai fait un rêve il y a quelques jours, comme si un ange était venu à moi. Il m’a dit que j’allais rencontrer quelqu’un dans la rue, qui me dira quelque chose que je n’ai jamais entendu avant. Et quand cette personne va me parler, il faudra que je l’écoute car elle dira la vérité. »
Nous avons beaucoup de témoignages comme ça. Quand nous sommes dehors, Dieu nous guide. Mais pas quand on reste assis à la maison à ne rien faire, non, quand on obéit. C’est comme ça que ça a commencé pour moi. Mais ensuite j’ai arrêté parce qu’à l’époque je ne comprenais pas à quel point c’était puissant.
Quelques années plus tard, je suis allé visiter mon ami Tommy qui n’avait jamais mené quelqu’un à Christ, qui n’avait jamais guéri un malade, ni baptisé personne d’eau ou du Saint-Esprit. Il avait été baptisé, il avait vraiment rencontré Dieu avec puissance. Il avait été baptisé enfant, il a donc été baptisé, délivré et beaucoup de choses se sont produites dans sa vie. Son épouse m’avait écrit : « Tommy veut que tu le kickstartes. OK, je vais le faire. Alors qu’on prenait le café, je lui dis : Allons dans la rue. Je pensais que Tommy savait que son épouse m’avait envoyé un e-mail à ce sujet, mais ils n’en avaient pas parlé ensemble. Elle en avait assez de l’entendre parler sans agir, c’est pourquoi elle m’avait contacté. OK… Alors j’ai pris Tommy, je lui ai montré comment prier pour les malades. J’en ai trouvé une et j’ai dit : Maintenant Tommy, c’est toi qui pries.
Quand Tommy a prié pour le premier malade, il a été « kick-starté » : quelque chose a changé en lui. La peur était partie parce qu’il avait pratiqué. Il avait de la peur jusqu’au moment où il a fait le premier pas et qu’il a vu que ça marchait. Ça a changé quelque chose en lui. Un moteur a démarré. C’était il y a un an et demi. Depuis, il prie et guérit des malades chaque semaine. Lui et son épouse ont mené dix-huit personnes sans arrière-plan chrétien à Christ, en deux ans. Ils se sont convertis, baptisés d’eau, baptisés du Saint-Esprit, et ils font de même maintenant. Certains font des vidéos, et des Anglais qui les ont vus sont venus il y a quelques semaines. Ils étaient catholiques, ils se sont convertis, baptisés d’eau et du Saint-Esprit et « kick-startés ». Un Australien qui a vu une vidéo a pris un avion pour le Danemark pour rencontrer Tommy et être lancé à son tour. Il est rentré chez lui et il continue là -bas. À partir de ce changement dans la vie de Tommy, dix-huit personnes ont été sauvées et beaucoup d’autres se sont lancées.
Il y a juste un mois, un professeur de science danoise l’a rencontré pour être « kick-startée ». Elle s’est repentie dans le même temps car elle a vu que c’était plus que de la théologie. Elle a vraiment rencontré Dieu, elle devenue radicale pour Jésus. Son témoignage a été publié dans le plus grand journal chrétien du Danemark. Elle a lancé un de ses amis qui va à l’église depuis des années. En 25 ans il n’avait vu qu’une seule personne sauvée, mais depuis, il prie pour des malades presque tous les jours. Ces trois dernières semaines, il a mené trois personnes à Christ.
Ça explose ici et partout dans le monde. Il y a un an et demi, Peter – vous pouvez voir son nom sur le site internet – est arrivé de Suède au Danemark, je l’ai pris avec moi et là encore, c’était comme un moteur qui démarrait en lui. Il est retourné en Suède, il voyage à travers la Suède maintenant pour « kick-starter » des gens. Les journaux et la TV en parlent. Peter a vu beaucoup de personnes sauvées. Il m’a écrit il y a deux jours qu’il était dans la rue, il y avait un grand festival dans la ville. Il sortait pendant 12 heures, il a rencontré soixante-dix personnes et quatre ont décidé de suivre Jésus. Ça explose partout dans le monde ! Peter vit une vie fantastique et lance aujourd’hui des gens à travers toute la Suède !
J’ai des témoignages comme ça, des gens en Suède, Finlande, Hollande. J’y étais, vous le voyez dans notre dernière vidéo, j’ai lancé quelques personnes, qui en ont lancé d’autres, qui ont lancé à leur tour. Et l’une de ces personnes, a prié pour une femme qui s’est levée de sa chaise roulante. Elle ne pouvait pas marcher sans aide depuis deux ans et elle est rentrée chez elle à pied !
C’est la chose la plus puissante que j’ai vue. C’est comme un moteur qui démarre en eux, car ce n’est plus de la théologie. C’est la vie et la puissance avec lesquelles Jésus est venu. Ce n’est pas que de la guérison. J’ai vu des gens lutter parce qu’ils doutaient de Dieu. Je les ai lancés et ils commençaient à pleurer : Oh ! C’est tellement incroyable ! Et tout a changé dans leurs vies. Ils n’ont pas seulement appris à guérir les malades. Non. Leur vie de prière a changée, ils veulent vivre une vie sainte car tout à coup Dieu est là. Ce n’est plus juste de la théologie. Il est réel. Alors on veut vivre une vie sainte, alors on commence à prier, à jeûner et à grandir, grandir, grandir…
Je peux prendre n’importe quel chrétien, facilement l’entraîner, l’enseigner, le « kick-starter, » lui apprendre à guérir les malades, à chasser des démons et à mener des gens à Christ. Et je pense que cela va changer le monde. Ça a changé le Danemark, la Finlande, la Suède, la Hollande… Ça change aussi en Amérique un peu partout maintenant, les gens sont lancés. Et la seule chose que nous faisons, c’est faire des disciples dans la rue.
Prenez quelques personnes et dites : Venez et suivez-moi. Trouvez quelqu’un pour qui prier et donnez-leur l’opportunité de le faire. Dites-leur : maintenant c’est à ton tour. Je ne prie pas à côté pour qu’ils pensent que leur prière guérit et que ce n’est pas la mienne. Non, je regarde simplement leur visage et ce que Dieu va faire. Ouhhh, il est guéri, elle est guérie ! Et les chrétiens sont étonnés !
Je pourrais donner des témoignages pendant des jours… Regardez nos vidéos, je prends des ados avec moi pour les kick-starter. Et j’utilise cet outil aujourd’hui pas seulement pour atteindre les gens. Jésus veut aussi que nous l’utilisions comme pour faire des disciples, pour entraîner les gens et allumer en eux un feu pour Dieu. J’utilise cela et encore une fois, je vois Dieu le confirmer, je vois que Dieu aime ça.
J’étais en Pologne il y a quelques temps, et après une réunion, nous étions au McDo avec des jeunes. Deux jeunes filles voulaient rencontrer Dieu. J’ai dit :
-Voulez-vous vraiment le rencontrer? Voulez-vous vraiment rencontrer Dieu ?
-Oui !
-OK, faites tout ce que je vous dis pendant les dix prochaines minutes et vous allez rencontrer Dieu. Vous êtes prêtes ?
Elles m’ont regardé comme si j’étais fou. J’ai répété :
-Vous êtes prêtes ? Levez-vous. Suivez-moi.
Et quand nous sommes sortis, j’ai demandé à quelqu’un :
-Excusez-moi, êtes-vous malade ?
-Prie une courte prière, ai-je dit à la fille.
Il a été guéri. Puis avec une autre personne ; elle a prié et la personne a été guérie. Dix minutes plus tard, nous sommes retournés au McDo. Les filles étaient sans voix, elles se sont assises et ont tout raconté aux autres, elles étaient en feu parce que Dieu venaient juste de les utiliser. Et c’est ce que tout le monde attend !
Nous ne sommes pas appelés à regarder les autres faire mais à être utilisés par Dieu. Il n’y a rien de plus grand que cela, expérimenter Dieu qui nous utilise.
Pendant des années, quand je voulais que quelqu’un rencontre Dieu, je l’invitais à une conférence. J’espérais qu’un prophète dirait : Toi ! Et que cette personne rencontrerait Dieu. Mais souvent elle ne rencontrait pas Dieu pendant la réunion. Elle ne voyait pas Dieu. Parfois elle le rencontrait mais ce n’était pas souvent le cas. Maintenant, ce que je fais si quelqu’un veut voir que Dieu est réel et le rencontrer, je dis juste : Suis-moi, on va dans la rue et on trouve des personnes malades. Parce que dans la rue il y a toujours quelque chose qui va se produire. À chaque fois, ça change la vie.
Donc utilisez cela comme un outil pour allumer un feu chez les gens. Ces filles en Pologne ont continué après notre départ et elles ont prié pour une fille qui a été guérie. Le dimanche cette fille est venue à l’église et a donné sa vie à Jésus. Son ami, son frère et sa mère étaient venus avec elle. Elle a été baptisée du Saint-Esprit et elle a donné son témoignage à toute l’église. Une personne s’est convertie cette nuit, les gens étaient en feu grâce à un kick-start de 10 minutes. C’est un outil puissant. Je veux dire à ceux qui savent aller dans la rue et prier pour les malades : utilisez cet outil pour allumer le feu chez les gens.
J’ai un ami qui m’a contacté il y a 2 jours : Torben, c’est tellement puissant ! C’est ce que je fais depuis. J’ai parlé de ça à l’église. Une femme était en feu il y a des années mais elle a perdu ce feu. Je l’ai lancée et elle est maintenant de nouveau complètement en feu pour le Seigneur ! C’est tellement puissant, oui, vraiment.
Quand vous saurez le faire, prenez des gens avec vous, entraînez-les.
Maintenant j’en viens à la pratique. Comment faire en pratique? On apprend en faisant. La foi est comme un muscle, elle grandit seulement si on l’utilise.
Aujourd’hui, le problème dans l’église c’est que beaucoup n’ont jamais utilisé leurs muscles. Donc s’ils veulent soulever quelque chose de lourd, ils n’y arrivent pas. Pourquoi ? Parce qu’ils n’ont jamais utilisé leurs muscles, ou bien seulement avec des choses lourdes. Très souvent ils commencent par prier pour des personnes de l’église, et ils prient pour la personne la plus malade pour qui on a prié des milliers de fois et c’est la seule personne pour laquelle ils prient.
C’est la pire façon de commencer parce que dans l’église il y a tellement de religiosité et de traditions. Et on prie de longues prières, on croit que Dieu nous entend à cause d’une longue prière… Non, pour commencer, il faut sortir de l’église. Je suis avec vous, a dit Jésus. En dehors de l’église, les gens n’ont pas le même état d’esprit. Ils ne pensent pas qu’ils seront entendus à cause de leurs nombreuses prières et tout ça… Dieu tu me guéris… Non, dehors c’est plus facile.
Les gens commencent aussi par leur famille. Mais c’est difficile parce que si ça ne marche pas ils vont penser : Il a fait une mauvaise prière… C’est pourquoi c’est souvent difficile avec la famille ou avec les relations dans l’église. Mais quand vous allez vers des inconnus, alors c’est différent. Parce qu’ils ne vous demandent pas : Avez-vous le don de guérison ? Ils ne savent rien du don de guérison. Ils ne savent pas que c’est la première fois pour vous. Ils vous voient d’une manière complètement différente et c’est aussi plus facile pour eux.
Une autre chose plus facile en dehors de l’église : quand vous échouez, vous ne les reverrez plus. Vous n’allez pas les revoir tous les jours. Et c’est pourquoi c’est plus facile de commencer avec des gens que vous ne connaissez pas. Essayez cela. Rappelez-vous, la foi est comme un muscle. Je n’arrive pas à soulever 50 kg mais je suis capable de soulever 5 kg. Que faire ? Continuer d’essayer de soulever 50 kg ? Oh je n’ai pas de foi, je ne suis pas capable… Non, vous pouvez soulever beaucoup, peut-être pas 50 kg tout de suite, mais si vous ne pouvez pas les soulever, ça ne signifie pas que vous ne pouvez rien soulever.
Nous commençons souvent avec la personne la plus malade de l’église. Et parce que nous ne sommes pas capables de voir cette personne être guérie, nous pensons que nous ne pouvons guérir personne. Bien sûr qu’on le peut. Si vous avez la foi pour être sauvé, vous l’avez aussi pour guérir les malades. Mais est-ce que j’ai besoin d’être baptisé du Saint-Esprit et d’eau avant de commencer ? Non. C’est important, j’en parlerai plus tard, mais vous n’en avez pas besoin. Mais beaucoup commencent avec les 50 kg. Laissez tomber, sortez, gagnez de l’expérience et faites grandir votre foi. Commencez avec 5 kg. Une fois que vous êtes bon avec 5 kg, passez à 10. Après les 10, vous passez aux 20 et finalement vous soulevez les 50 kg. Pour beaucoup, c’est la bonne façon de commencer.
Voyez votre foi comme un muscle. Elle grandit seulement quand vous l’utilisez. Y a-t-il quelque chose que vous ne pouvez soulever ? Alors allez trouver autre chose et commencez avec ça. Qu’est-ce que 5, ou 2 kg… Allez dans la rue, trouvez quelqu’un, peut-être un jeune, et dites : Excusez-moi, avez-vous mal quelque part ? Trouvez une petite chose comme un mal de dos, à l’épaule, ou autre… …et posez votre main. Si c’est l’épaule, posez votre main sur l’épaule.
Comment dois-je prier ? Une courte prière. La manière n’est pas importante, il faut juste prier : Je dis à cette épaule d’être guérie au nom de Jésus. Puis dites : Essayez. Si ça ne marche pas la première fois, réessayez. Au nom de Jésus, sois guéri. Essayez. Vous ne pouvez peut-être pas porter 5 kg, peut-être seulement 1 kg. Priez donc cinq fois parce qu’alors vous avez soulevé 5 kg. Vous comprenez ? Si après cinq fois, il n’y a pas de guérison, vous priez encore, et encore. Et soudain ! La personne est guérie !
Trouvez quelqu’un qui a mal au dos, dites : Excusez-moi, avez-vous mal quelque part ? Et elle répond : Oui. OK, je peux prier pour vous ? Ça prend deux secondes. Puis vous posez vos mains. Dieu, tu vas guérir ce dos maintenant dans le nom de Jésus, douleur pars maintenant ! Et puis dites : Essayez. Souvent la première fois c’est : Mmm… non. Alors vous priez encore et ça s’améliore. Quand vous entendez ça, la foi vient et grandit en vous. Vous priez encore et la douleur part complètement. Ne faites pas une longue prière : Oh merci Seigneur, tu es saint, tu es fantastique… Dieu ne nous écoute pas juste à cause de la longueur de nos prières.
Si vous priez pendant une minute, et qu’il n’y a pas de guérison au premier essai, vous dites : Je peux prier encore ? Il répond : Non je n’ai pas le temps, et il s’en va.
Mais avec une courte prière :
-Merci Dieu parce que tu guéris le dos au nom de Jésus.
-Non
-Douleur pars maintenant !
-Non
-Douleur pars maintenant
-Ça s’améliore.
-Douleur je t’ordonne de partir maintenant !
-Hé, maintenant je suis guéri !
J’ai juste prié quatre fois en vingt secondes. Faites une courte prière, ne fermez pas vos yeux. C’est mon conseil, faites juste une courte prière puis regardez leur visage. Parce qu’à leur visage vous pouvez voir Ohh, la douleur est partie ! Au visage vous pouvez voir ce qu’il se passe.
Ce sont mes conseils. Ne dites pas : je suis chrétien, je viens de telle église… Peut-être que ça marche en Amérique. Au Danemark, je ne vais pas dire : Je suis chrétien mais quand j’étais en Amérique, j’ai vu que ça pouvait parfois être une bonne chose. Trouvez votre façon de faire. Au Danemark et dans beaucoup d’autres endroits, je dis :
-Excusez-moi, avez-vous mal quelque part ?
-Pourquoi ?
-Avez-vous mal aux épaules, dans le dos, quelque part ?
-Oui j’ai mal au dos. Pourquoi ?
-Nous avons vu des gens être guéris. Puis-je prier pour vous? Ça prend 2 secondes.
Et puis posez juste vos mains et priez. Souriez et Excusez-moi, je peux vous demander quelque chose ? Avez-vous mal quelque part ? Puis parlez-leur de leur mal. Ne parlez pas de Jésus, de la Bible ou de l’église au début. Parlez-leur du problème qu’ils ont. Comment c’est arrivé ? Depuis combien de temps ? Comme ça ils se relaxent et vous connaissent. Si vous venez en disant Jésus dès le début, ils se demandent : Qu’est-ce qu’il me veut ? Donc dites : Excusez-moi, avez-vous mal quelque part ? Puis priez pour eux. Quand ils sont guéris vous pouvez dire : Ce que vous avez vu, on peut le lire dans la Bible. Je suis chrétien et Jésus dit… et alors vous partagez la Bonne Nouvelle avec eux. S’ils n’ont pas mal et demandent Pourquoi ? Dites-leur juste : Je suis chrétien, je prie pour les malades et je leur parle de Dieu. C’est souvent ce que je fais.
Les gens me demandent souvent : Combien de fois tu pries si les gens ne sont pas guéris du premier coup ? C’est quelque chose que vous devez ressentir au moment où vous le faites. Parce que certaines personnes sont d’accord si vous continuez. Parfois j’invite les gens à la maison et nous continuons à prier jusqu’à ce que ça marche. Mais vous ne pouvez pas le faire souvent dans la rue, alors parfois je dis : Si vous voulez, voici ma carte, nous continuerons de prier plus tard.
Autre chose: je ne dis plus que les gens ne sont pas guéris s’ils ne sont pas guéris sur le moment. J’ai beaucoup de témoignages où la guérison n’est pas visible sur le moment. J’étais en Suède il y a peu, il y avait là le leader de louange de l’église. J’ai vu une fille et j’ai dit au leader de louange : Viens avec moi, Dieu veut faire quelque chose. Je me sentais guidé vers elle. Alors nous sommes allés à elle :
-Excusez-moi, avez-vous mal quelque part ?
-Êtes-vous sûr que vous n’avez pas mal quelque part ?
J’étais très surpris et puis il m’est venu :
-Avez-vous mal à l’estomac ?
-Non
-.. Mais est-ce que je peux prier pour vous ?
-Oui
Aucun sentiment, ni rien. Et je priais : Seigneur touche-la… J’étais guidé vers elle donc je me sentais très confiant. Et je lui ai demandé :
-Qu’est-ce que tu as ressenti ?
-Rien
-Tu n’as rien ressenti ?
Non-
J’étais là avec le leader de louange et je m’attendais à ce qu’il soit impressionné. Mais rien ne s’est produit. Ce n’était pas facile de parler suédois donc j’ai dit au leader de louange de lui parler juste de Jésus. J’avais envie de me cacher dans un trou… C’était une expérience que je voulais oublier, et j’ai essayé… C’est ma façon de vivre, se rappeler des bonnes choses, les utiliser pour grandir, et oublier les mauvaises. J’ai essayé d’oublier cette expérience mais deux mois plus tard, j’étais de retour dans cette ville avec le leader de louange. Il m’a dit :
-Hé, tu te souviens de la fille pour qui tu as prié il y a deux mois ?
-J’essaye d’oublier, pourquoi remuer le couteau dans la plaie ? Oui, je me souviens…
-C’est fantastique ce qui s’est passé !
Je ne me rappelais pas que c’était fantastique…
-Qu’est-ce que tu veux dire?
-Tu n’es pas au courant ?
-De quoi ?
-Un mois plus tard, j’étais en ville et cette fille est venue en courant. Elle m’a dit: « Vous vous souvenez que vous et cet homme avez prié pour moi ? – Oui – Il m’a demandé si j’avais un problème à l’estomac et j’avais répondu Non. J’ai eu ce problème toute ma vie mais j’avais peur de l’admettre. Et quand il a prié, j’ai été guérie et depuis je n’ai plus de problème. Il a prié encore une fois et m’a demandé si j’avais rencontré Dieu et j’ai répondu Non. Mais j’ai vraiment rencontré Dieu et j’ai pensé à ça pendant tout le mois !
J’étais émerveillé ! À travers cette expérience que je voulais oublier, Dieu s’est révélé. Et il m’a dit:
-Tu veux la rencontrer ?
-Comment ça ?
-Oui, appelle-la.
Elle est venue et a rencontré Dieu une fois de plus ! Ce que je pensais être une mauvaise expérience était en fait un grand témoignage. Si j’étais parti en disant : Rien ne s’est produit, j’aurais donné un faux témoignage car beaucoup de choses se sont produites.
Et j’ai d’autres témoignages comme ça, où je pensais que rien ne s’était produit. J’ai juste demandé: Excusez-moi, je peux prier pour vous ? Et j’ai prié. Et si la personne n’est pas totalement guérie, donnez-lui une carte, un témoignage, un évangile… Dites : Si vous voulez en savoir plus, contactez-moi. Puis partez et voyez comment Dieu agit.
Encore une fois, vous apprenez en faisant. Trouvez votre propre façon d’aborder les gens. Le plus important n’est pas comment vous le faites mais juste de le faire. Obéissez à Dieu. Et après avoir été « kick-startés » dans la rue, vous utiliserez vos muscles et ça deviendra plus facile de prier pour la famille, pour des collègues de travail, des gens de l’église, parce que vous avez déjà utilisé vos muscles. Vous vous êtes entraînés et vous pourrez soulever des choses plus lourdes.
Encore une fois, imitez-moi comme j’imite Christ. Si vous avez une grande foi, allez-y ! Mais pour la plupart des gens, commencez petit. Trouvez quelqu’un, posez les mains et priez. Faites-le une fois, puis une deuxième et soudain vous pouvez soulever de grandes choses. Comme mon ami Peter… J’ai dit aux Suédois qui étaient venus de commencer petit, et c’est ce qu’ils ont fait. Puis ils ont dit : Quelqu’un en chaise roulante ! Ooh, commencez petit. Le lendemain, ils étaient seuls. Ils ont guéri une personne qui était en chaise roulante.
Quelque part, c’était une bonne chose que je ne sois pas avec eux, car si j’avais été là, j’aurais sûrement encore dit : Commencez petit…
Encore une fois, ne soyez pas limités par ce que je vous dis, utilisez la foi que vous avez. Le plus important, c’est de se lancer, car vous faites ce que Dieu vous a commandé.
Maintenant, c’est le moment d’agir. Vous avez écouté les enseignements au sujet de ce que nous sommes en Christ, pas besoin de don. Dieu a appelé tout le monde à le faire. Il vous a appelé. Vous avez entendu qu’il ne s’agit pas de connaissance mais d’obéissance. Vous savez maintenant que la foi est comme un muscle, elle grandit en l’utilisant. Maintenant vous avez besoin de l’utiliser.
Je vous propose donc un test : la semaine prochaine, vous devez être « kick-starté ». Priez pour des gens et voyez-les guérir.
Je vous encourage à faire ce que je vous dis, allez dans la rue, trouvez au moins trois malades, des inconnus. Dites : Excusez-moi, je cherche quelqu’un de malade, quelqu’un qui a mal quelque part. Trouvez quelqu’un qui souffre. Souvent le plus difficile n’est pas de prier mais de trouver quelqu’un pour qui prier, souvent il faut demander 10, 20, 30 fois avant de trouver. Mais votre audace grandit en pratiquant.
Trouvez quelqu’un, dites : Excusez-moi, avez-vous mal ? Quand vous avez trouvé une personne, vous posez les mains sur elle et si elle n’est pas guérie la première fois, ne vous arrêtez pas. Priez au moins trois fois. Trouvez trois personnes, priez au moins trois fois. Vous serez surpris, vous verrez que vous êtes capables de soulever cela.
Vous verrez que les gens guérissent, vous serez lancés et ça va changer votre vie. Vous n’avez pas besoin de quelqu’un d’autre pour ça. Comme mon ami Don qui m’a dit : « Torben, viens et lance-moi, je ne peux plus attendre. Mais je veux attendre car je veux que tu me « kick-startes. » Mais il m’écrit la semaine suivante : Torben, je ne pouvais plus attendre, j’y suis allé seul, beaucoup de gens ont été guéris et maintenant j’entraîne d’autres personnes !
Donc juste en écoutant ce que je vous dis, vous pouvez le faire. Vous n’avez pas besoin de quelqu’un d’autre pour être lancés. Vous pouvez le faire seul. Comme dans la vidéo dont j’ai parlé la dernière fois avec la personne en Inde. Il est juste sorti et il l’a fait tout seul. Vous pouvez le faire. Si vous n’y arrivez pas, trouvez quelqu’un qui peut vous aider. Même s’il n’a jamais prié pour les malades il sera peut-être plus à l’aise pour aborder les gens. Trouvez une telle personne.
Dieu m’a parlé hier. Je dois diffuser les six premières leçons pour que tout le monde y accède. Maintenant que ces six premières leçons sont sur internet, donc vous n’avez plus besoin d’aller à la Pioneer School. Prenez cette leçon, trouvez quelqu’un dans votre église, un chrétien plus courageux que vous, regardez cet enseignement ensemble, et décidez d’aller dans la rue et d’essayer.
Oui, mais puis-je prier pour les gens alors que je suis moi-même malade ? Si vous êtes malade, vous avez besoin de le faire ! Donnez et il vous sera donné. Si vous donnez votre pain aux pauvres, vos plaies seront guéries, dit la Bible. C’est tellement important, si vous êtes malade, d’entraîner vos muscles. Et vous faites cela en priant pour d’autres personnes.
Oui, vous pouvez prier si vous êtes malade ! Oui, vous pouvez prier si vous n’êtes pas encore baptisé du Saint-Esprit. Oui, vous pouvez prier si vous n’êtes pas encore baptisé d’eau. Oui, vous pouvez prier si vous avez encore des luttes dans votre vie. Car quand vous êtes lancé, cela peut vous aider à faire les autres choses. Mais c’est important d’être baptisé d’eau et de faire les autres choses dont je vais parler plus tard. C’est tellement facile, mais c’est important de bien connaître ce qu’est la Bonne Nouvelle.
La prochaine fois, je parlerai de ce qu’est l’Évangile, je vais vraiment vous provoquer et vous comprendrez beaucoup de choses sur vous-même et vos lunettes. Mais commençons avec la guérison. Vous pouvez sortir dans la rue. Je vous y encourage, je vous bénis, je vous envoie au nom de Jésus. La semaine prochaine, priez pour la première personne. Soyez « kick-starté » !
Commencez à utiliser votre foi.
Si vous ne pouvez pas le faire seul, trouvez quelqu’un proche de vous, quelqu’un qui peut vous aider. Si vous ne trouvez pas, nous essayerons de trouver des gens autour de vous. Nous avons des gens en Hollande, en Suède, au Danemark… et en France ! Je pense que dans le futur nous aurons des gens partout dans le monde qui pourront lancer. Mais pour l’instant ce n’est pas le cas. Trouvez quelqu’un et écrivez-moi quand vous avez serez entraînés : « Je suis prêt à kick-starter d’autres personnes », à ce moment-là on pourra vous utiliser pour former d’autres personnes.
Je vous encourage, sortez ! J’ai vraiment hâte d’avoir des témoignages, de partout dans le monde, d’entendre qu’une première personne a été guérie à travers vous. Et plus tard, une autre personne, et plus tard le muscle de votre foi aura grandi. Ce seront des témoignages de plus en plus grands. Vous mènerez des gens à Christ. Vous les baptiserez dans l’eau et dans le Saint-Esprit, de nouvelles églises verront le jour.
Commencez par la première étape, sortez, apprenez à guérir les malades. La prochaine fois je prendrai beaucoup de temps pour parler de la Bonne Nouvelle. Ce qu’est l’Évangile, afin que vous ne soyez pas trompés, que vous l’annonciez aux autres, et qu’eux non plus ne soient pas trompés.
On va voir des chrétiens forts qui se sont repentis, qui ont été baptisés du Saint-Esprit, ont pris leur croix et suivi Jésus. J’ai hâte d’entendre vos témoignages.
Que Dieu vous bénisse !
Laisser un commentaire
Vous devez être identifié pour poster un commentaire.