Joe Biden a accédé à la présidence parce que l’élection a été volée à Donald Trump. Il a suffi, pour que le vol ait eu lieu, que les criminels agissent dans cinq villes, situées dans cinq Etats différents, et le vol a fait basculer ces Etats du côté démocrate. Les villes sont : Phoenix, en Arizona, Atlanta, en Géorgie, Philadelphie en Pennsylvanie, Detroit dans le Michigan, Milwaukee dans le Wisconsin.
Il n’a pas fallu un nombre de voix frauduleuses très important pour parvenir au résultat recherché par les voleurs : environ quarante-deux mille voix en tout et pour tout. Le nombre de voix frauduleuses a été, lui, bien plus important, et se compte en millions.
Il a fallu, pour que le vol soit entériné, que des juges dans les cinq Etats concernés refusent de prendre en compte les preuves du vol, pourtant innombrables, ce qui a été sans précédent. Il a fallu que la Cour Suprême renonce à jouer son rôle de gardienne de la Constitution, ce qui a aussi été sans précédent. Il a fallu que les grands médias américains persistent à montrer qu’ils ne sont plus des médias d’information, mais des organes de propagande du parti démocrate devenu parti d’extrême gauche.
Il a fallu, pour que la contestation du vol s’éteigne, l’intrusion dans le Capitole de quelques centaines de soutiens de Trump, intrusion qui semble de plus en plus clairement avoir été organisée par les démocrates et le FBI aux fins de pouvoir présenter les soutiens de Trump comme des “terroristes intérieurs” (certains d’entre eux sont toujours en prison, sans accès à des visites ou à un avocat, et traités d’une manière indigne des Etats-Unis: des assassins sont mieux traités qu’eux, qui n’ont ni tué ni blessé, ni cassé quoi que ce soit, seules des fenêtres ont été cassées, et par des gens qui n’étaient pas des soutiens de Trump, et qui étaient venus pour provoquer l’incident -des documents vidéo que nul ne verra en France le montrent clairement).
Les bénéficiaires du vol sont au pouvoir. Ils détruisent le pays. Ils voulaient accéder au pouvoir pour ce motif : détruire le pays. C’est ce qu’ils font. Les monstres et les nuls placés au gouvernement et dont j’ai déjà parlé n’y ont pas été placés par maladresse, mais à dessein : une ou deux erreurs, cela laisse le bénéfice du doute, un ensemble cumulatif d’erreurs sans une seule personne nommée à son poste à bon escient, ce n’est plus un ensemble cumulatif d’erreurs, c’est un le résultat de décisions délibérées.
Après le désarroi, et la colère rentrée, émerge au sein du peuple américain une colère de plus en plus nette, et outre le slogan Let’s go Brandon, cette colère commence à s’exprimer dans les urnes.
L’élection qui vient d’avoir lieu en Virginie et qui a permis à Glenn Youngkin, républicain trumpiste (il est utile de le préciser, car il existe aussi des républicains alliés des démocrates, et dont Trump veut se débarrasser) d’accéder au poste de gouverneur a été le résultat de cette colère. Elle s’est accompagnée d’un score remarquable du candidat républicain au poste de gouverneur du New Jersey, qui a échoué d’environ vingt mille voix, seulement.
Je reste néanmoins très prudent.
J’espère que les républicains trumpistes gagneront massivement 2022, et remporteront la majorité dans les deux chambres du Congrès, mais je n’en suis pas totalement sûr.
L’élection de Virginie s’est jouée à trois points, ce qui est peu, au vu des destructions immenses provoquées par les démocrates, et peu au regard de ce que devrait être la réaction d’une population lucide. De très nombreux électeurs continuent à voter démocrate pour des raisons idéologiques et continueraient, je le crains, à voter démocrate même si leur maison était en train de brûler, et si l’incendiaire était le candidat démocrate pour lequel ils ont à voter. L’essorage de cerveau par l’école, l’université et les grands médias continue à fonctionner. Des immigrants de fraîche date récemment naturalisés votent démocrate quoi qu’il se passe parce qu’ils reçoivent un chèque en fin de mois, et que leurs voix sont achetées.
Des phénomènes étranges ont eu lieu aussi. En Virginie, Glenn Youngkin avait dix points d’avance une heure avant les résultats finaux, et son avance est descendue en quelques minutes à moins de trois points. Des bureaux de vote de Virginie ont affiché des résultats dignes d’une élection soviétique pour le candidat démocrate. Jack Ciattarelli, le candidat républicain dans le New Jersey avait près quatre points d’avance une heure avant l’annonce des résultats, et le score a basculé très vite. Je pense qu’il y a et peut encore y avoir des fraudes, et que Trump a raison d’insister sur ce point. L’intégrité du suffrage universel n’est pas rétablie aux Etats-Unis.
Si les républicains trumpistes gagnent en 2022, ce sera une étape vers un redressement. Si Trump se représente (ce qui est quasiment assuré) et est réélu, ce sera une autre étape, mais il y aura beaucoup de travail à faire et un combat acharné devra être mené, pendant des années.
L’extrême gauche qui s’est emparée du parti démocrate a gangrené presque toutes les institutions américaines, et c’est à l’évidence une gauche totalitaire. Et elle ne tient pas que les institutions. Elle ne tient pas seulement les grands médias. Elle tient aussi les grandes entreprises du capitalisme de connivence. Elle ne recule pas devant l’émeute, le chaos et les coups montés. La violence verbale des dirigeants démocrates (Barack Obama, Hillary Clinton, Kamala Harris, Joe Biden) venus soutenir Terry McAuliffe, l’adversaire de Glenn Youngkin, était digne des pires gauchistes européens.
J’explique tout cela dans mon prochain livre. Il devait paraitre cette semaine. Les problèmes résultant de la gestion de la pandémie en France ont contraint mon éditeur à différer la publication. Ce sera une fois de plus le seul livre à dire la vérité sur les élections et sur la situation aux Etats-Unis. Je l’ai appelé Après la démocratie ? Car la démocratie aux Etats-Unis reste très menacée.
© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.
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