Transmis par Elisabeth777
LA MISSION DE CHRIST
by David Wilkerson | December 29, 2015
Une église qui est acceptée et approuvée par le monde est un paradoxe parce que c’est tout à fait impossible. D’après Jésus, toute Église aimée par le monde est du monde et non de Christ.
« Si vous étiez du monde, le monde aimerait ce qui est à lui ; mais parce que vous n’êtes pas du monde, et que je vous ai choisis du milieu du monde, à cause de cela le monde vous hait » (Jean 15:19).
Ma vie a grandement été influencée par les écrits de George Bowen, un missionnaire Presbytérien qui a travaillé en Inde de 1848 à 1888. Bowen a abandonné tout ce qui l’aidait et le supportait en tant que missionnaire pour déménager dans un taudis et vivre comme les gens du pays où il se trouvait. Il a vécu une existence frugale, dans la pauvreté. Pourtant, à cause de ce choix, il a laissé derrière lui un témoignage de la vraie puissance qu’est le fait de vivre en Christ.
Ce saint homme a mis en garde contre un esprit de l’antéchrist à venir qu’il identifiait comme étant : « l’esprit de la société moderne. » D’après Bowen, cet esprit allait infiltrer l’église protestante avec la façon de penser, les méthodes et la morale de la société qui l’entoure.
Cet esprit de l’antéchrist continuerait son influence jusqu’à ce que la société et l’Église ne puissent plus être différenciées. Avec le temps, le monde perdrait sa haine pour l’Église de Christ et les vrais croyants. Il cesserait ses persécutions et l’Église serait aimée et acceptée dans le monde. Une fois que cela se produirait, écrivait Bowen, l’esprit de l’antéchrist serait assis sur le trône.
Il y a quelques années, quand les portes de l’Irak étaient sur le point d’être ouvertes aux organisations chrétiennes, le New York Times a écrit un article très critique. Il fallait s’y attendre de la part d’un journal libéral et laïque. Ils peuvent peut-être applaudir la distribution de nourriture en Irak, mais certainement pas la prédication de Christ.
L’article citait un érudit protestant qui était très critique vis-à -vis de toute l’opération. Il la dénonçait complètement, disant que l’Église devrait s’occuper de ses propres affaires. Il semblait réellement embarrassé que l’église évangélise. à‡a, c’est un état d’esprit du monde !
Plus nous nous approchons de la mission de Christ – annoncer l’Évangile comme Il nous l’a prescrit – plus nous serons méprisés par le monde.
NE RETOURNE PAS EN EGYPTE
by Gary Wilkerson | December 28, 2015
Abraham a accompli des exploits incroyables alors que Dieu le guidait dans la plénitude de sa bénédiction. Mais plus tard, quand les circonstances sont devenues difficiles, Abraham a perdu de vue la gloire de Dieu. Il s’est tourné vers ses propres ressources : » Il y eut une famine dans le pays ; et Abram descendit en Égypte pour y séjourner, car la famine était grande dans le pays » (Genèse 12:10).
L’histoire montre clairement que l’Égypte était le dernier endroit où Abraham aurait dû se rendre. Dans l’aventure, il a mis sa femme en danger. Il l’a perdue au profit d’un roi hostile pour un temps et il a menti et manipulé les choses pour se sauver lui-même. Cet homme avait placé toute sa confiance en Dieu jusqu’à ce moment. Pourquoi ne Lui a-t-il pas fait confiance pour l’aider à traverser cette difficulté ?
Peut-être que des choses similaires arrivent dans tes difficultés. Quand la vie devient difficile – dans tes finances, ta santé, ta famille – gardes-tu les yeux fixés sur la gloire de Dieu ? Si jamais tu « vas en Égypte » pour y chercher de l’aide dans de tels moments, tu sais à quel point cet effort sera inutile. Souvent, il complique même le problème, ajoutant honte et désespoir.
Ce que je veux dire c’est que notre séparation du monde ne vient pas de nos efforts ni de nos capacités. Elle vient grâce à une révélation de Dieu – et Sa gloire demeure en nous, même lors de nos épreuves. Regarde un peu le prophète Ésaïe. Quand il est entré dans le temple, il a vu la gloire de Dieu : « je vis le Seigneur assis sur un trône très élevé, et les pans de sa robe remplissaient le temple » (Ésaïe 6:1). Cette vision sainte a fait tomber Ésaïe face contre terre, humble et émerveillé : « Malheur à moi ! je suis perdu, car je suis un homme dont les lèvres sont impures, j’habite au milieu d’un peuple dont les lèvres sont impures, et mes yeux ont vu le Roi, l’Éternel des armées » (6:5).
A cet instant, Ésaïe a reconnu le fait que Dieu était différent, séparé des choses du monde. Le Seigneur lui a dit : « Je t’ai séparé pour accomplir mes plans. Je t’envoie prêcher Ma Parole à un peuple corrompu. Ils te résisteront mais tu seras capable de l’endurer car tu as vu Ma gloire. Quand ils se retourneront contre toi, tu n’auras pas besoin « d’aller en Égypte », parce que tu as vu la nature du Dieu qui t’a appelé. »
26 DECEMBRE
Un sacrifice coûteux
Offrons sans cesse un sacrifice de louange.
Lisons dans le livre des Proverbes un verset qui souligne l’importance de ce qui sort de notre bouche:
« La mort et la vie sont au pouvoir de la langue; quiconque l’aime en mangera les fruits. » (Proverbes 18:21)
Deux choses découlent de l’usage de notre langue: la mort et la vie. Si nous ronchonnons ou si nous sommes négatifs ou centrés sur nous-mêmes, notre langue suscitera la mort. Mais si nous sommes libérés de toute cette négativité et que nous marchons dans la louange et dans l’adoration de Dieu, notre langue suscitera la vie. En outre, quel que soit le fruit engendré par notre langue, qu’il soit doux ou amer, nous devrons le manger.
Revenons à notre verset modèle de la semaine. Je voudrais en souligner un point important supplémentaire. L’auteur dit:
« Par lui , offrons sans cesse à Dieu un sacrifice de louange, c’est-à -dire le fruit de lèvres qui confessent son nom. » (Hébreux 13:15)
Le terme de « sacrifice » est important dans ce verset. La louange est un sacrifice. Selon les principes des Ecritures, le sacrifice exige la mort. Dans les sacrifices de l’Ancien Testament, aucune chose n’était offerte à Dieu avant d’être passée par la mort. Nous comprenons donc que le sacrifice de la louange implique une mort, la mort du vieil homme. Le vieil homme ne peut pas louer Dieu comme il mérite d’être loué. La mort est nécessaire.
Je le répète, sachons que le sacrifice nous coûte quelque chose, ainsi donc, la louange a un prix. Permettez-moi de l’exprimer de cette façon: C’est lorsque nous en ressentons le moins l’envie que nous avons le plus besoin de louer Dieu. La louange ne peut pas dépendre de nos sentiments. C’est un sacrifice de notre esprit.
Merci Seigneur. Je te loue. Je proclame que la louange est un sacrifice, elle a un prix élevé, et que j’en ressente l’envie ou non, je louerai Dieu. J’offrirai sans cesse un sacrifice de louange. Amen.
SÉPARÉ DE BON CÅ’UR
by Gary Wilkerson | December 21, 2015
Abraham n’était ni chrétien ni juif. Pour autant qu’on le sache, il n’avait aucune histoire avec Dieu auparavant. Mais un jour, Dieu lui a ordonné : « Va-t-en de ton pays, de ta patrie, et de la maison de ton père, dans le pays que je te montrerai » (Genèse 12:1). Alors, Abraham a fait ses bagages et il est parti !
Nous admirons tous Abraham en tant que père de notre foi mais son histoire est assez étrange en réalité. Voilà un homme qui avait tout : richesse et héritage, une femme merveilleuse, un grand troupeau et des terres. Pourtant, de façon incroyable, quand une voix lui a dit : « Lève-toi et pars, » il l’a écoutée. Il s’est volontairement séparé de tout ce qu’il connaissait, et même des bonnes choses, pour suivre Dieu.
A présent, laissez-moi poser la question suivante à ceux d’entre-vous qui sont mariés : ne trouveriez-vous pas ça étrange si votre conjoint vous disait qu’une voix lui a dit d’abandonner son travail, sa maison et tout ce que vous possédez pour déménager dans un autre pays, sans aucune promesse de soutien financier ni de rentrée d’argent ? Même s’il vous dit l’avoir reçu de la part de Dieu ? Peut-être accepteriez-vous de partir – mais ne seriez-vous pas tentés d’appeler d’abord un psychiatre ?
Qu’est-ce qui a poussé Abraham à faire cela ? Qu’est-ce qui l’a rendu capable de se séparer aussi drastiquement ? Un regard à Étienne dans Actes 6 et 7 nous en donne un aperçu. Étienne était clairement mis à part pour servir Dieu, accomplissant des miracles et des prodiges dans le nom de Christ à l’époque de la première église. Pourtant, cela lui a attiré pas mal d’ennuis avec les responsables religieux. Alors qu’il se tenait devant eux, pour être jugé, il leur a prêché : « Hommes frères et pères, écoutez ! Le Dieu de gloire apparut à notre père Abraham, lorsqu’il était en Mésopotamie » (Actes 7:2).
En fait, Étienne leur disait : « Êtes-vous offensés par ma foi ? Et bien, tout a commencé lorsque notre père Abraham a abandonné derrière lui sa dépendance envers les choses de ce monde pour suivre Dieu. Une fois qu’il a eu contemplé la gloire du Seigneur, il s’est séparé de bon cœur de tout ce qu’il connaissait ! »
Certains de ceux qui lisent ceci savent de quoi Étienne parlait. Lorsque vous avez rencontré Christ pour la première fois, vous avez reconnu : « J’ai goûté à une chose telle que je n’en avais jamais goûté auparavant. Je n’avais jamais connu ce genre de joie. Je n’avais jamais expérimenté cette crainte respectueuse. Je sais, avec certitude, que je suis dans un lieu saint. »
Remplaçons nos craintes par les promesses du Seigneur -Daniel
Écrit par kriss de sion
L’inquiétude dans le cœur de l’homme l’accable, mais une bonne parole le réjouit. Proverbes 12:25. Qui de vous, par ses inquiétudes, peut ajouter une coudée à la durée de sa vie ? Luc 12.25.
L’inquiétude et les craintes peuvent envahir nos pensées ; elles sont là , prêtes à ressurgir et nous accabler. Elles produisent en nous des cogitations interminables, qui n’apportent rien de bon, bien au contraire !
Certaines sont en relation avec des épreuves passées ou bien que nous traversons ; elles nous font craindre une aggravation, voire le pire : la perte d’emploi, le divorce ou une maladie grave …
D’autres peuvent être irrationnelles, subjectives, imaginatives car sans fait réel. Elles peuvent fixer nos pensées, être le sujet de cogitations continuelles : la crainte d’avoir une grave maladie, de perdre ceux qu’on aime, d’être agressé, d’être abandonné, de mourir.
Et pourtant, nous savons que ce ne sont pas nos inquiétudes qui vont changer notre situation (voir Luc 12v25).
Alors comment faire pour combattre ces inquiétudes et ces craintes qui nous accablent et nous attristent ?
Nous devons les prendre à contre-pied, nous opposer à elles. Sur le même principe que pour combattre les ténèbres, on leur oppose la lumière ; pour combattre les mensonges, on leur oppose la vérité ! Mais qu’est-ce qui s’oppose aux inquiétudes et aux craintes ?
Proverbes 12v25 nous dit que » une bonne parole » va nous réjouir ! Oui, mais peut-être qu’aucune personne de notre entourage ne va nous adresser » cette bonne parole » pour réjouir notre cœur… Alors, nous avons un autre moyen pour recevoir cette bonne parole, allons la chercher dans la bible et proclamons-la à nous-mêmes !
Oui, » les meilleures paroles » que nous pouvons recevoir sont les promesses de la parole de Dieu. Voici cette opposition que nous pouvons dresser contre nos inquiétudes : les promesses de Dieu que nous proclamons et qui vont produire en nous la foi, l’espérance et la sérénité.
Nous pouvons appliquer ce principe non seulement pour nous-mêmes, mais aussi pour encourager et relever un(e) ami(e) : plutôt qu’apporter nos raisonnements humains, apportons-lui une promesse appropriée de la bible !
Je devance l’aurore et je crie ; j’espère en tes promesses. Je devance les veilles et j’ouvre les yeux, pour méditer ta parole. Psaume 119 :147
Le psalmiste nous précise » avant l’aurore « , c’est-à -dire très tôt le matin ; je médite la parole, afin d’orienter mes pensées et cette nouvelle journée.
En proclamant certains versets choisis dans la bible, ces promesses de Dieu vont remplir nos pensées. Il ne s’agit pas de répéter un verset machinalement, mais de le proclamer avec foi, de se l’approprier, de le vivre ! Il n’existe pas une inquiétude, une crainte, une peur qui ne trouve pas une réponse positive dans la bible. Dès le matin, cherchons cette promesse pour la proclamer, plusieurs fois dans la journée ! Ecrivons-la sur un papier ou sur notre téléphone portable pour la lire à tout instant !
Alors, nous allons ressentir la paix, la joie et l’espérance dans nos cœurs.
Je ne sais pas de quelle promesse de Dieu vous avez besoin en cet instant, mais en voici quelques-unes qui peuvent vous aider :
– … toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés, selon son dessein. Romains 8:28
– Car je rafraîchirai l’âme altérée, et je rassasierai toute âme languissante.Jérémie 31:25
– L’Eternel gardera ton départ et ton arrivée, dès maintenant et à jamais.Psaume 121:8
– Je me couche et je m’endors en paix, car toi seul, ô Eternel! tu me donnes la sécurité dans ma demeure.Psaume 4:9
– La prière fervente du juste a une grande efficace.Jacques 5v16
– Il a pris nos infirmités, et il s’est chargé de nos maladies.Matthieu 8v17
– Fais de l’Éternel tes délices, Et il te donnera ce que ton cœur désire. Psaumes 37v4
LE SEIGNEUR A PROMIS DE RESTAURER
by David Wilkerson | December 17, 2015
Il est vrai que le Roi David a payé de sévères conséquences pour son péché. En fait, il a prophétisé le jugement sur lui-même. Il a dit à Nathan que l’homme riche qui avait volé la brebis de l’homme pauvre devrait la rendre quatre fois (voir 2 Samuel 12:5-6). Et c’est exactement ce qui s’est produit dans la vie de David : le bébé que Bath-Schéba avait mis au monde est mort âgé seulement de quelques jours. Et trois des autres fils de David, Ammon, Absalom et Adonijah, ont vécu des morts tragiques et précoces. Donc, David a effectivement payé son péché avec quatre de ses propres brebis.
Mais la Bible montre clairement que, lorsque nous retournons au Seigneur avec une repentance sincère, venant du cœur, Dieu répond en apportant une réconciliation et une restauration absolues. Nous n’avons pas à finir comme Saül, nous enfonçant peu à peu dans la folie et la terreur. Nous n’avons pas non plus à « disparaître » de la vie, passant le temps qui nous est dévolu dans une honte silencieuse jusqu’à l’heure où le Seigneur nous appellera à Lui. Au contraire, le prophète Joël nous assure que Dieu intervient immédiatement quand nous revenons à Lui : « Déchirez vos cœurs… revenez à l’Éternel, votre Dieu ; Car il est compatissant et miséricordieux, Lent à la colère et riche en bonté, Et il se repent des maux qu’il envoie » (Joël 2:13).
De façon étonnante, Dieu nous donne alors cette promesse incroyable : « Je vous remplacerai les années Qu’ont dévorées la sauterelle…Vous mangerez et vous vous rassasierez, Et vous célébrerez le nom de l’Éternel, votre Dieu, Qui aura fait pour vous des prodiges ; Et mon peuple ne sera plus jamais dans la confusion » (Joël 2:25-26). Le Seigneur a promis de tout restaurer.
Comprends que, lorsque cette prophétie a été donnée, Dieu avait déjà prononcé son jugement sur Israël. Mais le peuple s’est repenti et Dieu a dit : « A présent, Je vais vous donner des choses merveilleuses. Je vais restaurer tout ce que le diable a volé. »
Bien-aimé, la tendre miséricorde de Dieu permet même au pire des pécheurs de dire : « Je ne suis pas un drogué. Je ne suis pas un alcoolique, Je ne suis pas adultère. Je suis un enfant du Dieu vivant, avec pour mon âme tous les droits qui viennent du Ciel. Je ne vis plus sous la condamnation parce que mon péché est complètement derrière moi. Et je n’ai plus à payer pour aucun de mes péchés passés, parce que Jésus a payé le prix pour moi. Bien plus, Il a dit qu’Il me rendrait tout ce qui a été perdu. »
16 DECEMBRE
Accomplir la volonté de Dieu – DPM
Montrons de la gratitude.
La reconnaissance est une façon d’exprimer la paix de Christ qui règne dans nos cœurs, elle est une expression de la parole de Christ dont la richesse demeure en nous. Rendre grâce est un principe qui devrait guider tous nos actes. (Lire Colossiens 3:15-17.) Lisons trois versets courts mais non moins importants, en commençant par 1 Thessaloniciens 5:16-18: « Soyez toujours joyeux. Priez sans cesse. Rendez grâces en toutes choses, car c’est à votre égard la volonté de Dieu en Jésus-Christ. » Ce verset contient trois instructions simples: être toujours joyeux, prier sans cesse et rendre grâce en toutes choses En ce qui concerne le fait de rendre grâce en toutes choses, Paul dit: « c’est à votre égard la volonté de Dieu en Jésus-Christ. » Lorsque nous ne rendons pas grâce, nous n’accomplissons pas la volonté de Dieu. En d’autres termes, nous sommes en dehors de sa volonté. Il est tellement important de comprendre cela!
La deuxième chose que je voulais dire à propos de la reconnaissance ou des actions de grâces, c’est qu’il s’agit d’une expression essentielle de la plénitude du Saint-Esprit Paul écrit: « N’éteignez pas l’Esprit » (verset 19). Voici ce qu’il a dit aux Ephésiens: « C’est pourquoi ne soyez pas inconsidérés, mais comprenez quelle est la volonté du Seigneur. Ne vous enivrez pas de vin: c’est de la débauche. Soyez, au contraire, remplis de l’Esprit » (Ephésiens 5:17-18).
Paul nous donne une instruction à la forme négative et une autre à la forme affirmative en ce qui concerne la volonté du Seigneur. Si nous ne comprenons pas ces principes concernant la volonté de Dieu, alors c’est que nous sommes inconsidérés. Les deux exhortations sont tout aussi valables l’une que l’autre. Il est impropre pour un chrétien d’être ivre de vin, mais il est tout aussi impropre pour lui de ne pas être rempli du Saint-Esprit. Parfois, en tant que personnes religieuses, nous nous focalisons tellement sur les choses à la forme négative (ne pas nous enivrer de vin) que nous oublions les choses à la forme affirmative (être remplis du Saint-Esprit) Nous avons besoin d’être remplis du Saint-Esprit.
Merci Seigneur, de tout ce que tu as fait pour moi. Je proclame qu’en rendant grâce, j’accomplis la volonté de Dieu et j’exprime la plénitude du Saint-Esprit. Je montrerai de la gratitude. Amen.
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Témoignages
Prêt à mourir
Alors que je parlais au cours d’une réunion d’étudiants, j’ ai fait une expérience qui montre que la religion ne satisfait pas, et que les hommes sont perdus sans Christ. Dans le groupe qui resta après la réunion, il y avait un jeune musulman qui s’approcha de moi en disant: « J’aimerais vous parler en privé ». Nous nous sommes installés dans un endroit tranquille et il me dit: « Je suis né dans une famille musulmane très pratiquante, mon père occupe une situation importante. Je suis venu ici étudier le cinéma et suivre des études universitaires. Je cherche Dieu depuis des années – mais sans succès. Il y a 6 mois, comme j’arrivais aux Etats-Unis, un ami docteur m’a donné un Nouveau Testament (Bible) et je l’ai lu. J’ai pris conscience que Jésus-Christ était bien le Dieu que je cherchais. Ce soir, pendant que vous parliez, c’était comme s’il frappait à la porte de mon coeur.
Je suis prêt à lui ouvrir, mais par contre, je crains les conséquences de cette décision. Il faudra que j’écrive à mon père, que je lui raconte ce que j’ai fait. Il me reniera, il cessera de m’envoyer de l’argent. Si je n’ai plus d’argent , je ne pourrai pas continuer mes études, mon visa d’étudiant ne pourra pas être renouvelé. Il faudra que je parte. Dans mon pays, il y a encore des musulmans très pieux qui tuent leurs concitoyens lorsqu’ils deviennent chrétiens. Si je reçois Christ ce soir, il me faudra me préparer à mourir. » Naturellement, il n’était pas question que je force une décision. L’heure était trop grave pour une intervention humaine. Je ne pouvais que prier et demander à Dieu d’achever l’oeuvre commencée dans son coeur. Voyez-vous, Dieu ne nous appelle pas à « forcer » des décisions pour Jésus-Christ. Nous sommes des instruments humains par qui le Saint-esprit fait son oeuvre. je priais…… Les minutes passèrent, 30 peut-être? Ce fut le jeune musulman qui rompit le silence en disant: « Je suis prêt ». C’était comme si ayant calculé la dépense, il avait dit: « Je suis prêt à mourir, si c’est nécessaire, mais je veux connaître Christ, avoir mes péchés pardonnés et l’assurance de la vie éternelle ». Bien que ce jeune homme ait été en contact avec une religion toute sa vie, il comprit à cet instant que les hommes sont perdus en-dehors de JESUS-CHRIST. Nous avons pleuré ensemble et nous nous sommes agenouillés pour prier.
Quelle expérience de constater que pour ce jeune homme, Christ devenait si important qu’il était prêt à donner sa vie si nécessaire, afin de Le connaître comme son Sauveur. Plus tard, je l’ai revu: il avait enduré bien des souffrances et des persécutions de la part de ses camarades musulmans. Je lui ai demandé: « Regrettez-vous d’avoir confié votre vie à Christ? ». Il m’a répondu qu’il ne regrettait rien. Son père l’avait renié, il avait perdu son soutien financier. Il devait quitter l’université et ne pouvait pas terminer ses études comme il l’avait souhaité. Malgré tous mes efforts, je n’ ai pas réussi à rester en contact avec lui, et j’ ignore où il se trouve maintenant. Sans doute est-il rentré dans son pays, où il a peut-être trouvé la mort.
Si cela est, il n’est pas mort en vain. Mon engagement au service de Christ, et celui de beaucoup d’autres ont tété affermis par la foi de ce jeune homme. La Parole de Dieu est très claire: « Il n’y a de salut en aucun autre; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné aux hommes par lequel nous devions être sauvés ». Alors vous voyez comment une personne est prête à s’opposer à une famille tout entière parce qu’il veut accepter JESUS. Je pense qu’il s’est rendu compte de l’importance qu’avait JESUS dans la vie d’une personne et c’est en lisant la Bible qu’il a réalisé cette importance Sachez que s’il a été tué dans son pays, au moins il sera sauvé, car Dieu lui donnera une très bonne place au ciel, parce qu’il a perdu sa vie pour JESUS. Or la Bible dit: » Celui qui cherche à conserver sa vie la perdra, mais celui qui perd sa vie à cause de JESUS la sauvera. »
Ce témoignage a été écrit par BILL BRIGHT qui est lui-même le pasteur dans ce récit. Il est un grand homme de Dieu.
http://www.adoredieu.com/texte/textes-temoignages/2589-pret-a-mourrir-inconnu
LES VALEURS DU ROYAUME
by Gary Wilkerson | December 14, 2015
Jusqu’à récemment, la séparation était un trait caractéristique de l’Église de Christ. Être à part était un commandement clair de la Parole de Dieu et une part importante de l’appel de chaque chrétien. Mais aujourd’hui, il semble y avoir très peu de distinctions entre l’Église et le monde. C’est tragique parce que Dieu a mis Son peuple à part pour accomplir les plans de Son royaume – pour être des instruments de changement avec comme but de faire une différence dans le monde.
Un grand nombre d’églises, aujourd’hui, cherchent à apaiser le monde. Ils font des compromis sur l’évangile de Christ et, en conséquence, un grand nombre de chrétiens se permettent de se conformer aux valeurs du monde plutôt qu’à celles de Jésus.
Cela ne peut pas plaire à Dieu. Lorsque les âmes de ce monde affrontent des épreuves sérieuses et qu’ils sont dans la confusion, sans raison d’espérer, l’Église est sensée incarner la différence qu’ils recherchent. Nos vies doivent se distinguer par l’espérance, la joie, la paix, l’amour et le don de soi. Mais un grand nombre de serviteurs, aujourd’hui, ont effacé ces distinctions en rampant vers une ligne de compromis – et parfois, ils vont jusqu’à franchir cette ligne. En conséquence, les perdus et ceux qui souffrent voient la vie des chrétiens comme étant semblable à la leur.
Jésus a parlé de ces choses lorsqu’Il a dit à Ses disciples à peu de chose près : « Le monde Me voit d’une certaine façon mais je Me suis pleinement révélé à vous. Vous avez vu que la paix que J’offre n’est pas reçue par le monde. Je vous ai démontré les valeurs de Mon royaume – comment vivre, croire, marcher et servir le Père. Ces valeurs sont drastiquement opposées à celles du monde et vous devez vivre selon les valeurs de Mon royaume. Si Satan n’a rien en Moi, il ne doit rien avoir en vous non plus » (voir Jean 14:27).
Quand Dieu parle de séparation du monde, Il ne veut pas dire que nous devons en sortir. La séparation qu’Il désire prend place dans le cœur. Elle se reflète dans nos désirs, nos choix, notre style de vie. Pour une génération plus ancienne de chrétiens, être séparé signifie ne pas boire, ne pas fumer, ne pas sortir faire la fête. Il s’agit de choses extérieures mais Dieu nous demande bien plus. Il demande : « Ton cœur est-il toujours lié au monde d’une façon qui Me met à l’écart ? Est-ce que tu tires ta paix et ton estime de toi de ce que le monde dit de toi, ou de la façon dont Moi Je te vois ? »
PUISSANT GUERRIER
by Jim Cymbala | December 12, 2015
Parmi les puissants guerriers que j’ai eu le privilège de connaître, je compte Delores Bonner, une afro-américaine qui vit seule dans Bedford-Stuyvesant, un des quartiers les plus difficiles de Brooklyn. Elle a été auxiliaire médicale au Maimonides Hospital pendant plus de trente ans. Carol et moi l’avons rencontrée une année à l’époque de Noël alors que nous apportions des cadeaux à des enfants pauvres de notre congrégation.
Delores avait son appartement plein à craquer ce jour-là – mais tous ces enfants n’étaient pas à elle. Elle les avait amenés d’un foyer voisin pour qu’ils puissent nous rencontrer. Leur mère était trop consumée par ses propres problèmes pour être présente à une telle occasion.
« Comment avez-vous rencontré ces enfants ? » ai-je demandé.
Elle a humblement marmonné quelque chose qui ne répondait pas réellement à ma question. C’est seulement par d’autres personnes que j’ai appris que, juste après sa conversion, lors d’une réunion de prière à l’église en 1982, elle a ressenti un appel pour les enfants de la rue et des foyers. Dieu a touché son cœur et elle a commencé à amener les enfants à l’école du dimanche. Au début, elle les entassait dans des taxis. Plus tard, quelqu’un a appris ce qu’elle faisait et lui a acheté une voiture. Aujourd’hui, elle a un mini-bus pour pouvoir transporter d’avantage d’enfants et d’adolescents afin qu’ils puissent entendre l’évangile.
Ceci n’est qu’une partie de l’histoire de Delores. Le dimanche, entre les services, elle supervise l’équipe qui s’occupe de nettoyer l’église pour qu’elle soit prête pour la foule suivante. Le samedi, elle sort avec l’équipe d’évangélisation, frappant aux portes des différentes maisons pour partager l’amour de Dieu. Durant les jours de la semaine, je la trouve à genoux à l’étage avec le groupe de prière, intercédant pour les besoins des gens. Elle a fait la même chose lors d’un voyage missionnaire au Pérou où elle s’est jointe d’autres pour en appeler à Dieu en ma faveur tandis que je prêchais à une réunion en plein air.
Delores est une femme d’une tranquille détermination, du genre dont il nous est parlé dans 1 Chroniques 12:18, où il est dit : « Amasaï, l’un des principaux officiers, fut revêtu de l’esprit, et dit : Nous sommes à toi, David, et avec toi, fils d’Isaï ! Paix, paix à toi, et paix à ceux qui te secourent, car ton Dieu t’a secouru ! » Une fois encore, la fusion des efforts divins et humains se manifeste clairement.
Jim Cymbala a ouvert l’église de Brooklyn Tabernacle avec moins de vingt membres dans un petit immeuble délabré dans un quartier difficile. Étant né à Brooklyn, il est un ami de longue date à la fois de David et de Gary Wilkerson et un intervenant fréquent lors des conférences d’Expect Church Leadership organisées par World Challenge dans le monde entier.
Pensée du jour de Eric Célérier 12 décembre.
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MARCHER DANS LA LUMIÈRE
by David Wilkerson | December 10, 2015
Il nous a été dit que Christ est la lumière du monde « afin que tous croient grâce à lui. » (Jean 1:7 BFC). Mais nous lisons ensuite : « La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont point reçue… Elle est venue chez les siens, et les siens ne l’ont point reçue » (1:5,11).
L’incrédulité a toujours peiné le cœur de Jésus. Lorsque notre Seigneur est venu sur Terre dans un corps de chair, Il a apporté une lumière incroyable dans le monde. Et cette lumière était sensée ouvrir les yeux des hommes. Mais malgré la formidable démonstration de lumière de Jésus, l’Écriture nous parle d’ incroyables exemples d’incrédulité face à cette lumière.
Nous ne trouvons peut-être dans aucun autre chapitre de la Bible autant de preuves de la nature divine de Jésus que dans Jean 12. Nous y voyons un homme qui a été ressuscité des morts par un ordre de Jésus. Nous y voyons l’accomplissement de siècles de prophéties connues de tous les israélites. Et nous entendons littéralement une voix parler du haut des Cieux.
Même après avoir été témoins de ces merveilles, le peuple a eu l’audace de remettre Jésus en question. « La foule lui répondit : Nous avons appris par la loi que le Christ demeure éternellement ; comment donc dis-tu : Il faut que le Fils de l’homme soit élevé ? » (12:34). Ils disaient : « tu proclames que tu vas être crucifié. Mais nous savons que le véritable Messie doit vivre éternellement. »
Puis, le peuple a posé une question qui a réellement stupéfié Jésus : « Qui est ce Fils de l’homme ? » (12:34). Christ a dû être consterné face à leur aveuglement. En fait, Il n’a même pas essayé de répondre à la question. Au lieu de cela, Il les a mis en garde : « Marchez, pendant que vous avez la lumière, afin que les ténèbres ne vous surprennent point…Pendant que vous avez la lumière, croyez en la lumière » (12:35-36).
La lumière a brillé dans leurs ténèbres mais leurs esprits enténébrés ne l’ont pas reçue (voir 1:12). Le terme grec utilisé pour reçu signifie : « s’en saisir, s’en emparer, posséder la vérité, produire vie et puissance. » Ces gens avaient reçu une vérité capable de changer leur vie, mais ils ne s’en sont pas saisis, ils ne s’en sont pas emparés. Ils n’ont pas compris la vérité de Christ parce qu’ils ne cherchaient pas à la posséder.
« Jésus dit ces choses, puis il s’en alla, et se cacha loin d’eux » (12:36). Dans ce verset, nous voyons l’attitude de Dieu face à l’incrédulité. En effet, d’un bout à l’autre de la Bible, Dieu n’a jamais eu de sympathie ni de pitié pour l’incrédulité. Et c’est vrai aussi dans cette scène. Jésus est simplement parti, quittant la foule incrédule. En conséquence, ces gens allaient quitter Jérusalem dans les ténèbres, parce qu’ils n’ont pas marché dans la lumière qu’ils avaient reçue.
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UN GRAND REJET DE DIEU
by David Wilkerson | December 9, 2015
Aujourd’hui, il y a un grand éloignement de la foi et de la confiance en Dieu. Paul a donné des avertissements à ce sujet : « Que personne ne vous égare d’aucune façon. car ce jour [le retour de Christ] n’arrivera pas avant qu’éclate le grand Rejet de Dieu, » (2Thessaloniciens 2:3 SEM).
Dans l’Ancien Testament, Le Seigneur nous donne un exemple de ce qui arrive à ceux qui s’éloignent de la foi en la puissance de Dieu à leur égard. Dans 2 Chroniques 14, le roi Asa faisait face à une armée très nombreuse d’Éthiopiens. Mais le roi avait une grande foi : « Asa invoqua l’Éternel, son Dieu, et dit : Éternel, toi seul peux venir en aide au faible comme au fort: viens à notre aide, Éternel, notre Dieu ! car c’est sur toi que nous nous appuyons, et nous sommes venus en ton nom contre cette multitude. Éternel, tu es notre Dieu » (2 Chroniques 14:11).
Que s’est-il produit ensuite : « L’Éternel frappa les Éthiopiens devant Asa » (14:12). Quelle grande foi était celle d’Asa ! Pendant des années après cela, « Il n’y eut point de guerre jusqu’à la trente-cinquième année du règne d’Asa » (15:19). Pendant des années, Asa a marché avec Dieu dans la foi et cela a attiré la faveur de Dieu sur Juda. Une grande paix a régné sur le pays et cette paix est devenue un témoignage pour le monde. Bientôt, des gens affamés venant des nations voisines sont venus en nombre en Juda, parce qu’ils savaient qu’Asa marchait avec Dieu.
Mais dans la trente-sixième année de son règne, Asa a affronté une nouvelle crise. Le roi d’Israël s’est levé contre Juda, prenant Rama pour essayer de couper tout commerce de et vers Jérusalem. Le plan était d’affamer Juda jusqu’à ce qu’il se soumette. Asa était totalement vulnérable mais, cette fois, il ne s’est pas appuyé sur le Seigneur. Au lieu de prier Dieu pour obtenir direction et conseil, il s’est tourné vers le roi de Syrie. En échange de l’aide de la Syrie, Asa leur a livré le trésor d’Israël, vidant toute la nation de son or et de son argent.
Juda a été délivré de son ennemi, mais pas par le Seigneur. Cette gloire est allée à l’armée étrangère de Syrie – et le témoignage de la puissance de Dieu que Juda rendait au monde a disparu. Un prophète du pays est venu voir Asa avec ces paroles cinglantes : « Parce que tu t’es appuyé sur le roi de Syrie et que tu ne t’es pas appuyé sur l’Éternel, ton Dieu… Car l’Éternel étend ses regards sur toute la terre, pour soutenir ceux dont le cœur est tout entier à lui. Tu as agi en insensé dans cette affaire, alors dès à présent tu auras des guerres » (16:7,9).
Je suis convaincu du fait que de nombreux chrétiens, aujourd’hui, sont troublés pour les mêmes raisons qu’Asa. Une lutte a lieu dans leur âme parce qu’ils ont échangé leur foi contre une confiance en eux-mêmes. Mais le fait est qu’il n’est pas possible pour un serviteur de Jésus d’avoir foi en autre chose que Jésus sans avoir des problèmes.
LA FIDÉLITÉ QUOTIDIENNE DE DIEU
by David Wilkerson | December 8, 2015
En ce moment, ta vie te semble peut-être comme un bateau au beau milieu d’une tempête, ta situation te parait au-delà de tout espoir. La tempête qui fait rage autour de toi peut être plus effrayante que toutes celles que tu as connues jusqu’à présent. Mais Il est toujours Dieu, et tu as quelqu’un de plus grand que Salomon présent à tes côtés. Il est le Maître de toutes les tempêtes et Il va utiliser cette tempête pour t’éprouver. Il permet cette crise pour voir ce qui se trouve dans ton cœur.
Tu penses peut-être : « Mais, et si mon bateau coule vraiment ? Que ce passera-t-il alors ? » Regarde l’exemple de Paul dans le livre des Actes. Son bateau a coulé mais il n’a pas perdu la vie. En fait, il s’est accroché à la Parole de Dieu qui lui avait été adressée au milieu de cette tempête : « Le bateau va couler, mais je vais te donner la vie de tous ceux qui sont à bord. » Quand la tempête s’est arrêtée, Dieu a été glorifié pour sa fidélité. Et de grands miracles ont suivi, accompagnés d’un réveil incroyable (voir Actes 28:1-10).
Oui, le Seigneur permettra peut-être que tu aies à endurer des choses qui semblent absolument désastreuses. Mais tu survivras – et ta foi également – si tu Lui fais confiance. Ton bateau peut couler mais Dieu te donnera la force de nager jusqu’au rivage, comme Il l’a fait pour Paul. Tout ce que tu peux perdre en route, ce sont des choses matérielles et Dieu peut aisément remplacer ces choses. Il possède des bateaux meilleurs et plus gros et Il est capable de te bénir avec plus que tout ce que tu as perdu. « Remets ton sort à l’Éternel, et Il te soutiendra, Il ne laissera jamais chanceler le juste » (Psaumes 55:22).
Je dois admettre que, lorsque je lis les reproches de Jésus aux disciples, je pense : « Seigneur, ce n’est pas juste.Je reçois aujourd’hui même des lettres de gens qui affrontent leurs propres terribles épreuves. Ils perdent leur maison, leur travail, leurs bien-aimés. Comment peux-tu t’attendre à ce qu’ils restent pleins de foi ? »
Mais le Saint-Esprit me rappelle alors certains des quartiers pauvres que j’ai visités. J’ai vu des gens vivant dans des cabanes et dormant sur un sol crasseux, pourtant ils ont une joie dont je n’ai jamais été témoin ailleurs. Ils se réjouissent dans la fidélité quotidienne de Dieu à leur égard et Il fait abonder leur foi, malgré toutes leurs épreuves.
SÉPARATION
by Gary Wilkerson | December 7, 2015
La nuit juste avant Sa crucifixion, lors du Dernier Repas, Jésus a dit à Ses disciples : « Encore un peu de temps, et le monde ne me verra plus ; mais vous, vous me verrez » (Jean 14:19). Quelle déclaration intéressante de la part de Jésus alors qu’Il savait que les disciples ne la comprendraient pas. L’un d’eux a demandé : « Seigneur, d’où vient que tu te feras connaître à nous, et non au monde ? » (14:22).
Évidemment, Jésus avait à l’esprit une leçon. Il a répondu : « Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole, et mon Père l’aimera ; nous viendrons à lui, et nous ferons notre demeure chez lui… Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trouble point, et ne s’alarme point…Et maintenant je vous ai dit ces choses avant qu’elles arrivent, afin que, lorsqu’elles arriveront, vous croyiez. Je ne parlerai plus guère avec vous ; car le prince de ce monde vient. Il n’a rien en moi ; mais afin que le monde sache que j’aime le Père, et que j’agis selon l’ordre que le Père m’a donné, levez-vous, partons d’ici » (14:23,27,29-31).
J’ai un peu raccourci la réponse de Jésus ici afin de me focaliser sur un thème qu’Il développe dans tout ce passage. Ce thème est la séparation. Dans ces quelques versets, Christ fait trois distinctions claires entre Son royaume et le monde : « le monde ne me verra plus ; mais vous, vous me verrez » (14:19). » Je ne vous donne pas comme le monde donne » (14:27). « le prince du monde vient. Il n’a rien en moi » (14:30).
Pourquoi Jésus fait-Il ces distinctions devant Ses serviteurs ? Cela semble important pour Lui que nous puissions voir la division claire entre ces choses. Le fait est que Dieu établit une telle division dans toute la Bible. Lors de la Création, Il a séparé la lumière des ténèbres et le jour de la nuit. Il a séparé Israël des autres nations. Dans le Nouveau Testament, Il ordonne à Son Église : « Sortez du milieu d’eux, et séparez-vous. » Et, lors du Jugement, Il séparera les brebis des boucs. Dans toute Sa Parole, Dieu trace constamment des lignes de division qui nous disent clairement : « ça, c’est une chose et ceci en est une autre. »
4Décembre
PRÉPAREZ-VOUS POUR LA VICTOIRE !
Chaque matin nous devons placer notre attente en Dieu, malgré nos sentiments.
En effet, nos sentiments sont parfois trompeurs. C’est la raison pour laquelle Jérémie nous dit : » Le cœur est tortueux plus que tout, et il est incurable. Qui peut le connaître ? »
Voilà pourquoi nous devons utiliser notre foi dans la bonne direction. Car il est possible de la placer dans la mauvaise direction.
La foi, en réalité, c’est la pensée révélée de l’Esprit de Dieu, qui nous permet d’opérer et de dominer sur le temps, l’espace et la matière. C’est l’habileté divine donnée à l’homme de voir au-delà du naturel.
Plaçons notre foi dans les promesses de Dieu dès le lever du soleil car Dieu a de grandes choses préparées pour nous.
Le matin, au lieu de nous préparer pour la défaite, préparons-nous pour la victoire.
Dites ceci : » Aujourd’hui je me lève et j’ai la victoire. Ce sera un grand jour. Quelque chose de bon va m’arriver. La faveur de Dieu est sur mon avenir, et je m’attends à de nouvelles opportunités, des connexions divines, et des percées surnaturelles. «
Si nous voulons être dans la joie, nous devons en faire le choix volontaire. Nous ne pouvons pas subir les journées sans les influencer. Nous devons plutôt décider du genre de journée que nous voulons avoir.
Nous devons non seulement nous préparer pour la victoire le matin, mais demeurer dans un état de victoire durant toute notre journée, jusqu’au coucher du soleil.
Le plus grand combat que l’enfant de Dieu doit livrer est celui de ses pensées !
Voilà pourquoi Paul nous dit : » De toute votre pensée, tendez vers les réalités d’en haut, et non vers celles qui appartiennent à la terre. » Colossiens 3 : 2 (Bible du Semeur)
Nous pouvons être certains d’une chose : en ce jour, Christ a déjà vaincu l’ennemi de nos âmes, ce qui nous permet d’entamer cette journée avec une attitude de vainqueur et non de vaincu…
Nous ne devons pas permettre aux circonstances ni même à quelqu’un de décider de notre joie !
Comme David le dit bien : » l’allégresse vient le matin (…) « . Psaume 30 : 5
Dites avec moi : » Merci Seigneur pour cette fraîche livraison de joie qui me permet de marcher dans la victoire aujourd’hui et de saisir ma destinée en TOI. Je ne vais pas me focaliser sur mes problèmes et sur mes erreurs, mais je choisis de faire de ce jour, un jour d’allégresse. »
http://www.enseignemoi.com/mathieu-turpin-24348/video/preparez-vous-pour-la-victoire-41591.html
LA BATAILLE CONCERNE UNIQUEMENT LA FOI
by David Wilkerson | December 3, 2015
La menace du diable contre l’Église aujourd’hui va bien au-delà du flot d’immondices déversé sur la Terre. Elle va au-delà du matérialisme, des addictions ou des séductions intenses. Notre bataille concerne la foi. Plus tu disposes ton cœur à rechercher Jésus, plus les attaques de Satan contre ta foi deviennent vicieuses.
Ces derniers mois, j’ai entendu des confessions de la part de saints parlant de terribles attaques contre leur esprit. Ils sont assaillis de flèches de doute et de questions harcelantes au sujet de la fidélité de Dieu. Certains vont simplement de l’avant en titubant, vacillant dans leur foi, pensant : « Je ne sais pas si je peux continuer ainsi. »
Il y a eu cette lettre venant d’une chère soeur de 81 ans qui a écrit : « Mon mari souffre d’un cancer des os, notre fils se meurt du SIDA et je suis peu à peu consumée par le diabète. » Tandis que je lisais tout ce que cette famille endurait, j’ai secoué la tête, me demandant : « Comment peut-elle garder sa joie ? C’est trop de malheurs à supporter. Sûrement, Dieu va lui donner un peu de répit à cause de sa foi. »
Et puis j’ai lu le dernier paragraphe de sa lettre : « Malgré tout, Dieu est fidèle. Il n’a jamais manqué à un seul mot de ce qu’Il nous avait promis. Nous avons abandonné notre fils dans les mains de Jésus. Et à présent, nous attendons le jour où nous verrons notre Seigneur béni, face à face. »
Oui, la bataille concerne uniquement la foi. Nous le voyons illustré dans le chapitre 8 de l’évangile de Marc, quand Jésus vient juste de nourrir 4000 personnes avec sept pains et quelques poissons. Après cela, Il est monté dans un bateau avec Ses disciples et a navigué vers l’autre rive.
« Les disciples avaient oublié de prendre des pains ; ils n’en avaient qu’un seul avec eux dans la barque. Jésus leur fit cette recommandation : Gardez-vous avec soin du levain des pharisiens et du levain d’Hérode. Les disciples raisonnaient entre eux, et disaient : C’est parce que nous n’avons pas de pains. Jésus, l’ayant connu, leur dit : Pourquoi raisonnez-vous sur ce que vous n’avez pas de pains ? Êtes-vous encore sans intelligence, et ne comprenez-vous pas ? (8-18) Avez-vous le cœur endurci ? Ayant des yeux, ne voyez-vous pas ? Ayant des oreilles, n’entendez-vous pas ? Et n’avez-vous point de mémoire ? Quand j’ai rompu les cinq pains pour les cinq mille hommes, combien de paniers pleins de morceaux avez-vous emportés ? Douze, lui répondirent-ils. Et quand j’ai rompu les sept pains pour les quatre mille hommes, combien de corbeilles pleines de morceaux avez-vous emportées ? Sept, répondirent-ils. Et il leur dit : Ne comprenez-vous pas encore ? » (Marc 8:14-21).
ENIGMES OBSCURES
by David Wilkerson | December 2, 2015
Dans Marc 4:2, nous lisons : « Il leur enseigna beaucoup de choses en paraboles. » Imagine ce qui a dû se passer pour la plupart des gens de cette foule après qu’ils furent retournés à la maison. Les voisins ont dû s’attrouper autour d’eux, impatients d’entendre ce que Jésus avait dit : « Quel message a-t-Il apporté ? Dites-nous tout ce que vous avez appris. » Ceux qui L’ont entendu parler ont peut-être été capables de répéter Ses paraboles mais leurs paroles ont dû être mortes, sans vie, sans impact et sans puissance pour transformer les vies.
Je crois que la même chose se passe dans l’Église de Christ aujourd’hui. La parole que l’on entend, prêchée du haut de la chaire, n’est que lettre morte, sans révélation du Saint-Esprit ni puissance pour délivrer du péché. Alors, quand les gens retournent à la maison, nombre d’entre eux se contentent de répéter les paroles qu’ils ont entendues, sans la vie de l’Esprit. Quel contraste par rapport aux disciples affamés et aux quelques personnes qui sont restées pour suivre Christ dans cette scène. Ces personnes représentent tous ceux qui ont faim de la Parole de Dieu et qui suivront Jésus, quel qu’en soit le prix, pour comprendre. Ils constituent la « Compagnie de la Reine de Saba », des serviteurs qui désirent une révélation de la part de Christ pour transformer leur vie.
Comment Jésus a-t-Il répondu à leur recherche ? Il a dit : « C’est à vous qu’a été donné le mystère du royaume de Dieu ; mais pour ceux qui sont dehors, tout se passe en paraboles » (Marc 4:11). Le mot grec utilisé pour mystère signifie ici secrets. Pour résumer, Christ révèle Ses secrets uniquement à ceux qui ont faim d’une vérité changeant la vie. Il dit : « Si vous voulez des réponses à vos questions difficiles, recherchez-Moi, passez du temps avec Moi. Je vous révélerai Ma Parole et je vous montrerai une vérité que d’autres ne voient pas. »
Alors qui sont « ceux qui sont dehors » (Marc 4:11) ? Jésus se réfère aux multitudes qui ne veulent pas s’attendre à Lui. Ils ne veulent pas renoncer à leur confort pour faire ce qui nécessaire pour exercer leur oreille à entendre Sa voix. Ils viennent peut-être à l’église régulièrement et recherchent le Seigneur pour répondre à tous leurs besoins humains, mais ils ne sont pas intéressés par le fait de connaître Sa voix, de Le connaître au-delà de Ses capacités à pourvoir à leurs besoins. Sa vérité libératrice reste un sujet incompréhensible pour eux, une série d’énigmes obscures.
28 NOVEMBRE
CE QUE CELA IMPLIQUE DE DEMEURER EN CHRIST
by Gary Wilkerson | November 30, 2015
La grâce de Dieu ne fait pas que nous sauver : elle nous enseigne aussi.
« Car la grâce de Dieu, source de salut pour tous les hommes, a été manifestée » (Tite 2:11). Quelle bonne nouvelle ! Paul exalte la grâce glorieuse de Dieu, qui nous sauve. Et c’est la fin de l’histoire, n’est-ce pas ? Non, ce n’est pas la fin. Paul ajoute aussitôt que cette même grâce « nous enseigne à renoncer à l’impiété » (2:12).
Paul décrit ici ce que cela signifie de demeurer en Christ. Cela implique de « renoncer à l’impiété et aux convoitises mondaines, et de vivre dans le siècle présent selon la sagesse, la justice et la piété » (2:12). En d’autres termes, la grâce de Dieu ne nous donne pas seulement la vie éternelle, mais également une vie abondante dès maintenant, aujourd’hui. La part qui nous incombe, demeurer en Christ, mène à une vie bénie, sainte et remplie de paix.
Mais Paul ne s’arrête pas là . Il donne des instructions fermes à Tite : « Dis ces choses, exhorte, et reprends, avec une pleine autorité » (2:15). Souviens-toi que le sujet de Paul dans ce passage est la grâce. Il fait le constat suivant : « Quand la grâce est prêchée mais qu’elle ne nous enseigne pas à renoncer à l’impiété, il manque quelque chose. » Si nous voulons servir Jésus, nous ne pouvons pas échapper au fait d’être corrigés, que cela vienne de la Parole de Dieu ou de nos amis. Mais il nous a également été promis ceci, au sujet de l’émondage de Dieu : « il produit plus tard pour ceux qui ont été ainsi [enseignés] un fruit paisible de justice » (Hébreux 12:11).
Son émondage est puissant – à la fois en souffrance et en fruits glorieux. Manques-tu de paix ? T’es-tu éloigné du Cep, ta source de vie, pour puiser à d’autres sources ? Demande à Dieu d’émonder ton cœur. Il coupera, nettoiera et ôtera les choses qui n’ont pas leur place et lorsqu’Il aura fini, l’arbre glorieux qui était dans ton jardin aura peut-être l’air de n’être pas d’avantage qu’un moignon. Mais ce qui poussera de ce moignon sera du fruit tel que tu ne l’as jamais imaginé – quelque chose que tu n’aurais pas pu produire par toi-même.
Pourquoi une telle lame tranchante est-elle nécessaire dans cette partie de l’enseignement de Jésus ? Il explique : « Je vous ai dit ces choses, afin que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite » (Jean 15:11). « Parfaite » implique profonde, complète, puissante. Quelle parole belle et véritable Il a donné à Ses disciples lors de leurs adieux – et ces paroles sont une manne pour nous aujourd’hui. La taille et l’émondage de Dieu produisent de la joie – une joie qui vient de la main du maître vigneron qui nous aime.
ABRAHAM ET LA FAMINE SPIRITUELLE
by Claude Houde | November 28, 2015
La famine allait en empirant, alors Abraham a commencé à s’éloigner doucement de son autel. Regarde-le bien, parce que Abraham, c’est toi et moi à un moment où à un autre de notre marche chrétienne. Tu dis : « J’ai perdu quelque chose : ma passion pour la prière, ma paix, mon adoration, ma joie, mon zèle pour Sa maison, ma bonté, ma générosité, ma capacité à être touché par les besoins des gens autour de moi ou au loin. » Abraham a perdu son autel parce qu’il y avait une famine.
Qu’est-ce que la famine ? La famine, c’est une série de coups violents, une blessure après l’autre. C’est lorsque nous traversons des temps de déception et que nous essayons bravement de continuer comme si tout allait bien. Abraham avait perdu son objectif, sa vision. Écoute-le réfléchir à l’idée : « afin que j’aille bien, qu’on melaisse tranquille, que ma vie soit épargnée » (voir Genèse 12:10-13).
Abraham mourait lentement dans les griffes d’une famine spirituelle. Il perdait non seulement sa ferveur et son but mais aussi son privilège et sa foi. L’homme qui avait été appelé la source des bénédictions a commencé à rejeter de façon tragique ce qui l’avait rendu grand : la foi même qui avait attiré la faveur de Dieu sur lui et à travers lui pour toucher et bénir les autres.
Et la maison de Pharaon a été frappée de grandes plaies à cause d’Abraham et de Sarah. Pharaon a dit : « Pourquoi m’as-tu menti et as-tu attiré ces plaies sur ma maison ? » (voir Genèse 12:17-18). Abraham n’était plus une source de joie et de respect. En fait, il était devenu quelqu’un qui attirait la honte et la douleur. Il avait complètement perdu sa foi et sa confiance en Dieu.
Approche-toi, regarde-le bien. Il était tourmenté, effrayé et son héritage spirituel était en danger. Tandis que nous nous agenouillons à ses côtés, nous réalisons pourquoi il était considéré comme le père de la foi. Il n’était pas un modèle parce qu’il était sans tache ni péché, ni parce que sa vie a été une succession ininterrompue d’exploits, de sagesse et de perfection immaculée. La Bible ne traite pas son péché à la légère et ne le justifie en aucune façon. Mais Abraham a un message pour nous tous simplement parce qu’il a su comment reconstruire son autel et retrouver Dieu. » Il dirigea ses marches… jusqu’au lieu où était sa tente au commencement,… au lieu où était l’autel qu’il avait fait précédemment. Et là , Abram invoqua le nom de l’Éternel » (Genèse 13:3-4).
Claude Houde, pasteur de l’église Nouvelle Vie à Montréal, au Canada, intervient régulièrement dans les conférences de Expect Church Leadership organisées par World Challenge dans le monde entier. Sous sa direction, l’église Nouvelle Vie est passée d’une poignée de gens à plus de 3500 dans une région du Canada qui compte peu d’églises protestantes en expansion.
Descendre du trône
DPM
Veillons les uns sur les autres.
En relation avec le fait de désirer nous servir les uns les autres, je voudrais lire un autre passage de l’apôtre Paul, qu’il adresse aux chrétiens de Corinthe. Par sa culture, Paul était un Juif orthodoxe d’observance stricte. Il était Pharisien et il était qualifié pour être rabbin. Sa notion de la justice l’avait amené à se séparer des autres gens et même à les considérer comme inférieurs ou à les mépriser.
Cependant, lorsqu’il a rencontré Jésus, sa nature a subi la plus merveilleuse des transformations. N’oubliez pas que les habitants de Corinthe étaient essentiellement des rebuts de l’humanité. Dans son épître, Paul dit que parmi eux se trouvaient d’anciens homosexuels, des prostituées, des alcooliques et de grossiers personnages. Ils n’étaient pas précisément des gens de la meilleure engeance. Corinthe était l’un des ports maritimes principaux de l’ancien monde et comme nombre de ports maritimes, la ville était remplie de ces sortes de gens.
Pourtant, voici une déclaration de Paul des plus étonnantes à leur encontre: « Nous ne nous prêchons pas nous-mêmes; c’est Jésus-Christ le Seigneur que nous prêchons, et nous nous disons vos serviteurs à cause de Jésus » (2 Corinthiens 4:5).
Et voici ce fier Pharisien affirmant à des gens tels que les Corinthiens: « Nous sommes vos esclaves à cause de Jésus »!
Notez les trois étapes. Premièrement, descendre du trône: « pas…nous-mêmes. » Deuxièmement, mettre Christ sur le trône: « Jésus-Christ le Seigneur. » Troisièmement, servir les autres: » vos serviteurs à cause de Jésus. » Ces trois étapes sont tellement importantes. Par amour, servez-vous les uns les autres. Voilà le message: sortez de l’égocentrisme.
Merci Seigneur de m’aider à aimer les autres. Je proclame que je me détrône moi-même, que je place Christ sur le trône et que je sers les autres. Je veillerai sur les autres. Amen.
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UN NUAGE DE CONFUSION
by David Wilkerson | November 27, 2015
Je me demande combien de chrétiens qui lisent ce message sont en ce moment dans un brouillard de confusion. Est-ce que cela te décrit ? Peut-être que tes prières restent sans réponse ? Tu es continuellement abattu. Tu affrontes des choses dans ta vie que tu ne peux pas expliquer. Tu es déçu par les circonstances et par les gens. Tu doutes continuellement de toi, tu es assailli de questions et tu examines continuellement ton cœur pour voir où tu t’es trompé. Tu te sens mélancolique, désespéré, indécis – et tu ne peux pas te débarrasser de cet état.
Tu es peut-être un croyant affermi. Pendant des années, tu as entendu le véritable évangile être prêché et maintenant, tu doutes et tu ne te sens pas à ta place. Tu ne ressens pas la joie du Seigneur de la façon dont tu la ressentais auparavant. Alors, tu te demandes si le Seigneur est en désaccord avec toi.
Laisse-moi te poser une question : crois-tu en Ses promesses ? T’empares-tu de Sa précieuse Parole ? Est-ce que tu mènes l’offensive contre Satan à l’aide de la Parole que tu as entendu prêchée ? Ou bien ignores-tu la fidélité passée de Dieu à ton égard ? Crois-tu qu’Il se tient à tes côtés, contrôlant tout ce qui concerne ta vie ? Si ce n’est pas le cas, tu as ouvert la porte aux ténèbres.
Jésus décrit la personne qui vit dans les ténèbres en disant : « celui qui marche dans les ténèbres ne sait où il va » (Jean 12:35). En d’autres termes : « une telle personne a perdu son chemin. Ses pas sont confus, il est indécis et il marche dans l’aveuglement. »
Je sais ce que c’est que d’entrer dans de telles ténèbres. Les choses deviennent déroutantes. Tu ne peux plus entendre une parole claire de la part de Dieu. Tu veux des réponses rapidement, criant à Dieu : « Oh, Seigneur, je ne Te vois ni ne T’entends plus aussi bien qu’avant. » Tu finis par Lui demander d’être plus compatissant, d’avoir d’avantage pitié de ta condition.
Mais la vérité, c’est que le Seigneur n’a aucune pitié pour une franche incrédulité. Il est peiné par elle. Il s’attend à ce que nous marchions dans la lumière que nous avons reçue. Nous devons nous confier dans Sa Parole et nous emparer de Ses promesses. Quand nous revenons à la connaissance de Sa Parole et à la conviction du Saint-Esprit, nous sortons de ces ténèbres – mais seulement à cette condition !
MARCHER DANS LA LUMIERE
by David Wilkerson | November 26, 2015
« Marchez, pendant que vous avez la lumière, afin que les ténèbres ne vous surprennent point » (Jean 12:35). Les ténèbres ici signifient : « aveuglement spirituel, confusion, perte de clarté, obscurité. » Je me suis demandé : « les ténèbres sur ceux qui aiment Jésus ? Comment une telle obscurité pourrait-elle tomber sur le peuple de Dieu ? »
Je l’admets volontiers : j’ai personnellement été inondé de la lumière de Jésus. En plus de cinquante ans de ministère, j’ai été témoin de la puissance du Seigneur qui ramène à la vie ceux qui étaient spirituellement morts. J’ai vu de nombreuses personnes sortir du tombeau de la drogue et de l’alcoolisme. Mon livre La croix et le poignard avait pour but de montrer la puissance de Dieu qui accomplit des miracles. J’ai passé toute ma vie à voir des morts-vivants revenir à la vie grâce à Sa puissance de résurrection.
J’ai vu de nombreux autres rayons de lumière – depuis les noms de Dieu qui donnent la vie à l’accomplissement de Ses prophéties, en passant par les promesses de Sa Nouvelle Alliance. En un sens, j’ai été témoin de tout ce que Jean 12 décrit et bien plus encore. En effet, Dieu a révélé à Son peuple aujourd’hui ce que les yeux de ces juifs ne pouvaient pas voir. Nous savons, pas seulement par les Écritures, mais par expérience, que Dieu a préparé de grandes choses pour ceux qui L’aiment. Nous avons reçu un Nouveau Testament pour nous instruire de ces choses et nous avons reçu le Saint-Esprit pour nous enseigner. De la même façon, nous avons « de meilleures promesses, » et nous pouvons ainsi devenir participants de Sa nature divine.
Il nous a aussi été donné des enseignants, des pasteurs, des évangélistes et des prophètes oints pour inonder nos cœurs et nos esprits de lumière. Ils nous immergent dans la vérité, nous remplissent de glorieuses promesses et nous rappellent que Dieu est fidèle pour nous délivrer, encore et encore. Je te le demande : avec toutes ces merveilleuses bénédictions, comment pourrions-nous être recouverts de nuages de ténèbres ?
Habituellement, quand nous pensons à des ténèbres spirituelles, nous pensons aux athées. Ou nous pensons à des pécheurs blasés et satisfaits de leur péché, avançant en tâtonnant dans la peine et le vide. Mais ce n’est pas le genre d’obscurité que décrit Jésus ici, dans Jean 12. Non, cette obscurité est un nuage de confusion, un aveuglement spirituel, une indécision, une mélancolie de l’âme et de l’esprit – et elle vient sur les croyants.
Quand cela se produit, quand nous sommes assaillis par la tentation ou le désespoir, nous devons dire avec confiance : « Tu as délivré Tes serviteurs de façon surnaturelle au cours de l’Histoire. Fais-le encore et que Ta force soit rendue parfaite dans ma faiblesse. »
ÉMERVEILLÉ PAR SON AMOUR
by David Wilkerson | November 25, 2015
Nous devons prendre à cœur cette parole de la parabole de Christ : « Méchant serviteur, je t’avais remis en entier ta dette…ne devais-tu pas aussi avoir pitié de ton compagnon, comme j’ai eu pitié de toi ? » (Matthieu 18:32-33).
Voilà la question pour tous les chrétiens : « Est-ce que je pardonne à mes frères et soeurs ? Est-ce que je m’accommode de leurs différences ? » Si je refuse de les aimer et de leur pardonner, comme je l’ai été, Jésus m’appelle « méchant serviteur. »
Comprends-moi bien : cela ne veut pas dire que nous devons tolérer les compromis. Paul a prêché la grâce avec assurance mais il a aussi instruit Timothée : « prêche la parole, insiste en toute occasion, favorable ou non, reprends, censure, exhorte, avec toute douceur et en instruisant » (2 Timothée 4:2). Nous devons être des gardiens intègres de la pure doctrine.
Mais nous ne devons pas utiliser la doctrine pour construire des murs entre nous. C’était le péché des pharisiens. La loi leur disait : « Respectez le Sabbat, » mais cet ordre n’était pas suffisant pour leur chair. Ils y ont ajouté leurs propres garde-fou, leurs multiples règles et règlements en vue de restreindre au maximum les activités physiques le jour du Sabbat. La loi disait aussi : « Ne prononcez pas le nom de Dieu en vain. » Mais les pharisiens ont construit encore davantage de murs, disant : « Nous ne prononcerons même pas le nom de Dieu. Ainsi, nous ne pourrons pas le prononcer en vain. »
Quelle a été la réponse du roi à l’ingratitude de son serviteur dans la parabole de Jésus ? L’Écriture dit : « Et son maître, irrité, le livra aux bourreaux, jusqu’à ce qu’il eût payé tout ce qu’il devait » (Matthieu 18:34). Dans le texte original grec, on lit : « emmené dans les profondeurs et tourmenté. » Je ne peux pas m’empêcher de penser que Jésus parle ici de l’enfer.
Alors, que nous dit cette parabole ? Comment Christ a-t-il résumé ce message à Ses disciples, Ses plus proches compagnons ? « C’est ainsi que mon Père céleste vous traitera, si chacun de vous ne pardonne à son frère de tout son cœur » (18:35).
Quand je lis cette parabole, je frémis. Elle me donne envie de tomber face contre terre et de demander à Jésus un baptême d’amour envers mes frères serviteurs. Voilà ma prière et je te conjure de la faire tienne également :
« Seigneur, pardonne-moi. Je suis si facilement provoqué par les autres et je réponds trop souvent par la colère. Pourtant je ne sais pas où j’en serais dans ma vie s’il n’y avait pas eu Ta grâce et Ta patience. Je suis émerveillé par Ton amour. S’il-te-plaît, aide-moi à comprendre et à accepter pleinement Ton amour pour moi. Ainsi, je serai capable d’être patient envers mes frères, par Ton esprit d’amour et de miséricorde. »
L’AMOUR MERVEILLEUX DE DIEU
by David Wilkerson | November 24, 2015
Qu’est-ce qui est à l’origine du jugement que nous portons sur les autres ? Pourquoi des serviteurs de Dieu, à qui il a été tant pardonné, maltraitent-ils leurs frères et refusent la communion avec eux ? Il est souvent possible de remonter ce problème jusqu’au péché le plus douloureux qui soit : le mépris de la bonté de Dieu.
Je ne suis arrivé à cette conclusion qu’en cherchant la réponse dans mon propre cœur. Je me suis rappelé de ma lutte personnelle pour accepter la miséricorde et la bonté de Dieu envers moi. Pendant des années, j’ai vécu et prêché en étant sous un lien légaliste. J’essayais de toutes mes forces de répondre aux critères que je pensais mener à la sainteté. Mais il s’agissait surtout d’une liste de « il faut… il ne faut pas… »
La vérité, c’est que je me sentais mieux en lisant les prophètes tonitruants qu’auprès de la croix, où mon besoin était mis à nu. Je prêchais la paix mais je ne l’avais jamais réellement expérimentée. Pourquoi ? Parce que je n’étais pas sûr de l’amour du Seigneur et de sa tolérance envers mes échecs. Je me voyais moi-même comme étant si faible et mauvais que j’étais indigne de l’amour de Dieu. En résumé, je considérais d’avantage mes péchés que Sa grâce.
Parce que je ne ressentais pas l’amour de Dieu pour moi, je jugeais tout le monde. Je voyais les autres de la même façon que je me percevais moi-même : comme des gens vivant dans le compromis. à‡a affectait ma façon de prêcher. Je fulminais contre le mal chez les autres quand je le sentais se dresser dans mon propre cœur. Tout comme le serviteur ingrat, je n’avais pas cru la bonté de Dieu envers moi (voir Matthieu 18:32-33). Et, parce que je ne m’appropriais pas Sa patience pleine d’amour envers moi, je n’en avais pas pour les autres.
Finalement, la véritable question est devenue claire pour moi. Ce n’était plus : « Pourquoi tant de chrétiens sont-ils si durs et rancuniers ? » Non, je me suis demandé : « Comment puis-je réellement obéir au commandement de Christ d’aimer les autres comme Il m’a aimé si je ne suis pas convaincu qu’Il m’aime ? »
Paul nous avertit : « Que toute amertume, toute animosité, toute colère, toute clameur, toute calomnie, et toute espèce de méchanceté, disparaissent du milieu de vous. Soyez bons les uns envers les autres, compatissants, vous pardonnant réciproquement, comme Dieu vous a pardonné en Christ » (Éphésiens 4:31-32).
PORTER PLUS DE FRUITS
by Gary Wilkerson | November 23, 2015
Jésus dit : « tout sarment qui porte du fruit, il l’émonde, afin qu’il porte encore plus de fruit » (Jean 15:2)
Les chrétiens qui portent du fruit sont émondés ? Ce n’est pas ce que la majorité d’entre nous attend d’une vie au service de Dieu. Au plus profond de nous, chacun attend une récompense. Après tout, n’est-ce pas justice ?
Ce que Jésus dit ici va à l’encontre de ce que nous pensons par intuition et par notre culture. Quand j’étais jeune, il était difficile d’obtenir un compliment pour ce que nous faisions. Aujourd’hui, le simple fait pour un enfant d’être dans une équipe de sport lui permet de remporter un trophée. Ne crois pas que je suis un vieil homme amer qui pense qu’il n’a jamais eu ce qu’il méritait. Et je suis tout à fait pour le soutien sans faille que de nombreux parents apportent à leur enfant aujourd’hui. Mais notre société commence à découvrir l’effet négatif de trop couver nos enfants. Cela leur enseigne à détester être corrigé et, dans la mesure où ils sont félicités pour tout ce qu’ils font, ils croient que tout ce qu’ils font est bien.
Cela décrit bien l’Eglise d’aujourd’hui. En tant que chrétien, nous profitons d’un amour inconditionnel, mais nous détestons être corrigés. Dans Son analogie avec le cep, Jésus dit que notre Père veut que nous connaissions un amour plus profond que le simple fait d’être dorloté. Notre Dieu qui nous aime dit, en effet : « Oui, tu portes du bon fruit et ça Me fait plaisir. Mais Je veux augmenter ta joie d’une vie abondante. Et Je vais le faire en t’émondant d’avantage. »
« il l’émonde, afin qu’il porte encore plus de fruit. » La majorité d’entre nous ne comprend pas ce concept. Ma femme et moi l’avons appris durement l’année dernière quand un jardinier a émondé nos plantes. Nous sommes revenus d’un déplacement pour découvrir que toutes les choses vertes de notre jardin avaient été réduits à l’état de moignon. Notre beau jardin ressemblait au paysage stérile d’une autre planète. Nous étions prêts à virer cet homme !
Mais quand le printemps est venu cette année, chaque plante avait deux fois plus de pousses que d’habitude. Chacune avait poussé plus vite et plus haut, et ce qui n’était qu’un fatras était maintenant propre et beau, prêt à porter du fruit. Quand Dieu émonde notre vie, c’est comme ça. Ce n’est pas facile pour nous – en fait, c’est douloureux. Et ce n’est pas beau – mais ça porte des fruits glorieux qui n’auraient jamais vu le jour autrement.
23 Novembre
Eric Célérier:
« Car je connais les projets que j’ai formés sur vous, dit l’Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l’espérance. » Jérémie 29.11
Ce monde troublé a tellement besoin de paix… Mais vous, avez-vous besoin de paix dans votre vie ?
Alors voici le secret de la paix selon la Bible…
« Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos coeurs et vos pensées en Jésus Christ. » Philippiens 4.6-7
Dieu a promis de vous donner sa paix qui surpasse toute intelligence lorsque vous lui faites connaitre vos besoins avec prières et reconnaissance. Et cette paix va amener vos pensées vers Jésus qui est le prince de la paix. (Esaïe 9.6)
Là où il y a conflits, angoisses, incertitudes ou inquiétudes pour l’avenir, il va mettre sa paix. Je déclare sa paix en vous, sa paix sur vous et sa paix par vous.
C’est merveilleux d’avoir fait la paix avec Dieu (par le pardon des péchés), d’avoir la paix de Dieu (c’est sa présence qui rassure) et d’être des canaux de paix pour lui (c’est quand nous procurons la paix).
« Heureux ceux qui procurent la paix, car ils seront appelés fils de Dieu. » Mathieu 5.9
Jésus a dit : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre coeur ne se trouble point, et ne s’alarme point. » Jean 14.27
Oui, ses projets pour vous sont vraiment des projets de paix. Il est votre paix .
TROUVER TON FEU
by Michael Petillo | November 21, 2015
De récentes études ont prédit que, d’ici à 2020, l’islam serait le principale religion en Norvège et dans tous les pays scandinaves. Si cela se vérifie, on peut s’attendre à voir l’islam devenir la religion d’Etat en Norvège dans les années qui suivront. C’est ce qui s’est produit dans tous les autres pays où les musulmans ont développé leur emprise.
Cela me rend triste de voir le peu d’impact qu’ont eu les chrétiens en Europe. Nous avons été complètement impuissants à atteindre les perdus avec efficacité – pas seulement en Europe mais aussi aux États-Unis. Nous prions pour que Dieu étende nos limites, pour qu’Il aide le corps de Christ à croître et à se développer, mais si peu de dénominations le voient se produire. La plupart rétrécissent et certaines meurent complètement.
Qu’est-ce qu’il faudrait pour que Dieu se saisisse finalement de la situation et nous apporte les transformations dont nous avons besoin – la transformation pour laquelle nous prions ? Quand nous lèverons-nous enfin pour faire une sérieuse brèche dans l’emprise de Satan sur le monde ?
La réponse est si simple qu’il parait étrange de devoir la dire. Nous devons nous confier en Dieu pour de grands miracles ! Nous devons nous lever ensemble avec des cœurs contrits et une foi audacieuse, demandant à Dieu de faire de nous de puissants combattants pour le royaume. Comme les jeunes gens qui travaillent avec nous – nos » Douze Disciples » – nous devons ouvrir nos cœurs et nos vies à Dieu et Lui permettre d’instiller Sa passion pour les âmes en nous, de développer dans nos cœurs une obsession pour les âmes. De nous briser, de nous utiliser, de nous rendre capables de servir !
Quand on regarde à notre petit groupe de jeunes gens, ces douze héros inattendus, ces douze enfants meurtris et cabossés qui possèdent tout juste quelques vêtements et une passion brûlante dans leur cœur, et que l’on voit avec quelle puissance Dieu les utilise en première ligne de la bataille, on commence à entre-apercevoir ce que Dieu peut faire avec ne serait-ce que la plus petite mesure de foi. On voit alors ce qui a permis à la première église de connaître une croissance exponentielle, attirant des milliers de gens à la foi à partir de seulement une poignée de disciples. On comprend ce qui attirait les gens vers le message – le message de Jésus. Et l’on voit tout ce que Dieu peut accomplir à partir de très peu de choses.
« Mais Dieu a choisi les choses folles du monde pour confondre les sages ; Dieu a choisi les choses faibles du monde pour confondre les fortes » (1 Corinthiens 1:27).
Nicky Cruz, évangéliste connu internationalement et auteur prolifique s’est tourné vers Jésus, quittant une vie de violence et de crimes après avoir rencontré David Wilkerson à New York en 1958. L’histoire de sa conversion dramatique a d’abord été racontée dans La Croix et le Poignard par David Wilkerson puis dans son propre best-seller Du ghetto à la vie.
Eric célerier: 19 septembre
Aujourd’hui je vous invite à vous arrêter un instant sur le verbe « connaître » dans Jérémie 29.11…
« Car je connais les projets que j’ai formés sur vous, dit l’Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l’espérance. »
Dieu connait votre passé, votre présent et votre avenir.
- Concernant votre passé, quelles que soient les épreuves que vous avez connues, il désire vous consoler, vous restaurer, vous aider à pardonner. Il connait. Il sait ce qui pèse sur votre coeur.
- Concernant votre présent, la Bible dit : « SEIGNEUR, tu regardes jusqu’au fond de mon cœur et tu me connais. Tu sais quand je m’assois et quand je me lève, longtemps à l’avance, tu sais ce que je pense. Tu sais quand je marche et quand je me couche, et tu connais toutes mes actions. Je n’ai pas encore ouvert la bouche, tu sais déjà tout ce que je vais dire ! Tu es derrière moi, tu es aussi devant moi, tu poses ta main sur moi. Tu me connais parfaitement. Pour moi, c’est trop beau, cela dépasse tout ce que je peux comprendre. » Psaume 139.1-6Il sait la situation que vous traversez maintenant. Il connait les combats, les questions, les enjeux de votre vie.
- Concernant votre avenir, il connait les projets qu’il a formé sur vous. Mais cela, nous en reparlerons très bientôt…
LA RESPONSABILITE DE LA GRACE
by David Wilkerson | November 19, 2015
Dans la parabole de Matthieu 18:23-35, le roi a-t-il négligé le péché de son serviteur ? A-t-il jeté un œil à sa dette et l’a-t-il simplement excusé ? Non, pas du tout. Le fait est que, en lui pardonnant, le roi a placé sur cet homme une pesante responsabilité, une responsabilité encore plus grande que ne l’était le fardeau de sa dette. En effet, son serviteur devait encore d’avantage à son maître qu’auparavant. Comment ? Il était responsable de pardonner et d’aimer les autres, tout comme le roi l’avait fait pour lui.
Quelle incroyable responsabilité ! Et elle ne peut pas être séparée du reste des enseignements du royaume de Christ. Après tout, Jésus a dit : « mais si vous ne pardonnez pas aux hommes, votre Père ne vous pardonnera pas non plus vos offenses » (Matthieu 6:15). Ce point est très clair : « Si vous ne pardonnez pas aux autres, je ne vous pardonnerai pas. » Cette parole n’est pas une option, il s’agit d’un ordre. Jésus nous dit, en gros : « J’ai été indulgent envers vous. Je vous ai traité avec amour et miséricorde et Je vous ai pardonné uniquement à cause de Ma bonté et de Ma miséricorde. De la même façon, vous devez être aimant et miséricordieux envers vos frères et sœurs. Vous devez leur pardonner librement, comme Je vous ai pardonné. Vous devez manifester à tous la même grâce et le même amour que ce que Je vous ai manifesté, que vous soyez à la maison, dans votre église, sur votre lieu de travail ou dans la rue.
Paul se réfère à cet ordre de Jésus lorsqu’il dit : « De même que Christ vous a pardonné, pardonnez-vous aussi » (Colossiens 3:13). Il expose ensuite comment nous devons chercher à obéir à ce commandement : « Ainsi donc, comme des élus de Dieu, saints et bien-aimés, revêtez-vous d’entrailles de miséricorde, de bonté, d’humilité, de douceur, de patience. Supportez-vous les uns les autres, et, si l’un a sujet de se plaindre de l’autre, pardonnez-vous réciproquement…Mais par-dessus toutes ces choses revêtez-vous de l’amour, qui est le lien de la perfection » (3:12-14).
Qu’est-ce que cela implique de » se supporter » ? Le mot grec utilisé ici signifie : « être indulgent, tolérer. » Cela suggère d’endurer des choses que nous n’aimons pas. Il nous est dit de tolérer les manquements des autres, de supporter des façons de faire que nous ne comprenons pas.
UN MIRACLE CHAQUE JOUR – ERIC CELERIER –
Voici la deuxième étape de notre parcours dans Jérémie 29.11…
« Car je connais les projets que j’ai formés sur vous, dit l’Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l’espérance. »
Qui est ce JE qui a de bon projets pour votre vie ?
Quand Moise s’est retrouvé devant le buisson ardent il a dit à Dieu… « J’irai donc vers les enfants d’Israël, et je leur dirai : Le Dieu de vos pères m’envoie vers vous. Mais, s’ils me demandent quel est son nom, que leur répondrai-je ? Dieu dit à Moïse : Je suis celui qui suis. Et il ajouta : C’est ainsi que tu répondras aux enfants d’Israël : Celui qui s’appelle ‘je suis’ m’a envoyé vers vous. Dieu dit encore à Moïse : Tu parleras ainsi aux enfants d’Israël : L’Éternel, le Dieu de vos pères, le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac et le Dieu de Jacob, m’envoie vers vous. Voilà mon nom pour l’éternité, voilà mon nom de génération en génération. » (Exode 3.13-15)
Dieu dit à Moïse : « Je suis simplement je suis » Et tu leur diras : « Je suis m’a envoyé vers vous. ».
Aviez-vous remarqué qu’en français le nom de « Jésus » est complètement inclus dans « JE SUIS » ?
Jésus lui même reprendra la même expression pour expliquer qui il est : « Jésus leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu’Abraham fût, je suis. » Jean 8.58
Il ne dit pas j’étais mais je suis… car Jésus existe de toute éternité.
Jésus a aussi dit de nombreuses fois « je suis » comme par exemple : Je suis le chemin. Je suis la vérité. Je suis la vie.
Ce « je suis » à Moïse annonçait donc déjà Jésus, appelé aussi Dieu avec nous.
L’Eternel, le Dieu Tout Puissant, vous dit à vous aussi comme il l’a dit à Moïse :
- Je suis avec toi
- Je suis en toi
- Je suis pour toi
- Je suis celui qui t’envoie
(Note MAV: il est impressionnant de voir que ce simple court texte est une démonstration absolue que le dogme de la Ptrinité est une hérésie)
CONTINUE TA MARCHE
Nous nous retrouvons dans la vie d’Abram, à 99 ans. Ce n’est pas un novice dans sa marche avec Dieu. Par la foi, il a quitté sa ville natale et a tout abandonné avec sa femme Saraï pour aller dans un lieu promis par Dieu. C’était un pas de géant pour lui ainsi que pour sa femme.
Dix ans plus tard, voyant que la promesse tardait, surtout celle d’avoir un enfant et de surcroît son héritier, Abram conjointement avec Saraï décident de trouver un plan B. La servante Agar, l’Egyptienne, va donner naissance au fils d’Abram, Ismaël.
Treize ans ont donc passé et Abram n’a plus entendu la voix de Dieu. Aucune révélation, aucun rêve prophétique, aucune visite angélique.
Certainement qu’il se posait mille et une questions. Suis-je encore dans le plan de Dieu ? Dieu m’aime-t-il encore ? Peut-être que ce serait bon de retourner chez nous à Charan ? Que deviendrai-je dans l’avenir ? Et toutes les paroles Rhema que j’ai reçues ?
Nous arrivons donc dans notre pensée du jour au moment crucial où Dieu se révèle encore à Abram d’une manière spéciale. L’Éternel lui apparut et lui dit :
1. JE SUIS LE DIEU TOUT-PUISSANT
Très cher Abram, j’aimerais que désormais tu gardes en souvenir qui je suis. Mon nom est El-Shaddaï. Je peux tout. Rien n’est impossible devant moi. J’agis au-delà des restrictions naturelles et physiques. Je suis dans le surnaturel et ma parole est créatrice.
Lorsque je dis une chose, elle s’accomplit certainement. Je ne suis pas un homme pour mentir ni un fils de l’homme pour se repentir. Je suis le Dieu tout puissant.
Notre Dieu est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il est le tout puissant. Il guérit les malades. Il ressuscite les morts. La stérilité n’est rien devant lui, ni le cancer, ni aucune maladie. Il ouvre une porte et personne ne peut la fermer. Et lorsqu’il la ferme, personne ne peut l’ouvrir.
Dans notre marche chrétienne, nous devons réaliser la puissance qui est en Jésus. Il n’est pas du tout limité par les lois physiques ni par la pesanteur. Il est ressuscité du tombeau après trois jours. Ni la mort ni le tombeau ne pouvaient le retenir. Il est le Seigneur !
2. MARCHE DEVANT MA FACE
Nous devons réaliser une chose ici. Lorsque nous commençons notre marche de la foi avec Dieu, il va marcher devant nous. Il sera notre guide, notre soutien de chaque jour.
Pendant un temps, Dieu va nous enseigner les principes qui régissent son royaume. Il va nous servir de lumière, par sa présence et sa parole jusqu’à ce que nous devenions matures et développés spirituellement.
Alors que nous grandissons dans notre foi, Dieu se tient à nos côtés, comme un garde de sécurité. Il dit que rien ne peut nous nuire car il est toujours là , il ne nous abandonne pas.
Nous devons comprendre que notre marche est uniquement motivée par la foi et non par la vue ou les autres sens naturels. Nous mettons en pratique ce qu’il nous a appris et nous apprend encore.
Continue ta marche, et ne t’arrête pas. Dieu connaît tes échecs, tes doutes, tes pleurs, tes confusions et tes insomnies. Il est avec toi et il va réaliser ses promesses. Surtout, n’arrête pas ta marche avec lui. Même si tu ne le vois plus, ne l’entends plus, ou ne reçois plus de visions : continue ta marche.
3. SOIS INTÈGRE
Par » intègre « , Dieu signifiait à Abram d’être » parfait » ou » bien établi » ou simplement d’être » mature « . À 99 ans, Dieu demande à Abram de grandir, de se développer et d’atteindre la maturité. Cela me rappelle les paroles de Paul :
C’est vrai que nous venons comme des enfants vers Dieu, mais ne restons pas des enfants dans la foi. Nous sommes appelés à grandir à la stature parfaite de Christ. Ne parlons plus comme des enfants. Ne pensons plus comme des enfants. Notre raisonnement doit être renouvelé à la lumière de la parole de Christ.
Dieu veut que nous puissions croître et atteindre la maturité spirituelle pour avoir un plein accès à son héritage. Car aussi longtemps que l’héritier reste enfant, il ne diffère en rien d’un esclave. Il est sous la responsabilité de tuteurs et d’administrateurs.
Voici donc les bénédictions qui vont suivre Abram:
- Une alliance spéciale et personnelle avec Dieu.
- Une multiplication accélérée dans sa vie de tous les jours.
- Une capacité de devenir le père d’une multitude de nations.
- Le nouveau nom prophétique d’Abraham.
- Une fécondité à l’extrême.
- Des rois sortiront d’Abraham.
Aujourd’hui, continuons notre marche avec Dieu. Peu importe les erreurs que nous avons commises dans le passé. Ne pensons plus aux événements antérieurs. Les mauvaises décisions et les échecs appartiennent au passé.
Le passé, tout le monde l’analyse et le connaît. Mais personne ne connaît ton avenir. C’est pour cette raison que Dieu parlait toujours à Abraham au futur. Ne te culpabilise plus ! Dieu t’a pardonné le jour où tu t’es repenti.
Il a des bons projets de bonheur et non de malheur. Continue ta marche !
16 novembre
Sept fois – DPM
Approchons-nous du sanctuaire.
L’Ancien Testament préfigure la manière dont Jésus devait payer le prix et rendre ainsi le dernier sacrifice. Cette préfiguration trouve son ordonnance dans le jour de l’expiation, décrit dans le détail en Lévitiques 16. Le souverain sacrificateur devait se rendre une fois par an dans le sanctuaire, le Saint de Saints. Il devait se munir de deux choses : un encensoir dégageant un nuage aromatique qui le couvrait lui ainsi que le siège de la miséricorde, et du sang du sacrifice, offert pour lui-même.
Se rendant donc dans le sanctuaire, il devait asperger le sang sept fois entre le second voile, par lequel il entrait, et le côté face (ou est) du siège de la miséricorde lui-même. Ainsi donc, il y avait une aspersion initiale du sang par sept fois. Je pense qu’il s’agit de la préfiguration prophétique exacte de la manière dont Jésus allait devoir asperger son propre sang sur le chemin de la croix, ainsi que sur la croix en elle-même. Le nombre sept indique une œuvre du Saint-Esprit, c’est le nombre de la plénitude et de la perfection, qui indique une œuvre parfaite. L’aspersion prophétique a été accomplie parfaitement dans la façon dont Jésus a répandu son sang: il l’a répandu exactement sept fois avant que le sacrifice soit complet.
Dans cette aspersion en trois étapes, le corps de Jésus a été vidé de son sang. Il a littéralement déversé son âme dans la mort en suivant ces étapes: (1) Sa sueur est devenue du sang (lire par exemple, Luc 22:44), (2) on l’a frappé au visage avec les poings et des verges (lire par exemple, Luc 22:63-64), (3) il a été fouetté avec un fléau romain (lire par exemple, Luc 18:33), (4) sa barbe a été arrachée (Lire Esaïe 50:6), (5) des épines ont été enfoncées dans son crâne, (lire par exemple, Matthieu 27:29), (6) Ses mains et ses pieds ont été transpercés de clous (lire par exemple, Jean 20:25), et (7) son côté a été percé d’une lance. (Lire Jean 19:34).
Merci Seigneur, parce que je peux m’approcher de toi par le sang de Jésus. Je proclame qu’en répandant son sang sept fois, Jésus a accompli le sacrifice complet. Je m’approcherai du sanctuaire. Amen.
LA MAàŽTRISE DE SOI
Nous avons déjà tous dit : » C’était plus fort que moi, je n’ai pas pu m’en empêcher, j’ai perdu le contrôle… »
Parfois ces actes, ces paroles ou ces décisions prises sur le coup de l’émotion ou de la pression ont eu des conséquences graves. Certains diront qu’ils sont de nature colérique ou impulsive et que c’est ainsi qu’ils sont faits.
Si vous avez l’esprit de Dieu en vous, voici une bonne nouvelle : la maîtrise de soi est un fruit de l’esprit, ce qui signifie que chaque croyant peut développer cette qualité.
La maitrise de soi ne se développe pas en pratiquant la pensée positive ou même par ses propres forces. Elle se développera dès lors que nous acceptons que nos désirs soient crucifiés et que nous répondrons à l’appel de l’esprit qui nous conduira vers ce qu’il y a de meilleur pour nous : l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bienveillance, la foi, la douceur, et la maîtrise de soi.
Voici quelques questions que nous pouvons nous poser pour juger de la nature éventuellement excessive ce que l’on s’apprête à faire :
- Est-ce prioritaire ?
- Est-ce utile ?
- Est-ce bon pour moi ?
- Est-ce agréable à Dieu ?
Les réponses honnêtes à ces questions nous aideront à évaluer nos choix de manière sage et tempérée. Je vous invite à vous poser ces quelques questions dans les situations quotidiennes de votre vie : les paroles, la nourriture, les habitudes et le péché.
LES PAROLES
Beaucoup de paroles sont dites car nous manquons de maîtrise en ce qui concerne l’usage de notre langue. Ne vous êtes-vous jamais dit : » Je n’aurais pas dû dire ça ! »
Lorsque cela arrive, nous nous sommes laissés aller à des conversations impures et à des paroles vaines : critiques, incrédulité, grossièretés, mensonges. La chair veut parler de cette façon-là , mais votre esprit vous conduira à vous taire face aux accusations, à louer Dieu dans l’adversité et à communiquer des paroles vraies et pures en tout temps.
LA NOURRITURE
La nourriture est aussi un excellent domaine pour manifester la maitrise de soi. La nourriture semble avoir une bouche qui crie pour se faire avaler. Trop manger amène une sensation d’inconfort dans son corps avec des conséquences plus ou moins graves : surpoids, régimes, mal-être dans sa peau, désordres alimentaires, culpabilité et condamnation.
Nous ne sommes pas obligés de manger tout ce qui s’offre à nous, ni de manger ce qui n’est pas utile, voire nocif à notre santé et à notre bien-être physique.
Je vous encourage à regarder l’émission Parole de Femmes avec Audrey Mack sur le rapport équilibré que nous devrions avoir avec la nourriture.
LES HABITUDES ET CHOIX
La gestion du temps peut être un défi pour certains et notamment car nous laissons des choses secondaires devenir prioritaires, des choses optionnelles devenir indispensables. Un petit film, quelques textos, un peu de Facebook, de Twitter et d’Instagram…et la soirée est finie. Nos bonnes intentions de passer du temps à nous consacrer ont été englouties par un manque de maîtrise de soi-même face à toutes les distractions. Un peu de tout n’accomplit rien du tout !
Nous avons reçu la maitrise de nous-mêmes pour dire stop à toutes les sollicitations qui nous entourent, pour poser le téléphone et éteindre l’ordinateur.
Le manque de maitrise de soi dans ces habitudes quotidiennes nous coûtent plus qu’on ne peut souvent le réaliser, dans notre consécration, dans notre sommeil, dans notre temps de qualité avec notre entourage, dans notre productivité, et même dans notre sécurité lorsque nous textons au volant par exemple !
J’ai vu une publicité dernièrement avec un homme qui dit : » Je ne ne peux pas m’empêcher de texter au volant ! « , et la publicité se terminait avec une petite fille renversée par une voiture qui disait : » Je ne peux pas m’empêcher de mourir ! »
LE PÉCHÉ
Beaucoup de personnes qui vivent dans un péché récurrent disent la même chose : » Je ne peux pas m’en empêcher, c’est plus fort que moi… » Ceci est vrai si nous nous laissons dominer et conduire par les désirs de la chair.
Mais voici la vérité : nous ne sommes plus esclaves du péché. Ce qui veut dire que nous ne sommes plus contraints de pécher, nous ne sommes plus condamnés à retomber inlassablement et fatalement dans ce qui nous liait avant. Si c’est votre cas, relisez Romains 6 et recevez la révélation de votre liberté, ajoutez-y la maitrise de soi et vous ne retomberez plus jamais dans ce péché qui vous a tenu captif jusqu’à ce jour !
La maitrise de soi est une protection sûre contre les déséquilibres et les extrêmes.
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SE CONFIER EN CE QU’IL DIT
by David Wilkerson | November 11, 2015
Tu te souviens peut-être de l’histoire de l’Ancien Testament où les israélites ont envoyé des espions dans le Pays Promis. Ils sont revenus en disant : « Oui, c’est un pays où coulent le lait et le miel, mais il est aussi rempli de géants et de cités aux hautes murailles. Nous ne sommes pas capables d’affronter ces gens. Comparés à eux, nous ne sommes que des sauterelles » ( voir Nombres 13).
Ces gens n’ont pas accusé Dieu. Ils n’ont jamais dit : « Dieu n’est pas capable. Il n’est pas assez fort. » Ils n’ont pas osé exprimer une telle incrédulité. Ils se sont plutôt concentrés sur eux-mêmes, disant : « Nous ne sommes pas capables. Nous ne sommes que de petits insectes à la vue de nos ennemis. »
Mais ce n’est pas de l’humilité. Et il ne s’agit pas là d’un discours innocent et inoffensif. Il s’agit d’un affront à Celui qui est la Lumière du monde, qui nous ordonne de croire : « Je puis tout par celui qui me fortifie » (Philippiens 4:13).
Tu vois, quand tu te plains de tes incapacités et de tes faiblesses, ce n’est pas toi que tu abaisses. Tu abaisses ton Seigneur. Comment ? En refusant de croire ou de marcher selon Sa Parole. C’est pécher contre la Lumière. Et cela amène les ténèbres.
Les espions israélites étaient tellement concentrés sur leurs incapacités qu’ils étaient prêts à abandonner. Ils ont même parlé de retourner en Égypte. Quelle a été la réponse de Dieu à leurs craintes et à leur incrédulité ? « Et l’Éternel dit à Moïse : Jusqu’à quand ce peuple me méprisera-t-il ? Jusqu’à quand ne croira-t-il pas en moi, malgré tous les prodiges que j’ai faits au milieu de lui ? » (Nombres 14:11). Dieu les a chargés d’un péché : l’incrédulité.
Aujourd’hui, le Seigneur pose à Son peuple la même question que celle qu’Il a posée à Israël : « Quand croirez-vous ce que je vous ai promis ? J’ai dit que Ma force vous soutiendrait dans vos temps de faiblesse. Vous n’êtes pas sensés vous appuyer sur la force de votre chair. Je vous ai dit que j’utiliserai le faible, le pauvre, le méprisé de ce monde pour confondre les sages. Je suis Jéhovah, la force infinie. Et Je vous rendrai forts par Ma puissance, par Mon Esprit. Alors, quand agirez-vous en conséquence ? Quand vous confierez-vous en ce que Je vous ai dit ? »
Méditation 10 novembre– DPM
10 novembre
Renoncer à sa propre volonté
Aspirons à la maturité.
La fonction propre à un sacrificateur de l’Ancien Testament était de rendre des sacrifices. Ainsi donc, étant lui-même un sacrificateur, Jésus devait rendre un sacrifice. N’étant pas Lévite, il ne pouvait pas le faire selon la loi, il a donc rendu son sacrifice sacerdotal particulier, qui était la prière.
« C’est lui qui, dans les jours de sa chair, ayant présenté avec de grands cris et avec larmes des prières et des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mort, et ayant été exaucé à cause de sa piété, a appris, bien qu’il fût Fils, l’obéissance par les choses qu’il a soufferte. » (Hébreux 5:7-8)
L’obéissance respectueuse de Jésus a poussé le Père à exaucer ses prières. Jésus a appris l’obéissance à travers la souffrance. Nous ne pouvons pas l’apprendre en écoutant des prédications sur l’obéissance. Cela peut nous aider, mais l’obéissance doit être travaillée, pas à pas, en obéissant. Il a dû apprendre l’obéissance et nous devons l’apprendre par les mêmes moyens. L’apprentissage de l’obéissance se fait en obéissant. L’obéissance engendre de la souffrance parce qu’elle représente une abnégation de notre propre volonté. La phrase clé caractérisant l’obéissance de Jésus est: « Toutefois, que ma volonté ne se fasse pas, mais la tienne » (Luc 22:42). Toute étape d’obéissance dans la vie chrétienne est un renoncement à soi. Jésus dit « Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix, et qu’il me suive » (Matthieu 16:24). C’est une chose douloureuse, parce que le vieil ego ne supporte pas d’être abandonné. Il dit: « je veux », « je suis important, » « cela me convient, « je me sens bien, « je ne veux pas, » et ainsi de suite. Suivre le Seigneur exige de renoncer constamment à cet ego.
Dans le passage d’Hébreux ci-dessus, Dieu nous parlait d’arriver à maturité en tant que fils par l’obéissance. Jésus est notre modèle. Dieu l’a amené à maturité à travers l’obéissance. Cette méthode est aussi bonne pour vous et moi. C’est une route nouvelle et vivante.
Merci Seigneur de me pousser vers l’avant. Je proclame que suivre le Seigneur exige que je renonce constamment à mon ego et, je choisis de suivre le modèle de Jésus en répondant à cette exigence. Je veux aspirer à la maturité. Amen.
LE TEMOIGNAGE DE LA PENTECOTE
by David Wilkerson | November 10, 2015
La plupart des sermons sur la Pentecôte se focalisent sur les signes et les prodiges qui ont été accomplis par les apôtres. Ou bien ils soulignent les trois mille personnes sauvées en une journée, ou encore les langues de feu qui sont apparues. Mais nous n’entendons pas souvent parler d’un événement qui est devenu la plus grande source d’émerveillement – et qui a renvoyé une grande foule dans leurs pays, avec une connaissance vivace et indubitable de qui est Jésus.
Tu as entendu parler de signes et de prodiges. Je veux te parler des « prodiges » dont parle cette histoire. En une nuit, des panneaux « à vendre » sont apparus sur des maisons dans tout Jérusalem et ses environs. L’Écriture dit : « Tous ceux qui croyaient étaient dans le même lieu, et ils avaient tout en commun. Ils vendaient leurs propriétés et leurs biens, et ils en partageaient le produit entre tous, selon les besoins de chacun… Car il n’y avait parmi eux aucun indigent : tous ceux qui possédaient des champs ou des maisons les vendaient, apportaient le prix de ce qu’ils avaient vendu, et le déposaient aux pieds des apôtres ; et l’on faisait des distributions à chacun selon qu’il en avait besoin » ( Actes 2:44-45 et 4:34-35).
Peux-tu imaginer cette scène à Jérusalem ? Des multitudes de maisons, des fermes et leurs terrains étaient soudain mis en vente. Tous les biens étaient également vendus : meubles, vêtements, objets fait main, pots et casseroles, œuvres d’art. Dans les rues, sur les marchés, à toutes les portes, des centaines de pancartes doivent avoir dit : « Biens à vendre. » à‡a a dû être le plus grand vide-grenier de toute l’histoire de Jérusalem.
Il n’y a aucune preuve dans l’Écriture du fait que les maisons vendues étaient les habitations principales de leurs propriétaires. Et il n’est pas fait mention d’une vie en communauté. Si cela avait eu lieu, cela aurait placé un fardeau impossible à porter sur l’Église. La Parole de Dieu commande clairement aux chrétiens de pourvoir aux besoins de leur famille et de leurs enfants. Ces croyants n’auraient pas pu obéir à ce commandement s’ils n’avaient pas eu leur propre foyer. De plus, nous lisons qu’ils allaient les uns chez les autres dans la communion fraternelle : « ils rompaient le pain dans les maisons » (2:46). De toute évidence, ces personnes possédaient toujours leur maison.
Non, les possessions qu’ils vendaient étaient des choses qu’ils avaient en trop, dont ils n’avaient pas besoin, des choses qui n’étaient pas essentielles à leur survie. Dans certains cas, ils avaient certainement pris une grande importance dans le cœur de leur propriétaire. Alors les biens étaient vendus, transformés en argent et donnés pour venir en aide aux veuves, aux orphelins et aux sans abri de l’église.
Voilà le témoignage de la Pentecôte. Le monde a vu ces croyants rendus capables de s’aimer les uns les autres, vendant leurs biens, donnant à ceux qui sont dans le besoin. Et c’est exactement ce que le Saint-Esprit attendait d’eux. Il désirait un témoignage vivant de l’amour de Dieu au monde. Ils proclamaient l’évangile de Christ par leurs actions.
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6 novembre
Marcher vers la maturité
Aspirons à la maturité.
Ce « faisons » particulier est tout à fait approprié pour le peuple hébreu du Nouveau Testament parce qu’ils avaient failli dans ce domaine. Ils s’étaient campés sur leur foi en leurs privilèges particuliers. Il est assez net qu’ils étaient devenus paresseux et qu’ils tenaient simplement les choses pour acquises.
« Nous avons beaucoup à dire là -dessus, et des choses difficiles à expliquer, parce que vous êtes devenus lents à comprendre. Vous, en effet, qui depuis longtemps devriez être des maîtres, vous avez encore besoin qu’on vous enseigne les premiers rudiments des oracles de Dieu, vous en êtes venus à avoir besoin de lait et non d’une nourriture solide. Or, quiconque en est au lait n’a pas l’expérience de la parole de justice; car il est un enfant. Mais la nourriture solide est pour les hommes faits, pour ceux dont le jugement est exercé par l’usage à discerner ce qui est bien et ce qui est mal. » (Hébreux 5:11-14)
Ce que voulait dire l’auteur ici, sans ambages, c’est que les Hébreux étaient purement infantiles, spirituellement parlant. Ils n’avaient pas le droit d’être des enfants à ce stade de leur progression chrétienne. Ils avaient eu tellement d’opportunités au cours des années, qu’à ce moment-là , ils auraient dû avoir progressé en maturité. L’auteur d’Hébreux explique aussi l’unique façon d’arriver à la maturité. Nous devons nous entraîner à discerner le bien et le mal. Dans la pratique, la marche vers la maturité sur le sentier de la justice est le fruit d’un entraînement constant. Ce n’est pas automatique et cela demande de la discipline. C’est la raison pour laquelle l’un des « faisons » précédents était: « efforçons-nous. » Nous devons nous entraîner pour distinguer le bien du mal.
Souvent, même de grandes assemblées chrétiennes sont incapables de distinguer ce qui est spirituel et biblique de ce qui est simplement charnel et qui charme l’âme. L’unique remède est un entraînement constant et une pratique vigilante.
Merci Seigneur de me pousser vers l’avant. Je proclame que je ne me crois pas en possession ni me m’appuie sur des privilèges particuliers mais que je m’entraîne à progresser en maturité. Je veux aspirer à la maturité. Amen.
6 Novembre:
LES DOMMAGES causés PAR L’INCREDULITE
by David Wilkerson | November 6, 2015
Nous pensons que lorsque nous manquons de confiance en Dieu dans nos situations quotidiennes, nous ne faisons du mal qu’à nous-mêmes. Nous pensons que nous passons simplement à côté de Ses bénédictions. Mais ce n’est pas tout. D’abord, nous blessons et mettons en colère notre Seigneur. Il nous met en garde : « Si tu ne me fais pas confiance, tu vas développer un cœur endurci. »
Nous lisons dans Hébreux : « N’endurcissez pas vos cœurs, comme lors de la révolte, le jour de la tentation dans le désert, où vos pères me tentèrent pour m’éprouver, et ils virent mes œuvres pendant quarante ans. Aussi je fus irrité contre cette génération, et je dis : Ils ont toujours un cœur qui s’égare. Ils n’ont pas connu mes voies. Je jurai donc dans ma colère: Ils n’entreront pas dans mon repos ! » (Hébreux 3:8-11).
Quelle raison est donnée à l’incapacité du peuple de Dieu d’entrer dans Son repos ? Était-ce à cause de l’adultère, de la convoitise, de l’ivrognerie ? Non, c’était uniquement à cause de leur incrédulité. Nous voyons ici une nation exposée aux miracles et aux merveilles surnaturelles que Dieu a accomplis en leur faveur pendant quarante ans. Aucun autre peuple sur Terre n’a été aussi aimé, aussi bien pris en charge. Ils ont reçu révélations après révélations de la bonté et de la sévérité du Seigneur. Ils entendaient une parole fraîche leur être prêchée régulièrement de la part de Moïse, leur chef et prophète.
Mais ils n’ont jamais accueillit cette parole par la foi. C’est pourquoi le fait de l’entendre ne leur faisait pas de bien. Au milieu de toutes ces bénédictions, ils ne faisaient toujours pas pleinement confiance à Dieu. Et, avec le temps, l’incrédulité s’est installée. A partir de ce moment-là , l’obscurité a recouvert leur voyage dans le désert.
L’incrédulité est la racine qui se cache derrière tout endurcissement de cœur. L’épître aux Hébreux demande : « Et contre qui Dieu fut-il irrité pendant quarante ans, sinon contre ceux qui péchaient, et dont les cadavres tombèrent dans le désert ? » (3:17). Le terme grec utilisé pour irrité ici signifie peiné, indigné, outragé, amer. Pour dire les choses simplement, l’incrédulité du peuple a allumé la colère de Dieu à leur encontre. Bien plus, elle les a conduits dans une spirale continue d’endurcissement et d’incrédulité : » Prenez garde, frères, que quelqu’un de vous n’ait un cœur mauvais et incrédule, au point de se détourner du Dieu vivant…afin qu’aucun de vous ne s’endurcisse par la séduction du péché » (3:12-13).
L’incrédulité est mère de tous les péchés. Elle a été le premier péché commis dans le jardin d’Éden et c’est la racine de toute amertume, rébellion et refroidissement du cœur. C’est pour cette raison que le chapitre 3 de l’épître aux Hébreux s’adresse à des croyants (« prenez garde, frères »). L’auteur conclut avec ces mots à glacer le sang : » Et à qui jura-t-il qu’ils n’entreraient pas dans son repos, sinon à ceux qui avaient désobéi ? Aussi voyons-nous qu’ils ne purent y entrer à cause de leur incrédulité » (3:18-19).
5 Novembre
PURIFIER MA BOUCHE, MES OREILLES ET MES YEUX
par David Wilkerson
J’ai rencontré récemment un pasteur que je connais depuis plusieurs années. Chaque fois que je l’avais rencontré par le passé, j’avais dit à ma femme après-coup : « cet homme est tellement superficiel. Un tel m’as-tu-vu. Je ne sais pas comment Dieu pourrait le bénir. » Et puis, j’ai rencontré ce même homme après que le Saint-Esprit eut fini de régler mon problème de jugement des autres. Cette fois, l’Esprit m’a dit : « Aime-le. Tais-toi et écoute-le. Ensuite, prie avec lui. »
J’ai obéi. J’ai aimé cet homme, je l’ai écouté et, ensuite, j’ai pris sa main et j’ai prié. Quand nous nous sommes séparés, une drôle de chose m’est arrivée : j’ai été frappé par le chagrin. Une terreur m’a balayé – la terreur de ce que j’avais fait à cet homme au cours des années. J’ai vu la souillure immense de mon attitude pécheresse.
David exhorte : « Reçois favorablement les paroles de ma bouche Et les sentiments de mon cœur, O Éternel, mon rocher et mon libérateur ! » (Psaumes 19:14). L’apôtre Paul y ajoute cette perspective : « Que toute amertume, toute animosité, toute colère, toute clameur, toute calomnie, et toute espèce de méchanceté, disparaissent du milieu de vous. Soyez bons les uns envers les autres, compatissants, vous pardonnant réciproquement, comme Dieu vous a pardonné en Christ » (Ephésiens 4:31-32).
« Qu’il ne sorte de votre bouche aucune parole mauvaise, mais, s’il y a lieu, quelque bonne parole, qui serve à l’édification et communique une grâce à ceux qui l’entendent. N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu, par lequel vous avez été scellés pour le jour de la rédemption » (4:29-30).
Cher saint, aucune personne qui lit ce message n’est trop sainte pour ne pas en tenir compte et changer. Pour ma part, j’ai senti le chagrin de Dieu au sujet de toutes les façons où j’avais mal jugé les gens au cours des années, de façon consciente ou non. Je te presse de pleurer comme mon cœur l’a fait :
« à” Seigneur, pourquoi n’étais-je pas prêt à entendre cela plus tôt ! Pourquoi n’ai-je pas réglé ce problème avant ? Je veux proclamer Ton évangile dans cette génération. S’il-te-plaît, Jésus, pardonne-moi. Purifie ma bouche, mes oreilles et mes yeux souillés. Donne-moi un cœur renouvelé. Je ne veux pas que quoi que ce soit empêche ma vie d’être une pleine manifestation de qui Tu es. »
Que le Seigneur puisse entendre notre cri et agisse rapidement pour nous renouveler. Il nous donnera la force de rejeter toute mauvaise façon de parler, toute mauvaise façon d’écouter et tout jugement en pensée. Ainsi, nous serons plus à même de représenter notre Seigneur.
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LE CHRISTIANISME « CAPITALISTE »
by David Wilkerson | October 30, 2015
L’Amérique est victime d’un « christianisme capitaliste. » Le but n’est plus une croissance spirituelle, mais une augmentation du nombre de personnes, des propriétés et des finances. Le jugement de Jésus envers l’église de Laodicée s’applique à de nombreuses églises d’aujourd’hui : « Tu ne réalises pas ce qui est en train de t’arriver. Ton aveuglement t’a rendu tiède et tu ne le vois même pas. Tu penses être encore bouillant pour Moi » (voir Apocalypse 3:15-17).
A Éphèse, le péché de l’église était une perte d’intimité avec Jésus. A Thyatire, il s’agissait d’une perte de discernement et du fait de flirter avec la fornication spirituelle. A présent, à Laodicée, nous voyons le pire péché de tous : la perte du besoin de Christ.
Tout cela aboutit à la nudité. Jésus accuse les Laodicéens de leur nudité : « la honte de ta nudité ne paraisse pas » (3:18). Le terme grec utilisé ici pour nudité signifie : « privé de ressources. » Tu vois, Dieu garde Ses ressources pour ceux qui s’appuient sur Lui, qui dépendent de Lui pour leurs besoins. Quelles sont Ses ressources ? Il s’agit de véritables richesses spirituelles : Sa force, Sa puissance accomplissant des miracles, Sa direction divine, Sa présence manifeste.
Imagine une congrégation qui est confortablement assise pendant un culte d’une heure. Ses chrétiens entendent un court message sur la façon d’affronter le stress de la vie, puis ils se retrouvent rapidement dehors. Ils ne ressentent aucun besoin d’être brisés ni contrits devant Jésus. Ils ne ressentent pas le besoin d’être touchés ni convaincus par un message qui les transperce. Il n’y a pas de cris : « Seigneur, fonds-moi, brise-moi. Toi seul peux combler ma faim. »
Où est le zèle dont ils faisaient preuve avant ? Ces croyants étaient auparavant désireux de se rendre à l’église, de méditer longuement la Parole de Dieu, de mettre leur cœur à nu devant la lumière révélatrice de l’Esprit. Mais maintenant, ils pensent qu’ils sont au-dessus de tout ça. Alors, ils ont limité leur christianisme aux dimanches matins – à une religion de tiédeur.
Jésus aimait tellement le pasteur de Laodicée et sa congrégation qu’Il leur a dit qu’Il créerait en eux le besoin de Ses ressources : « Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j’aime. Aie donc du zèle, et repens-toi » (3:19). Sa main aimante allait venir les corriger et Il allait le faire en créant en eux un besoin d’en appeler à Sa puissance et à Son aide.
Christ nous dit la même chose aujourd’hui. Il nous dit, comme Il l’a dit aux Laodicéens : « Il s’agit de souper avec Moi. Il s’agit d’ouvrir la porte quand Je frappe. Et Je vous appelle maintenant à venir dans la communion. J’ai tout ce dont vous avez besoin. Votre communion avec Moi vous donne tout ce dont vous avez besoin pour continuer votre service. Tout doit provenir de notre temps passé ensemble. »
LA PERTE DE LA PRESENCE DE CHRIST
by David Wilkerson | October 28, 2015
L’église d’Éphèse décrite dans Apocalypse 2 avait perdu la présence de Christ. Je vois un parallèle avec le monde d’aujourd’hui. Certaines des personnes les plus endurcies que j’ai connues étaient celles qui travaillaient dans le social. Il s’agissait de travailleurs sincères et dévoués mais la souffrance à laquelle ils étaient confrontés jour après jour devenait tout simplement trop douloureuse pour qu’ils puissent l’affronter. La même chose peut arriver aux chrétiens. Les pasteurs et les anciens voient tant de souffrance et de péché parmi les gens auprès de qui ils travaillent qu’ils peuvent s’endurcir. C’est ce que Jésus disait à ce pasteur d’Éphèse : « A une époque, tu étais si tendre envers les autres. Tu avais un tel amour pour le peuple et tu les écoutais. Mais maintenant tu fais la sourde oreille. Tu t’assois avec eux mais tu t’es endurci pour ne plus entendre leurs cris. Tu exerces ton ministère mécaniquement, sans vie. Je n’ai pas d’autre choix que d’ôter Ma présence d’au milieu de toi. »
Des personnes affamées spirituellement ne resteront pas là où la présence de Jésus n’est pas évidente. Ils ont désespérément besoin de connaître Sa proximité et, lorsqu’ils ne l’expérimentent pas, ils vont ailleurs pour essayer de la trouver. Je reçois de nombreuses lettres avec la même plainte : « Je n’arrive pas à trouver une église qui soit vivante grâce à la présence du Seigneur. »
J’ai été témoin du tragique retour en arrière de nombreux chrétiens qui ont ressenti cela. Ils n’ont jamais trouvé d’église alors ils ont fini assis à la maison, regardant des prédicateurs à la télévision. Ils n’obtiennent jamais de nourriture spirituelle consistante et, avec le temps, la tiédeur s’installe. Rapidement, ils abandonnent l’église. Ils négligent l’assemblée des frères, ce contre quoi Hébreux nous met en garde (voir Hébreux 10:25) et ils deviennent totalement indifférents à Christ et à Sa présence.
Je te le dis, Dieu n’entendra pas les excuses de ce genre de personnes. Jésus peut être ton tout si tu continues à avoir une communion personnelle avec Lui. Peu importe la condition dans laquelle ton église se trouve, tu dois persévérer et Lui réserver un temps précieux. Tu dois te désaltérer avidement de Sa présence si tu veux que Sa Parole soit vivante en toi.
A la lumière de Apocalypse 1-3, chaque croyant doit se demander : « Est-ce que mes bonnes œuvres – mon étude de la Bible et mon service – m’ont dérobé mon temps avec Jésus ? Est-ce que j’ai encore faim de Lui, comme au début ? Ou bien ai-je perdu quelque chose ? »
NOS SOUFFRANCES PRESENTES
by David Wilkerson | October 27, 2015
Peut-être traverses-tu en ce moment une épreuve abominable. Pourtant, tu sais que ce n’est pas parce que Dieu est en train de régler un péché dans ta vie. Alors, tu te demandes pourquoi le Seigneur permet que tu endures une peine aussi terrible.
C’est peut-être parce que la fournaise de ton épreuve est censée t’apporter une révélation qui bouleversera ta vie. C’est exactement ce qui arrivé à Job. Au milieu de sa souffrance, Job a fait une découverte incroyable. Malgré sa pure connaissance de Dieu, il ne connaissait pas réellement le Seigneur. Il a confessé : « Mon oreille avait entendu parler de toi ; Mais maintenant mon œil t’a vu. C’est pourquoi je me condamne et je me repens Sur la poussière et sur la cendre » (Job 42:5-6).
A l’époque où Job a subi cette épreuve, il avait au moins soixante-dix ans, il avait connu Dieu toute sa vie. A un moment donné, Job avait érigé un autel au Seigneur, où il avait passé de nombreuses heures à révérer, prier et adorer Dieu. Pendant des années, Dieu lui avait enseigné Ses voies et Ses mystères. Job avait entendu parler des consolations du Seigneur, de Sa sainteté, de Son caractère, de Sa nature, de Son courroux et Il avait appris ce qu’était la majesté de la puissance et de la sagesse de Dieu.
Pourtant quand l’épreuve ahurissante de Job lui est tombée dessus, il n’était plus du tout capable de voir le Seigneur. Dieu est devenu pour lui un simple terme théologique assez vague, sans plus. Le Seigneur, qui avait été une part si importante de sa vie de tous les jours semblait désormais absent de tout ce que Job traversait. Soudain, Dieu semblait être réduit à une série de sermons, une parole morte, une connaissance sans puissance ni vie derrière elle.
Je crois que c’était ce que Dieu voulait amener à la surface dans la vie de Job, depuis le début. Tu vois, notre Père qui nous aime désire que Ses enfants Le connaissent plus intimement qu’il n’est possible à travers des cultes, des études bibliques ou des réunions de prières. Il veut que nous Le connaissions intimement, dans chaque aspect de nos vies – y compris dans nos épreuves et souffrances les plus profondes. Notre Dieu souhaite être davantage que le Dieu d’une quelconque théologie de lettre morte. Il veut que nous Le connaissions comme un Père omniscient, toujours proche de nous, maintenant tout sous Son contrôle, dans le creux de Sa main.
Notre souffrance actuelle produit forcément une de ces deux choses en nous : soit un endurcissement et un esprit d’incrédulité, soit une glorieuse vision du contrôle de Dieu sur tout ce qui nous concerne.
26/10
POURQUOI SUIVONS-NOUS JESUS ?
by Gary Wilkerson | October 26, 2015
Jean 6 contient pour moi l’un des passages les plus difficiles de toute l’Écriture parce qu’il parle de disciples qui rejettent Christ et s’en vont. C’est une scène dans laquelle des gens ont quitté Jésus littéralement en masse.
Jésus venait juste de nourrir miraculeusement une foule de plusieurs milliers de personnes. Le peuple était surpris et ravi de ce qu’Il avait fait, prêt à suivre ce Messie faiseur de miracles. Mais quand Il les a confrontés à ce qu’ils recherchaient réellement, ils se sont moqués et sont partis en masse.
Une question est sous-jacente dans ce passage, pour tous ceux qui veulent suivre Christ : « Qui dirige ta vie : toi ou Jésus ? » Permettons-nous à Dieu de conduire entièrement nos vies ? Ou essayons-nous de déterminer nous-mêmes ce que Dieu attend de nous ?
Tout chrétien affronte cette question tôt ou tard dans sa marche avec le Seigneur. Dès le début, une bataille a lieu en nous, un choc entre deux cultures qui se font la guerre. D’abord, il y a la culture extérieure, celle du monde, qui nous presse constamment de se demander : « Comment peux-tu tirer profit de cela ? » et puis il y a la culture du royaume de Dieu qui demande : « Comment peux-tu servir le Seigneur et ton voisin ? »
Jésus a prêché le fait que le royaume de Dieu est déjà à l’œuvre dans le monde : « le royaume de Dieu est proche » ( Marc 1:15). En d’autres termes : « Le royaume de Dieu est présent parmi vous. » La majorité de ceux qui écoutaient Christ ce jour-là avaient la mentalité du monde. Ils étaient motivés principalement par ce qu’ils pouvaient gagner pour eux-mêmes. Quand Jésus est venu en offrant des bénédictions, ils ont afflué vers Lui, disant : « Bien-sûr, si Tu pourvois à tous mes besoins, je vais Te suivre. Si Tu guéris les membres malades de ma famille et que Tu réponds à mes prières, oui, absolument, je serais Ton disciple. »
Mais qu’arrive-t-il à l’engagement de notre foi si ces choses ne se produisent pas pour nous ? A quel point sommes-nous engagés envers Jésus lorsque nous réalisons qu’Il n’est pas seulement notre « assistant » dans la vie ? Dans cette scène, les mêmes gens qui ont été si prompts à suivre Christ ont été prompts à Le rejeter. Déçus, ils sont partis, L’abandonnant.
Jésus savait que ça arriverait. C’est pour cette raison que, aussitôt après avoir accompli un grand miracle pour cette multitude, Il les a confrontés : « En vérité, en vérité, je vous le dis, vous me cherchez, non parce que vous avez vu des miracles, mais parce que vous avez mangé des pains et que vous avez été rassasiés » (Jean 6:26). Est-ce vrai aussi pour nous aujourd’hui ? Suivons-nous Jésus principalement à cause de Ses bénédictions, ou parce qu’Il est Seigneur ?
25 octobre
Notre avocat – DPM
Demeurons fermes dans la foi que nous professons.
Jésus est le « souverain sacrificateur de la foi que nous professons » (Hébreux 3:1). Notre profession de foi engage Jésus à être notre souverain sacrificateur, mais malheureusement, le contraire est vrai aussi. Si nous ne professons rien, nous n’aurons pas de souverain sacrificateur. Ce n’est pas que Jésus ait cessé d’être notre souverain sacrificateur, mais nous ne lui laissons pas l’occasion d’exercer ce ministère dans notre vie.
Il est le souverain sacrificateur de la foi que nous professons. Si nous prononçons les bonnes paroles par la foi, en accord avec les Ecritures, alors Jésus s’est éternellement engagé à ce que nous n’ayons pas à en rougir, à ce que nous vivions toujours selon ce que nous professons. Mais hélas, si nous ne prononçons pas les bonnes paroles, nous réduisons notre souverain sacrificateur au silence. Il n’a plus rien à dire en notre faveur dans les cieux.
Jésus est aussi appelé notre « avocat » (1 Jean 2:1). Le terme avocat s’apparente aussi à celui de défenseur. Jésus est l’expert légal qui plaide notre cause dans les cieux. Il n’a jamais perdu un procès. Mais si nous ne professons pas les bonnes choses, il ne peut plus appuyer sa plaidoirie, et par défaut, le procès se retourne contre nous.
Nous réalisons l’importance de professer les bonnes choses, il est donc très important que nous prêtions attention à ce troisième « faisons » cité en Hébreux: « demeurons fermes dans la foi que nous professons » (Hébreux 4:14). Ce principe de la bonne profession de foi occupe une place centrale dans l’évangile, tout comme le fait d’expérimenter le salut personnellement. En réalité, point de salut sans une bonne profession de foi.
Merci Jésus d’être le souverain sacrificateur de la foi que nous professons. Je proclame que les paroles que je prononce de mes lèvres s’alignent sur les Ecritures, Jésus a pris l’engagement éternel de me faire vivre ce que je professe. Je demeurerai ferme dans la foi que je professe. Amen.
23 Octobre
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Confesser les bonnes choses – DPM
Demeurons fermes dans la foi que nous professons.
Je peux illustrer la « confession » par un livre Ne craindre aucun mal (Fear no evil), écrit par Natan Sharansky, un refuznik juif. Sharansky n’était pas chrétien, mais le KGB l’a tout de même arrêté et lui a fait vivre un enfer pendant neuf ans. Lorsque j’ai lu son histoire, j’ai vu dans les actes du KGB une démonstration des plus frappantes de satan et de ses tactiques. En Natan Sharansky, j’ai reconnu la manière de vaincre. C’était un joueur d’échecs chevronné et il avait décidé d’affronter le KGB comme un adversaire aux échecs. En gardant un coup d’avance.
Même s’il n’avait pas foi en un Dieu personnel, il connaissait le concept de Dieu à travers ses racines juives. Beaucoup de prières juives commencent par « Oh! Eternel notre Dieu, roi de l’univers. » Enseignant lui-même l’hébreu, il décida d’écrire une prière qu’il pourrait répéter chaque fois qu’il en aurait besoin. C’était une requête pour que Dieu l’accompagne, protège sa famille et le ramène en Israël. Chaque fois qu’il subissait des pressions, par exemple en attendant un interrogatoire, il répétait cette prière plusieurs fois. Il l’a répétée dix fois par jour pendant neuf ans, ce qui au total se monte à plus de trente mille fois! Combien de chrétiens répéteraient la même prière trente mille fois?
L’un des objectifs du KGB était de pousser Sharansky à formuler la mauvaise confession. Il lui suffisait de dire qu’il était un traître, et ils le relâcheraient. Mais, il a refusé. La bataille a fait rage pendant neuf ans. En se cramponnant à la bonne confession et en réitérant la bonne prière, il a gagné. Il a immigré plus tard à Jérusalem, victorieux.
Combien j’ai été impressionné par les tactiques de satan! Il utilise toutes formes de pressions, toutes sortes d’incitations, toutes sortes de mensonges; tout cela dans un seul but: nous pousser à formuler la mauvaise confession. Cependant, en renouvelant sans cesse la bonne confession, nous le mettons en échec.
Merci Jésus d’être le souverain sacrificateur de la foi que nous professons. Je proclame que nous mettons en échec notre ennemi en maintenant la bonne confession. Je demeurerai ferme dans la foi que je professe. Amen.
LA VALLÉE DE L’OMBRE DE LA MORT – Eric Célérier
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22 Octobre
JE DÉCLARE QUE TU VAS LUI PARLER
Il est très fortement possible qu’il existe quelqu’un, dans votre entourage, à qui vous devez parler, mais que vous ne lui parlez pas, par peur.
Les disciples ont eu peur de parler à la tempête. La peur nous empêche de parler. Les disciples auraient dû parler à la tempête, mais la peur les a amenés à déclarer la mort.
Voici 10 types de personnes envers qui nous avons parfois peur de parler :
1 : Notre conjoint
Certains maris ou épouses ont peur de parler à leur conjoint. Ils ont peur de lui avouer un péché, un événement qui s’est passé. Ils ont peur.
2 : Nos enfants
Certains parents ont peur de parler à leurs enfants. Ils ont peur de dire » Je t’aime « . Certains sont donc enterrés avec des déclarations qui auraient dû être faites, et des secrets qui auraient dû être avoués.
3 : Nos parents
Des enfants ont peur de parler à leurs parents, ils ont peur d’avouer des fautes passées.
4 : Un patron ou un responsable
Certains employés ont peur de leur patron. Ils ont peur de proposer des choses, peur de parler de leurs projets, peur d’exprimer leur sentiment intérieur face à des situations d’injustice, de corruption, ou de mauvaises décisions prises par l’entreprise.
5 : À celui que nous aimons
Certaines personnes ont peur d’avouer leur amour à celui qu’ils aiment, terminant parfois seules dans leur peur.
6 : Aux gens
Certaines personnes ont peur de parler aux gens. Ils ont l’impression que les gens sont méchants, qu’ils ne peuvent faire confiance à personne alors ils restent seuls et isolés. D’autres ont l’impression qu’on se moquera d’eux, alors ils se taisent et restent assis.
7 : À Dieu
Plusieurs ont peur de déclarer à Dieu ce qu’ils pensent au fond de leur coeur. Leur relation avec Dieu devient alors superficielle et fade.
8 : Aux chrétiens
Certains ont peur de parler aux chrétiens de leur entourage. Ils reçoivent des pensées de Dieu, des prophéties et des révélations intérieures réelles, et ils les gardent pour eux. Ils deviennent improductifs pour le royaume.
9 : À soi-même
D’autres encore ont peur de se parler à eux-mêmes. Ils ont peur de dire :
Il devrait pouvoir s’encourager, se dire la vérité, se reprendre, proclamer la Parole de Dieu sur leur vie et leurs situations.10 : Aux incroyants
Beaucoup ont peur des inconvertis. Ils n’osent pas faire le premier pas leur parler, ils n’osent pas les conseiller, ils n’osent pas leur exprimer leur amour et ce que Dieu leur a dit à leur sujet, ils n’osent pas leur parler de Jésus-Christ, ils ont peur de témoigner de leur foi.
Je déclare que tu vas leur parler, et que la peur est morte.
La peur est morte, sans pouvoir et sans puissance. La peur n’a de pouvoir que ce que tu lui permets d’accomplir. Si donc la peur n’est permise que par toi, tu en es donc le maître et le directeur. Tu peux donc licencier ta peur, la renvoyer, la disqualifier, l’éliminer, la rayer de ta vie ! La peur ne nous a jamais amenés à faire le bien. Elle nous a parfois évité de faire le mal, mais elle ne nous a jamais poussés à faire le bien ! Jésus n’a jamais été poussé par la peur. Les apôtres n’ont jamais été poussés par la peur. Ils ont été poussés par l’Esprit de Dieu pour faire des choses extraordinaires et glorieuses, que l’oeil n’avait pas encore vues, et dont l’oreille n’avait jamais encore entendu parler !
Certaines personnes doivent nous entendre parler. Il est écrit dans l’histoire de leur vie qu’elles doivent croiser notre chemin et nous entendre parler. Et Dieu a écrit cela. Et il a inscrit dans notre coeur à l’avance les paroles que nous devons leur apporter. Ce ne seront pas nos paroles, ce seront les paroles de Dieu. Dieu nous donnera les bonnes paroles. Nous commencerons à parler dans l’obéissance, et Dieu achèvera dans la gloire et la bonté. Il est merveilleux.
Si nous ne parlons pas, cette personne à qui nous devons parler ne recevra pas l’information dont elle a besoin pour aller plus loin. Il lui manquera un élément important dans la structure de ce que Dieu avait écrit à l’avance. Elle se trouvera devant nous, et sans le savoir, elle se trouvera précisément devant nous afin que nous lui apportions cette parole.
L’ange a dit aux apôtres :
Le Seigneur a dit à Paul :
Dieu a dit à Ézéchiel :
Un jour le prophète Nathan à dit à Bath-Shéa alors qu’Adonija se soulevait contre la volonté du roi David : Tu parleras au roi…
C’est ainsi que le Saint-Esprit va compléter nos paroles. Il nous faut simplement avancer par la foi, faire confiance à Dieu, faire le premier pas en obéissant à notre témoignage intérieur.
Je déclare que tu vas leur parler !
Déclare avec moi : » Je fais taire la peur, elle ne m’appartient pas, je l’extermine ! Je ne me tairai plus, mais j’irai lui parler. Oui, je lui parlerai, au nom de Jésus-Christ, je lui parlerai ! « .
AU CÅ’UR DU MESSAGE DE JÉSUS
by David Wilkerson | October 22, 2015
La repentance était au cœur du premier sermon après la résurrection de Christ. Pierre a dit à la foule assemblée pour la Pentecôte : « Jésus de Nazareth…vous l’avez crucifié, vous l’avez fait mourir par la main des impies » (Actes 2:22-23).
Quand les gens ont entendu cela, ils ont été puissamment convaincus. La Parole prêchée a touché leur cœur parce que le Saint-Esprit était venu avec toute Sa puissance. Et d’après Jésus, c’est exactement l’œuvre que doit accomplir l’Esprit. Il a dit que le Saint Esprit vient pour « convaincre le monde en ce qui concerne le péché, la justice, et le jugement » (Jean 16:8).
La foule était tellement touchée qu’elle ne pouvait plus bouger. Soudain, devant eux se présentaient le choix entre la vie et la mort. Alors, ils ont crié vers Pierre, lui demandant ce qu’ils devaient faire. Il leur a répondu : « Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés…Sauvez-vous de cette génération perverse » (Actes 2:38-40).
Ce passage illustre la repentance au cœur du message de Jésus. S’il n’y a pas de conviction dans le message – pas de vérité au sujet du péché et de la culpabilité, pas de coup au cœur – alors le Saint-Esprit n’y est tout simplement pas. Il n’est tout simplement pas présent dans une telle prédication.
Pierre ne s’intéressait pas au fait de savoir s’il offensait ou pas la foule à la Pentecôte. Son seul but était de lui montrer la vérité et, quand le Saint-Esprit révèle la vérité, il convainc. Il pénètre profondément et fouille les moindres recoins du cœur.
Malheureusement, cela ne se produit plus dans de nombreuses églises aujourd’hui. Notre ministère reçoit lettres sur lettres répétant toutes le même refrain : « j’ai un voisin à qui je rends témoignage depuis des mois. Je l’ai emmené à l’église, espérant qu’il entendrait une parole sur sa condition et son besoin du Seigneur. Mais mon pasteur n’a pas dit un seul mot sur le péché. Il n’y a jamais un mot qui apporte la conviction, qui énonce la nécessité de la puissance purificatrice et libératrice de Jésus. Alors, mon voisin est reparti conforté encore d’avantage dans son péché. »
Quelle tragédie ! Combien cela doit attrister Dieu de voir que plus de personnes sont confortées dans leur péché à l’intérieur des églises qu’en dehors.
D’après Jésus, personne ne peut être délivré du péché – personne n’affronte la vérité – sans la présence et la puissance convaincante du Saint-Esprit.
20 Octobre
ANNÉES VOLÉES
by Nicky Cruz
Quand mon père a quitté ce monde, il est parti en chantant les louanges de Jésus. Tard dans sa vie, il a renoncé à la sorcellerie, il a renoncé à Satan et il a accepté Jésus comme son Seigneur et Sauveur. Ma mère l’a amené au Seigneur avant qu’il ne meure et, à présent, ils sont tous les deux au Ciel, dansant dans les rues dorées, baignant dans la gloire de Dieu, profitant de leur nouvelle demeure éternelle avec Dieu. Quand je ferme les yeux, je peux presque les entendre éclater en cris d’adoration pour leur nouveau Roi. Leur Sauveur. Leur glorieux rédempteur !
Comme j’aurais aimé que mon père puisse profiter d’une telle vie sur Terre. J’aurais donné tout ce que je possède pour le voir adorer Dieu sur Terre avec autant de passion que celle dont il faisait preuve quand il servait Satan. Il aurait été un témoin si efficace, un évangéliste si puissant, un si grand et si puissant prédicateur de la Parole de Dieu.
Tout ce qu’il faisait, il le faisait avec passion. Sa foi aurait été si réelle, si forte et si inextinguible. Il aurait opéré de si grands miracles. Il se serait confié entièrement en Dieu, aurait bu Sa Parole, L’aurait suivi où qu’Il ait pu le mener ! Son cœur aurait brûlé d’une véritable obsession de l’âme ! Parce qu’il était ce genre d’homme.
Au lieu de ramper devant le diable, il aurait pu passer sa vie à le blesser, à le vaincre, à le battre. Il aurait pu avoir un si grand impact sur le monde. Si seulement mon père avait pu rencontrer Jésus alors qu’il était jeune.
Ne laisse pas Satan te voler ta vie et ton cœur comme il l’a fait pour mon père. Ne te laisse pas séduire par ses mensonges. Ne te laisse pas séduire par ses charmes ni être détourné par ses vaines promesses. Mets ta foi en Jésus. Donne ta vie à Celui qui veut t’élever et non t’abattre. A Celui qui t’aime et qui se soucie de toi. A celui qui apporte la vraie puissance et la force et non des tours de passe-passe mesquins.
Ne laisse pas Satan te voler comme il a volé mon père. Ne le laisse pas t’aveugler à la vérité de la bonté de Dieu. Place ta confiance dans un Dieu extraordinaire !
« Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire ; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu’elles soient dans l’abondance » (Jean 10:10).
Nicky Cruz, évangéliste connu internationalement et auteur prolifique s’est tourné vers Jésus, quittant une vie de violence et de crimes après avoir rencontré David Wilkerson à New York en 1958. L’histoire de sa conversion dramatique a d’abord été racontée dans La Croix et le Poignard par David Wilkerson puis dans son propre best-seller Du ghetto à la vie.
19 octobre
Vous arrive-t-il de trouver la vie trop compliquée ? Ou vous êtes-vous déjà surpris à dire : « Je n’en peux plus. Trop c’est trop ! »
On a tôt fait d’en arriver là dans notre monde, aujourd’hui. Et j’ai constaté que si nous réagissons ainsi, c’est souvent parce que nous ne nous sentons pas libres d’être celui ou celle que Dieu veut que nous soyons et d’obéir à son appel pour notre vie.
Beaucoup de personnes se sentent tellement écrasées par les attentes d’autrui qu’elles en deviennent frustrées et malheureuses et ne savent plus ce qu’elles doivent faire. Mais il est possible de vivre une vie simple, joyeuse et sereine. Le secret consiste à se laisser diriger par le Saint-Esprit et non par les traditions ou les attentes des hommes.
Les traditions font partie de notre vie. Elles ne sont pas forcément mauvaises, mais certaines peuvent nous ravir notre joie.
Les traditions peuvent se définir comme des rites, des cérémonies ou des pratiques d’origine humaine ; elles sont observées pendant une longue période et transmises de génération en génération. Le problème surgit lorsque nous nous sentons obligés de les respecter pour être en règle avec Dieu ou avec d’autres personnes.
Dans Matthieu 15.6, Jésus adresse ce reproche aux pharisiens : « Vous avez annulé la Parole de Dieu au profit de votre tradition ». Des Dix Commandements que Dieu donna initialement à Moïse, les pharisiens du temps de Jésus avaient réussi à tirer plus de 2000 règles et prescriptions. Rien d’étonnant à ce que nous ayons besoin de redécouvrir ce qu’est la grâce !
Quand les traditions deviennent des lois, des règles, des obligations et des attentes que d’autres nous imposent contre notre gré, elles perdent leur véritable sens et nous volent notre joie. Et si nous sommes trop religieux, nous ne serons pas ouverts à la direction du Saint-Esprit et ne pourrons pas vivre une relation d’intimité avec lui.
J’ai constaté que si je suis un schéma préétabli dans mon culte personnel, je ne fais que m’acquitter d’une liste d’obligations pour plaire à Dieu. Ma vie spirituelle perd alors toute sa signification et se résume à une série de devoirs.
Je me souviens d’une époque où Dieu parla à mon cœur et me demanda de ne rien faire pour lui par obligation. Voyez-vous, ce que nous faisons durant le temps que nous passons quotidiennement avec Dieu doit avoir une signification pour nous, faute de quoi nous tombons dans le légalisme. Or les traditions religieuses que nous respectons par obligation ou pour répondre aux attentes d’autrui sont vides de sens et de vie.
Une action pour aujourd’hui
La vie est compliquée. Mais je voudrais vous encourager à chercher le Seigneur de tout votre cœur et à faire ce à quoi il vous appelle. Vivez pleinement votre relation avec lui et découvrez toujours plus votre identité en Christ. Si vous vous laissez simplement diriger par le Saint-Esprit, votre vie sera remplie de paix et de joie.
L’accomplissement des promesses de Dieu – DPM
Soyons zélés.
La plupart des promesses de Dieu sont au conditionnel. En d’autres termes, lorsqu’il fait une promesse, il dit: « Si tu fais ci, je ferai ça. » Nous n’avons aucun droit à réclamer la promesse avant d’avoir d’abord rempli les conditions qu’il a établies d’avance.
Nous devons comprendre que l’accomplissement des promesses de Dieu ne dépend pas de nos circonstances, mais de notre réalisation de ses conditions. Nous devons nous concentrer sur ces conditions, en nous assurant de les exécuter au lieu d’être influencé par les circonstances qui pourraient nous en empêcher.
Regardons l’exemple d’Abraham. Dieu lui avait promis un fils qui devait être son héritier, cependant, il a atteint l’âge de quatre-vingt-dix-neuf ans et, toujours aucun héritier à l’horizon. (De sa propre initiative, il avait engendré Ismaël, mais celui-ci n’était pas censé être l’héritier.) Pourquoi Dieu a-t-il permis qu’Abraham atteigne un âge aussi avancé avant d’accomplir sa promesse? Pourquoi Dieu permet-il que nous arrivions à un stade où les promesses que nous réclamons ressemblent à une impossibilité avant de les accomplir?
Premièrement, il nous purge de toute confiance en nos propres forces. Nous réalisons que si quelque chose doit se faire, Dieu sera le seul à pouvoir le faire. Le corps même d’Abraham était devenu inutilisable en termes de procréation, tout comme le ventre de son épouse. Il ne restait plus aucune voie naturelle par laquelle la promesse pouvait s’accomplir. Abraham a dû fixer son regard sur Dieu exclusivement, le seul capable d’y arriver.
Deuxièmement, lorsque la promesse est finalement accomplie, toute la gloire en revient à Dieu. Souvenez-vous, le but des promesses est de glorifier Dieu. Lorsqu’il reste une possibilité que nous fassions quelque chose de notre propre chef, nous pourrions être tentés de nous en accorder le crédit. Mais si nous atteignons le stade où nous savons que nous ne pourrons pas y arriver de nous-mêmes, notre foi en nous-mêmes disparaît et toute la gloire revient vraiment à Dieu.
Merci Seigneur pour la promesse d’entrer dans ton repos. Je proclame que le but des promesses est de glorifier Dieu. Je serai zélé. Amen.
18 Octobre:
DIEU VEUT T’ADOPTER
Jérémie 29 : 11 : » Je connais, moi, les plans que je prépare à votre intention – déclaration du Seigneur – non pas des plans de malheur, mais des plans de paix, afin de vous donner un avenir et un espoir. » (Version Nouvelle Bible Segond).
Tu n’es pas arrivé(e) par accident, ton existence était voulue et permise par Dieu. Aujourd’hui, je veux déclarer une parole de foi sur ta vie et te dire : Dieu a un plan pour toi.
DIEU VEUT T’ADOPTER
Il veut que tu changes de famille. Faire partie de sa famille est l’un des plans que Dieu a pour toi. Il veut être ton papa. Il veut faire de toi son chef-d’œuvre. Quand tu deviens un enfant de Dieu, tu changes de famille. Tu deviens un membre de la famille de Dieu.
L’adoption biblique est un acte de Dieu par lequel il nous fait entrer dans sa famille. C’est vraiment tout un privilège d’être adopté par Dieu. C’est son plan pour toi et moi.
Pour ceux qui ne connaissent pas beaucoup le langage biblique, comment fait-on pour devenir un enfant adopté de Dieu?
Jean 1 : 12-13 : » 12 Certains pourtant l’ont accueilli ; ils ont cru en lui. A tous ceux-là , il a accordé le privilège de devenir enfants de Dieu. 13 Ce n’est pas par une naissance naturelle, ni sous l’impulsion d’un désir, ou encore par la volonté d’un homme, qu’ils le sont devenus ; mais c’est de Dieu qu’ils sont nés. » (Version Bible du semeur).
Croire et recevoir Jésus en nous fait de nous des enfants adoptifs de Dieu. C’est ce qu’on appelle aussi la nouvelle naissance. Nous ne devenons pas membres d’une religion, nous devenons membres de la famille de Dieu et Dieu est notre papa.
Est-ce qu’on le réalise aujourd’hui ? Nous sommes des enfants que Dieu a adoptés pour que l’on fasse partie de sa famille ! Dieu m’a adopté, alors à mon tour, j’adopte Dieu comme mon père.
Je connais un ami qui a adopté 4 enfants avec sa femme. Aujourd’hui, il considère ces 4 enfants adoptés comme ses propres enfants et ses enfants le considèrent comme leur propre père.
Dieu a un plan pour toi et dans son plan Dieu veut t’adopter. Dieu veut que tu fasses partie de sa famille spirituelle. Il ne veut pas que tu vives une religion avec lui mais une relation intime de papa-enfant avec lui. AMEN !!
Laissez-moi terminer avec le verset suivant :
1 Pierre 1 : 6-7 : » Voilà ce qui fait votre joie, même si, actuellement, il faut que vous soyez attristés pour un peu de temps par diverses épreuves : 7 celles-ci servent à éprouver la valeur de votre foi. Le feu n’éprouve-t-il pas l’or qui pourtant disparaîtra un jour ? Mais beaucoup plus précieuse que l’or périssable est la foi qui a résisté à l’épreuve. Elle vous vaudra louange, gloire et honneur, lorsque Jésus-Christ apparaîtra. » (Version Bible du semeur).
Faire partie de la famille de Dieu apporte ses privilèges et responsabilités mais ça n’enlève pas les épreuves de la vie. Notre foi sur la terre sera toujours éprouvée. Mais c’est pour cela qu’il faut résister à l’épreuve.
Jésus revient bientôt et c’est tellement important de garder la foi en Jésus et rester amoureux de Dieu le Père et de sa famille. Il ne faut pas permettre aux épreuves et souffrances de la vie de nous séparer de l’amour de Dieu.
Qui osera déclarer par sa bouche aujourd’hui mais venant de son cœur :
Romains 8 : 37-39 : » 37 Mais dans tout ce qui nous arrive, nous sommes les grands vainqueurs par celui qui nous a aimés. 38 Oui, j’en suis sûr, rien ne pourra nous séparer de l’amour que Dieu nous a montré dans le Christ Jésus, notre Seigneur. Ni la mort, ni la vie, ni les anges, ni les esprits, ni le présent, ni l’avenir, ni tous ceux qui ont un pouvoir, 39 ni les forces d’en haut, ni les forces d’en bas, ni toutes les choses créées, rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu. » (Version Parole de Vie).
Aujourd’hui je veux vous amener à tomber amoureux de votre papa céleste. Qui a le goût d’être un amoureux de son papa céleste ?
Qui n’a pas encore été adopté par Dieu ? Vous n’avez pas reçu Jésus dans votre vie ? Recevez-le maintenant !
Dieu a un plan pour toi : il veut t’adopter et avoir une relation d’amour avec toi. AMEN !!
Si tu désires répondre concrètement à cet appel, clique sur le lien suivant : www.connaitredieu.com et sois le bienvenu dans la grande famille des enfants de Dieu !
Ajouter des efforts personnels – DPM
Soyons zélés.
Deux magnifiques versets en Proverbes ont longtemps éclairé ma route. Ensemble, ils résument les conditions requises pour être vraiment riche, ou jouir d’une fortune permanente. L’une des conditions est remplie par le Seigneur et nous devons remplir l’autre. Les deux doivent être remplies dans l’ordre afin que nous en obtenions le résultat. Celle que le Seigneur remplit se trouve en Proverbes 10:22: « C’est la bénédiction de l’Éternel qui enrichit, et il ne la fait suivre d’aucun chagrin. »
La condition principale et primordiale de toute richesse authentique (spirituelle ou autre), c’est la bénédiction du Seigneur. Nous ne pouvons pas considérer comme réellement bonne une chose qui n’est pas bénie par le Seigneur. D’un autre côté, la bénédiction du Seigneur n’est pas suffisante en elle-même. En Proverbes 10:4, nous lisons: « Celui qui agit d’une main lâche s’appauvrit, mais la main des diligents enrichit ». Pour accéder à une réelle richesse il faut à la fois la bénédiction du Seigneur et nos efforts personnels. Il n’est pas suffisant d’attendre simplement la bénédiction du Seigneur ni de la recevoir. Elle n’atteindra pas son but dans votre vie si vous ne lui adjoignez pas votre propre zèle. Souvenez-vous que le zèle est le contraire de la paresse.
C’est un verset dont j’ai expérimenté la véracité pendant des décennies de vie chrétienne. J’ai traversé beaucoup de situations différentes, au cours de différents ministères, dans de nombreux pays et continents différents, et je pense pouvoir dire que, par la grâce de Dieu, j’ai toujours fait preuve de zèle dans les petites et les grandes choses. Chaque situation dans laquelle j’ai été impliqué, je l’ai laissée de manière tangible dans de meilleures conditions spirituelles et financières que celles dans lesquelles je l’avais trouvée. La bénédiction du Seigneur enrichit, mais la main des diligents enrichit aussi. Ces deux choses mises ensemble représentent les vraies richesses spirituelles.
Merci Seigneur pour la promesse d’entrer dans ton repos. Je proclame que « C’est la bénédiction de l’Éternel qui enrichit, » et que » la main des diligents enrichit. » Je serai zélé. Amen.
17 octobre
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16 Octobre
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15 octobre
L’importance du zèle
Soyons zélés.
Le zèle représente la seconde résolution impérative que nous sommes exhortés à prendre dans le quatrième chapitre des Hébreux: « Efforçons-nous donc d’entrer dans ce repos, afin que personne ne tombe en donnant le même exemple de désobéissance » (Hébreux 4:11).
J’ai souligné précédemment que cet avertissement était basé sur ce que les Israélites ont vécu pendant leur voyage dans le désert à la sortie d’Egypte. La plupart d’entre eux ne sont pas arrivés en Terre Promise (la destination et le repos que Dieu leur avait promis) à cause de leur inconduite et de leur mauvaise attitude. Et ils sont tombés dans le désert. La Bible dit que leurs cadavres y sont tombés à cause de leur incrédulité et de leur désobéissance (Voir Nombres 14:29,32) Et c’est cette incrédulité et cette désobéissance qui les a empêchés d’entendre la voix de l’Eternel. Ils étaient religieux d’apparence, mais au fond d’eux, ils ne vivaient pas la réalité profonde, essentielle à toute religion authentique, celle d’entendre la voix du Seigneur.
Voici donc l’erreur commise par Israël, une erreur tragique. Après avoir dit: « Craignons » (Hébreux 4:1), l’auteur d’Hébreux (toujours basé sur l’exemple d’Israël) continue en disant: « Efforçons-nous. » Je pense qu’il s’agit-là d’une chose très naturelle. Si nous prenons vraiment à cœur les dangers de cet état spirituel et que nous marchons dans la crainte, comprise dans le bon sens, nous deviendrons naturellement zélés.
Réfléchissons un moment à ce qu’est le zèle. L’une des façons de comprendre le sens profond d’un terme est d’en examiner le contraire. L’un des contraires évidents du zèle est la paresse. La Bible n’en fait aucun éloge. C’est un sujet qui n’est pas suffisamment pris en compte dans le christianisme contemporain.
Merci Seigneur pour la promesse d’entrer dans ton repos. Je proclame que la réalité intérieure, essentielle à toute religion authentique, c’est d’entendre la voix du Seigneur. Je serai zélé. Amen.
14 Octobre
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ERIC CÉLÉRIER :14/10/15
Dans son livre « tu es précieux », Max Lucado présente une allégorie: les Vémiches, petits personnages de bois, se notent en se collant des étoiles pour les plus brillants et des ronds pour les moins doués. Mais l’un d’eux (Punichello) petit et plein de ronds, est tout déprimé car il a beau faire toutes sortes d’efforts, il n’arrive pas à satisfaire les attentes des autres. Il s’en va alors trouver son créateur (Eli) pour découvrir une grande vérité.
« Punichello se mit à rire. Moi d’une grande valeur? Mais en quoi? Je ne sais pas marcher vite, je ne sais pas sauter, ma peinture s’écaille. Pourquoi ai-je de la valeur à tes yeux?
Eli regarda Punichello, posa ses mains sur ses petites épaules de bois, et répondit très lentement: Parce que tu es à moi. Voilà pourquoi tu as de la valeur à mes yeux.
Punichello n’aurait jamais imaginé que quelqu’un le regarderait comme cela, encore moins son créateur. Il ne sut plus quoi dire. »
Peut-être que les gens vous ont collé des étiquettes et vous ont jugé. Pourtant vous aussi vous avez fait toutes sortes d’efforts sans réussir à satisfaire les attentes des autres.
Mais Dieu voit en vous un potentiel extraordinaire. Il vous a créé. Il vous aime. Vous avez une valeur infinie à ses yeux. Vous êtes magnifique!
Il y a un trésor en vous. Vous êtes une personne unique et précieuse!
14 Octobre
CHRIST AIME SON EGLISE
by David Wilkerson | October 14, 2015
Christ aime Son Église. Il a donné Sa vie pour elle et nous dit que les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle (voir Matthieu 16:18). Jésus Lui-même est la pierre sur laquelle est bâtie cette Église et l’Écriture nous dit que Sa gloire et Sa sagesse réside en elle. A la Pentecôte, Il a envoyé Son Esprit-Saint pour établir l’Église et Il lui a fait don de serviteurs oints – des pasteurs, des enseignants, des apôtres, des prophètes et des évangélistes – dans le but de la construire (voir Éphésiens 4:11-12).
Il est clair que le Seigneur désire bénir Son Église alors pourquoi l’Apocalypse dépeint-elle une image effrayante de Christ lorsqu’Il apparaît à Son peuple ? Jean écrit que Jésus vient vers l’Église avec des yeux enflammés et une voix de tonnerre :
« et, au milieu des sept chandeliers, quelqu’un qui ressemblait à un fils d’homme…Sa tête et ses cheveux étaient blancs comme de la laine blanche, comme de la neige ; ses yeux étaient comme une flamme de feu ; ses pieds étaient semblables à de l’airain ardent, comme s’il eût été embrasé dans une fournaise ; et sa voix était comme le bruit de grandes eaux. Il avait dans sa main droite sept étoiles. De sa bouche sortait une épée aiguë, à deux tranchants » (Apocalypse 1:13-16).
L’apocalypse est comme un résumé qui récapitule de la Parole de Dieu. Elle décrit la fin de toutes choses et voici la première image de Christ qui apparaît dans ce livre. Pourquoi Jésus apparaît-Il si menaçant ? Et pourquoi parle-t-Il de façon si incisive à Son Église ? Jean écrit que les paroles de Christ sont aussi coupantes que des épées, tranchant jusqu’à la moelle. Souviens-toi, il s’agit de l’apôtre qui a appuyé sa tête sur le sein de Jésus. Mais à présent, nous le voyons face contre terre : « Quand je le vis, je tombai à ses pieds comme mort » (Apocalypse 1:17).
Le Seigneur Lui-même explique les raisons de son apparence impressionnante : « toutes les Églises connaîtront que je suis celui qui sonde les reins et les cœurs, et je vous rendrai à chacun selon vos œuvres » (Apocalypse 2:23). Le fait est que Christ aime Son Église. Et c’est pour cette raison qu’Il vient la regarder à la loupe. Il vient pour corriger Son peuple dans l’amour, afin de les purifier.
12 Octobre
DPM Choisir de d’adorer et de se reposer
Craignons de manquer l’occasion d’entrer dans le repos de Christ.
Le Psaume 95:7, nous donne deux raisons d’adorer le Seigneur: « Car il est notre Dieu, Et nous sommes le peuple de son pâturage, Le troupeau que sa main conduit. » La première raison d’adorer Dieu, c’est parce qu’il est Dieu, notre Dieu, le seul être dans l’univers digne d’adoration. Nous pouvons chanter les louanges d’autres hommes ou femmes, mais nous ne devons pas les adorer. L’adoration est notre relation particulière à Dieu, en tant que Dieu.
Je suis convaincu que toute chose que nous adorons prend le contrôle sur nous. Plus nous l’adorerons, plus nous lui ressemblerons et plus elle gagnera en pouvoir sur nous. Si nous n’adorons pas Dieu, à quel point est-il réellement notre Dieu?
La deuxième raison de l’adorer est que « nous sommes le peuple de son pâturage. » L’adoration est notre manière de le reconnaître en tant que notre Dieu et c’est l’attitude appropriée en réponse au soin qu’il prend de nous. Ce psaume se termine avec un avertissement solennel:
« Oh! Si vous pouviez écouter aujourd’hui sa voix! N’endurcissez pas votre cœur, comme à Meriba …. Pendant quarante ans j’eus cette race en dégoût, Et je dis: C’est un peuple dont le cœur est égaré; Ils ne connaissent pas mes voies. Aussi je jurai dans ma colère: Ils n’entreront pas dans mon repos ! » (versets 7-8, 10-11)
Ce passage nous présente deux options: entrer dans la véritable adoration ou refuser de le faire. Dans l’adoration, nous entendons la voix de Dieu. Si nous entendons sa voix et que nous lui obéissons, nous entrerons dans le repos. Nous pouvons indéniablement en conclure qu’il est important d’entendre la voix de Dieu. Si nous lisons Jérémie 7:23, « Mais voici l’ordre que je leur ai donné: Écoutez ma voix, et je serai votre Dieu ». Ceci représente une exigence de Dieu des plus simples: « Écoutez ma voix, et je serai votre Dieu. »
Merci Seigneur pour la promesse d’entrer dans ton repos. Je proclame que je choisis d’entrer dans la véritable adoration, d’écouter et d’obéir à ta voix, puis d’entrer dans le repos. Je craindrai de manquer l’occasion d’entrer dans le repos de Christ. Amen.
11 octobre
Avancer, animés d’une crainte salutaire
Craignons de manquer l’occasion d’entrer dans le repos de Christ.
La première déclaration à l’impératif dans le livre des Hébreux est la suivante: « Craignons donc » (Hébreux 4:1). Cela vous surprend-il ou vous offense-t-il? La plupart des chrétiens ignorent la crainte.
Les gens à qui je dois d’être venu au Seigneur étaient un gentil couple qui vivait dans le Yorkshire, en Angleterre. Lorsque nous leur avons rendu visite après la Deuxième Guerre mondiale, ils n’allaient pas bien spirituellement. L’homme pensait que la crainte ne faisait pas partie de la vie chrétienne. J’ai insisté sur le fait que cela dépendait du type de crainte dont il était question. Dans le Psaume 19 il est dit, « La crainte de l’Éternel est pure, elle subsiste à toujours » (verset 9). Ce genre de crainte ne part jamais. Cet homme avait décidé de ne pas faire usage de la médecine, une attitude qui en soi est empreinte d’arrogance. J’ai fait le lien avec l’attitude qui consiste à rejeter toutes sortes de crainte. Fait tragique, il a développé un diabète et ses jambes ont dû être amputées. Le fait que sa foi n’avait pas entraîné sa guérison fut un choc qu’il eut du mal à surmonter. Je pense que le fond du problème résidait dans sa méconnaissance d’une certaine crainte, inhérente à la vie chrétienne. Cet ordre en Hébreux « craignons, » s’adresse à des chrétiens croyants, non pas à des non-croyants. Rappelez-vous qu’il existe toujours la possibilité que nous ne recevions pas ce que Dieu a projeté pour nous. Le verset dans son intégralité précise: « Craignons donc, tandis que la promesse d’entrer dans son repos subsiste encore, qu’aucun de vous ne paraisse être venu trop tard. »
Toute promesse a son revers. Elle vous offre une chose bonne, mais si vous négligez de réclamer la promesse, vous serez privés de quelque chose. Il y a tant de choses bâties sur le même modèle dans la vie chrétienne. Ce qui est bon est mis à notre disposition, mais il y a toujours moyen de passer à côté. Je pense que nous devons entrer dans cette attitude de crainte, de peur de ne pas être capables d’entrer dans le repos de Dieu.
Merci Seigneur pour la promesse d’entrer dans ton repos. Je proclame que je viens à Dieu animé de la crainte salutaire de ne pas entrer dans son repos. Je craindrai de manquer l’occasion d’entrer dans le repos de Christ. Amen.
LE JOUR OU JESUS S’EST MIS EN COLERE
by Jim Cymbala
J’aime l’image de Jésus le Bon Berger, mettant l’agneau sur Ses épaules et le portant en sécurité. J’aime l’histoire de Christ nourrissant les multitudes affamées avec du pain et du poisson. Je m’émerveille de Le voir sortant du tombeau, vivant, au matin de la Résurrection.
Mais il y a une image de Jésus qui, franchement, ne semble pas coller avec le reste. Je me demande pourquoi Dieu l’a même incluse dans la Bible.
» Ils arrivèrent à Jérusalem, et Jésus entra dans le temple. Il se mit à chasser ceux qui vendaient et qui achetaient dans le temple ; il renversa les tables des changeurs, et les sièges des vendeurs de pigeons ; et il ne laissait personne transporter aucun objet à travers le temple. Et il enseignait et disait: N’est-il pas écrit : Ma maison sera appelée une maison de prière pour toutes les nations ? Mais vous, vous en avez fait une caverne de voleurs » (Marc 11:15-17).
« L’ambiance dans la maison de Mon Père » semble dire Jésus, « est sensée être faite de prières. » Le parfum répandu autour de Mon Père devrait être celui de gens ouvrant leur cœur dans l’adoration et les supplications. C’est une maison où l’on en appelle à Dieu. »
Je ne veux pas dire que le temple de Jérusalem, construit par Hérode le Grand, est la contrepartie directe de nos églises d’aujourd’hui. Dieu ne concentre plus Sa présence sur un lieu en particulier. En fait, le Nouveau Testament nous enseigne que nous sommes le lieu où Il demeure désormais. Il vit dans Son peuple. A combien plus forte raison le message de Jésus au sujet de la prééminence de la prière est-il important !
La caractéristique qui est supposée distinguer les églises chrétiennes, chacun des chrétiens et les rassemblements chrétiens, c’est le parfum de la prière.
Est-il écrit, où que ce soit dans la Bible, depuis la Genèse jusqu’à l’Apocalypse : « Ma maison devrait être une maison de prédication »? Est-ce qu’il est dit quelque part : « Ma maison sera appelée une maison de musique »? Bien sûr que non. La Bible dit : « ma maison sera appelée une maison de prière pour tous les peuples. »
L’honnête vérité, c’est que j’ai vu Dieu faire d’avantage dans la vie des gens en dix minutes de réelle prière qu’en une dizaine de mes sermons.
Jim Cymbala a ouvert l’église de Brooklyn Tabernacle avec moins de vingt membres dans un petit immeuble délabré dans un quartier difficile. Né à Brooklyn, il est un ami de longue date à la fois de David et de Gary Wilkerson et un intervenant fréquent lors des conférences d’Expect Church Leadership organisées par World Challenge dans le monde entier.
10 Octobre
Une attitude d’adoration – DPM
Craignons de manquer l’occasion d’entrer dans le repos de Christ.
Nous pouvons réfléchir aux questions suivantes en méditant l’appel à entrer dans le repos de Dieu: Faisons-nous le meilleur usage de notre temps? Savons-nous vraiment ce que signifie se reposer? Sommes-nous capables de nous discipliner à stopper nos activités, même mentales? Pouvons-nous nous étendre et cesser de penser à ce que nous devrions faire?
Dieu se préoccupe plus de notre caractère que de nos réussites. Les réussites sont importantes seulement dans le domaine temporel, mais le caractère est éternel. Il détermine ce que nous serons dans l’éternité.
Esaïe a eu une vision des cieux et des glorieuses créatures qui entourent le trône de Dieu. (Lire Esaïe 6.) L’adoration était conduite dans les cieux par des créatures appelées des séraphins (en Hébreux, seraph),Un terme directement lié à celui de feu. Ces créatures ardentes entouraient le trône de Dieu en criant jour et nuit: « Saint, saint, saint est l’Éternel des armées! » (Esaïe 6:3). Chacune d’elles avait six ailes et leur usage était éloquent. Deux d’entre elles leur couvraient la face, deux autres les pieds et les deux dernières leur servaient à voler. (Lire le verset 2.) J’interprète le fait de se couvrir la face et les pieds comme étant l’humilité de l’adoration, et celui de voler comme étant un acte de service.
Je crois en l’importance de rendre grâces Dieu et de le louer à voix haute, y compris en dansant, en tapant des mains et en chantant. Mais, il vient un temps où je couvre mon visage et mes pieds de mes ‘ailes’, dans une attitude humble d’adoration et d’écoute pour entendre ce que Dieu a à me dire. « Oh! si vous pouviez écouter aujourd’hui sa voix! N’endurcissez pas votre cœur. »(Psaume 95:7-8). Développez une attitude d’adoration et apprenez à vous reposer. Rappelez-vous que l’esprit du Seigneur recherche un certain type de personne, celle dont le cœur est parfait envers Dieu. Soyez une personne d’un tel caractère et Dieu se montrera fort à votre place.
Merci Seigneur pour la promesse d’entrer dans ton repos. Je proclame que je développerai une attitude d’adoration et que j’apprendrai à me reposer. Je craindrai de manquer l’occasion d’entrer dans le repos de Christ. Amen.
VIENS A LA SAINTE MONTAGNE DE DIEU
by David Wilkerson | October 9, 2015
Esaïe a vu l’humiliation de Satan. Il a aussi regardé Dieu abattre toute la puissance et la fierté des principautés du mal. « Car la main de l’Éternel repose sur cette montagne ; Et Moab est foulé sur place, Comme la paille est foulée dans une mare à fumier » (Esaïe 25:10).
Esaïe le dit clairement : l’humiliation de Satan aura lieu sur la montagne, dans le lieu de prière et d’adoration, là où la présence de Christ est manifeste. Moab était un ennemi au temps d’Israël. Mais il est devenu un symbole qui représente tout ce qui est mauvais et satanique.
Pierre a prêché que la vision d’Esaïe s’accomplissait déjà dans l’église de Jérusalem. « Mais Dieu a accompli de la sorte ce qu’il avait annoncé d’avance par la bouche de tous ses prophètes, que son Christ devait souffrir. Repentez-vous donc et convertissez-vous, pour que vos péchés soient effacés, afin que des temps de rafraîchissement viennent de la part du Seigneur » (Actes 3:18-19). Le raisonnement de Pierre était le suivant : si toutes les prophéties concernant Christ avaient été accomplies à la lettre, alors toutes les autres prophéties s’accompliraient. Et cela inclut des temps de rafraîchissement par le fait d’être dans la présence du Seigneur.
Esaïe se réfère à de tels temps de rafraîchissement (voir Esaïe 28:12). Il s’agit de temps où Dieu choisit de réveiller et de guérir. Et Il le fait, non pas parce que nous l’avons mérité, mais pour la gloire de Son propre nom. Pierre a vu l’accomplissement de ces choses à la Pentecôte : la présence de Christ était manifeste, apportant renouveau et rafraîchissement à une foule de plusieurs milliers de personnes. Des multitudes ont été libérées, y compris des familles entières. Nous le voyons plus tard quand Pierre a apporté la présence de Jésus dans la maison de Corneille, et que toute sa maisonnée a été sauvée.
En ce moment-même, je crois que nous sommes au tout début du dernier renouveau. Nous allons voir des familles délivrées de la captivité. Des millions de rétrogrades vont voir leur voile être ôté et des fils et des filles rebelles seront rendus à leurs parents.
Quelle est notre part ? Nous devons faire ce que Daniel a fait lorsqu’il a lu les prophéties de Jérémie et qu’il a discerné les temps dans lesquels il vivait : « Je tournai ma face vers le Seigneur Dieu, afin de recourir à la prière et aux supplications, en jeûnant et en prenant le sac et la cendre » (Daniel 9:3). Daniel a fait ce que nous sommes appelés à faire : venir à la sainte montagne de Dieu. Que tous les serviteurs dévoués de Jésus Christ, en ces temps de la fin, se réunissent là !
8 Octobre:
DES MIRACLES POUR LE PEUPLE DE DIEU DES DERNIERS TEMPS
by David Wilkerson | October 7, 2015
» Et, sur cette montagne, il anéantit le voile qui voile tous les peuples, La couverture qui couvre toutes les nations » (Esaïe 25:7).
Voilà deux magnifiques prophéties. La première concerne les juifs. Le voile dont parle Esaïe se réfère à la cécité spirituelle qui a couvert le cœur des juifs depuis l’époque de Moïse. L’apôtre Paul parle abondamment de cet aveuglement.
« une partie d’Israël est tombée dans l’endurcissement, jusqu’à ce que la totalité des païens soit entrée… Le libérateur viendra de Sion, Et il détournera de Jacob les impiétés » (Romains 11:25-26).
Paul croyait ce qu’Esaïe avait prophétisé au sujet d’Israël, que le Libérateur ôterait le voile de l’aveuglement. Un reste juif allait se tourner vers le Seigneur et obtenir Sa miséricorde (voir 11:30). Bien-aimé, cette prophétie s’accomplit en ce moment. Dans le monde entier, les yeux des juifs s’ouvrent à Christ. Un magazine païen a rapporté que les juifs ont un nouveau regard sur Jésus. C’est tout ce qu’il faut – juste un regard.
Mais la prophétie d’Esaïe a également un deuxième sens, qui concerne notre famille proche. Elle s’applique à toute épouse, tout enfant, tout membre de la famille que Satan a couvert d’un voile d’aveuglement spirituel. Je reçois de nombreuses lettres de la part de parents qui écrivent que leurs enfants ont été aveuglés par l’Ennemi. Ils ont élevé leurs enfants dans un environnement chrétien mais maintenant, les parents sont confus et étonnés, disant : « Je ne comprends pas ce qui s’est passé. Ils ne croient tout simplement pas. Rien de ce que je leur dis ne les atteint. »
Paul dit que le dieu de ce monde a aveuglé ces jeunes. Ils ont perdu la foi parce que l’Ennemi les a coupés de la lumière de l’évangile. Il ne sert à rien pour les parents d’essayer de chercher une raison profonde derrière tout cela. C’est l’œuvre de Satan. Il veut garder cet enfant lié, confus et dans le péché. Le problème est hors d’atteinte des conseils, prédications ou stratégies parentales. Il requiert un miracle, purement et simplement.
Notre bataille doit se dérouler dans l’Esprit. Après tout, nous combattons contre l’esprit du dieu de ce monde. Et cet esprit mauvais ne peut être affecté que par notre banquet sur la montagne. Il va falloir la présence de Christ dans notre vie, telle que nous ne l’avons jamais connue. Seule la réalité manifeste de Jésus fera fondre les liens de Satan tels de la cire, le rendant impuissant contre nos bien-aimés.
7 Octobre:
6 octobre
LA PRESENCE DE JESUS
by David Wilkerson | October 6, 2015
Est-ce que ceux qui te rendent visite ressentent la présence de Jésus dans ton foyer ? Est-ce que le parfum de Sa sainteté imprègne ta famille, ton mariage, tes relations ? Y a-t-il des larmes d’intercessions de la part des membres de ta famille, des cris venant de cœurs brisés, un désir sincère de rétablir ce qui est mal ? Ou est-ce que c’est la chair qui règne ?
Tout foyer chrétien devrait être un lieu élevé, une montagne de séparation par rapport au monde et à la chair, un saint banquet avec Christ. Mais tout cela ne se produit pas dans de nombreux foyers chrétiens parce qu’ils ont été souillés par l’impureté. Les obscénités, la vile méchanceté est admise à travers la télé et internet.
Combien les anges doivent être stupéfaits lorsqu’ils voient un tel mal dans les foyers qui devraient cultiver la présence de Jésus. Des multitudes de chrétiens passent maintenant leur temps à tremper dans la pornographie sur internet, à louer des vidéos sensuelles, à s’abreuver de la corruption à la télé et payant même pour aller voir des films qui blasphèment le nom de Christ. Et ensuite, ils se demandent pourquoi le linceul de la mort spirituelle plane au-dessus de leur foyer.
C’est le travail du Saint-Esprit d’apporter et de maintenir la présence et la puissance de Christ dans nos foyers, nos églises, notre cœur. Mais des multitudes continuent à attrister l’Esprit par l’idolâtrie. Quel est le sens de prier pour nos bien-aimés qui ne sont pas sauvés alors même que nos propres foyers sont souillés ?
Dieu a l’intention d’accomplir une incroyable série de miracles qui vont submerger notre esprit et notre cœur. Et Il a prévu tout cela depuis avant même la création du monde. S’Il a conçu un tel plan d’alliance, alors il se déroulera. Mais certains n’iront pas à la table du festin. Ceux qui sont devenus tièdes, aimant leur confort, ceux qui se sont livrés aux plaisirs du monde – à sa folie – aucun d’eux ne sera au festin.
Le prophète Esaïe décrit ceux qui sont présents à la table du banquet ainsi : « L’Éternel des armées prépare à tous les peuples, sur cette montagne, Un festin de mets succulents, Un festin de vins vieux, De mets succulents, pleins de moelle, De vins vieux, clarifiés » (Esaïe 25:6). Cela nous parle de ceux qui ne se satisfont pas du lait de la Parole de Dieu. Ces serviteurs aiment les réprimandes de leur Seigneur. Ils ont faim de vérité consistante, d’une parole sainte venant de bergers testés et éprouvés, d’un message enflammé par le Saint Esprit. Et ils recherchent la Parole de Dieu quotidiennement, pour eux-mêmes, assoiffés de goûter à son vin vieux et clarifié.
5 Octobre
Aujourd’hui encore, le même Esprit qui se mouvait au-dessus des eaux au commencement du monde, veut se mouvoir dans votre vie.
Là où le Saint Esprit a la liberté de manifester sa présence, trois bénédictions vont arriver :
1. La voix du Père se fera entendre
– Cette voix divine et douce témoignera dans votre cœur : « Tu es mon fils, ma fille bien aimé (e) » Luc 3.22
– Elle vous guidera : « …Voici le chemin, marchez-y… » Esaïe 30.21
– Elle vous encouragera : « Fortifie toi et prend courage… » Josué 1.6
2. La lumière jaillira dans vos ténèbres Genèse 1.3
Peut-être vous êtes-vous réveillé oppressé ce matin, et comme environné par les ténèbres de ce monde : soucis, fardeaux, douleurs…? Alors, tournez-vous sans tarder vers la Parole de Dieu. Remplissez votre bouche d’actions de grâce et la lumière de joie, de paix, jaillira de votre cœur pour repousser toutes formes d’oppression de votre vie.
3. Un jour nouveau se lèvera pour vous Genèse 1.5
Ce jour nouveau peut être le vôtre aujourd’hui, si vous prenez la décision de marcher dans la communion du Saint-Esprit.
Une prière pour aujourd’hui
Seigneur, je veux laisser l’Esprit de Dieu se mouvoir dans ma vie et manifester sa présence en moi. Je crois qu’un jour nouveau va se lever parce que j’ai pris la décision de marcher dans la communion du Saint-Esprit. Au nom de Jésus. Amen.
4 Octobre
NE PAS AVOIR PEUR DU LENDEMAIN
Shalom à vous tous qui cherchez la face de Dieu et qui poursuivez la course !
La couronne de gloire est réservée à celles et à ceux qui persévèreront jusqu’au bout !
LA PEUR : DIEU EN PARLE DANS SA PAROLE ET NOUS DONNE DE NOMBREUSES PROMESSES POUR QUE NOUS EN SOYONS LIBRES !
La peur a touché tous les êtres humains et ce, dès la chute. Adam et Ève sont les premiers à avoir ressenti de la peur. Ils ont eu peur de Dieu alors qu’il ne les avait pas créés avec ce sentiment. La peur est venue à eux par le péché. Ils ont eu peur du châtiment de Dieu lorsqu’ils ont compris qu’ils lui avaient désobéi.
La peur a toujours une cause et bien souvent, elle génère des conséquences. La plupart du temps, les gens ont des phobies en lien avec leur vécu. Par exemple, une personne mordue par un serpent risque d’avoir peur à la vue d’un simple ver de terre.
POURQUOI EST-CE QUE LES GENS ONT PEUR ?
Les études disent que l’une des peurs d’un bébé est de tomber. Dès que tu le lâches, il a une sensation particulière et il exprime une émotion. Certains enfants vont rigoler et d’autres, pleurer.
Dieu n’a pas créé la peur pour nous faire du mal. Il a créé la crainte de l’Éternel, la crainte de sa parole afin que nous lui obéissions et que nous le respections. C’est le péché qui a amené la peur et aujourd’hui, la majeure partie des gens a peur.
Plus de 54% des français ont peur du lendemain. Pourquoi ont-ils peur ? Leur peur est de devenir SDF. Qu’est-ce qu’un SDF ? Il s’agit d’une personne sans domicile fixe. Il s’agit de quelqu’un qui n’a pas de lieu fixe où se loger car elle n’a pas suffisamment de salaire pour cela. Il s’agit d’une personne qui n’a pas de quoi se nourrir et qui porte les mêmes vêtements tout le temps car elle n’a pas les moyens d’en changer. C’est une personne qui est rejetée, repoussée en dehors de la société.
Près d’un français sur deux a donc peur de devenir ainsi ! Peur pour la nourriture, peur pour le vêtement, peur de ne pas trouver du travail, peur de ne pas être aimée, peur de ne pas réussir.
UN EXEMPLE PERSONNEL
Un jour, j’ai vécu une expérience particulière. Habituellement, je n’avais pas de peur. J’irais même jusqu’à dire que je ne comprenais pas que les gens puissent avoir peur. Or, ce jour-là , je devais aller chercher les résultats de mon bac. J’ai ressenti une forte émotion dans mon ventre, comme des vibrations. J’étais courbé, je n’arrivais pas à me tenir debout. J’avais peur du résultat. J’avais peur de la honte, des critiques. J’avais peur de décevoir mes parents ou de leur faire honte. Je savais qu’on n’allait pas me tuer, me condamner ou m’emprisonner en cas d’échec mais tout de même, j’avais peur !
Beaucoup de gens sont ainsi liés par la peur de choses vaines. Ils sont dans une crainte totale car quelqu’un leur a dit qu’ils ne réussiront pas. Ils n’arrivent pas à sortir de chez eux, ils ne peuvent pas écrire une lettre de motivation pour trouver un emploi à cause de la crainte qu’on leur dise » non « . Beaucoup n’osent pas témoigner de l’évangile car ils ont peur d’être rejetés.
Beaucoup n’arrivent pas à avancer et restent dans un état de timidité qui les enferme.
Qu’est-ce que la timidité ? C’est la peur d’affronter ! La personne a peur de parler. La plupart du temps, il y a des timides qui sont réservés mais il y a aussi des timides qui ont peur de parler, de dire » bonjour » à quelqu’un, par crainte d’être rejetés. Certains ont vécu des rejets émotionnels et sont devenus malades dans leur âme, s’éloignant toujours plus des autres et de Dieu. Ces personnes ont été rejetées par leurs parents et elles ont peur. Elles n’arrivent pas à aimer Dieu et elles en ont peur.
Dieu ne veut pas que l’on ait peur de lui. Il veut qu’on le craigne, ce qui est totalement différent !
En 1 Samuel 17, nous lisons que tout Israël avait peur de Goliath.
En l’occurrence, Dieu cherchait une personne qui mettrait sa confiance en lui pour qu’il manifeste sa gloire. Il cherchait une personne, certaine de sa toute puissance pour renverser Goliath et lui donner la victoire ! Israël ne pouvait pas ! Toute la troupe avait la phobie de Goliath !
Quel est ton Goliath ? Qui est-il ? Quel est le défi de ta vie ? Quelle victoire dois-tu prendre ? La première chose que tu dois faire, c’est de ne plus avoir peur.
Dieu nous donne tant de promesses dans sa parole. En voici certaines :
Je veux te dire aujourd’hui : réjouis-toi car c’est le jour que l’Éternel a fait. Réjouis-toi car c’est le jour de ta victoire. N’aie plus peur du lendemain. Dieu est capable, il est fidèle. Dieu a déjà accompli ton lendemain car il a de bons projets te concernant. N’aie plus peur ! La victoire est pour toi, dans tous les domaines de ta vie !
Affronte tes Goliath, au nom de Jésus-Christ de Nazareth ! Amen.
http://www.enseignemoi.com/david-storm/video/ne-pas-avoir-peur-du-lendemain-40828.html
Rappeler au souvenir du Seigneur – DPM
Demandez la paix de Jérusalem ; ceux qui t’aiment prospéreront.
En Esaïe 62, Dieu nous invite à une prière intense et persévérante pour Jérusalem en particulier:
« Sur tes murs, Jérusalem, j’ai placé des gardes; ils ne se tairont ni jour ni nuit. Vous qui la rappelez au souvenir de l’Éternel, point de repos pour vous! Et ne lui laissez aucune relâche, Jusqu’à ce qu’il rétablisse Jérusalem Et la rende glorieuse sur la terre. » (Esaïe 62:6-7)
Dans le Nouveau Testament, Jésus raconte cette parabole du juge inique qu’une veuve sollicitait incessamment. Jésus conclut en posant cette question: « Et Dieu ne fera-t-il pas justice à ses élus, qui crient à lui jour et nuit, et tardera-t-il à leur égard? » (Luc 18:7). Ces deux passages indiquent que certains sujets sont si importants et si urgents qu’ils exigent que nous priions non seulement le jour, mais aussi la nuit. Le rétablissement de Jérusalem est l’un de ces sujets.
Le prophète Esaïe décrit également ces « gardes » comme ceux « qui la rappelle au souvenir de l’Eternel. » Le mot hébreu littéral traduit par « rappeler » est intéressant. Il signifie « Ceux qui appellent l’Eternelà se souvenir. » Dans l’hébreu moderne, c’est le terme employé pour secrétaire. L’une des tâches importantes d’un(e) secrétaire est de rappeler à son employeur tous les rendez-vous de son agenda. Cela nous fournit un éclairage particulier sur ce que Dieu attend de nos prières pour Jérusalem. En tant que ses « secrétaires-intercesseurs, » nous avons deux attributions majeures: premièrement, nous familiariser avec son agenda prophétique et deuxièmement, lui rappeler tous les rendez-vous qui y sont inscrits. L’un de ces rendez-vous est l’engagement que Dieu a pris de rétablir Israël et de rebâtir Jérusalem à la fin des temps.
Merci Seigneur pour les bénédictions que tu promets à ceux qui aiment Israël. Je proclame que je vais rappeler le Seigneur au souvenir « jusqu’à ce qu’il rétablisse Jérusalem et la rende glorieuse sur la terre. » Je prie pour la paix de Jérusalem: « ceux qui t’aiment prospéreront ». Amen.
3 Octobre:
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1er octobre
DANS LES DERNIERS TEMPS
by David Wilkerson | October 1, 2015
Nous vivons dans la période biblique décrite sous les termes « la pluie de l’arrière saison » et le plan de Dieu s’est mis en marche. Dans le monde entier, les hautes murailles des villes de Satan sont mises à bas.
Pense à ce qui est arrivé au communisme. Des murailles ont été abattues au sens littéral du terme en Allemagne, en Russie et dans tout l’Est de l’Europe. Des millions de gens qui vivaient autrefois sous la tyrannie de Satan ont été libérés et nombre d’entre eux entendent l’évangile être prêché, pour la première fois. Un « peuple puissant, » autrefois endurci par le péché, loue Dieu désormais.
Je te le dis, nous vivons une époque spéciale. Je n’ai jamais rien vu de tel pendant mes plus de cinquante années de ministère. Notre équipe a mené une campagne d’évangélisation au Niger et 500,000 personnes sont venues à Dieu en une seule nuit. On voit une faim pour Dieu qui semble sans précédent et nous voyons des choses se produire dont je n’aurais jamais rêvé la possibilité.
Une de ces merveilles se produit en Iran. Il y a plusieurs dizaines d’années, mon livre La Croix et le Poignard a été imprimé en secret, là -bas. On estime que 25,000 copies ont été en circulation. Le film Jésus a également été montré en secret à des centaines de groupes. Maintenant, des centaines de milliers d’iraniens sont sauvés au travers des messages de l’évangile tels que ceux-là .
J’ai récemment reçu un émouvant rapport au sujet d’un programme d’aide contre la drogue de Teen Challenge dans un pays du Moyen Orient que je ne peux nommer. Ce pays islamique est rempli d’alcoolisme et de drogue. Le gouvernement admet que le problème les dépasse et, pourtant, grâce à la puissance libératrice de Jésus Christ, le programme de Teen Challenge a permis à des centaines de gens d’être diplômés et d’être sauvés, délivrés et libérés.
L’un des diplômés est maintenant le superviseur d’une dénomination de Pentecôte là -bas. Il dit que le plus grand baron de la drogue du pays a assisté à la cérémonie des diplômes de Teen Challenge. Cet éminent leader islamique a entendu des douzaines de jeunes hommes se lever et témoigner de la façon dont Jésus les a guéris de leur addiction (ce que ce baron ignore probablement, c’est que plus d’une centaine de ces diplômés sont repartis démarrer des églises dans tout le pays). Le gouvernement reconnaît aujourd’hui Teen Challenge comme le programme de désintoxication le plus efficace du pays.
Cela se produit dans le monde entier de façons incroyables : « Les murailles de la ville de Satan sont abattues !
Prier pour la paix de Jérusalem
Demandez la paix de Jérusalem ; ceux qui t’aiment prospéreront.
En Genèse 12:2-3, nous lisons la promesse originelle de Dieu à Abraham lorsqu’il lui a demandé de quitter Ur en Chaldée et de partir pour un autre pays:
« Je ferai de toi une grande nation, et je te bénirai; je rendrai ton nom grand, et tu seras une source de bénédiction. Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront; et toutes les familles de la terre seront bénies en toi. »
Le peuple juif représente l’archétype par rapport auquel toutes les autres nations seront jugées. Les Ecritures nous donnent un avertissement à ce sujet: « Qu’ils soient confondus et qu’ils reculent, tous ceux qui haïssent Sion! » (Psaume 129:5). Toute nation qui s’oppose au dessein de Dieu de rétablir Sion sera confondue et devra reculer. Les nations détermineront leur destinée par la façon dont elles agiront envers le rétablissement du peuple de Dieu.
Dans le psaume122:6, nous trouvons une magnifique promesse familière à propos des bénédictions pour ceux qui s’aligneront sur les desseins de Dieu pour Jérusalem, pour Israël et pour le peuple de Dieu: « Demandez la paix de Jérusalem ; ceux qui t’aiment prospéreront.«
Nous ne pouvons pas adopter simplement une attitude neutre et dire: « Voyons ce qui se passera ». Nous devons nous conformer activement à ce que Dieu dit dans sa parole et à son action dans l’histoire.
La manière principale d’y procéder c’est par nos prières. Nous pouvons prier pour la paix de Jérusalem et pour son rétablissement: pour que Jérusalem devienne tout ce que Dieu a déclaré qu’elle serait dans sa Parole. A ceux qui prient et se sentent concernés, voilà la promesse: « ceux qui t’aiment prospéreront. »
Merci Seigneur pour les bénédictions que tu promets à ceux qui aiment Israël. Je proclame que ceux qui prient et se sentent concernés par Jérusalem prospéreront. Je prie pour la paix de Jérusalem: « ceux qui t’aiment prospéreront ». Amen.
30 septembre
UNE INCROYABLE VISION
by David Wilkerson | September 30, 2015
Esaïe 25 décrit une incroyable vision. Le prophète Esaïe est transporté dans le futur, aux tous derniers jours. Les commentateurs bibliques sont d’accord pour dire qu’il s’agit d’une des images les plus claires de l’Écriture, concernant les derniers temps. Esaïe nous montre précisément ce que Dieu a en réserve pour les nations et pour Son Église, juste avant la fin. Et nous vivons dans ces temps qu’Esaïe a décrit.
Dans les cinq premiers versets, Esaïe souligne ce que Dieu a en réserve pour les nations. En un instant, Dieu réduit l’empire de Satan en ruines. Et soudain, les nations maintenues sous la tyrannie démoniaque sont libérées. Esaïe éclate en une louange pleine de jubilation à cette vue : « O Éternel ! tu es mon Dieu ; Je t’exalterai, je célébrerai ton nom, Car tu as fait des choses merveilleuses ; Tes desseins conçus à l’avance se sont fidèlement accomplis » (Esaïe 25:1). Il dit : « Seigneur, Tu n’es jamais pris par surprise. Tu as accompli de grandes merveilles dans le passé et, maintenant, Tu as un plan pour cette heure. Tu l’as préparée depuis la fondation du monde. »
Tandis qu’Esaïe regarde le plan de Dieu se dérouler, il frissonne jusqu’au plus profond de son être. Il s’exclame, pour les générations à venir : « Dans les derniers temps, Dieu va écraser et annihiler la puissance de Satan. Ces palais d’êtres démoniaques étranges seront réduits à des monceaux de ruines et les villes de diable seront réduites à des tas de poussière. »
Les chaînes commencent à tomber des foules qu’elles liaient. Elles sont libérées des prisons sataniques de la peur et du péché. Esaïe les nomme « peuples puissants, » ce qui signifie : « un peuple autrefois endurci par le péché. » Et il nous dit que ces mêmes peuples commencent à glorifier Dieu. Pendant des années, ils ont été terrifiés par leur oppresseur, Satan, mais maintenant, ils ne craignent plus que le Seigneur, Celui qui les a délivrés.
A ce moment là , le monde entier verra s’accomplir le verset quatre : « Tu as été un refuge pour le faible, Un refuge pour le malheureux dans la détresse, Un abri contre la tempête, Un ombrage contre la chaleur ; Car le souffle des tyrans est comme l’ouragan qui frappe une muraille » (25:4).
Je vois ces choses se produire pour des millions de gens dans le monde entier. Le pauvre en esprit devient fort. Ceux qui sont dans le besoin sont sauvés. Et ceux qui sont dans la détresse trouvent la paix en abondance. Christ est devenu leur protection, leur refuge, leur défenseur, leur abri. Quand une bourrasque de tentation enflammée vient vers eux, elle ne fait que heurter un mur saint qui les entoure et elle se désintègre. Et les attaques autrefois féroces de Satan tombent sur le sol, inoffensives.
UNE VIE RICHE ET SATISFAISANTE
by Gary Wilkerson
Pour illustrer la vie riche et satisfaisante que Jésus a en réserve pour nous, Il utilise l’image de la bergerie. » Je suis la porte. Si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé ; il entrera et il sortira, et il trouvera des pâturages » (Jean 10:9). Dans la bergerie, Ses brebis sont à l’abri de tous leurs ennemis. Elles paissent dans les « bons pâturages » du royaume de Dieu, jouissant de la santé, de la paix et de la liberté.
C’est de cette vie bénie que notre ennemi, le diable, cherche à nous priver. Satan est déterminé à détruire notre précieuse foi et Jésus le décrit comme un voleur qui s’introduit dans la bergerie : « Celui qui n’entre pas par la porte dans la bergerie, mais qui y monte par ailleurs, est un voleur et un brigand… Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire » (Jean 10:1-10).
S’il y a bien une chose que Satan cherche à nous dérober, c’est la vie que Dieu a préparée pour nous. Il le fait en cherchant à nous ôter du « bon pâturage » (c’est-à -dire de la nourriture spirituelle cruciale) que Jésus nous a donnée. Les chrétiens immatures y sont plus sensibles, tant qu’ils restent à une nourriture essentiellement à base de « lait, » ne passant pas à la viande de la Parole de Dieu. Ils sont tout particulièrement exposés aux ruses de Satan en période de crise. Ils tombent dans une spirale de panique, alimentée par la peur et les soucis, pensant : « Je ne sais pas comment prendre une décision. Où es-Tu, Seigneur ?
J’ai vu cela très souvent lorsque je faisais partie de l’équipe pastorale de Times Square Church à New York. L’enseignement dont se nourrissaient les gens dans notre église était consistant, tiré d’une étude poussée de la Parole de Dieu. Imagine le choc que je ressentais quand des paroissiens me disaient qu’ils avaient manqué la réunion pour aller écouter un charlatan focalisé uniquement sur l’argent. Comment pouvaient-ils faire cela après un régime basé sur de la nourriture biblique consistante ?
Cela nous amène à un deuxième obstacle que tous les chrétiens affrontent : l’évangile attrayant d’un faux docteur. Jésus a enseigné : « [Mes brebis] ne suivront pas un étranger ; mais elles fuiront loin de lui, parce qu’elles ne connaissent pas la voix des étrangers » (10:5). De tels « étrangers » ressemblent en apparence, dans le discours et l’habillement, à tout bon pasteur. Mais l’évangile qu’ils prêchent conduit peu à peu les gens loin du « bon pâturage » riche et satisfaisant de Christ, jusqu’à la destruction de leurs âmes.
Il est absolument indispensable que nous apprenions à reconnaître la voix de notre Bon Berger et que nous soyons capables de la distinguer des voix des faux bergers. Comment ? En nous nourrissant de la nourriture que notre Berger nous a si généreusement fournie : « Ainsi la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la parole de Christ » (Romains 10:17). La seule façon de détecter un imposteur, c’est de connaître intimement l’original. Ce n’est qu’en nous immergeant totalement dans la parole pure de Dieu que nous deviendrons suffisamment intimes avec l’apparence, le son, l’odeur et le goût de ce qui vient du Ciel.
Placés sur l’autel
Mon Père m’a formé.
En Romains 12:1, Paul nous conseille de sacrifier nos corps pendant qu’ils sont encore en vie: « Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable ».
Si vous offrez votre corps comme un sacrifice vivant à Dieu, vous n’en réclamerez plus la propriété. Vous ne déciderez plus où votre corps ira ni ce qu’il fera. Vous ne déciderez plus ce que vous mangerez ni ce que vous porterez. Vous avez renoncé au droit de prendre de telles décisions. A partir de maintenant, votre corps ne vous appartient plus, il appartient à Dieu. Vous le lui avez sacrifié, vivant, sur son autel.
Toute chose placée sur l’autel de Dieu lui appartient à partir de ce moment. Elle n’appartient plus à la personne qui l’a donnée. C’est ce que Dieu désire: que nous sacrifiions notre corps, tout comme Jésus a sacrifié le sien. La différence, c’est que Jésus a sacrifié son corps par la mort, alors que nous devons sacrifier les nôtres toujours vivants et les donner à Dieu, céder nos droits et nos revendications les concernant.
Ce concept peut sembler assez effrayant. Mais, je voudrais vous dire que tout cela est très exaltant. Dieu a toutes sortes d’idées sur ce qu’il va faire de vous et de votre corps. Cependant, il ne vous dira rien avant que votre corps lui appartienne. Tout d’abord, vous devez lui consacrer votre corps, et ensuite, vous comprendrez ce qu’il faut faire avec.
Merci Seigneur, pour ton œuvre en moi. Je proclame que je place mon corps maintenant, comme un sacrifice vivant sur l’autel de Dieu. Ce n’est plus à moi mais à Dieu qu’il appartient. Mon Père m’a formé. Amen.
28 septembre
Sa demeure – DPM
Mon Père m’a formé.
Dans quel but a-t-il formé notre corps? Ce but est passionnant et la réponse est aussi exaltante que simple. Dans sa première épître à l’Eglise de Corinthe, Paul écrit:
« Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint-Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous ne vous appartenez point à vous-mêmes? » (1 Corinthiens 6:19)
Pourquoi Dieu a-t-il conçu et créé un corps pour l’homme? La réponse est fabuleuse. Il voulait que le corps de chaque croyant racheté soit un temple qu’il puisse habiter par son Saint-Esprit. Je le répète, si votre conception de votre propre corps part de cette perspective, votre attitude à son égard en sera totalement transformée. Votre corps a été conçu pour être un temple que Dieu puisse habiter.
La Bible nous dit que Dieu ne demeure pas dans les temples faits de mains d’homme. (Lire Actes 7:48; 17:24.) Vous pourrez construire tous les édifices que vous voudrez, une synagogue, une cathédrale, une église ou autre chose, mais Dieu n’y habitera pas. Lorsque le peuple de Dieu se réunit dans de tels bâtiments, Dieu y est avec eux, mais il n’y vit pas. Dieu a conçu lui-même son propre temple. Quel est-il donc? Nos corps.
Il est renversant de penser que le Dieu tout-puissant, le créateur du ciel et de la terre, veuille occuper notre corps, au sens physique du terme, et en faire son temple.
Lorsque Jésus parle de son Saint-Esprit en Jean 7, il dit « Celui qui croit en moi, des fleuves d’eau vive couleront de son sein, comme dit l’Écriture. » (Il parlait du Saint-Esprit…) » (verset 38). Il y a un endroit dans notre corps au sens physique que Dieu désire occuper par son Saint-Esprit.
Merci Seigneur, pour ton œuvre en moi. Je proclame que mon corps est le temple du Saint-Esprit, qui demeure en moi. Mon Père m’a formé. Amen.
27 septembre
Cette œuvre magnifique
Mon Père m’a formé.
Dans le livre de Job, nous trouvons un résumé magnifique de l’œuvre créatrice de Dieu dans le façonnement de notre corps:
« Tes mains m’ont formé, elles m’ont créé, elles m’ont fait tout entier… Et tu me détruirais! Souviens-toi que tu m’as façonné comme de l’argile; voudrais-tu de nouveau me réduire en poussière? Ne m’as-tu pas coulé comme du lait? Ne m’as-tu pas caillé comme du fromage…? » (Job 10:8-11)
Comme en Genèse 2:7 où le mot « façonné » indique une œuvre délicate et talentueuse, Job lui aussi insiste sur l’immense talent et la délicatesse attentionnée de Dieu dans le façonnement du corps humain. Combien les expressions utilisées sont saisissantes! Les versets 10 et 11 disent: « Tu m’as revêtu de peau et de chair, Tu m’as tissé d’os et de nerfs » Quelle belle image de cette corrélation entre les différents éléments du corps. Dans le Psaume 139, David écrit: « Quand je n’étais qu’une masse informe, tes yeux me voyaient; et sur ton livre étaient tous inscrits les jours qui m’étaient destinés, avant qu’aucun d’eux existât. » (Verset 16).
Dieu a amené votre corps à la vie à partir d’un modèle et il existe un chiffre pour chaque membre. Chaque membre figure dans le livre de Dieu. Comparez cette déclaration avec ce que dit Jésus en Luc 12:7: « Et même les cheveux de votre tête sont tous comptés. Ne craignez donc point: vous valez plus que beaucoup de passereaux. » L’attention que Dieu porte à notre corps est si intense qu’il s’intéresse même aux moindres détails. Lorsque nous prenons conscience de ce principe, nous devons aussi prendre conscience que Dieu a un but pour cette œuvre magnifique qu’est notre propre corps.
Merci Seigneur, pour ton œuvre en moi. Je proclame que Dieu m’a formé avec un immense talent et beaucoup de soin et qu’il a un but pour cette œuvre merveilleuse qu’est mon corps. Mon Père m’a formé. Amen.
26 Septembre
Jésus est capable, par Patrice Martorano
« Jésus leur dit : Croyez-vous que je puisse faire cela ? » Matthieu 9.28
Deux hommes vivaient dans l’obscurité, ils étaient aveugles. Puis, Jésus passa près d’eux, alors ils s’écrièrent : « Aie pitié de nous, Fils de David ! » Jésus leur demanda s’ils croyaient qu’il était capable de les guérir. Alors, ils répondirent par un grand oui. Sur leur déclaration de foi, les deux hommes recouvrèrent la vue. Wow quelle belle surprise, quel beau cadeau que le Seigneur leur fit ! Cette histoire est extraordinaire.
Dieu peut-il encore vous surprendre en vous offrant un lendemain meilleur ? Un patron vous appelle pour un travail, votre médecin vous donne une bonne nouvelle, votre enfant parti depuis longtemps revient vous voir… Oui, si Dieu répondait à votre prière, seriez-vous surpris ?
Ne vous inquiétez pas de ce qui vous manque. Le Seigneur désire vous encourager à rester dans la paix. Dieu connaît toutes choses à l’avance. Il est capable de modeler votre histoire afin de la changer. Ne vous inquiétez pas, Dieu est au contrôle.
Vous avez perdu un mari, une épouse, un emploi, un diplôme ?… Dieu le sait !
Une perte vous dérange et occasionne la défaite dans votre vie et cela génère en vous le désespoir et les larmes ? Aujourd’hui, Dieu vous arrête et vous dit : « Ne t’inquiète pas, je vais te soutenir afin de te restaurer. » Vous avez perdu une maison, une position sociale, une voiture ?… Soyez en paix, votre Dieu tient toutes choses entre ses mains, il contrôle votre histoire.
Oui, je crois que Jésus est encore capable de vous émerveiller, de vous faire jubiler. Restez simple et croyez que Dieu a encore des bénédictions pour vous. Avancez et attendez-vous à son intervention. Dieu est impressionnant ! En effet, il utilise vos épreuves pour vous montrer sa souveraineté.
Aujourd’hui, afin de répondre à votre demande, le Seigneur vous pose cette question : « Crois-tu que je puisse faire cela ? »
Une prière pour aujourd’hui
Oui Seigneur, je crois que tu es capable d’agir dans ma vie, amen.
24 Septembre
LES CONSEQUENCES DE L’INCREDULITE
by David Wilkerson | September 24, 2015
« La main de l’Éternel fut aussi sur eux pour les détruire… jusqu’à ce que toute la génération des hommes de guerre eût disparu du milieu du camp » (Deutéronome 2:15,14).
Tu te dis peut-être : « à‡a, ce n’est pas la grâce. Dieu ne gère pas l’incrédulité de la même manière aujourd’hui. » Ce n’est pas vrai. La Bible dit aujourd’hui, sous la grâce, que « sans la foi il est impossible de lui être agréable ; car il faut que celui qui s’approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu’il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent » (Hébreux 11:6).
Le péché d’incrédulité ne peut pas se limiter à un seul domaine de de notre vie. Il se répand dans tout, tachant et souillant tous les aspects de notre marche.
Le doute d’Israël ne se limitait pas à la capacité de Dieu de détruire leurs ennemis. Leur doute s’est déversé sur leur confiance en Lui pour pourvoir à leurs besoins quotidiens. Ils doutaient de la capacité de Dieu à protéger leurs enfants. Ils doutaient du fait qu’Il les conduirait dans le Pays Promis. Ils doutaient même du fait qu’Il était avec eux. C’est pour cette raison que Dieu leur a dit « tournez-vous, et partez pour le désert…car je ne suis pas au milieu de vous » (Deutéronome 1:40,42).
Si nous doutons dans un domaine, le doute se répand partout, souillant notre cœur tout entier. Nous croyons peut-être Dieu pour certaines choses, comme le fait qu’Il nous sauve par la foi, qu’Il est tout puissant, que Son Esprit réside en nous. Mais Lui faisons-nous confiance pour notre avenir ? Lui faisons-nous confiance pour notre santé et nos finances, pour nous donner la victoire sur notre péché ?
L’incrédulité nous mène au péché de présomption. Présumer, c’est oser penser que nous savons ce qui est juste. C’est l’arrogance qui dit : « Je sais comment faire, » et qui agit par elle-même.
Voilà encore un autre péché qu’Israël a commis dans son incrédulité. Quand Dieu leur a dit de faire demi-tour et de retourner dans le désert, ils n’ont pas voulu obéir. Au lieu de cela, ils sont venus voir Moïse et ils ont dit : « C’est vrai, nous avons péché. Mais nous avons compris à présent. Nous sommes prêts à obéir aux ordres de Dieu et à aller combattre l’ennemi. » Et ils ont pris les choses en mains.
De nombreux croyants qui doutent font cette même erreur tragique et significative : quand ils échouent dans un domaine qui concerne la foi, ils se tournent vers la chair. Ils font ce qu’ils pensent devoir faire, mais ils agissent selon leur propre sagesse et avec leurs propres compétences. La foi résiste toujours au fait d’agir par peur et elle attend que Dieu agisse. La foi ne désire jamais faire en sorte que les choses arrivent en les faisant avant et à la place de Dieu.
23 Septembre:
TROUVERA-T-IL LA FOI SUR TERRE ?
by David Wilkerson | September 23, 2015
Jésus est venu en tant que prophète et faiseur de miracles dans Sa propre maison, Israël. Pourtant, « il ne fit pas beaucoup de miracles dans ce lieu, à cause de leur incrédulité » (Matthieu 13:58). Quel déclaration incroyable. L’incrédulité empêche même la puissance de Christ d’agir.
Nous voyons d’autres résultats tragiques de l’incrédulité dans le Nouveau Testament. Les disciples n’ont pas pu chasser un démon d’un petit enfant à cause de leur incrédulité – et Jésus les a réprimandés pour cela (voir Matthieu 17:14-21). Après Sa résurrection, Christ a encore été choqué par leur incrédulité : « il leur reprocha leur incrédulité et la dureté de leur cœur » (Marc 16:14). De plus, Paul a dit aux juifs : « elles ont été retranchées pour cause d’incrédulité » (Romains 11:20).
Pourquoi Dieu juge-t-il si sévèrement l’incrédulité dans le Nouveau Testament ? C’est parce que les croyants d’aujourd’hui ont reçu quelque chose dont les saints de l’Ancien Testament n’ont pu que rêver. Dieu nous a bénis en nous faisant don de Son Saint Esprit. Sous l’Ancienne Alliance, les croyants étaient occasionnellement visités par le Saint-Esprit. Ils devaient se rendre au temple pour expérimenter la présence du Seigneur. Mais aujourd’hui, Dieu réside au milieu de Son peuple. Nous sommes Son temple et Sa présence se trouve au sein de chaque croyant.
Dans l’Ancien Testament, Abraham recevait occasionnellement la visite d’un ange ou une parole de la part de Dieu. Il croyait avec assurance que Dieu pouvait faire toutes les choses qu’Il avait promises et « il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu » (Romains 4:20). Pourtant, aujourd’hui, Jésus est disponible à n’importe quelle heure du jour. Nous avons la possibilité de faire appel à Lui à n’importe quel moment de notre vie, et nous savons qu’Il répondra. Il nous invite à venir avec assurance devant le trône afin de faire connaître nos requêtes. Et Il nous donne réconfort et direction au travers du Saint-Esprit.
Mais, en dépit de toutes ces bénédictions, nous doutons encore de Dieu dans les moments d’épreuves intenses. Jésus réprimande une telle incrédulité, disant : » Et Dieu ne fera-t-il pas justice à ses élus, qui crient à lui jour et nuit, et tardera-t-il à leur égard ? Je vous le dis, il leur fera promptement justice. Mais, quand le Fils de l’homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? » (Luc 18:7-8). Si Christ revenait aujourd’hui, trouverait-Il la foi en toi ?
UN GUIDE FIDELE
by Gary Wilkerson | September 21, 2015
« Mais celui qui entre par la porte est le berger des brebis… les brebis entendent sa voix ; il appelle par leur nom les brebis qui lui appartiennent, et il les conduit dehors » (Jean 10 :2-3).
Nous avons tous besoin d’être guidés pour prendre des décisions dans nos vies. Mais, dans un monde aussi chaotique que le nôtre, obtenir de bonnes directions n’est pas toujours simple ni facile. Jésus dit que les choses sont différentes pour les chrétiens. Il dit clairement dans le passage ci-dessus que Ses serviteurs – « Ses brebis » – connaissent Sa voix et viennent à Lui. L’image nous montre un Dieu bon berger, fournissant à Ses brebis toute l’attention et tous les soins dont elles ont besoin.
Est-ce suffisant pour les décisions difficiles que nous avons tous à prendre ? Chacun de nous a des choix difficiles : « Qui dois-je épouser ? Quelle vocation devrais-je poursuivre ? Quel est le but de ma vie ? » Ces décisions peuvent être source de tension, surtout si nous regrettons certaines mauvaises décisions que nous avons pu prendre dans le passé. Ma vie a été immensément bénie par Dieu mais je ne souhaite pas que mes enfants ni mes petits enfants fassent les erreurs que j’ai commises. Comme tous les parents, je veux être capable de les guider du mieux possible.
La bonne nouvelle, c’est que nous avons un Berger qui est un guide fidèle pour nous, en toutes choses, peu importe à quel point nos décisions ont été mauvaises. Il a l’autorité nécessaire pour nous guider dans une vie incroyablement bénie, sans tenir compte de nos échecs. En effet, Il dit que Son but, en guidant nos vies, est : « que les brebis aient la vie, et qu’elles soient dans l’abondance » (Jean 10:10).
Nous savons tous qu’il est important de suivre un guide de qualité. Pense aux décisions importantes que tu as prises dans ta vie : qui te guidait ? Quelle était son expérience ? Quelles compétences et connaissances a-t-il utilisées pour te conduire là où tu voulais aller ?
Certains guides dans la vie ont les connaissances nécessaires pour nous aider dans certains dilemmes difficiles. Mais ont-ils également les connaissances nécessaires pour nous conduire dans la vie abondante que Jésus a promise ? Étant notre Seigneur, Jésus vise d’avantage que seulement nous guider – Il établit une relation. Il veut que nous sachions d’avantage que simplement où aller et quand y aller. Il veut que nous ayons cette riche bénédiction de Le connaître personnellement dans chaque aspect de notre vie. C’est pour cette raison qu’Il nous dit très simplement, tandis que nous nous démenons pour trouver un manuel qui nous guide dans la vie, « Suis-Moi. »
21 septembre- DPM
La souffrance et le règne
J’ai reçu l’esprit d’adoption, et par lui je crie: « Abba, père ».
Paul écrit en Romains 8:18, « J’estime que les souffrances du temps présent ne sauraient être comparées à la gloire à venir qui sera révélée pour nous. » Si nous désirons régner avec Christ, nous devons être prêts à souffrir. En 2 Timothée nous lisons:
« Cette parole est certaine: Si nous sommes morts avec lui, nous vivrons aussi avec lui; si nous persévérons, nous régnerons aussi avec lui; si nous le renions, lui aussi nous reniera; si nous sommes infidèles, il demeure fidèle, car il ne peut se renier lui-même. » (2 Timothée 2:11-13)
Ainsi, nous constatons que si nous souffrons, nous régnerons, mais si nous renions Jésus-Christ, il nous reniera. Des temps viendront dans notre vie ou nous devrons relever le défi de souffrir avec lui ou bien nous le renierons et le résultat nous est clairement exposé. (Lire, par exemple, Actes 14:22; Philippiens 1:29-30; 2 Thessaloniciens 1:4-10.)
Je voudrais vous faire part d’une merveilleuse image. Elle provient du tabernacle et elle concerne trois des couleurs principales de l’habit du prêtre: bleu, pourpre et rouge écarlate. Le bleu a trait au céleste, l’écarlate à la nature humaine, ainsi que le sang, et le pourpre est le mélange parfait entre le bleu et le rouge, ce qui représente Christ en tant qu’incarnation de Dieu. Le bleu des cieux et l’écarlate de la terre se mélange pour donner le pourpre. Ceci est une merveilleuse image de la nature de Jésus-Christ (à la fois Dieu et homme) parfaitement mélangée pour donner une nouvelle couleur.
La signification du pourpre dans la Bible est double: il signifie la royauté et la souffrance. Vous ne pouvez pas porter le pourpre dans le royaume si vous ne le portez pas d’abord sur terre dans la souffrance. Si nous souffrons, nous régnerons.
Merci père de ce que je suis ton enfant. Je proclame que si j’endure la souffrance, je régnerai aussi avec toi. J’ai reçu l’esprit d’adoption, et par lui je crie: « Abba, père ».Amen.
20 Septembre
Aller à la Pentecôte – DPM
J’ai reçu l’esprit d’adoption, et par lui je crie: « Abba, père ».
« L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. » (Romains 8:16)
Permettez-moi de souligner un fait simple et historique, une conclusion à laquelle sont arrivés la plupart des érudits éclairés de la Bible. Il y a une correspondance directe en termes de période, entre la délivrance d’Israël de l’Egypte et l’expérience des premiers chrétiens.
L’exécution de l’agneau de la Pâque correspond au jour où Jésus est mort.
La traversée de la mer rouge correspond à la résurrection de Jésus d’entre les morts.
La réception des tables de la loi sur le Mont Sinaï, cinquante jours après la Pâque, correspond au déversement du Saint-Esprit à la Pentecôte.
Je souligne cela parce que, lorsque vous avez été libérés par le sang et par la résurrection de Jésus, vous avez deux choix: vous pouvez aller au Sinaï ou à la Pentecôte. Beaucoup de gens vont au Sinaï, ils retournent sous la loi. Ils reçoivent « un esprit de servitude, pour être encore dans la crainte » (verset 15). Mais, ce que dit Paul substantiellement, c’est: « Vous n’avez pas reçu un esprit de servitude, pour être encore dans la crainte; vous avez reçu un esprit d’adoption qui vous dit que vous êtes enfant de Dieu. »
Merci Père de ce que je suis ton enfant. Je proclame que je n’ai pas reçu un esprit de servitude, pour être encore dans la crainte, mais un esprit d’adoption qui me dit que je suis un enfant de Dieu. J’ai reçu l’esprit d’adoption, et par lui je crie: « Abba, père« .Amen.
19 septembre
LA FOI A L’ETAT BRUT
by Nicky Cruz | September 19, 2015
Tant de gens pensent que ma passion pour Jésus vient d’années d’études, de prières et de ministère, mais ils se trompent. Elle vient du fait que j’ai vu Dieu être là pour moi dans tous ces moments où la vie m’a laissé complètement vulnérable et seul. Elle vient du fait que j’ai pu ressentir la présence de Dieu pendant des instants de grande confusion et de désespoir. Elle vient du fait que j’ai pu voir la main de Dieu devant moi, encore et encore, face à des dangers inimaginables.
A chaque fois que je me tiens face à face avec un adolescent endurci faisant partie d’un gang, je vois David Wilkerson prêchant sans peur au coin de ma rue. A chaque fois que je vais dans un quartier où règnent le crime et la drogue, je ressens cette même force qui a conduit Wilkerson dans les rues de New York, il y a des années. Chaque fois que je serre une âme perdue, qui souffre, dans mes bras, je sens la puissance de Dieu et Sa présence.
Je ne dépends que de Dieu. Dieu a utilisé les souffrances de mon passé pour m’amener à un niveau plus profond, pour m’attirer plus près de Lui. Ce que Satan avait prévu pour le mal, Dieu l’a utilisé pour Sa gloire. Toutes les joies que je peux connaître dans cette vie ne sont rien à côté de l’extase que procure le fait de voir Dieu accomplir l’impossible, de Le voir toucher les cœurs les plus noirs et y apporter la lumière, de voir comment Il répand Sa miséricorde comme un baume sur les péchés de ceux qui ont besoin de pardon.
Il est trop facile d’intellectualiser Dieu, de reconnaître Sa puissance sans jamais l’avoir expérimentée, de croire en Sa suprématie sans jamais en appeler à Lui pour faire des choses puissantes en notre présence. Nous le voyons avec notre intelligence, mais pas avec notre cœur. Nous n’embrassons jamais la puissance que nous proclamons être vraie. Nous n’en appelons jamais à Dieu pour agir puissamment en notre présence, utilisant notre grain de foi pour soulever des montagnes et les jeter dans la mer !
La foi à l’état brut demande que nous apprenions, d’une façon ou d’une autre, à conjuguer notre intelligence à l’esprit. Que nous puissions mettre de côté notre fierté, nos doutes et notre crainte et nous tenir devant Dieu, vide et brisé, sans rien d’autre qu’une confiance toute simple et inextinguible.
Nicky Cruz, évangéliste connu internationalement et auteur prolifique s’est tourné vers Jésus, quittant une vie de violence et de crimes après avoir rencontré David Wilkerson à New York en 1958. L’histoire de sa conversion dramatique a d’abord été racontée dans La Croix et le Poignard par David Wilkerson puis dans son propre best-seller Du ghetto à la vie.
Conduit par l’esprit – DPM
J’ai reçu l’esprit d’adoption, et par lui je crie: « Abba, père ».
Il existe un enseignement populaire, tentant de convaincre les gens d’être super spirituels s’ils veulent être considérés comme des fils de Dieu. Mais Paul contredit cette idée dans le huitième chapitre de son épître aux Romains, où il écrit que tous ceux qui sont régulièrement conduits par le Saint-Esprit sont de véritables fils de Dieu: « Car tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu sont fils de Dieu » (Romains 8:14). En un sens, si vous êtes déjà parfaits, vous n’avez pas besoin du Saint-Esprit. Vous avez besoin de lui toutefois, pour devenir parfaits.
La meilleure façon d’être réellement un fils ou une fille de Dieu c’est d’être constamment conduit par le Saint-Esprit. Comme le dit Jésus: « Mes brebis entendent ma voix,…et elles me suivent »(Jean 10:27). Par « entendre, » Jésus voulait dire entendre régulièrement, suivre constamment. Il ne s’agit pas d’un processus sporadique, hebdomadaire, mais plutôt d’une relation régulière et continue.
Paul continue en Romains 8:15, « Et vous n’avez point reçu un esprit de servitude, pour être encore dans la crainte; mais vous avez reçu un Esprit d’adoption, par lequel nous crions: Abba! Père! » « L’esprit de servitude » est tout simplement la loi. Au lieu d’être lié par la loi, vous avez reçu l’Esprit de Dieu, qui vous convainc de votre identité d’enfant de Dieu. En tant que tels, vous avez tous les droits à l’héritage. Paul nous assure: « L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. Or, si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers :héritiers de Dieu, et cohéritiers de Christ, si toutefois nous souffrons avec lui, afin d’être glorifiés avec lui. » (Versets 16-17).
Beaucoup de gens ne reçoivent l’assurance qu’ils sont enfants de Dieu que lorsqu’ils sont baptisés dans le Saint-Esprit. Celui-ci vient vous assurer que vous êtes enfants de Dieu et que vous avez un droit légal à votre héritage. Vous n’êtes pas seulement nés mais vous avez aussi été adoptés et ce passage relie clairement l’adoption à l’héritage.
Merci Père de ce que je suis ton enfant. Je proclame que je suis un enfant de Dieu, avec tous les droits à l’héritage. J’ai reçu l’esprit d’adoption, et par lui je crie: « Abba, père ».Amen.
17 septembre
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16 Septembre
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15 septembre
Une mesure de justice – DPM
Comme un Père a compassion de ses enfants, Dieu a compassion de moi.
Les paroles de Job sont remarquables. Il fait la liste des péchés qu’il n’a pas commis, dont il n’était pas coupable. Beaucoup de chrétiens de nom sont certainement coupables de ces péchés: « Si j’ai refusé aux pauvres ce qu’ils demandaient, Si j’ai fait languir les yeux de la veuve, si j’ai mangé seul mon pain, sans que l’orphelin en ait eu sa part … » (Job 31:16-17).
Remarquez les trois groupes de personnes que Job cite: les pauvres, les veuves et les orphelins. Job dit en substance « Si je n’ai pas fait pour eux ce que j’aurais dû, je suis un pécheur et j’ai manqué à mes obligations les plus basiques. » Il continue:
« Moi qui l’ai dès ma jeunesse élevé comme un père, moi qui dès ma naissance ai soutenu la veuve; si j’ai vu le malheureux manquer de vêtements, l’indigent n’avoir point de couverture, sans que ses reins m’aient béni, sans qu’il ait été réchauffé par la toison de mes agneaux; si j’ai levé la main contre l’orphelin, parce que je me sentais un appui dans les juges; que mon épaule se détache de sa jointure, que mon bras tombe et qu’il se brise! » (versets 18-22)
Job n’a pas manqué de prendre soin des personnes qui n’avait ni nourriture ni vêtements ni famille pour prendre soin d’eux. Puis, il dit que si son bras n’est pas continuellement en action dans ce but, il n’a plus de place sur son corps. Sa façon de voir les choses est tellement différente de celle de la plupart des gens aujourd’hui. C’était le standard de justice des patriarches également, même avant la loi de Moïse et même avant l’évangile. Dieu a besoin que nous réhabilitions ce type de justice dans l’Eglise en sortant de nos habitudes pour prendre soin des veuves et des orphelins, de ceux qui n’ont ni nourriture ni vêtements ni abri.
Merci Seigneur d’être aussi attentif à moi. Je proclame que Dieu veut que je restaure ce type de justice, à prendre soin des nécessiteux, dans l’Eglise. Comme un Père a compassion de ses enfants, Dieu a compassion de moi. Amen.
14 septembre
IL EVEILLE MON OREILLE
by David Wilkerson | September 11, 2015
Je n’ai pas réalisé à quel point j’étais coupable du péché d’avoir des oreilles souillées jusqu’à ce que je fasse un voyage pour prêcher en Angleterre. Mon fils Gary et moi étions conduits à une réunion par un pasteur qui a poliment demandé comment nos réunions s’étaient passées jusque là . Lorsque j’ai essayé de répondre, il m’a interrompu pour parler de ses propres prédications. Cela s’est produit plusieurs fois et, chaque fois, il me coupait avec des histoires où il avait prêché devant des foules plus nombreuses et visité plus de pays que moi.
Finalement, j’ai décidé de me taire et de le laisser parler. A un moment donné, j’ai regardé Gary en levant les yeux au ciel, pensant : « Quel homme vantard. Ce prédicateur est un incroyable bavard. »
Et puis, j’ai ressenti un petit coup de coude du Saint-Esprit qui me murmurait : « Pense à la raison pour laquelle tu es énervé, David. C’est parce que cet homme ne t’écoute pas. Tu voulais être celui qui parle et, maintenant que tu es en train d’écouter ses histoires, tu as envie de te vanter de ton propre ministère. Tu as peut-être arrêté de parler, mais tu as dans ton cœur un esprit de vantardise. »
En plus, j’avais souillé ma bouche. Remarque que je n’avais rien dit de terrible au sujet de cet homme. En fait, je n’avais pas dit un seul mot à son sujet. Mais en levant simplement les yeux au ciel, je l’avais calomnié devant mon fils.
Je peux parler de sainteté, je peux exposer les péchés de la société, je peux prêcher sur la victoire de la Nouvelle Alliance. Mais si je permets à mes oreilles d’être souillées – si je me ferme à une autre personne en me concentrant sur mes propres intérêts, si je ne peux pas l’écouter avec respect – alors la vie de Christ ne se prolonge plus en moi. Je ne mène plus une vie qui plaît à mon Seigneur et je ne porte plus les fruits de Son labeur.
« Il éveille mon oreille, pour que j’écoute comme écoutent des disciples. Le Seigneur, l’Eternel, m’a ouvert l’oreille, Et je n’ai point résisté, Je ne me suis point retiré en arrière » (Esaïe 50:4-5).
13 septembre
Par quoi sommes-nous émus? DPM
Comme un Père a compassion de ses enfants, Dieu a compassion de moi.
L’un des plus grands problèmes de l’Eglise aujourd’hui réside dans l’ambition personnelle des ministres du culte. L’apôtre Paul a parlé de ce problème dans l’Eglise de Philippe, en disant:
« Si donc il y a quelque consolation en Christ, s’il y a quelque soulagement dans la charité, s’il y a quelque union d’esprit, s’il y a quelque compassion et quelque miséricorde, rendez ma joie parfaite, ayant un même sentiment, un même amour, une même âme, une même pensée. Ne faites rien par esprit de parti ou par vaine gloire, mais que l’humilité vous fasse regarder les autres comme étant au-dessus de vous-mêmes. » (Philippiens 2:1-3)
Ce sont-là des paroles très puissantes. Paul ne parlait pas de sentiments superficiels. Il s’agit de sentiments profonds.
J’ai rencontré beaucoup de serviteurs de Dieu merveilleux, mais la source d’émulation dominante de l’Eglise aujourd’hui, selon ma perception, c’est l’ambition, celle de bâtir une plus grande Eglise, d’organiser de plus grandes réunions, de rallonger la liste des correspondants, ou de se faire connaître personnellement. Je vous parais peut-être cynique, mais l’ambition semble bien être le moteur principal dans le christianisme contemporain. Paul a pourtant dit: « Ne faites rien par vaine gloire. »
J’ai une question pour ceux parmi vous qui sont au service du Seigneur. C’est aussi une question pour tout le monde, puisque tous les croyants devraient être dans le service du Seigneur. Quel est votre moteur? Qu’est ce qui vous pousse à agir? Prononcer vos propres paroles? Avoir des relations avec les gens à votre façon? Etes-vous motivés par l’amour de Dieu et par la compassion? 1 Jean 4:7-8 nous exhorte: « Bien-aimés, aimons nous les uns les autres; car l’amour est de Dieu, et quiconque aime est né de Dieu et connaît Dieu. »
Merci Seigneur d’être aussi attentif à moi. Je proclame mon désir d’être motivé par l’amour de Dieu et par la compassion. Comme un Père a compassion de ses enfants, Dieu a compassion de moi. Amen.
Laura Park – La foi qui me change
La Bible déclare que tout le monde se trouve dans les malédictions. Les malédictions sont des souffrances qui ont débutées à partir de l’état de séparation de Dieu, et cela signifie que l’on est sans repère durant notre vie, et nous faisons ensuite face à la mort.
L’état spirituel et les malédictions n’ont rien à voir avec la réussite matérielle ou l’échec. L’état spirituel d »une personne séparée de Dieu est profondément inscrit elle, car elle ne connait pas Dieu. Le traitement des choses qui se sont installées profondément en nous sans que nous nous en soyons rendu compte,elle demande une guérison fondamentale.
1. Le commencement de la foi
Même les personnes les plus renommées de ce monde ne peuvent résoudre les problèmes du péché, des malédictions, et des désastres. Les personnes qui sont séparées de Dieu ne savent rien de l’autorité de Satan et de l’enfer, et pour cette raison, ils font face à l’échec. Ceci est précisément la raison pour laquelle Dieu nous a envoyé le Christ. Trouver cette réponse et croire que Christ est venu pour moi est le commencement de la guérison fondamentale. Paul a réalisé que l’importance du Christ et a ensuite fait la confession suivante, « J’ai été crucifié avec Christ, et si je vis, ce n’est plus moi qui vit, c’est Christ qui vit en moi. »
2. La grâce
Tous ont été séparés de Dieu et ne peuvent surmonter les malédictions et les désastres. Cependant, les enfants de Dieu ont été sauvés par l’Evangile, et pour eux tout est possible par la grâce. C’est le don de Dieu qu’Il a donné par Sa grâce à ceux qui croient en Christ. Nous ne pouvons pas connaitre Christ par la voie des études universitaires ou par le savoir de ce monde, ni même par l’argent. Cependant, cette connaissance a été donnée gratuitement pour ceux qui croient.Christ a accompli toutes choses à la croix, et Il nous a donné le Saint-Esprit comme cadeau. C’est pourquoi, lorsque, en tant qu’enfants de Dieu, nous nous réjouissons de l’Evangile et recevons la direction du Saint-Esprit, rien n’est impossible pour nous.
3. Une puissance mise à part que Dieu a donné
Si vous voulez une puissance différente de celle possédée par les personnes du monde, vous devez prier régulièrement et perserver. La puissance liée à la prière à l’heure fixe vous mène à la guérison de toutes les choses inscrites inconsciemment au-dedans de vous, et restaure également votre état spirituel. Aussi, à travers la prière continue par le Saint-Esprit, vous pouvez discerner toutes choses correctement et aussi vous préparer dans la foi pour les choses à venir. Si vous pouvez saisir la prière même en traversant des difficultés, vous en viendrez à connaître les réponses que Dieu a données. Si vous vous réjouissez de cette bénédiction de la prière chaque jour, vous serez dans une forme spirituelle la plus élevée, et serez capables de relever les défis et de vous diriger vers de nouvelles réponses.
Action : Ayez un temps de prière à une heure fixe, dans un lieu calme,cela le permet au Seigneur de vous communiquer le plan qui a pour vous dans un domaine précis.
12 septembre
Subject: APPRENDRE A PRIER
From: devotions@davidwilkerson.org
To: elisabethel@live.fr
Date: Sat, 12 Sep 2015 12:59:25 +0000
APPRENDRE A PRIER
by Jim Cymbala | September 12, 2015
On ne peut pas apprendre vraiment à prier au travers de seuls principes ou de séminaires. La prière naît dans un environnement fait du sentiment d’un réel besoin. Si je dis : « je devrais prier, »je vais vite être à cours de motivation et abandonner ; la chair est trop forte. Il faut que je sois poussé à prier.
Trop de chrétiens vivent dans un état de dénégation. « Et bien, j’espère que mon enfant reviendra un jour… » Certains parents ont même complètement abandonné. « Je suppose qu’on ne peut rien y faire. Bobby a mal tourné, malgré nos efforts. Nous l’avons dédié au Seigneur quand il était bébé. Peut-être un jour… »
Plus nous prions, plus nous ressentons le besoin de prier. Et plus nous ressentons le besoin de prier, plus nous avons envie de prier.
La prière est la source de la vie chrétienne, le gilet de sauvetage du chrétien. Sinon, ce serait comme d’avoir un bébé dans les bras, et d’être en train de l’habiller pour qu’il soit tout mignon, alors qu’en fait il ne respire plus ! Peu importe les beaux vêtements. Il faut d’abord stabiliser les signes vitaux de l’enfant. Il n’y a pas beaucoup d’effets quand on parle à quelqu’un qui est dans le coma. C’est pourquoi l’accent qui est mis sur l’enseignement dans les églises d’aujourd’hui a si peu de résultat. L’enseignement n’est bon que là où il y a de la vie. Si ceux qui écoutent sont dans un état de coma spirituel, tout ce qu’on leur dit est peut-être juste et orthodoxe mais, malheureusement, la vie spirituelle ne peut pas être enseignée.
Les pasteurs et les églises doivent être suffisamment remués pour dire : « Nous ne sommes pas des chrétiens de la Nouvelle Alliance si nous n’avons pas de vie de prière. » Cette conviction nous secoue un peu, mais comment pourrions-nous autrement avoir une véritable avancée avec Dieu ?
Si nous réfléchissons réellement à propos de ce que Actes 2:42 dit – « Ils persévéraient dans l’enseignement des apôtres, dans la communion fraternelle, dans la fraction du pain, et dans les prières » – nous pouvons voir que la prière est presque une preuve de la normalité de l’église. En appeler au nom du Seigneur est le quatrième grand sceau de cette liste. Si mon église ou ton église ne prie pas, nous ne devrions pas nous vanter de notre conformité à la saine doctrine ou du nombre de personnes qui assistent à la réunion du dimanche matin.
En fait, Carole et moi, nous nous sommes dit plus d’une fois que, si l’esprit d’humilité et de supplication à Dieu devait jamais se relâcher dans notre église Brooklyn Tabernacle, nous saurions que nous avons de gros problèmes, même si nous avons 10 000 personnes qui assistent aux réunions.
Jim Cymbala a ouvert l’église de Brooklyn Tabernacle avec moins de vingt membres dans un petit immeuble délabré dans un quartier difficile. Né à Brooklyn, il est un ami de longue date à la fois de David et de Gary Wilkerson et un intervenant fréquent lors des conférences d’Expect Church Leadership organisées par World Challenge dans le monde
11 septembre
Subject: Dieu est fort et puissant pour vous ! [Un Miracle Chaque Jour
Bonjour,
Voici un beau texte que j’ai reçu de Pascaline, une fidèle lectrice de « Un Miracle Chaque Jour ». Je le partage avec vous car il m’a donné l’envie de louer Dieu, un matin où j’avais quelques soucis.
Merci d’exister Jésus parce qu’en toi nous avons tout : la grâce, le pardon de tous nos péchés, le salut et l’espérance. Merci Jésus ! Merci de m’avoir adoptée et d’avoir fait de moi cette créature merveilleuse.
Tu ne nous as pas fait la promesse que tout serait parfait mais tu as promis d’être là dans la tempête et dans la maladie, dans les difficultés et dans les épreuves. Je te loue pour ta fidélité de chaque jour et pour tes bontés qui se renouvellent chaque matin.
Oui, tu es un grand Dieu, fort et puissant. Je te suis reconnaissante pour tout ce que tu fais dans ma vie. J’ai des milliers de raisons pour te louer et pour t’adorer car nul n’est comme toi, oh mon Dieu.
Super n’est-ce pas ? Louons Dieu ! Lui demander est bien, le louer est magnifique avec des simples mots comme : Mon Dieu je te suis reconnaissant pour cette journée et pour… Je te dis merci pour m’avoir pardonné et pour… Je te loue pour ta grandeur et pour…
Comme le dit ce super chant d’encouragement de Sebastian Demrey, comptons les bienfaits de Dieu !
Merci d’exister
Eric Clerier
9 septembre
VAINES PAROLES
by David Wilkerson | September 9, 2015
Le Psaume 50 dénonce le péché de l’utilisation impure de notre bouche et ses conséquences. De nombreuses personnes dans la maison de Dieu ont pris Sa Parole à la légère dans ce domaine.
« Tu livres ta bouche au mal, Et ta langue est un tissu de tromperies. Tu t’assieds, et tu parles contre ton frère, Tu diffames le fils de ta mère. Voilà ce que tu as fait, et je me suis tu. Tu t’es imaginé que je te ressemblais ; Mais je vais te reprendre, et tout mettre sous tes yeux. Prenez-y donc garde, vous qui oubliez Dieu, De peur que je ne déchire, sans que personne délivre. Celui qui offre pour sacrifice des actions de grâces me glorifie, Et à celui qui veille sur sa voie Je ferai voir le salut de Dieu » (Psaumes 50:19-23).
Alors, pourquoi ne respectons-nous et ne craignons-nous pas la Parole de Dieu à ce sujet ? Pourquoi parlons-nous si facilement des autres avec de vaines paroles ? Pourquoi continuons-nous à utiliser notre parole sans faire attention, sans contrôler notre langue ? Ce Psaume nous dit pourquoi : « Tu t’es imaginé que je te ressemblais. »
Pour dire les choses simplement, nous faisons de Dieu un de nos semblables. Nous déformons Sa Parole pour refléter notre propre tendance à juger les autres sur leur apparence. Et nous ignorons la façon dont Dieu considère les aspects plus profonds, cachés, du cœur d’une personne.
Mais le Seigneur nous dit ici, dans le Psaume 50 : « Je vais te reprendre à ce sujet parce que Je veux que tu mettes les choses en ordre à ce sujet. Tu dois voir ta souillure comme Je la vois : elle est mauvaise, c’est une œuvre du diable, un sérieux danger pour ton âme. »
En tant que serviteur du Seigneur, je veux que la vie de Christ coule à travers mes prédications. Et en tant que mari, père et grand-père, je veux qu’elle s’écoule librement de moi sur ma famille. C’est pour cette raison que la source de la vie de Christ en moi ne peut pas être polluée. Je ne peux tolérer aucun poison dans cette source, ni aucun barrage qui l’empêcherait de couler librement en moi.
Mais cela doit être une décision consciente de ma part. Je dois crier au Saint-Esprit continuellement : « Seigneur, convaincs-moi chaque fois que je me souille moi-même. » David a pris ce genre de décision. Il écrit : » J’ai décidé de ne pas pécher en paroles » (Psaumes 17:3 – SEM). « Éternel, mets une garde à ma bouche, Veille sur la porte de mes lèvres ! » (141:3).
Tu te demandes peut-être : « Est-il réellement possible de contrôler sa langue, de décider de ne pas pécher avec ce qui sort de notre bouche ? » David répond avec ce témoignage : « Je disais : Je veillerai sur mes voies, De peur de pécher par ma langue ; Je mettrai un frein à ma bouche, Tant que le méchant sera devant moi » (39:1). Il dit en fait : « Chaque fois que je monte un cheval, je place une bride dans sa bouche. Et, aussi sûrement que je le fais avec un cheval, je dois le faire avec ma langue. »
8 septembre
LE PIRE DES VOLS
by David Wilkerson | September 8, 2015
Jacques a mis en garde l’Eglise : « la langue aussi est un feu; c’est tout un monde de mal. elle est là , parmi les autres organes de notre corps, et contamine notre être entier. allumée au feu de l’enfer, elle enflamme toute notre existence. » (Jacques 3:6-SEM).
Nous lisons une mise en garde similaire dans Esaïe : « Alors tu appelleras, et l’Éternel répondra ; Tu crieras, et il dira : Me voici ! Si tu éloignes du milieu de toi le joug, les gestes menaçants et les discours injurieux » (Esaïe 58:9). Le terme hébreux utilisé pour « injurieux » signifie grossièreté, irrévérence, manque de respect.
Esaïe fait un constat surprenant. La raison même pour laquelle nous prions, jeûnons et étudions la Parole de Dieu, c’est pour être entendu dans le Ciel. Mais le Seigneur y met un gros « si. » Il déclare : « Si vous voulez que Je vous écoute d’en Haut, alors vous devez regarder à votre cœur. Oui, Je vous écouterai – si vous cessez de montrer les autres du doigts, si vous cessez de parler d’eux avec un manque de respect.
C’est un grand péché aux yeux de Dieu de parler d’une façon qui ternit la réputation de quelqu’un. Comme nous le lisons dans Proverbes : » Une bonne réputation est préférable à une grande richesse et l’estime des autres vaut mieux que l’or et l’argent. » (Proverbes 22:1-PDV). Une bonne réputation est un trésor qui se construit soigneusement, avec le temps. Pourtant, je peux rapidement détruire le trésor de quelqu’un avec une seule parole de diffamation qui sortirait de ma bouche.
Nous n’oserions jamais voler à quelqu’un sa montre en or ou son compte en banque. Pourtant, Dieu dit clairement que diffamer le nom de quelqu’un est le pire des vols. Et nous pouvons le faire de la façon la plus subtile qui soit : en le montrant d’un doigt accusateur, en remettant en question sa personne, en colportant des ragots. En effet, quelques uns des mots les plus accablants que nous puissions prononcer sont : « As-tu entendu dire que ? » La simple suggestion de cette question vole à une personne quelque chose de précieux. Et elle souille notre propre bouche.
7 septembre
Un Miracle Chaque Jour
J’aimerais que vous puissiez expérimenter un miracle aujourd’hui. Voici 10 prières que vous pouvez faire pour voir Dieu agir dans votre vie en ce jour (cliquez sur chaque référence pour voir le verset):
1. Seigneur change moi, continue de me changer : Psaumes 85:7. C’est une prière que Dieu désire exaucer.
2. Seigneur, je m’humilie devant toi : Esaïe 57:15 et ceux qui s’humilient devant Dieu, Il les élève ! 2 Chroniques 7:14
3. Seigneur, purifie-moi : 1 Jean1:9. Priez pour être pardonné et purifié de tout péché. Louez-le si vous êtes pardonné !
4. Seigneur, guéris-moi : Jacques 5:13 (Lire jusqu’au verset 16). Priez pour une guérison physique mais aussi pour la guérison des blessures de votre passé.
5. Seigneur, rends-moi saint ! 1 Pierre 1:16. Priez pour qu’il vous conduise dans une vie sainte.
6. Seigneur, guide-moi : Jean 4:34. Priez pour que Dieu vous conduise dans cette journée. Attendez-vous à des connexions divines comme je les appelle 🙂
7. Seigneur, remplis-moi : Éphésiens 5:18. Priez pour être rempli du Saint-Esprit.
8. Seigneur, oins-moi : Luc 4:18 (et verset 1). Priez pour être équipé pour servir le Seigneur.
9. Seigneur, sers-toi de moi : 1 Corinthiens 12:22 (lire jusqu’au verset 30) : Priez pour que Dieu se serve de vous en accord avec votre unique place dans son corps.
10. Seigneur, envoie-moi : Matthieu 28:18 (jusqu’au verset 20) : Priez pour votre implication dans l’expansion du Royaume de Dieu.
Je suis certain que Dieu va exaucer une ou plusieurs de vos prières et que vous allez vivre au moins un miracle aujourd’hui. J’ai hâte de savoir ce que Jésus aura fait pour vous et par vous.
Merci d’exister,
6 septembre
Dieu est aux commandes
Mon Père sait ce dont j’ai besoin, avant que je le lui demande.
Lorsque nous prenons pleinement conscience de la connaissance de Dieu, de sa prescience en particulier, cela nous donne l’assurance que quoi qu’il arrive, il ne sera jamais pris au dépourvu. Au royaume des cieux l’urgence n’existe pas. Non seulement Dieu connaît la fin depuis le début, mais il est lui-même à la fois « le début et la fin » (Apocalypse 21:6). Et il est toujours parfaitement maître de la situation.
Dieu sait précisément qui il a choisi pour être avec lui dans l’éternité: « Car ceux qu’il a connus d’avance, il les a aussi prédestinés à être semblables à l’image de son Fils, afin que son Fils fût le premier-né entre plusieurs frères » (Romains 8:29).
Si par la miséricorde et par la grâce de Dieu, nous arrivons à cette glorieuse destination éternelle, Jésus n’accueillera aucun d’entre nous par ces paroles: « Je ne me serais jamais attendu à te voir ici!! » Il dira plutôt: « Mon enfant, je t’ai attendu. Nous ne pouvions prendre place au banquet des noces sans toi. » Je pense qu’à ce glorieux banquet, chaque place portera le nom de la personne à qui elle a été assignée par avance.
Jusqu’à ce que le nombre des rachetés soit complet, Dieu attend avec une patience infinie: « ne voulant pas qu’aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance. » (2 Pierre 3:9).
Merci Père de me connaître totalement. Je proclame que Dieu est toujours parfaitement maître de la situation, il n’est jamais pris au dépourvu. Mon Père sait ce dont j’ai besoin, avant que je le lui demande. Amen.
Dieu est aux commandes
Mon Père sait ce dont j’ai besoin, avant que je le lui demande.
Lorsque nous prenons pleinement conscience de la connaissance de Dieu, de sa prescience en particulier, cela nous donne l’assurance que quoi qu’il arrive, il ne sera jamais pris au dépourvu. Au royaume des cieux l’urgence n’existe pas. Non seulement Dieu connaît la fin depuis le début, mais il est lui-même à la fois « le début et la fin » (Apocalypse 21:6). Et il est toujours parfaitement maître de la situation.
Dieu sait précisément qui il a choisi pour être avec lui dans l’éternité: « Car ceux qu’il a connus d’avance, il les a aussi prédestinés à être semblables à l’image de son Fils, afin que son Fils fût le premier-né entre plusieurs frères » (Romains 8:29).
Si par la miséricorde et par la grâce de Dieu, nous arrivons à cette glorieuse destination éternelle, Jésus n’accueillera aucun d’entre nous par ces paroles: « Je ne me serais jamais attendu à te voir ici!! » Il dira plutôt: « Mon enfant, je t’ai attendu. Nous ne pouvions prendre place au banquet des noces sans toi. » Je pense qu’à ce glorieux banquet, chaque place portera le nom de la personne à qui elle a été assignée par avance.
Jusqu’à ce que le nombre des rachetés soit complet, Dieu attend avec une patience infinie: « ne voulant pas qu’aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance. » (2 Pierre 3:9).
Merci Père de me connaître totalement. Je proclame que Dieu est toujours parfaitement maître de la situation, il n’est jamais pris au dépourvu. Mon Père sait ce dont j’ai besoin, avant que je le lui demande. Amen.
5 septembre
Alexandre Amazou – Pourquoi faut-il prier?
La nécessité de prier pour gagner des batailles
» La prière est un facteur de contrôle, et celui qui contrôle une situation la domine. «
La Bible nous exhorte à toujours prier sans jamais se relâcher. Cela signifie que nous devons veiller à maintenir Dieu présent dans notre vie par la prière, car :
-La prière est le seul moyen par lequel nous établissons une véritable communion avec Dieu.
Sans la prière, il est impossible à Dieu de faire quoique ce soit pour un homme. En effet, la prière est la seule activité qui nous ouvre la porte du ciel et invite Dieu dans nos circonstances. Aussi Dieu a-t-il donné à l’homme autorité sur tout et c’est lui qui détient la clé qui donne accès à son univers. Ainsi, c’est seulement lorsqu’un homme s’accorde avec Dieu dans la prière qu’il Lui donne accès à son univers. Et quand Dieu a accès à l’univers d’un homme qui prie, les choses, en principe, changent puisque la Bible dit que le miracle est le pain des enfants, et Dieu fait des miracles.
-La victoire réelle vient par la prière.
Un homme qui ne prie pas ou ne sait pas prier n’aura jamais la victoire sur ses circonstances. De même, une église qui ne prie pas, marchera constamment dans la défaite. Si donc un secours doit venir de Dieu, il faut auparavant qu’une prière ait été relâchée; quelqu’un doit payer le prix !
-Un homme qui sait prier est invincible.
La prière, en effet, est un facteur de contrôle, et celui qui contrôle une situation la domine. Ainsi, c’est en donnant par la prière le contrôle de sa vie à Dieu qu’un homme en a réellement la maîtrise. En d’autres termes, ce qui appartient véritablement à un homme, c’est ce qu’il met sous le contrôle de Dieu dans la prière. A contrario, ce qu’un homme n’expose pas à Dieu lui échappera certainement ; c’est la raison pour laquelle Dieu veut être au contrôle de tous les aspects de notre vie.
-Un homme qui aime prier ressemble à Dieu.
Autrement dit, sans la prière, aucun homme ne peut arriver à la ressemblance de Dieu. En effet, la ressemblance vient par la communion. Ainsi, un homme qui aime prier est perpétuellement en contact avec Dieu, il devient intime avec Lui et finit par Lui ressembler.
Un homme qui aime prier:
-Prouve qu’il croit en Dieu, parce que personne ne peut prier un Dieu en qui il ne croit pas ;
-Croit dans le surnaturel, car la prière relève du domaine du surnaturel ;
-Recevra de Dieu, car celui qui s’approche de Dieu croit que Dieu existe et qu’Il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent.
Ce qui attire Dieu dans les circonstances d’un homme, c’est sa foi. En effet, l’un des éléments de l’exaucement d’une prière c’est l’approbation or, la foi est la clé de l’approbation et elle s’exerce dans la prière. Dieu aime ceux qui ont la foi. Un homme qui n’a pas la foi ne peut donc ni Lui être agréable, ni recevoir de Lui.
Selon la Bible, la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. (Hébreux 11 : 1). Pour manifester la foi, nous devons donc, premièrement, avoir une ferme assurance, c’est-à -dire une assurance qui ne vacille pas et qui tient sur une seule chose : la Parole de Dieu. Ensuite, pour que Dieu nous approuve et intervienne effectivement dans nos circonstances, nous devons passer à la démonstration de cette assurance, laquelle nous amènera à agir conformément à la conviction que nous avons.
En définitive, retenons que nous devons tout partager avec Dieu, parler en permanence avec Lui, le prier, le louer, le célébrer, car IL est notre Père et la source de tout !
Shalom !
http://www.enseignemoi.com/alexandre-amazou/texte/pourquoi-faut-il-prier-29277.html
4 septembre
PRIER POUR NOS BIEN-AIMES
by David Wilkerson | September 4, 2015
Il n’y a pas très longtemps, un jeune homme s’est avancé pendant une réunion de prière dans notre église de Times Square, tremblant et pleurant. Il m’a dit qu’il venait de l’état de Washington et que, plus tôt dans la soirée, il était entré dans notre église par erreur. Il était reparti et il s’était rendu à un concert de musique mais ensuite, il en était reparti et il était revenu dans l’église. A présent, il souhaitait que l’on prie pour lui et je lui ai demandé : « Vos parents sont-ils chrétiens ? » Il a répondu : « Oui Monsieur. Ils continuent à prier pour moi. »
Je te le demande : était-ce une « erreur » qui avait amené ce jeune homme dans notre église ? Je ne crois pas ! Il était là pour son rendez-vous avec Christ. Personne ne l’avait poussé ni ne l’avait supplié ; sans le moindre doute, il avait été amené là par Jésus. Et je suis convaincu que cela s’est produit grâce à la prière persévérante de ses parents.
Dans Marc 7:31-37, nous lisons l’histoire d’un homme sourd amené à Jésus. Jésus l’a emmené à l’écart de la foule » puis, levant les yeux au ciel, il soupira, et dit : Ephphatha, c’est-à -dire, ouvre-toi. Aussitôt ses oreilles s’ouvrirent, sa langue se délia, et il parla très bien » ‘Marc 7:34-35).
Jésus a accompli un miracle en privé pour cet homme et ensuite Il lui a parlé, juste pour lui prouver qu’il pouvait entendre. Imagine ! La première voix que cet homme sourd a entendu était celle de Christ ! Oh combien cet homme a dû parler quand sa langue a été déliée. De sa bouche ont dû s’écouler des années de sentiments refoulés parce que, à présent, il pouvait enfin exprimer à haute voix le cri qui était autrefois silencieux. »
Je l’imagine tombant dans les bras du Seigneur, pleurant : « Jésus, Tu as entendu la voix de mon cri » (Psaumes 5:2). Considère un peu l’émotion intense et la puissance du Psaumes 5 pour cet homme guéri : « mon Dieu…c’est à toi que j’adresse ma prière. Éternel ! le matin tu entends ma voix ; Le matin je me tourne vers toi » (5:2-3). L’amour de cet homme pour Jésus était désormais le sien – parce qu’il avait fait une rencontre personnelle avec Lui.
Bien-aimé, lorsque tu pries pour ceux que tu aimes, garde à l’esprit que Jésus gémit pour eux. Il ne soupirait pas sur le sort d’un seul homme dans la Décapole. Il pleurait sur tous les cris intérieurs, sur les cris étouffés de tes enfants, de ceux que tu aimes et qui ne sont pas sauvés, et sur les miens. Peut-être as-tu besoin de changer ta façon de prier pour eux. Demande au Saint-Esprit d’aller les chercher, de les pousser, de les attirer, de les remuer et de les réveiller à un tout nouveau désir pour Jésus.
Hervé BUNDIA – Devenir un athlète spirituel
» C’est pourquoi je t’exhorte à ranimer la flamme du don de Dieu que tu as reçu par l’imposition de mes mains « . (2 Timothée 1:6)
Quand un athlète prépare un championnat, il s’entraîne durement et intensément. Un même exercice ou mouvement est répété de sorte que cela devienne sa seconde nature. Bien qu’étant pénibles ces exercices sont indispensables pour devenir un champion. Ce même principe est valable dans le monde spirituel.
L’Apôtre Paul exhorte Timothée à ranimer la flamme du don qu’il a reçu. Passer quotidiennement du temps dans la prière, dans la méditation de la parole de Dieu ou encore se lever à 5 heures du matin pour prier peut s’avérer difficile cependant, c’est l’entraînement dont on a besoin pour devenir un vainqueur dans la Foi.
Dans 1 corinthiens 9 : 24-27 , l’Apôtre Paul s’adresse à l’Eglise de Corinthe en se comparant à un coureur.
Devenez des athlètes et pratiquez la discipline spirituelle jusqu’à ce que l’onction déborde dans votre vie ainsi que dans votre ministère. Vous serez surpris de découvrir quel potentiel spirituel vous avez.
Soyez bénis.
_________
3 septembre
Dieu me connaît totalement
Mon Père sait ce dont j’ai besoin, avant que je le lui demande.
Dieu connaît chacun de nous totalement, même au-delà du fait de connaître le nombre de cheveux sur notre tête. (Voir Matthieu 10:30.) Dans ce magnifique passage tiré des Psaumes, David commence par ce qui semble être un cri de stupeur:
« Eternel! Tu me sondes et tu me connais, tu sais quand je m’assieds et quand je me lève, tu pénètres de loin ma pensée; tu sais quand je marche et quand je me couche, et tu pénètres toutes mes voies. Car la parole n’est pas sur ma langue, que déjà , ô Eternel! tu la connais entièrement. Tu m’entoures par derrière et par devant, et tu mets ta main sur moi. Une science aussi merveilleuse est au-dessus de ma portée, elle est trop élevée pour que je puisse la saisir. Où irais-je loin de ton Esprit, et où fuirais-je loin de ta face? » (Psaume 139:1-7)
Réfléchissez à ce que dit David: Dieu connaît nos pensées de loin. Un homme qui un jour a reçu une révélation de Dieu, raconte que l’ange qui lui a apporté cette révélation lui a dit: « Les pensées de l’homme résonnent aussi fort dans les cieux que sa voix sur terre » Cela a été un choc pour moi. Mais c’est en substance ce que dit David ici.
Si nous réfléchissons à tout cela, nous ferons sûrement écho à ces paroles de David: Une science aussi merveilleuse est au-dessus de ma portée. » David demande: « Où irais-je loin de ton esprit? »Voilà la clé qui explique que Dieu sache tout ce qui se passe dans l’univers: son Esprit. L’Esprit de Dieu imprègne tout l’univers, il n’existe aucun endroit où il ne soit pas présent. Par son Esprit, Dieu sait tout ce que nous savons et plus encore: il sait tout ce que nous ne saurons jamais, comme le nombre de cheveux sur notre tête.
Merci Père de me connaître totalement. Je proclame que par son Esprit, Dieu connaît tout ce que je connais de moi-même et plus encore. Mon Père sait ce dont j’ai besoin, avant que je le lui demande. Amen.
3 spetembre
Jeremy Sourdril – C’est vous qui choisissez l’effet de la Parole
La voie de l’Éternel est la force de l’homme intègre, mais elle est une ruine pour ceux qui font le mal. (Proverbes 10 : 29)
Parfois lorsque je me suis retrouvé avec des amis sur une plage, ils entraient dans l’eau et disaient que la température de l’eau était idéale. Mais alors que je tentais d’y entrer, je la trouvais très froide ! C’était pourtant la même eau.
La Parole de Dieu n’a pas le même effet chez tous. Certaines personnes s’approprient les promesses de Dieu, et d’autres non. Jésus est le Fils de Dieu pour certains, et seulement un homme pour d’autres. De la même Bible ressortent diverses interprétations.
Est-ce que la Bible est pour vous une source de joie ? Est-elle votre force ? Ou bien est-elle pour vous un livre que vous vous sentez obligé de lire ? Alors que je revenais au Seigneur à l’âge de 19 ans, je parlai à une fille du Seigneur et lui lus le passage de Jean 3:16. Elle regarda un peu plus loin et vit le verset 18 : » Celui qui croit en lui n’est point jugé; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu « . Elle était en colère et dit : » Mais il n’a pas le droit d’écrire ça ! « . Quelle surprenante réaction ! Elle avait déjà choisi son camp. C’est vous qui choisissez pour chaque verset de la Parole de Dieu si vous allez le vivre ou passer à côté. Est-ce que la Parole sera pour vous un parfum de bonne ou de mauvaise odeur ?
Je prie : Ta parole, tes commandements, et tes directions pour ma vie sont le délice de mon coeur. Tu seras toujours mon doux parfum.
2 Septembre
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Immédiatement je fus transportée dans une scène qui ressemblait au récit de la femme surprise en état d’adultère en Jean 8. J’ai vu quatre hommes portant des pierres et chacune d’elles portait un nom. Sur la première pierre figurait le mot OFFENSE, sur la deuxième LOI, sur la troisième JUGEMENT et sur la quatrième PROPRE-JUSTICE. (Photo via Pixabay)
Dans Sa grande compassion Dieu parle à l’église, « Que celui qui n’a jamais péché lance la première pierre. » C’était la ligne de Dieu dans le sable
31 Aoùt
DPM La famille: une source de vie partagée
Dans son amour, mon père m’a prédestiné à être adopté comme son enfant.
Nous sommes tous membres de la famille de Dieu parce que nous avons tous un seul Père. Jésus est notre frère aîné, et nous sommes tous membres d’une même famille.
Je vais vous raconter une petite aventure qui me vient à l’esprit lorsque j’évoque la famille de Dieu. Cela s’est passé du temps où certains chrétiens écossais vivant dans les Highlands étaient cruellement persécutés par l’armée anglaise. Alors qu’elle se rendait à une réunion chrétienne secrète, une jeune fille fut arrêtée par un policier anglais qui lui demanda où elle allait. Elle ne voulait pas mentir mais elle ne voulait pas non plus trahir ses compagnons croyants, alors elle éleva son cœur vers le Seigneur en prière, lui demandant une réponse. Voici ce qu’elle répondit au policier: « Mon frère aîné est mort et je suis en route pour la maison de mon père pour entendre la lecture de ses dernières volontés. »
C’était une bonne réponse. Jésus est le frère aîné, Dieu est notre Père et nous sommes la maison de notre Père.
Qu’est-ce qui caractérise essentiellement une famille? Je pense que c’est le partage de la source de vie. Dieu le Père est la source de vie pour nous tous, et nous sommes ensemble dans sa famille. Il ne s’agit pas d’une institution, ni d’un organisme, mais d’une source de vie que nous partageons tous.
Que nous est-il demandé en tant que membres de la famille de Dieu? Ma théorie, c’est de nous accepter mutuellement. Jésus nous appelle ses frères parce que Dieu nous appelle ses enfants. Si Dieu appelle nos compagnons chrétiens ses enfants, nous devons les appeler nos frères. Ce n’est pas toujours facile. Vous pouvez choisir des amis, mais vous ne choisissez pas votre famille. Même ainsi, nous devons nous accepter les uns les autres.
Merci Père de ce que je suis ton enfant. Je proclame que je suis un membre de la famille de Dieu, que Dieu est mon Père et Jésus mon frère aîné. Dans son amour, mon Père m’a prédestiné à être adopté comme son enfant. Amen.
30 Août
Alexandre Amazou – L’origine de la prière (2)
» Prier, c’est s’accorder avec Dieu pour que Sa volonté se fasse dans nos circonstances «
D’où est venu le besoin de prier Dieu, de l’invoquer ?
Dieu avait placé les premiers hommes dans Sa présence, raison pour laquelle il n’y avait point de nécessité d’invocation.
Le péché étant entré en l’homme, une séparation s’est aussitôt produite entre Dieu et lui. Dieu en a fait le constat et a interrogé Adam qui a rejeté la faute sur Eve, sa femme. Aussi, Eve a-t-elle, à son tour, rejeté la faute sur le serpent. (Genèse 3 : 13).
Si l’on suit bien leur raisonnement, on peut aisément conclure que si Dieu n’avait pas créé le serpent, il n’aurait pas séduit Ève; et s’Il n’avait pas créé Ève, Adam n’aurait pas péché.
En somme, Dieu serait responsable de la chute de l’homme ! » L’erreur » qu’Adam et Ève ont imputé à Dieu, était donc d’avoir pris la responsabilité, Lui Dieu, de faire quelque chose sans leur accord. Voilà pourquoi les choses ont évolué par la suite. Dans Proverbes 18 : 22, la Bible dit désormais que : » Celui qui trouve une femme, trouve le bonheur « . Ce n’est par conséquent plus Dieu qui trouve une femme pour l’homme, mais l’homme qui doit trouver lui-même sa femme.
Le point majeur à retenir ici, c’est qu’après la chute de l’homme, considérée par Adam et Eve comme relevant de sa responsabilité, Dieu va dorénavant conditionner toute action qu’il doit faire au profit de l’homme par une invocation. En d’autres termes, pour posséder quelque chose, il faut demander, invoquer, prier Dieu.
Ainsi, la prière peut être définie comme un accord, un contrat entre Dieu et l’homme. Lorsqu’un homme demande quelque chose à Dieu, sa demande équivaut à sa signature. Dieu lui répond, ce qui signifie que Lui aussi signe puis, Il agit. Dans un tel schéma, Dieu ne peut plus être accusé d’avoir mal agit ou d’avoir agit de façon unilatéral, étant donné que Son action vient en réponse à une demande. C’est la raison pour laquelle Jésus a dit : » Quiconque demande, reçoit. « (Luc 11 : 10).
Cela devient par conséquent insensé pour un homme de ne pas prier ou de ne pas comprendre que la prière est vitale dans le sens où plus rien ne descend du ciel sans que quelque chose ne monte ! Prier, c’est donc s’accorder avec Dieu pour que Sa volonté se fasse dans nos circonstances.
S’il y a des choses qui ne sont pas encore matérialisées dans votre vie, c’est parce que vous n’avez pas encore demandé ou bien demandé.
Vous devez savoir par ailleurs, que nous nous trouvons dans un régime de restauration où Dieu veut ramener l’Eglise à sa position première, parce qu’Il a toujours voulu un peuple avec qui Il allait communier, des hommes avec qui Il allait régner.
D’après ce passage, tout ce que Dieu a créé, Il l’a soumis à l’homme. Cela nous révèle par conséquent, la capacité incroyable de l’homme. Si donc, Dieu a soumis toute Sa création à l’homme, Il a, pour ainsi dire, besoin de l’autorisation de celui-ci pour avoir accès à sa création. En d’autres termes, Dieu s’est lié !
Quel est l’enjeu aujourd’hui ?
L’homme est au centre du combat qui oppose Dieu à Satan.
Sur la terre, si la volonté de Dieu n’est pas faite, c’est parce que Satan détient beaucoup plus de personnes sous sa domination que Dieu n’en possède. On peut donc aisément comprendre cette recommandation de Jésus : » Lorsque vous priez, dites : …Que Ta volonté soit faite sur la terre comme elle est au ciel. « .
Dieu nous demande en effet, de prier pour que Sa volonté se fasse et qu’Il ait par conséquent, beaucoup plus accès à des hommes qui vont lui donner accès au monde pour travailler.
La prière n’est donc pas négociable, nous devons aimer prier. Quiconque se prive de Dieu, se prive de la vie, car Dieu est la source de tout ! La Bible dit que Dieu a scellé sa Parole de façon éternelle et Il l’a exaltée au dessus de son Nom.
La puissance de Dieu est donc dans Sa Parole: Quand un homme sait invoquer Dieu, il n’y a rien qui lui manque.
Shalom !
http://www.enseignemoi.com/alexandre-amazou/texte/l-origine-de-la-priere-2-29174.html
28 Août
UN CRI SANS VOIX
by David Wilkerson | August 28, 2015
Juste avant de guérir le sourd-muet, dans Marc 7, nous lisons que Jésus, »levant les yeux au ciel, il soupira« (Marc 7:34). Le mot utilisé ici pour « soupira » signifie un gémissement audible. De toute évidence, Jésus a grimacé et un gémissement est venu tout droit de Son cœur. Bien-sûr, cet homme n’a pas pu l’entendre, puisqu’il était sourd – mais pourquoi ce gémissement ?
J’ai lu de nombreux commentaires au sujet de cette scène. Pourtant, aucun ne parle de ce que je crois que L’Esprit me dit au travers de ce passage. Je suis convaincu que Jésus regardait dans le Ciel et qu’Il communiait avec le Père. Il pleurait silencieusement dans Son cœur à cause de deux choses. D’abord, Il a pleuré sur une chose que Lui seul pouvait voir en cet homme. Deuxièmement, Il a pleuré sur une chose qu’Il voit aujourd’hui, enfermée dans le cœur de tant de gens, et tout particulièrement des jeunes.
Qu’a vu Jésus à ce moment-là qu’Il voit encore aujourd’hui ? Qu’entendait-Il dans le cœur de ce sourd-muet qu’Il entend encore aujourd’hui dans le cœur de multitudes ? Il entendait un cri sans voix. Il entendait un cri du cœur, enfermé, impossible à exprimer. Et Christ Lui-même a gémi un cri qui ne pouvait être prononcé. Il donnait voix aux cris de tous ceux qui ne peuvent pas crier.
Pense aux nombreuses nuits où cet homme a dû crier au plus profond de lui jusqu’à finalement s’endormir, parce que personne ne le comprenait. Même son père et sa mère ne pouvaient pas le comprendre lorsqu’il parlait. Comme il a souvent dû essayer d’expliquer ce qu’il ressentait, mais tout ce qui pouvait sortir, ce n’étaient que des sons douloureux et maladroits. Il a dû penser : « Si seulement je pouvais parler, juste une fois. Si seulement ma langue était déliée pour une minute seulement, je pourrais dire à quelqu’un se qui se passe dans mon âme. Je crierais : « je ne suis pas un idiot. Je ne suis pas sous une malédiction. Je ne fuis pas devant Dieu. Je suis simplement confus. J’ai des problèmes, mais personne ne peut les entendre.‘ »
Mais Jésus a entendu les pensées du cœur de cet homme frustré. Il comprend tous les gémissements intérieurs qui ne peuvent pas être exprimés. La Bible dit que notre Seigneur peut compatir à nos faiblesses. Et Il a ressenti les souffrances causées par la condition de cet homme sourd et muet.
26 Août
Miki Hardy – La poignée de main
La tradition de se serrer les mains remonte aussi loin que le 5ème siècle après Jésus-Christ, elle est considérée comme un signe de paix et d’accord. L’idée était d’approcher votre ennemi avec une main ouverte. Avec le temps, la tradition a évolué pour inclure la notion d’accueillir, de féliciter et même de reconnaître une transaction.
Beaucoup, dans ces jours de mensonge et de méfiance, préfèreront avoir un contrat signé plutôt qu’une poignée de main. C’est plus sûr, et ne laisse aucun moyen de manipulation. Je suis sûr que dans les jours à venir nous allons juste échanger des codes barres avec nos portables !
Quelle que soit la manière que vous choisissez, en ce qui concerne nos relations entre chrétiens, le fait de se sentir en accord et en confiance avec quelqu’un devrait être davantage une question de coeur qu’un simple signe extérieur ou ‘électronique’. On doit maintenir l’entente ou la paix sans être ébranlés par les circonstances ni par notre état. C’est la paix qui » surpasse » toute intelligence dont l’Apôtre Paul fait mention dans Philippiens 4.7.
Je me souviens qu’un jour, des jeunes avaient décidé d’organiser un événement. On avait distribué des tâches déterminées au préalable. C’était une bonne organisation, mais qui avait été mal exécutée malheureusement. Néanmoins, l’événement était un succès et une bénédiction pour tous les participants, malgré la présence sous-jacente de frustration et de ressentiment chez les organisateurs.
Peu après, une réunion de suivi a eu lieu afin de discuter et de résoudre tous les problèmes. Après que chacun a exprimé ce qu’il pensait, réparti les reproches et rédigé le compte rendu, j’ai rencontré l’équipe afin de voir comment chaque étape s’était déroulée. Quand j’ai lu le compte rendu, j’ai vu clairement ce qui n’allait pas, et ce qui n’avait pas été fait. Bien que les problèmes aient été résolus, les attitudes de coeur n’avaient pas changé !
Le Seigneur regarde au coeur. L’accord n’est pas ce qui est reconnu mais ce que nous portons dans nos coeurs. Un morceau de papier qui couvre tous les problèmes et le fait d’en parler, ne suffisent pas toujours à clarifier, dans l’esprit. En fait, c’est le contraire, cela peut rendre la situation plus obscure.
Un accord doit commencer premièrement avec la repentance et le brisement. Lorsque le coeur est sur l’autel et que nous ne nous défendons pas nous-mêmes, une porte s’ouvre pour la paix de Dieu, et un accord divin suit.
Vous pouvez ne pas être d’accord avec moi concernant les faits. Vous pouvez avoir vos propres idées et opinions – mais s’il vous plaît, restez en accord avec moi dans l’esprit. C’est la bonne attitude où il n’y a pas de porte ouverte à la chair et à l’ennemi. Nous sommes en paix les uns avec les autres même s’il y a des avis différents. C’est l’état de coeur que nous devons avoir pour servir Le Seigneur.
23 août
DPM – Etre renouvelé
Notre vieil homme a été mis à mort en Christ afin que l’homme nouveau puisse venir à la vie en nous.
Jésus était Dieu voilé de chair. Lorsque la chair de Jésus a été percée et meurtrie sur la croix, le voile s’est déchiré.
Dans le temps présent, Christ se révèle dans le croyant, il vit en lui mais il est toujours voilé de chair. Le livre des Colossiens nous révèle un autre aspect de ce principe. S’adressant aux croyants, Paul parle de l’homme nouveau, c’est-à -dire de qui nous sommes en Christ, membres d’une nouvelle race:
« Vous étant dépouillés du vieil homme et de ses œuvres, et ayant revêtu l’homme nouveau, qui se renouvelle, dans la connaissance, selon l’image de celui qui l’a créé. » (Colossiens 3:9-10)
Je préfère le rendre plus littéralement: « étant renouvelés. » Le renouvellement est un processus qui se passe dans le présent. Nous passons par un processus qui nous renouvelle.
Puis, il est dit littéralement: « dans la connaissance du créateur. » Il ne s’agit pas de connaître Jésus intellectuellement, mais aussi de le reconnaître dans tous les domaines de notre vie, ce qui fait apparaître son image en nous. La finalité de ce processus de renouvellement est que nous reproduisions son image. Je considère cette paraphrase parfaitement justifiée. Reprenons-la: « Etant renouvelés dans la connaissance du créateur afin de reproduire son image. » En d’autres termes, la finalité est celle de restaurer l’image qui avait été entachée par la chute. Bien entendu, le couronnement de ce dessein se produira au temps de la résurrection, lorsque même le corps physique du croyant sera transformé à la ressemblance du corps de résurrection de Christ.
Merci Jésus, pour l’échange opéré à la croix. Je proclame que je suis renouvelé à l’image de celui qui m’a créé. Je proclame que mon vieil homme a été mis à mort en Christ afin que l’homme nouveau puisse venir à la vie en moi. Amen.
22 Août
[Un Miracle Chaque Jour]
Lorsque je me lève le matin, je dois, comme vous, faire un des deux choix suivants :
1. Soit donner à Jésus l’opportunité de me conduire,
2. Soit laisser les circonstances du jour me diriger.
Je dois vous avouer que souvent je n’ai pas choisi la première option. Et j’ai régulièrement eu à le regretter ! Par contre je n’ai jamais été déçu quand j’ai choisi de laisser Jésus me conduire…
La semence incorruptible – DPM
Notre vieil homme a été mis à mort en Christ afin que l’homme nouveau puisse venir à la vie en nous.
« Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché, parce que la semence de Dieu demeure en lui; et il ne peut pécher, parce qu’il est né de Dieu. » (1 Jean 3:9)
Ce verset nous affirme-t-il que le chrétien né de nouveau ne pèche jamais? S’il en était ainsi, cela en exclurait plus d’un, moi y compris! Existe-t-il parmi nous une personne réellement née de Dieu dont on pourrait dire: « elle ne peut pas pécher »? Je ne le crois pas. Quel est donc le sens de ce verset?
Selon ce que je comprends, il s’agit de la nouvelle nature qui est née en nous. C’est une nature qui ne peut pas pécher, celle de Jésus. C’est l’homme nouveau. Il est vraiment important d’en prendre conscience car ce n’est qu’en cultivant cette nature et en nous y soumettant que nous entrons dans une vie de victoire sur le péché.
En 1 Jean 5:4, nous lisons: « parce que tout ce qui est né de Dieu triomphe du monde. » Notez que Jean a spécifié « tout ce qui est né de Dieu, » non pas tous ceux. Il se référait à une personne mais également à une nature. C’est comme cela que je le comprends. Il s’agit de la nature de l’homme nouveau. Cette nouvelle nature ne peut pas pécher, elle est incorruptible. Savez-vous ce que cela signifie? Que la semence de Dieu demeure en l’homme nouveau. En quoi consiste-t-elle? Nous l’apprenons en 1 Pierre 1:23, « puisque vous avez été régénérés, non par une semence corruptible, mais par une semence incorruptible, par la parole vivante et permanente de Dieu. »
En quoi consiste la nature de la semence issue de la parole de Dieu? Elle est incorruptible. Elle est exactement à l’opposé de la nature du vieil homme, qui est corruptible (et est effectivement déjà corrompue).
Merci Jésus, pour l’échange opéré à la croix. Je proclame qu’une nouvelle créature est née en moi, une nature qui ne peut pas pécher, celle de Jésus. Je proclame que mon vieil homme a été mis à mort en Christ afin que l’homme nouveau puisse venir à la vie en moi. Amen.
L’AUTORITE DE JESUS
by David Wilkerson
Après que Jésus eut apporté le Sermon sur la Montagne, ceux qui L’avaient écouté sont restés assis dans l’émerveillement. L’Écriture nous dit : » Après que Jésus eut achevé ces discours, la foule fut frappée de sa doctrine ; car il enseignait comme ayant autorité, et non pas comme leurs scribes » (Matthieu 7:28-29). Le mot grec pour autorité dans ce verset signifie » avec maîtrise, puissance, liberté, comme quelqu’un qui contrôle « . Ceux qui L’écoutaient disaient en fait : » Cet homme parle comme s’Il connaissait vraiment ce dont Il parle. «
Remarque que ce verset ne dit pas que Christ parlait » avec autorité, » mais plutôt » comme ayant autorité. » C’est une chose que de parler avec ce que nous pensons être de l’autorité – avec une voix forte et énergique, paraissant avoir un contrôle total. Mais dans le royaume de Dieu, l’autorité est une chose complètement différente. C’est une chose que tu as, pas simplement une façon de parler.
L’autorité que Jésus a manifesté a ébranlé tout le système religieux. Les responsables juifs ont commencé à venir à Lui, exigeant de savoir où Il avait obtenu Son autorité : » Par quelle autorité fais-tu ces choses, et qui t’a donné cette autorité ? » (Matthieu 21:23). Jésus leur a répondu tout net : » Je ne vous le dirai pas » (voir versets 24 et 27). Notre Seigneur savait qu’Il n’avait pas à répondre au diable d’où Il tenait Son autorité spirituelle.
Christ n’avait pas cette autorité uniquement dans l’enseignement, mais aussi sur toutes les puissances sataniques. Quand Il est entré dans une synagogue à Capernaüm, Il a été accosté par un homme possédé par un esprit démoniaque. L’esprit a crié : » Qu’y a-t-il entre nous et toi, Jésus de Nazareth ? Tu es venu pour nous perdre » (Marc 1:24).
Jésus a su aussitôt que cette synagogue n’avait pas besoin d’un nouveau sermon ou d’une autre interprétation de la Loi. Elle n’avait pas besoin d’un séminaire sur » comment faire » ni d’un nouveau programme excitant. Elle avait besoin d’une personne ayant autorité – une personne qui pourrait chasser le diable du milieu d’eux et purifier à la fois l’homme possédé et l’église privée de puissance.
Christ a utilisé Son autorité pour faire exactement cela. L’Écriture dit : » Jésus le menaça, disant: Tais-toi, et sors de cet homme » (1:25). Dans les termes d’aujourd’hui, on dirait : » Tais-toi, Satan, et va-t’en d’ici. » Et Satan a fui. » Et l’esprit impur sortit de cet homme » (1:26). Une fois encore, les gens se sont émerveillés, se disant : » Qu’est-ce que ceci ?… Il commande avec autorité même aux esprits impurs, et ils lui obéissent ! » (1:27).
S’il est bien un temps où l’Église de Jésus Christ a besoin de Sa puissance et de Son autorité, c’est maintenant !
21 Août
AUCUNE LIMITE
by David Wilkerson
Mon cher ami, le pardon de Dieu n’a aucune limite. Jésus a dit à Ses disciples : « Et s’il a péché contre toi sept fois dans un jour et que sept fois il revienne à toi, disant : Je me repens, -tu lui pardonneras » (Luc 17:4).
Peux-tu croire une telle chose ? Sept fois dans la journée, cette personne pèche volontairement contre moi, puis dit : « Je suis désolé. » Et je suis sensé lui pardonner, encore et encore ? Oui – et à combien plus forte raison notre Père qui est au Ciel pardonnera-t-Il à Ses enfants qui viennent à Lui dans la repentance. N’essaye pas de le comprendre ! Ne demande pas comment ni pourquoi Il pardonne si librement. Accepte-le, tout simplement !
Jésus n’a pas dit : « Pardonne à ton frère une ou deux fois, ensuite dis-lui que, si jamais il recommence, il sera rejeté. Dis-lui qu’il est un pécheur invétéré. » Non ! Jésus nous appelle à un pardon illimité, et sans aucune restriction !
C’est dans la nature de Dieu de pardonner. David a dit : « Car tu es bon, Seigneur, tu pardonnes, Tu es plein d’amour pour tous ceux qui t’invoquent » (Psaumes 86:5). Dieu attend en ce moment même de déverser en toi la joie du pardon. Tu dois ouvrir toutes les portes et les fenêtres de ton âme et permettre à Son Esprit de t’inonder de Son pardon.
Jean, parlant en tant que chrétien a écrit : « Il est lui-même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier » (1 Jean 2:2).
D’après Jean, le but de tout chrétien est « de ne pas pécher. » Cela signifie que le chrétien ne tend pas vers le péché, mais qu’il tend plutôt vers Dieu. Mais que ce passe-t-il quand cet enfant dont l’inclinaison est orientée vers Dieu pèche ?
« Et si quelqu’un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus-Christ le juste… Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité » (1 Jean 2:1 et 1:9).
Abandonne ta culpabilité, mon ami. Tu n’as pas à porter ce poids une minute de plus. Ouvre les portes et les fenêtres de ton cœur et laisse l’amour de Dieu y entrer. Il te pardonne, encore et encore ! Il te donnera la puissance de voir tes luttes aboutir à la victoire. Si tu le Lui demandes – si tu te repens – tu es pardonné, alors accepte-le – maintenant !
20 Août
SON PLAN PARFAIT
by David Wilkerson
Un des passages les plus encourageants de la Bible se trouve dans 2 Corinthiens 4:7 : » Nous portons ce trésor dans des vases de terre, afin que cette grande puissance soit attribuée à Dieu, et non pas à nous. » Ensuite Paul continue en décrivant ces vases de terre – des hommes mortels, troublés de tous côtés, perplexes, persécutés, abattus. Et même s’ils n’ont jamais été abandonnés ni dans le désespoir, ces hommes utilisés par Dieu étaient constamment sous le fardeau de leur corps, attendant anxieusement d’être revêtus d’un nouveau.
Dieu se moque de la puissance des hommes. Il rit de nos propres efforts pour être bons. Il n’utilise jamais les grands ni les puissants, mais Il utilise les choses faibles de ce monde pour confondre les sages.
» Considérez, frères, que parmi vous qui avez été appelés il n’y a ni beaucoup de sages selon la chair, ni beaucoup de puissants, ni beaucoup de nobles. Mais Dieu a choisi les choses folles du monde pour confondre les sages ; Dieu a choisi les choses faibles du monde pour confondre les fortes ; et Dieu a choisi les choses viles du monde et celles qu’on méprise, celles qui ne sont point…afin que nulle chair ne se glorifie devant Dieu » (1 Corinthiens 1:26-29).
Combien cela me correspond ! Une chose faible, folle, méprisée, pas très noble, pas très intelligente. Pourtant, dans Son plan parfait – le plus grand mystère du monde – Dieu nous a appelés, dans notre faiblesse. Il a mis Son trésor sans prix dans les vases de terre que nous sommes parce qu’Il se réjouit de faire l’impossible à partir de rien.
J’ai vue Israel Narvaez, le chef du gang Mau Mau, s’agenouiller et recevoir Christ comme son Seigneur. Ce n’était pas juste une expérience émotionnelle et superficielle – il Le voulait réellement. Mais Israel est retourné dans le gang et il a fini en prison, accusé de meurtre. Est-ce que Dieu l’a abandonné ? Pas un seul instant ! Aujourd’hui, Israel est un prédicateur de l’évangile, il a accepté l’amour et le pardon d’un Sauveur patient.
As-tu échoué ? Existe-t-il un péché qui te domine si facilement ? Est-ce que tu as l’impression d’être lâche et faible, incapable d’obtenir la victoire sur un péché secret ? Mais, malgré cette faiblesse qui est en toi, y a-t-il également une grande faim de Dieu ? Est-ce que tu te languis de Lui, est-ce que tu L’aimes et cherches à L’atteindre ? Cette faim et cette soif sont la clé de la victoire. Elles te mettent à part des autres qui ont été coupables de décevoir Dieu. Tu dois maintenir cette faim. Continue à être assoiffé de justice. Ne justifie jamais ta faiblesse, ne t’abandonne jamais à elle et ne l’accepte jamais comme faisant partie de ta vie.
19 Août
IL ALLAIT TOUT DROIT A L’ACCIDENT
Jésus a ordonné à Ses disciples de prendre un bateau qui allait tout droit à l’accident. La Bible dit qu’Il » obligea les disciples à monter dans la barque » (Matthieu 14:22). Ce bateau allait droit vers des eaux tumultueuses, il allait être secoué comme un bouchon, les disciples allaient expérimenter un mini-Titanic – et Jésus le savait.
Où était Jésus ? Il était sur la montagne qui dominait la mer, regardant les disciples et priant pour eux, afin qu’ils n’échouent pas à l’épreuve qu’Il savait qu’ils devaient traverser. Le voyage en bateau, la tempête, les vagues, les vents, tout cela faisait partie d’une épreuve que le Père avait planifiée. Ils étaient sur le point d’apprendre une des plus grandes leçons qu’ils apprendraient jamais – comment reconnaître Jésus dans la tempête !
Avant cela, les disciples Le connaissaient comme étant le faiseur de miracles, Celui qui transformait les pains et les poissons en nourriture miraculeuse. Ils Le connaissaient comme étant l’ami des pécheurs, Celui qui apporte le salut à toute l’humanité. Ils Le connaissaient comme Celui qui pourvoyait à tous leurs besoins, jusqu’au fait de payer leurs impôts avec de l’argent sorti de la bouche d’un poisson.
Ils connaissaient Jésus comme étant » le Christ, le Fils du Dieu vivant. » Ils le connaissaient comme enseignant, leur apprenant comment prier, pardonner, lier et délier. Ils savaient qu’Il a les paroles de la vie éternelle. Ils savaient qu’Il a la puissance sur toutes les œuvres du diable. Mais ils n’avaient jamais appris à reconnaître Jésus dans la tempête.
C’est l’origine de la plupart de nos problèmes aujourd’hui. Nous nous confions en Jésus pour les miracles et les guérisons. Nous croyons qu’Il est notre salut et qu’Il nous apporte le pardon de nos péchés. Nous regardons à Lui comme étant Celui qui pourvoit à nos besoins. Nous lui faisons confiance pour nous emmener dans la gloire, un jour. Mais quand une tempête s’abat soudain sur nous et qu’il nous semble que tout s’écroule, nous découvrons qu’il nous est difficile de voir Jésus tout près de nous. Nous ne pouvons pas croire qu’Il permet aux tempêtes de nous enseigner la confiance. Nous ne sommes jamais tout à fait certains qu’Il est tout près quand les choses deviennent vraiment dures.
Il n’y avait qu’une seule leçon à tirer de cette tempête pour les disciples – une seule !Une leçon toute simple – pas une leçon profonde, mystique, qui ébranlerait la Terre. Jésus voulait simplement qu’ils lui fassent confiance dans toutes les tempêtes de la vie. Il voulait simplement que les disciples gardent leur joie et leur confiance, même dans les heures les plus sombres de l’épreuve. C’est tout !
18 Août:
L’AMI DE L’EPOUX
by Gary Wilkerson
Jean Baptiste est un exemple biblique de la façon dont on peut résister aux distractions du monde et rechercher la vraie grandeur. Il a déclaré : « l’ami de l’époux… éprouve une grande joie à cause de la voix de l’époux » (Jean 3:29). A l’époque de Jésus, ce rôle pour un mariage était un honneur et une marque de respect. Il nécessitait une personne ayant les épaules solides et un grand sens des responsabilités.
A cette époque en effet, l’ami de l’époux était responsable de l’ensemble de l’organisation du mariage. Il préparait les invitations, planifiait et organisait la cérémonie du mariage, accueillait et supervisait la réception. Il organisait même la lune de miel, devançant le couple pour s’assurer que tout était en place pour son ami et l’épouse. Il s’assurait aussi que leur nouveau foyer soit prêt pour que le couple puisse y vivre. Pour résumer, l’ami de l’époux était responsable de tout. Son rôle était un travail rigoureux d’amour et de grâce, du début à la fin.
Jean Baptiste ne disait pas : » la théologie n’est pas importante. » Il disait : » Comment pouvez-vous vous concentrer sur des points de détails comme ceux-là si vous êtes vraiment concentrés sur ce qui est essentiel ? Jésus va donner Sa vie en sacrifice, ressusciter des morts et revenir pour une Fiancée dont la foi est sans tache ni ride. Ne pouvez-vous pas voir ce que Dieu est en train d’accomplir au milieu de vous ? «
Jean avait de bonnes raisons de rester concentré : la maisonnée du Roi Hérode avait commencé à réclamer sa tête et il savait qu’il allait bientôt mourir. Jean disait à ceux qui le suivaient : » il ne me reste que quelques jours et je veux que toutes mes paroles soient alimentées par ce message urgent : » tournez-vous vers Jésus. » Je veux que ma passion soit orientée vers la seule chose qui compte vraiment ! «
Jean Baptiste avait une passion qui supplantait tout le reste, et elle est contenue dans ce beau verset ; » l’ami de l’époux, qui se tient là et qui l’entend, éprouve une grande joie à cause de la voix de l’époux : aussi cette joie, qui est la mienne, est parfaite » (Jean 3:29). Sachant que son temps touchait à sa fin, Jean pouvait se réjouir d’une chose : Jésus était venu pour proclamer le royaume de Dieu !
Nous jouons tous le rôle de Jean dans le royaume de Dieu, préparant le chemin pour que des hommes et des femmes reçoivent Jésus. Quand cela devient notre principale préoccupation, tout le reste se positionne à sa juste place. Et Dieu nous a promis de nous donner la puissance nécessaire pour que nous Le servions. Comme Jean Baptiste l’a attesté : » celui que Dieu a envoyé dit les paroles de Dieu, parce que Dieu ne lui donne pas l’Esprit avec mesure » (3:34).
17 août
La plénitude de Christ: Dieu lui-même
J’ai été rendu parfait en Christ.
« Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie, s’appuyant sur la tradition des hommes, sur les rudiments du monde, et non sur Christ. Car en lui habite corporellement toute la plénitude de la divinité. Vous avez tout pleinement en lui, qui est le chef de toute domination et de toute autorité. » (Colossiens 2:8-10)
Voilà le but visé, entrer dans toute la plénitude qui nous a été donnée en Jésus-Christ, lui notre objectif et notre satisfaction ultimes. Nous pouvons illustrer cela par un parallèle avec le tabernacle de Moïse tel que décrit dans l’Ancien Testament. Il s’agissait d’une structure en trois parties: premièrement le parvis, puis derrière le premier voile, le lieu saint, et derrière le second voile, le saint des saints. Une fois encore, une façon simple de les distinguer est la source de luminosité éclairant chacun de ces lieux.
Dans le parvis, la lumière était naturelle, fournie par le soleil, la lune et les étoiles. Dans le lieu saint, il n’y avait pas de lumière naturelle. Sa source provenait du chandelier à sept branches dans les récipients duquel brûle l’huile qui fournissait l’éclairage. Arrivé dans le lieu saint, vous ne vivez plus par vos sens mais par la foi. Curieusement, derrière le second voile il n’y avait pas de lumière du tout. Il n’y avait qu’une raison d’y entrer: rencontrer Dieu. Lorsqu’un homme au cœur sincère franchissait le second voile, il était glorieusement illuminé de la présence surnaturelle de Dieu, appelée la shekinah. C’est l’objectif final. Rien ne nous incite à franchir ce second voile, sauf Dieu. Il ne s’y trouve rien d’autre pour nous attirer, c’est Dieu ou rien. Si Dieu ne vient pas, vous restez dans l’obscurité totale. Avoir Dieu seul pour but dans la vie signifie n’être attiré par rien d’autre. C’est Dieu lui-même et lui seul. La lumière que je cherche n’est ni naturelle ni artificielle, elle est surnaturelle, c’est la présence de Dieu lui-même.
Merci Seigneur, pour ton œuvre en moi. Je proclame que c’est Dieu lui-même et lui seul que je recherche, la plénitude de Christ, car j’ai été rendu parfait en Christ. Amen.
16 Août
Steven Alembe – Fixez les yeux sur la parole et non sur les faits naturels
Fixez les yeux sur la parole et non sur les faits naturels
» Pasteur Alembe, je sais que Dieu est mon sauveur. Mais pourquoi cette maladie et les douleurs dans mon corps ? » Si tu regardais à ta maladie et à la douleur depuis tout ce temps, je te prie de stopper et de commencer à regarder à Jésus. Est-ce qu’il n’avait pas pris toutes tes maladies et tes douleurs ?
La parole de Dieu déclare : » Cependant ce sont nos souffrances qu’il a portées, c’est de nos douleurs qu’il s’est chargé, Et nous l’avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié… » (Essaie 53:4, L S 1910) comme Jésus a déjà pris tes maladies et tes souffrances sur la croix, il ne peut plus te les remettre. Même si tu trouves difficile de croire que Jésus a payé pour ta maladie et pour ta souffrance, surtout quand la douleur devient insupportable, la vérité est qu’il a vraiment payé pour ta guérison. C’est un travail accompli !
Dieu ne dit pas que ta maladie n’existe pas, et pas encore qu’il te dit de faire comme si tu ne te sens pas malade. Il te demande de regarder ailleurs, non à la maladie, ni aux douleurs, bien que vous les sentiez ; regardez à la vérité : cette maladie et ces douleurs ont déjà été jugées sur la croix, dans le corps de son Fils unique.
Pendant que les enfants d’Israël étaient dans le désert, ils étaient mordus par les serpents venimeux. Les serpents étaient réels. Leurs piqûres étaient douloureuses et pouvaient causer la mort. Alors Dieu ordonna à Moïse de diriger les gens vers le serpent d’airain qui était sur un Poteau – image de la croix. (Jean 3:14) Airain signifie jugement. Dans d’autres termes, le serpent et leur problème étaient déjà jugés sur la croix.
Ceux qui ont gardé leurs yeux sur la croix ont survécu. Ceux qui se sont focalisés sur leurs plaies sont morts. Alors, arrêtez de focaliser sur votre maladie, par contre focalisez-vous sur la croix. Sûrement Il a pris tes maladies et tes souffrances, c’est la vérité de la parole de Dieu, et Sa parole surpasse les faits naturels.
Il faut faire attention, qui autorisons-nous à régner dans nos vies : les faits naturels ou les vérités divines ? Choisissons ce sur quoi nous allons nous focaliser. Alors décidez aujourd’hui de ne plus vous focaliser sur les faits concernant votre problème. Par contre établissez la vérité de la Parole de Dieu et le travail accompli de Jésus Christ sur votre problème – vous conserverez la vie !
Complet en Christ – DPM
J’ai été rendu parfait en Christ.
Il fut un temps, j’ai exercé la profession de philosophe. En tant que tel, je cherchais partout les réponses aux problèmes de la vie. J’ai cherché dans le christianisme tel qu’il m’avait été présenté et en ai conclu qu’il ne contenait aucune réponse. J’avais parfaitement raison, tel était le cas. Je me suis tourné vers la philosophie grecque, puis vers le yoga, puis vers toutes sortes de choses ridicules. Puis en 1941, dans un baraquement militaire, un soir aux alentours de minuit, alors que tout le monde dormait, j’ai fait la rencontre personnelle du Seigneur Jésus-Christ. Et durant cette rencontre, j’ai réalisé que j’avais trouvé la réponse.
Quelque temps plus tard, j’ai lu un passage écrit par Paul sur Jésus-Christ: « dans lequel sont cachés tous les trésors de la sagesse et de la connaissance » (Colossiens 2:3). Je me suis dit, pourquoi continuerais-je à fouiller les poubelles de la sagesse humaine lorsque tous les trésors sont cachés en Jésus-Christ? Puis, j’ai décidé que la Bible était le livre des réponses, et j’ai résolu d’y trouver ce que Dieu avait caché en Jésus-Christ.
Parfois je me suis égaré, parfois j’ai été dévié et distrait. Mais Jésus est: « l’alpha et l’oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin » (Apocalypse 22:13) et « le chef et le consommateur de la foi » (Hébreux 12:2). Nous sommes complets en lui. Si vous commencez à regardez en dehors de Christ, vous trouverez toutes sortes de théories intéressantes ou de préceptes exaltants, mais vous vous nourrirez d’écorces vides alors que vous pourriez vivre du pain donné par le Père.
Merci Seigneur, pour ton œuvre en moi. Je proclame que Jésus est la réponse, l’alpha et l’oméga, le début et la fin, le premier et le dernier. Je suis complet en lui, car j’ai été rendu parfait en Christ. Amen.
14 Août
Faire la volonté de Dieu
J’ai été rendu parfait en Christ.
Pourquoi sommes-nous sur terre? Ce n’est pas pour faire notre propre volonté mais celle de Christ, qui nous délègue. Paul écrit en Colossiens 1:9: « C’est pour cela que nous aussi, depuis le jour où nous en avons été informés, nous ne cessons de prier Dieu pour vous, et de demander que vous soyez remplis de la connaissance de sa volonté, en toute sagesse et intelligence spirituelle. » Nous devons être remplis de la connaissance de la volonté de Dieu. En d’autres termes, la connaissance de la volonté de Christ doit couvrir l’intégralité de notre pensée. Elle doit contrôler notre esprit dans l’absolu. Toute motivation et toute intention doivent être contrôlées par la connaissance de la volonté de Christ.
Paul continue en Colossiens 4:12, « Épaphras, qui est des vôtres, vous salue: serviteur de Jésus-Christ, il ne cesse de combattre pour vous dans ses prières, afin que, parfaits et pleinement persuadés, vous persistiez dans une entière soumission à la volonté de Dieu. »
Le chrétien ne devient parfait et achevé qu’en accomplissant entièrement la volonté de Dieu. Hébreux 13 énonce magnifiquement ce principe:
« Que le Dieu de paix, qui a ramené d’entre les morts le grand pasteur des brebis, par le sang d’une alliance éternelle, notre Seigneur Jésus, vous rende capables de toute bonne œuvre pour l’accomplissement de sa volonté, … » (Hébreux 13:20-21)
Nous sommes rendus parfaits et complets, nous devenons accomplis, seulement dans la mesure où nous faisons la volonté de Dieu, tout comme Jésus n’a trouvé son accomplissement durant sa vie sur terre qu’en faisant la volonté de Dieu. Si votre vie manque d’harmonie et si elle est remplie de frustrations ou de turbulences émotionnelles, réfléchissez à l’état de votre relation avec la volonté de Dieu, car vous ne pouvez être rendus parfaits que dans la mesure où vous la connaissez et l’accomplissez. Tout le reste vous fera seulement vous sentir incomplets et frustrés.
Merci Seigneur, pour ton œuvre en moi. Je proclame mon espoir de me tenir parfaitement et complètement dans toute la volonté de Dieu, ne trouvant mon accomplissement qu’en la mettant à exécution. J’ai été rendu parfait en Christ. Amen.
13 aout
LE FESTIN DE MARIAGE
by David Wilkerson | August 13, 2015
« Alors il dit à ses serviteurs : Les noces sont prêtes ; mais les conviés n’en étaient pas dignes. Allez donc dans les carrefours, et appelez aux noces tous ceux que vous trouverez. Ces serviteurs allèrent dans les chemins, rassemblèrent tous ceux qu’ils trouvèrent, méchants et bons, et la salle des noces fut pleine de convives » (Matthieu 22:8-10).
Depuis le Calvaire, l’évangile s’est répandu à toute l’humanité : juifs et païens, esclaves et hommes libres, riches et pauvres, bons et méchants.C’est ainsi que « la salle de noces fut pleine de convives. » (22:10). Comprends bien que cette scène ne concerne pas le futur repas des noces de l’agneau. Ces invités sont ceux qui ont répondu à l’appel de recevoir Christ comme Sauveur.
Réfléchis-y. D’après Jésus, l’épouse est faite de « tous ceux qu’ils trouvèrent, méchants et bons » (22:10). Ce groupe inclut des personnes qui ont été mauvaises : drogués, alcooliques, prostituées, assassins, parieurs, trafiquants de drogue. Mais il inclut aussi des personnes qui ont été bonnes, celles qui s’étaient un jour appuyées sur la justice de la chair.
Elles ont maintenant toutes été changées. Elles ont confessé leurs péchés et ont été lavées par le sang de Christ.
Souvent, nous nous imaginons une fête de mariage de quelques heures. Dans la culture juive, à l’époque de Jésus, de telles fêtes pouvaient durer jusqu’à sept jours. Mais pour Dieu, un jour est comme mille ans. Et dans cette parabole, la fête à laquelle nous assistons dure depuis le Calvaire. Elle dure depuis des siècles. Et elle ne se terminera pas avant que l’époux ne revienne.
Cher saint, réalises-tu ce que cela signifie ? Chaque jour est ton jour de noces. En tant que membre du Corps de Christ, tu fais partie de Sa fiancée. Cela veut dire que, chaque matin, quand tu te lèves, tu dois te revêtir de ta robe blanche. Si elle est tâchée ou souillée, tu dois l’apporter à Sa Parole pour qu’elle soit lavée. Et tu dois porter ton alliance à chaque instant. Elle témoigne de ton statut de marié, scellé par le Saint-Esprit. Enfin, tu dois festoyer du Pain du Ciel : Christ, la manne céleste.
Ce festin de mariage a lieu chaque jour pour le Corps de Christ.
La signification de parfait
J’ai été rendu parfait en Christ.
Le terme parfait en effraye certains. Ils ont l’impression qu’être parfait signifie ne jamais rien faire de travers, ne jamais rien dire de mal, ne jamais commettre d’erreurs. Ces personnes disent: « Si c’est ça l’objectif, alors j’abandonne tout de suite, parce qu’il est inatteignable. » Mais, le terme parfait se trouve dans la Bible, et nous ne pouvons pas y échapper. Tôt ou tard, il nous faudra l’affronter.
Parfait possède trois significations principales dans la Bible. La première est « mature, » ou bien « complètement adulte. » Nous voyons tous en cela un objectif raisonnable (qui ne nous donne aucune raison de craindre). Une autre signification attribuée à ce mot est « complet, » n’ayant rien de déficient ou de défectueux. Notez bien que ces deux significations ne vont pas forcément ensemble. Une personne peut être complètement adulte et avoir quelques défauts physiques. Il se peut même que certaines parties du corps lui manquent, comme un membre, un doigt ou un organe. Dans ce cas, elle est mature même si incomplète. Une autre personne peut avoir tous ses membres, intacts et en bon fonctionnement, mais elle peut ne pas être totalement mature ou adulte. Cette image de la perfection combine les idées de maturité et d’intégralité.
En Ephésiens 4, dans l’expression « le perfectionnement des saints » (verset 12), le verbe grec qui exprime le perfectionnement est « s’articuler, » ou bien « s’emboîter. » Un terme similaire est utilisé en Hébreux 11:3, où il est dit que par la parole de Dieu, « le monde a été formé, » ou « emboîté. » Ainsi, le terme parfait s’apparente également au fait d’emboîter des éléments de façon à ce que chaque partie fonctionne harmonieusement avec les autres tout en remplissant la fonction qui lui est propre. Les trois idées différentes de maturité, d’intégralité et d’articulation adéquate, s’emboîtent au point de former un tout qui fonctionne harmonieusement. Voilà l’objectif que la parole nous fixe en tant que chrétiens.
Merci Seigneur, pour ton œuvre en moi. Je proclame que Dieu me « perfectionne » (il me fait mûrir, me complète et m’emboîte à l’endroit qu’il a prévu pour moi.) J’ai été rendu parfait en Christ. Amen.
12 Août
DU SEIN DU SEJOUR DES MORTS
Pourquoi Jonas n’a-t-il pas prié avant cela ? C’est parce qu’il était convaincu : « je suis rejeté de devant tes yeux » (2:4). Il décrit Dieu comme plein de miséricorde envers Ninive, mais Jonas ne pouvait pas croire que la même miséricorde était aussi pour lui. Il pensait : « je suis un homme mort. Je ne peux pas tomber plus bas. Dieu m’a tourné le dos. Il me hait pour ce que j’ai fait. »
Rien ne pouvait être plus éloigné de la vérité. Quand l’Écriture dit : « l’Éternel prépara un grand poisson pour engloutir Jonas », le mot utilisé pour prépara signifie recruta. Dieu a choisi une grande baleine et a placé un sentiment d’urgence dans cette créature. Si bien que, lorsque Jonas est passé par dessus bord, elle était là , prête à l’avaler. Le Seigneur était toujours à l’œuvre.
La vérité c’est que Dieu rapprochait à toute vitesse Jonas de sa route vers Ninive. Bientôt, le prophète allait de nouveau voir la lumière du jour. Il allait prêcher avec assurance dans les rues, en tant que messager choisi.
Que voulait faire Dieu au-travers de cette expérience de Jonas dans le sein du séjour des morts ? Pendant un moment, Jonas a su ce que c’était que de se sentir mort. Il ne pouvait pas prier. Dieu avait caché Sa face et le prophète n’avait nul part où se tourner. L’enfer pour Jonas, ce n’était pas d’avoir des algues en train de le balayer, ni d’être secoué dans tous les sens. C’était le sentiment que Dieu avait ôté Sa main de sa vie.
Tout cela avait pour but de tester Jonas dans sa désobéissance. Dieu ne demandait pas : « Maintenant, vas-tu m’obéir, Jonas ? » Il demandait plutôt : « Quelle parole vas-tu croire dans cet enfer affreux, Jonas ? La mienne ou celle du diable ? » Finalement, nous lisons « Jonas pria » (2:1). « quand mon âme défaillait en moi, je me suis souvenu de l’Éternel, et ma prière est venue jusqu’à toi » (2:7). Jonas s’est précipité à nouveau dans les bras d’amour de Dieu. Ensuite, il a témoigné : « Du sein du séjour des morts j’ai crié, Et tu as entendu ma voix » (2:2).
11 Août
MEMBRES DE SON CORPS – David Wilkerson
Paul nous dit en fait : « Regarde ton propre corps. Tu as des mains, des pieds, des yeux, des oreilles. Tu n’es pas qu’un cerveau tout seul, sans lien avec d’autres parties du corps. Et bien, il en est de même avec Christ. Il n’est pas qu’une tête. Il a un corps et nous en formons les membres.
L’apôtre souligne ensuite : « ainsi, nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les uns des autres » (Romains 12:5). En d’autres termes, nous ne sommes pas juste connectés à Jésus, notre Tête. Nous sommes aussi liés les uns aux autres. Le fait est que nous ne pouvons pas être connectés à Lui sans être également liés à nos frères et sœurs en Christ.
Paul enfonce le clou en disant : « Le pain que nous rompons, n’est-il pas la communion au corps de Christ ? Puisqu’il y a un seul pain, nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps ; car nous participons tous à un même pain » (1 Corinthiens 10:16-17). Pour dire les choses simplement, nous sommes tous nourris par la même nourriture : Christ, la manne céleste. « car le pain de Dieu, c’est celui qui descend du ciel et qui donne la vie au monde » (Jean 6:33).
Jésus a déclaré : « Je suis le pain de vie…Je suis le pain vivant qui est descendu du ciel…ainsi celui qui me mange vivra par moi » (Jean 6:35,51,57). L’image du pain utilisée ici est importante. Notre Seigneur nous dit : « Si vous venez à Moi, vous serez nourris. Vous serez attachés à moi, en tant que membre de Mon corps. Vous recevrez dès lors la force venant du fleuve de vie qui est en Moi. » En effet, tous les membres de Son Corps tirent leur force d’une seule source : Christ, la Tête. C’est de Lui que coule en nous tout ce dont nous avons besoin pour vivre une vie de victoire.
MESURER LA GRANDEUR by Gary Wilkerson
Jean Baptiste ne voulait pas se laisser détourner d’une vie qui aurait un véritable impact.
L’évangile de Jean nous dit : « Or, il s’éleva de la part des disciples de Jean une dispute avec un Juif touchant la purification. Ils vinrent trouver Jean, et lui dirent : Rabbi, celui qui était avec toi au delà du Jourdain, et à qui tu as rendu témoignage, voici, il baptise, et tous vont à lui » (Jean 3:25-26). Les disciples de Jean parlaient ici de Jésus. Évidemment, ils avaient des préoccupations théologiques à Son sujet. Ils avaient peut-être entendu parler de Son miracle à Cana et pensé qu’il n’aurait pas dû transformer l’eau en vin.
Jean ne voulait pas se laisser distraire par ce débat. Il savait que quelque chose de plus grand qu’un point de doctrine un peu épineux était en jeux. Il a répondu : « Un homme ne peut recevoir que ce qui lui a été donné du ciel » (Jean 3:27). En d’autres termes : « Quelqu’un peut-il accomplir un miracle tel que celui-là s’il n’a pas été envoyé par Dieu ? Ce genre de puissance ne peut venir que du Ciel. »
Ce que Jean a dit ensuite est très important : « Vous-mêmes m’êtes témoins que j’ai dit : Je ne suis pas le Christ, mais j’ai été envoyé devant lui. Il faut qu’il croisse, et que je diminue » (Jean 3:28-30). Le centre de la vie de Jean était très clair : son appel était entièrement centré sur Jésus. C’est pour cette raison que Jean Baptiste a été reconnu comme un grand homme.
Le problème pour nombre d’entre nous aujourd’hui, dans notre culture centrée sur le succès, c’est que nous recherchons de grandes choses pour nous-mêmes. Des pasteurs bien intentionnés cherchent à construire des réseaux sur Twitter. Les chrétiens veulent être entendus, même si c’est au prix de quinze secondes de bêtise sur YouTube. Nous pouvons peut-être nous convaincre nous-mêmes que nous cherchons à travailler pour Dieu, mais Jésus est-il réellement au centre ? Sans un examen de conscience approfondi, nous ne serons pas capables de discerner si nous cherchons à plaire à notre Maître ou si nous cherchons à satisfaire un besoin inconscient d’approbation.
Le prophète Jérémie a abordé cette question très directement : « Et toi, rechercherais-tu de grandes choses ? Ne les recherche pas ! Car voici, je vais faire venir le malheur sur toute chair, dit l’Éternel ; et je te donnerai ta vie pour butin, dans tous les lieux où tu iras » (Jérémie 45:5). Jérémie a dit clairement que la façon dont Dieu mesure la grandeur est très différente de celle du monde. Remarque qu’il n’a pas dit : « Ne sois pas grand. Tu auras des bon-points spirituels pour ta fausse humilité. » Non, comme Jésus Lui-même l’a dit : la grandeur se mesure à la façon dont nous servons les autres.
10 Août
DU SEIN DU SEJOUR DES MORTS
Jonas s’est retrouvé dans le séjour des morts pendant trois jours et trois nuits. Pourtant, pendant tout ce temps, il n’a jamais prié. La tempête ne l’a pas poussé à se mettre à genoux, pas plus que lorsqu’il a frôlé la mort dans le ventre de la baleine. Ce n’est qu’après trois jours et trois nuits que nous lisons : « Jonas pria l’Éternel, son dieu, des entrailles du poisson » (2:2).
Pourquoi Jonas n’a-t-il pas prié avant cela ? C’est parce qu’il était convaincu : « je suis rejeté de devant tes yeux » (2:4). Il décrit Dieu comme plein de miséricorde envers Ninive, mais Jonas ne pouvait pas croire que la même miséricorde était aussi pour lui. Il pensait : « je suis un homme mort. Je ne peux pas tomber plus bas. Dieu m’a tourné le dos. Il me hait pour ce que j’ai fait. »
Rien ne pouvait être plus éloigné de la vérité. Quand l’Écriture dit : « l’Éternel prépara un grand poisson pour engloutir Jonas », le mot utilisé pour prépara signifie recruta. Dieu a choisi une grande baleine et a placé un sentiment d’urgence dans cette créature. Si bien que, lorsque Jonas est passé par dessus bord, elle était là , prête à l’avaler. Le Seigneur était toujours à l’œuvre.
La vérité c’est que Dieu rapprochait à toute vitesse Jonas de sa route vers Ninive. Bientôt, le prophète allait de nouveau voir la lumière du jour. Il allait prêcher avec assurance dans les rues, en tant que messager choisi.
Que voulait faire Dieu au-travers de cette expérience de Jonas dans le sein du séjour des morts ? Pendant un moment, Jonas a su ce que c’était que de se sentir mort. Il ne pouvait pas prier. Dieu avait caché Sa face et le prophète n’avait nul part où se tourner. L’enfer pour Jonas, ce n’était pas d’avoir des algues en train de le balayer, ni d’être secoué dans tous les sens. C’était le sentiment que Dieu avait ôté Sa main de sa vie.
Tout cela avait pour but de tester Jonas dans sa désobéissance. Dieu ne demandait pas : « Maintenant, vas-tu m’obéir, Jonas ? » Il demandait plutôt : « Quelle parole vas-tu croire dans cet enfer affreux, Jonas ? La mienne ou celle du diable ? » Finalement, nous lisons « Jonas pria » (2:1). « quand mon âme défaillait en moi, je me suis souvenu de l’Éternel, et ma prière est venue jusqu’à toi » (2:7). Jonas s’est précipité à nouveau dans les bras d’amour de Dieu. Ensuite, il a témoigné : « Du sein du séjour des morts j’ai crié, Et tu as entendu ma voix » (2:2).
BRAVE POUR DIEU by Jim Cymbala
Les vaillants guerriers de 1 Chroniques 11 ont aidé David à conquérir une nouvelle capitale pour son royaume, une histoire qui est rapportée des versets 4 à 9. La nation actuelle d’Israël a fait une grande fête pour le 3000ème anniversaire de cette cité, Jérusalem, en tant que centre de la vie des juifs.
Jérusalem n’était pas une proie facile. Les Yebousiens qui habitaient à Jérusalem ont dit tout net à David : « Tu n’y arriveras pas. C’est une cité forte et bien fortifiée et tu ne pourras pas entrer. » En fait, 2 Samuel 5:6 rapporte leur insulte : « même les aveugles et les boiteux te repousseront ! »
Il en est de même pour toute tentative de faire quelque chose de significatif pour Dieu. Ce n’est jamais simple. Chaque fois que Dieu nous pousse à établir Son royaume dans un nouvel endroit, l’Ennemi est toujours là pour nous railler. Le diable essaye toujours de nous convaincre que nous avons vu trop grand cette fois et que nous allons bientôt être humiliés.
Mais David et ses guerriers sont allés de l’avant. Ils ne se sont pas laissés détourner de leur objectif. En fait, David a fait une offre inhabituelle : « Quiconque battra en premier les Yebousiens sera chef et prince » (1 Chroniques 11:6). Cela impliquait de monter le premier sur la colline, à la rencontre de soldats bien armés, perchés sur d’épaisses murailles, attendant qu’ils se mettent à pleuvoir des flèches et de rochers. Le jeune neveu de David, Joab, a saisi l’opportunité d’accomplir cet exploit. Il est entré en premier dans la cité et il est ainsi devenu le général en chef de David pour les années qui ont suivi.
Ce n’est pas de cette manière que nous choisissons les chefs dans l’église aujourd’hui, n’est-ce pas ? Nous marchons aux CV, à l’ancienneté, à l’image, à l’éducation et à une demie douzaine d’autres critères humains. A l’opposé, David a recherché le courage et l’audace dans ce monde réel de batailles.
Si nous sommes assez courageux pour mener la bataille spirituelle, pour être des hommes et des femmes puissants, des hommes et des femmes de prière et de foi, il n’y a aucune limite à ce que Dieu peut accomplir à travers nous.
9 Août 2015
DU SEIN DU SEJOUR DES MORTS
by David Wilkerson | August 7, 2015
« Du sein du séjour des morts j’ai crié » (Jonas 2:2). Pourquoi le Seigneur a-t-Il fait tomber Jonas si bas ? Il se trouvait dans le sein d’un enfer vivant, dans les ténèbres, suspendu entre la vie et la mort. Pourquoi un Dieu miséricordieux ferait-il passer son serviteur par là ? Je crois que l’histoire de Jonas nous montre comment Dieu agit envers les serviteurs désobéissants.
Jonas s’est retrouvé dans le séjour des morts pendant trois jours et trois nuits. Pourtant, pendant tout ce temps, il n’a jamais prié. La tempête ne l’a pas poussé à se mettre à genoux, pas plus que lorsqu’il a frôlé la mort dans le ventre de la baleine. Ce n’est qu’après trois jours et trois nuits que nous lisons : « Jonas pria l’Éternel, son dieu, des entrailles du poisson » (2:2).
DPM: La porte et le berger
J’ai accès à Dieu grâce au Saint-Esprit.
Jésus dit: « Je suis la porte » (Jean 10:9). Deux versets plus loin, il dit: « Je suis le bon berger »(verset 11). Avez-vous déjà pris le temps de réfléchir à la façon dont Jésus peut être à la fois la porte et le berger? C’est si simple et pourtant si profond. Jésus crucifié est la porte. Jésus ressuscité est le berger. Mais si vous voulez que Jésus ressuscité soit votre berger, il vous faut passer par la porte qu’est Christ crucifié. Seuls ceux qui viennent par Christ crucifié possèdent Christ ressuscité comme berger.
« Car par lui nous avons les uns et les autres accès auprès du Père, dans un même Esprit. » (Ephésiens 2:18)
Il n’y a qu’un chemin, Jésus, et un seul Esprit, le Saint-Esprit, qui nous conduisent vers le Père. Si vous ne venez pas par Jésus, vous n’avez pas le Saint-Esprit pour vous conduire au Père. Le Saint-Esprit n’honorera pas d’autre approche vers Dieu que par Jésus-Christ, crucifié.
Lorsque vous venez par Jésus, la porte, vous recevez le témoignage surnaturel du Saint-Esprit. Toute religion authentique et centrée sur Dieu reçoit toujours le témoignage surnaturel de l’approbation divine. Si celle-ci ne se manifeste pas, il vaudrait mieux vous poser des questions, parce que Dieu a promis d’honorer la vérité en l’attestant surnaturellement et il l’a toujours fait, tout au long de l’histoire biblique.
Merci Seigneur de ce que je peux venir à toi. Je proclame qu’il n’y a qu’un seul chemin, Jésus, et un seul Esprit, le Saint-Esprit, qui mènent jusqu’au Père. J’ai accès à Dieu grâce au Saint-Esprit. Amen.
Pourquoi Jonas n’a-t-il pas prié avant cela ? C’est parce qu’il était convaincu : « je suis rejeté de devant tes yeux » (2:4). Il décrit Dieu comme plein de miséricorde envers Ninive, mais Jonas ne pouvait pas croire que la même miséricorde était aussi pour lui. Il pensait : « je suis un homme mort. Je ne peux pas tomber plus bas. Dieu m’a tourné le dos. Il me hait pour ce que j’ai fait. »
Rien ne pouvait être plus éloigné de la vérité. Quand l’Écriture dit : « l’Éternel prépara un grand poisson pour engloutir Jonas », le mot utilisé pour prépara signifie recruta. Dieu a choisi une grande baleine et a placé un sentiment d’urgence dans cette créature. Si bien que, lorsque Jonas est passé par dessus bord, elle était là , prête à l’avaler. Le Seigneur était toujours à l’œuvre.
La vérité c’est que Dieu rapprochait à toute vitesse Jonas de sa route vers Ninive. Bientôt, le prophète allait de nouveau voir la lumière du jour. Il allait prêcher avec assurance dans les rues, en tant que messager choisi.
Que voulait faire Dieu au-travers de cette expérience de Jonas dans le sein du séjour des morts ? Pendant un moment, Jonas a su ce que c’était que de se sentir mort. Il ne pouvait pas prier. Dieu avait caché Sa face et le prophète n’avait nul part où se tourner. L’enfer pour Jonas, ce n’était pas d’avoir des algues en train de le balayer, ni d’être secoué dans tous les sens. C’était le sentiment que Dieu avait ôté Sa main de sa vie.
Tout cela avait pour but de tester Jonas dans sa désobéissance. Dieu ne demandait pas : « Maintenant, vas-tu m’obéir, Jonas ? » Il demandait plutôt : « Quelle parole vas-tu croire dans cet enfer affreux, Jonas ? La mienne ou celle du diable ? » Finalement, nous lisons « Jonas pria » (2:1). « quand mon âme défaillait en moi, je me suis souvenu de l’Éternel, et ma prière est venue jusqu’à toi » (2:7). Jonas s’est précipité à nouveau dans les bras d’amour de Dieu. Ensuite, il a témoigné : « Du sein du séjour des morts j’ai crié, Et tu as entendu ma voix » (2:2).