Transmis par Elisabeth777
Lorsque nous sommes sous pression, la majorité d’entre nous ressassons nos besoins encore et encore : « Si seulement j’avais cette chose-là . Si je pouvais seulement améliorer ce point faible. »
Mais Jésus nous dit de ne pas faire de fixation sur nos besoins, mais sur Celui qui pourvoit.
« C’est pourquoi je vous dis : Ne vous inquiétez pas pour votre vie de ce que vous mangerez, ni pour votre corps de quoi vous serez vêtus. La vie n’est-elle pas plus que la nourriture, et le corps plus que le vêtement ? Regardez les oiseaux du ciel : Ils ne sèment ni ne moissonnent, ils n’amassent rien dans des greniers, et votre Père céleste les nourrit. Ne valez-vous pas beaucoup plus qu’eux ? Qui de vous, par ses inquiétudes, peut ajouter une seule coudée à la durée de sa vie ? » (Matthieu 6:25-27).
Dans l’Ancien Testament, lorsque les choses paraissaient impossibles pour le Roi Asa, il a fixé les yeux sur Celui qui pourvoit, et non sur son problème. Lorsque le royaume était encerclé par une grande armée ennemie, quand la situation semblait être sans espoir, Asa a prié :
« Seigneur, je ne sais pas quoi faire, mais mes yeux sont fixés sur toi » (2 Chroniques 14:9-12).
Jésus nous a montré que nous devons Le remercier quelle que soit notre situation. Face à la foule affamée, avec juste une poignée de poissons et de pains, Jésus a rendu grâce à Dieu : « Jésus prit les pains, rendit grâces et les distribua à ceux qui étaient là « (Jean 6:11).
Jésus a remercié le Père avant même que le besoin n’ait été comblé, et un miracle a suivi : « Lorsqu’ils furent rassasiés, il dit à ses disciples : Ramassez les morceaux qui restent, afin que rien ne se perde. Ils les ramassèrent donc, et ils remplirent douze paniers avec les morceaux des cinq pains d’orge, qui restaient à ceux qui avaient mangé. Ces gens, à la vue du miracle que Jésus avait fait, disaient : Vraiment c’est lui le prophète qui vient dans le monde » (6:12-14).
Ta situation n’est pas dépendante de tes propres ressources, elle dépend de celles de Dieu. « Mon Dieu pourvoira à tous vos besoins selon sa richesse, avec gloire ». (Philippiens 4:19).
Tu as peut-être pleuré toutes les larmes de ton corps pour ton besoin. Ce n’est pas le moment de ressasser tes échecs. C’est le moment de te souvenir de la bonté de Dieu. Il est temps d’arrêter de te tracasser au sujet de ce besoin si grand et de Lui rendre grâce. Il est temps de te reposer sur la force de ta famille dans la foi lorsque tu n’en as plus toi-même. Sois certain que Dieu est sur le point de se manifester avec puissance dans ta vie. Crois-le et trouve le repos en Lui !
Shabath shalom,
Pardonnez mon ironie à propos de cette phrase!
……. »Il est temps de te reposer sur la force de ta famille dans la foi lorsque tu n’en as plus toi-même »…..
De quelle famille s’agit-il?…
…. C’est pour plaisanter !!!!
Quoiqu’il en soit je suis d’accord avec l’auteur, il faut se concentrer sur la solution pas sur le problème même quand tout est contre toi et qu’une issue à la situation paraît impossible.
Si tu n’as pas de » famille dans la foi « , crie à Dieu. Il a promis à ses DISCIPLES ceci:
Marc 10:29
Jésus répondit : Je vous le dis en vérité, il n’est personne qui, ayant quitté, à cause de moi et à cause de la bonne nouvelle, sa maison, ou ses frères, ou ses soeurs, ou sa mère, ou son père, ou ses enfants, ou ses terres, 30 ne reçoive au centuple, présentement dans ce siècle-ci, des maisons, des frères, des soeurs, des mères, des enfants, et des terres, avec des persécutions, et, dans le siècle à venir, la vie éternelle.
J’ai toujours vu cette parole de Jésus s’accomplir, et même de manière stupéfiante, quel que fsoit le pays ou le continent où il m’envoyait !
Mais bien sûr, c’est réservé seulement aux disciples… et là , hum !, combien y a-t-il de disciples parmi ceux qui se disent chrétiens. Il doit y en avoir 5 à 7 % qui paie le prix pour être disciple: mourir à soi et à ce monde !
Tu as raison ils ont été fauché dès le départ!