Introduction
Après avoir quitté ce monde, lorsque notre âme comparaîtra devant le Tribunal Céleste, l’une des questions qu’il nous sera posée est la suivante :
« As-tu attendu la Rédemption Finale ? » (Guémara Chabbat 31a).
Quelle sera alors votre réponse face à cette question ?
Attendons-nous RÉELLEMENT la Délivrance Finale jour après jour, le Salut ultime qui nous permettra de sortir physiquement et spirituellement d’exil, de voir le retour de Machia’h (Messie) en Terre Sainte, d’être consolés de nos plaies, de vivre dans une proximité d’esprit et de cœur avec Hachem (D.ieu), de contempler la connaissance Divine qui remplira alors les cœurs de chacun, de voir les morts ressusciter…et d’éprouver la joie qui aura envahi la Terre entière !?
C’est pour la réalisation de toutes ces promesses que nous devons nourrir une attente immensurable dans le but de hâter le processus de ce que l’on nomme en hébreu « Guéoula Chéléma » (Délivrance Complète).
Bonne nouvelle : la Guéoula (délivrance) est déjà en marche et continue son cours ! La Guéoula se réalise étape par étape, ce n’est pas pour rien qu’elle est souvent comparée à la venue au monde d’un enfant, la Délivrance Complète ne viendra pas du jour au lendemain, et même si nous n’aurons pas pu la voir de notre vivant, pourrons-nous néanmoins affirmer que nous l’avons ardemment et sérieusement attendue ?
Dans cette étude inédite, nous nous concentrerons principalement sur l’attente et le courage des femmes de l’époque de Moché (Moïse) ayant vécu sous la domination égyptienne.
Comment se sont-elles comportées dans leur attente vis-à-vis de leur guéoula (délivrance) ? Quelles leçons pouvons-nous en tirer pour nous, femmes d’aujourd’hui ? Quel est le rôle de la femme dans la « sortie d’Égypte de la fin des temps » ? Comment pouvons-nous hâter le retour de Yéchoua (Jésus) ?
1. La guéoula (délivrance) viendra des femmes
Les Sages d’Israël enseignent qu’il existe une forte concordance entre la délivrance d’Égypte et la Délivrance Finale :
« Par le mérite des femmes, les enfants d’Israël sont sortis d’Égypte et par le mérite des femmes nous serons délivrés » (Sotah 11b).
Revenons sur cette période de l’histoire du peuple hébreu pour comprendre quelle a été la force des femmes à ce moment-là et comment pouvons-nous nous en inspirer pour notre génération.
La condition des enfants d’Israël en Égypte devenait chaque jour plus rude. Par peur de voir le peuple hébreu s’accroître et parce qu’il avait connaissance de la prophétie qui parlait d’un libérateur, pharaon décida de l’assujettir à de pénibles travaux.
La Torah nous dit que les Égyptiens « rendirent la vie amère [aux Hébreux] par de rudes travaux en argile et en briques, et par tous les ouvrages des champs: et c’était avec cruauté qu’ils leur imposaient toutes ces charges ».
Comme si cela n’était pas assez cruel, pharaon ordonna de faire mourir tous les nouveau-nés mâles (Exode 1 :16).
Cependant, malgré la rude servitude, plus on l’accablait, plus le peuple hébreu multipliait et s’accroissait (Exode 1 :12-14).
Une question peut ici être posée : comment les Hébreux faisaient-ils pour continuer de s’accroître malgré ces atroces conditions de vie et l’épouvantable ordre de pharaon ?
D’où tiraient-ils leurs forces et leur confiance sachant que les enfants qu’ils mettront au monde deviendront à leur tour les esclaves des Égyptiens, ou pire encore allaient trouver la mort dès leur naissance !?
Pour répondre à cette question, les commentateurs de la Torah racontent les actions vertueuses des femmes du peuple hébreu : Au moment où elles allaient à la rivière pour puiser de l’eau, le Saint Béni soit-Il (D.ieu) matérialisait pour elles de petits poissons qui entraient dans leurs cruches, et elles tiraient donc des cruches qui étaient à moitié remplies d’eau et à moitié remplies de poissons.
Elles déposaient ensuite deux marmites sur le feu : une marmite d’eau stérilisée pour laver leur mari et une marmite de poissons pour les nourrir. Elles apportaient alors ce qu’elles avaient préparé à leur mari, dans les champs : elles les nettoyaient, les oignaient d’huile, les nourrissaient de poissons, leur donnaient à boire et finissaient par s’unir avec eux (Sotah 11b).
Elles devenaient alors enceintes et quand arrivait le temps pour elles d’accoucher, ces dernières allaient accoucher dans le champ sous le pommier, comme il est écrit : « Sous le pommier je t’ai réveillé; là ta mère était en travail avec toi; là, elle était en travail et t’a enfanté » (Cantique des cantiques 8:5).
Quelle leçon nous avons ici ! Malgré les dures conditions de vie ainsi que le terrible décret de pharaon indiquant de tuer tous les nouveau-nés mâles des Hébreux, le peuple de D.ieu, grâce au mérite et au courage de ces nobles femmes, continuait à s’accroître.
Au-delà d’apporter la vie et de faire arriver le libérateur (rappelons en effet que Moïse est né durant cette période obscure) ces femmes vertueuses ont transmis force, courage et espoir à toute leur génération !
Par le mérite des femmes justes qui étaient dans cette génération, le peuple hébreu a été racheté d’Égypte. C’est pourquoi les Sages affirment au sujet de l’exil de la fin des temps : « Les générations ne seront délivrées que par le mérite des femmes justes de chaque génération » (Midrach Zouta, Ruth 4, 11). Il existe une forte corrélation entre la sortie d’Égypte et la sortie d’Égypte de la fin des temps.
Aujourd’hui aussi, où nous vivons dans une période obscure, essayons d’être ces flambeaux pour nos proches en prenant exemple sur le courage des femmes des temps bibliques ! Nous verrons plus loin comment concrètement se comporter afin de mériter de faire approcher la Délivrance Finale.
2. Prends ton tambourin et danse!
Continuons à relater l’histoire de la sortie d’Égypte. Après avoir traversé la mer à sec et avoir vu l’armée égyptienne périr sous leurs yeux, les enfants d’Israël entament la fameuse Chira (chant de remerciement à D.ieu, voir Exode 15). Lors de cette louange, les hommes ont exprimé leur reconnaissance à Hachem (D.ieu) en chantant, alors que les femmes l’ont plutôt fait en jouant du tambourin :
« Myriam, la prophétesse, soeur d’Aaron, prit à sa main un tambourin, et toutes les femmes vinrent après elle, avec des tambourins et en dansant. Myriam répondait aux enfants d’Israël: Chantez à l’Eternel, car il a fait éclater sa gloire; Il a précipité dans la mer le cheval et son cavalier. » (Exode 15 :20-21)
À la lecture de ces versets, les Sages se questionnent : D’où avaient-elles ces instruments ? En quoi ces tambourins prouvaient-ils leur haut niveau de confiance en D.ieu ?
Rappelons que le peuple hébreu sortit d’Égypte en toute hâte, il ne fallait pas tarder, pas le temps de préparer avec soin ses valises, il ne fallait prendre que le nécessaire ainsi que les trésors que D.ieu leur avait demandé de prendre des mains des Égyptiens :
« Les enfants d’Israël firent ce que Moïse avait dit, et ils demandèrent aux Égyptiens des vases d’argent, des vases d’or et des vêtements. L’Eternel fit trouver grâce au peuple aux yeux des Égyptiens, qui se rendirent à leur demande. Et ils dépouillèrent les Égyptiens. » (Exode 12 :35-36)
Juste avant de sortir d’Égypte, le peuple hébreu prit de l’argent, de l’or et des vêtements aux Égyptiens. Les femmes quant à elles, enseignent les Sages, confiantes que D.ieu allait accomplir des miracles pour tout le peuple, prirent également des tambourins pour célébrer l’événement.
Elles avaient une telle foi en les promesses de l’Éternel, qu’elles se sont préparées à l’avance en emportant avec elles les tambourins, afin de célébrer avec dignité la délivrance que D.ieu allait opérer !
En d’autres termes, en emportant avec elles ces instruments de musique, ces femmes vertueuses, les mêmes qui allaient puiser de l’eau pour leur mari, montrèrent plus de foi et de confiance en D.ieu que les hommes.
Les femmes de notre génération peuvent également montrer leur confiance inébranlable en la Délivrance qui viendra. Comment ? En étant remplies de joie à l’idée que D.ieu accomplira Sa promesse de nous délivrer. Nous pouvons déjà commencer à célébrer la Rédemption au travers de musiques, de danses et de prières de remerciement à Hachem. Cela inspirera nos proches à faire de même. Une personne qui est sûre que le Saint Béni soit-Il lui viendra en aide bénéficiera de Sa délivrance.
3. Hâter la venue du Messie par des actions concrètes
À ce stade de la lecture, vous vous demandez peut-être quand viendra le temps de notre Délivrance ? Même si la date reste inconnue, nous pouvons néanmoins accélérer sa venue !
À ce sujet, les Sages affirment : « Si la génération est méritante, D.ieu hâtera la Délivrance. Si la génération n’est pas méritante, elle viendra en son temps » (Sanhédrine 98a), c’est ce que signifie ce verset du prophète Esaïe : « Moi, l’Éternel, Je hâterai la rédemption en son temps » (Esaïe 60 :22).
Cela signifie qu’il existe une fin définitive à l’exil qui est fixée « en son temps » lors de laquelle Notre Messie reviendra quoi qu’il arrive, y compris si la génération ne sera pas méritante. Cependant, il existe également la possibilité de faire venir plus tôt la Délivrance, car D.ieu a promis que si la génération est jugée digne, Il « hâtera la rédemption », c’est-à-dire qu’Il avancera le temps fixé de la Rédemption et l’amènera plus tôt.
En vérité, la Délivrance aurait pu survenir il y a déjà 2000 ans, lors de la première venue de Notre Messie Yéchoua…mais elle n’a pas eu lieu, pourquoi ? Avant d’y répondre, il est nécessaire d’expliquer une autre notion concernant la venue du Messie.
Le rabbin Yéhoshua ben Lévi se questionne sur ces deux versets apparemment contradictoires :
– « Voici qu’avec les nuées du ciel venait un être semblable à un Fils de l’homme [c’est-à-dire le Messie]. » (Daniel 7 :13)
– « Réjouis-toi, fille de Sion ! Pousse des cris de triomphe, fille de Jérusalem ! Voici que ton roi vient à toi ; il est juste et doté de salut, humble et monté sur un âne, sur un ânon, le petit d’une ânesse. » (Zacharie 9 :9)
Le Messie viendra-t-Il sur les nuées de gloire ou assis sur un âne ? La réponse de rabbi Yéhoshua ben Lévi s’harmonise avec ce que nous venons de lire: Si la génération mérite la Rédemption, le Messie viendra alors sur les nuées du ciel. En revanche, si elle ne l’est pas, Il viendra à elle humblement et monté sur un âne.
Cette interprétation explique la proclamation du Royaume par le Messie Yéchoua et Sa mission auprès de la dernière génération avant la fin de l’ère du Second Temple. Il y a plus de 2000 ans, Yéchoua est venu pour tenter de hâter la Rédemption Finale. Il a donné à sa nation l’opportunité de faire téchouva (se repentir) et de faire venir la Rédemption. Or, cette génération a échoué, elle n’a pas su « connaître le temps où elle a été visitée » (Luc 19 :44), ce temps qui aurait marqué la fin de l’exil et le début du Royaume de D.ieu sur Terre.
Si la génération entière de l’époque du Messie s’était repentie, elle aurait pu accéder au Royaume et à la Délivrance Finale, mais comme le Messie les a trouvés indignes, la Rédemption viendra plus tard, « en son temps ».
C’est pourquoi, lors de Sa première venue, Yéchoua fit son entrée, en tant que Messie révélé, sur le dos d’un ânon :
« Ils amenèrent à Yéchoua l’ânon, sur lequel ils jetèrent leurs vêtements, et Yéchoua s’assit dessus.
8 Beaucoup de gens étendirent leurs vêtements sur le chemin, et d’autres des branches qu’ils coupèrent dans les champs.
9 Ceux qui précédaient et ceux qui suivaient Yéchoua criaient: Hosanna! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur!
10 Béni soit le règne qui vient, le règne de David, notre père! Hosanna dans les lieux très hauts! » (Marc 11 :7-10)
Même si beaucoup crurent en Sa messianité, il fallait que la génération entière se repente, qu’elle Le reconnaisse en tant que Sauveur d’Israël et qu’elle produise des fruits qui auraient permis la Délivrance (si le sujet vous intéresse, nous vous conseillons la lecture de cet article : https://www.rencontrerdieu.com/project/souccot-figues-derniere-recolte/).
Aujourd’hui, ne commettons plus la même erreur et soyons cette génération méritante qui permettra de hâter le retour du Messie, de Le faire venir sur les nuées, comme il est dit en Apocalypse : « Voici, il vient avec les nuées. Et tout œil le verra. » (Apocalypse 1 :7)
Nous avons vu plus haut ce que les Sages d’Israël enseignent au sujet des derniers temps : « Les générations ne seront délivrées que par le mérite des femmes justes de chaque génération » (Midrach Zouta, Ruth 4, 11). Aspirons à devenir ces femmes justes, remplies de paroles de Torah, de bonnes actions et de confiance et de foi absolues en les promesses de Notre Créateur !
Mais que faire concrètement pour écourter l’exil ?
Les Sages d’Israël citent plusieurs mitsvot (commandements, actions) qui sont particulièrement propices, parmi elles :
– La téchouva (repentance) : « La Torah a promis que le Peuple d’Israël finira par faire Téchouva à la fin de son exil et immédiatement il sera délivré. » (Lois sur la Téchouva, chap. 7, § 5)
– L’espérance et l’attente de la Délivrance : « [D.ieu dit :] Quand une génération attendra Ma royauté, elle sera immédiatement rédimée. » (Yalkout Eikha)
– La prière qui est une force redoutable.
– Se renforcer dans l’amour du prochain, « l’amour gratuit » qui est le deuxième plus grand commandement comme nous le rappelle Yéchoua (Matthieu 22 :39). L’amour inconditionnel rachètera la haine gratuite qui fut la cause de la destruction du Temple et de l’exil actuel.
– L’étude approfondie de la Torah qui nous permet de comprendre les plans d’Hachem et de faire de nombreuses réparations.
– Donner la tsédaka (charité), car « grande est la Tsédaka, car elle rapproche la Délivrance » (Baba Batra 10a). La charité peut être exécutée sous diverses formes et pas uniquement sous forme d’argent. L’article ci-dessous souligne l’importance de faire la charité et présente quelques exemples concrets : https://www.rencontrerdieu.com/project/une-bonte-universelle-paracha-chemini-levitique-9-1-11-47/).
– Mettre au monde des enfants. Eh oui, cela aussi permettra d’accélérer les temps de la fin, car il est enseigné que « Le fils de David (c’est-à-dire le Messie) ne viendra que lorsque toutes les âmes seront descendues » (Talmud Yébamot 62a). En d’autres termes, le Messie ne viendra que lorsque le réservoir d’âmes sera vide, D.ieu aura envoyé toutes les âmes qui devaient descendre sur Terre.
Soit dit en passant, c’est d’ailleurs ce que firent les femmes du peuple hébreu en pleine période d’esclavage en Égypte. Comme nous venons de l’étudier, ces dernières continuèrent en effet de donner de la force et de l’espoir à leur mari et s’unissaient à eux.
Il existe encore plein de mitsvot et chaque mitsva citée mériterait qu’on s’y penche un peu plus longuement, mais il est important d’accomplir toutes ces actions avec l’intention particulière de rapprocher la Délivrance afin que chacun s’efforce d’avoir « une part » dans le Machia’h (Rabbi Chlomo de Karlin). Si nous sommes méritants (et avec l’aide de D.ieu nous le serons) Notre Messie Yéchoua se révélera de façon miraculeuse !
Conclusion
Le véritable sens de la question posée le jour du Jugement est donc : « T’es-tu investi(e) pour faire avancer le monde vers sa Délivrance ? » Le fait d’attendre la Rédemption Finale ne se limite pas à une attente passive devant les événements, « nous attendrons et nous verrons », mais implique un véritable engagement.
Le Rav Kook explique que ce que l’on nomme en hébreu « tsipiya layéchou’a », c’est-à-dire « l’attente active du Salut » partage la même racine que le mot « tsofe » qui veut dire « guetteur », « sentinelle » en hébreu. La sentinelle postée en-haut de la tour scrute l’horizon, elle reste à l’affut du moindre signe. Soyons les sentinelles du Seigneur :
« La voix de tes sentinelles retentit; Elles élèvent la voix, Elles poussent ensemble des cris d’allégresse; Car de leurs propres yeux elles voient Que l’Eternel ramène Sion. Éclatez ensemble en cris de joie, Ruines de Jérusalem! Car l’Éternel console son peuple, Il rachète Jérusalem. L’Éternel découvre le bras de sa sainteté, Aux yeux de toutes les nations; Et toutes les extrémités de la terre verront Le salut de notre D.ieu. » (Esaïe 52 :8-10)
Et le verset continue en nous donnant la condition pour être Ses sentinelles : « Partez, partez, sortez de là! Ne touchez rien d’impur! Sortez du milieu d’elle! Purifiez-vous, vous qui portez les vases de l’Eternel! » (Ésaïe 52 :11). La condition est de sortir de la grande Apostasie en revenant aux racines hébraïques de la foi et à la Torah d’Hachem.
Chacune de nos actions fait la différence ! Chacun d’entre nous peut accélérer le processus de la Délivrance messianique. Il ne nous est pas demandé uniquement de croire au Messie et d’attendre passivement Son retour, mais également d’agir en mettant en pratique la Torah, ce qui nous permettra d’accomplir les mitsvot (actions) qui nous permettent de travailler à notre Salut et de marcher dans la Kédoucha (sainteté) :
« Ainsi, mes bien-aimés, comme vous avez toujours obéi, travaillez à votre salut avec crainte et tremblement, […] Faites toutes choses sans murmures ni hésitations, afin que vous soyez irréprochables et purs, des enfants de Dieu irrépréhensibles au milieu d’une génération perverse et corrompue, parmi laquelle vous brillez comme des flambeaux dans le monde, portant la parole de vie (= la Torah); et je pourrai me glorifier, au jour de Christ, de n’avoir pas couru en vain ni travaillé en vain. » (Philippiens 2 :12-16)
Ouvrez donc grandes les portes pour faire entrer la Guéoula (Délivrance) au son de vos tambourins ! 🙂
Sim’ha
Rédactrice pour le site RencontrerDieu au féminin
Références
Sagesse au quotidien, Rabbi de Loubavitch, éditions Nadav et Charlotte Bensoussan, p. 123.
Rav Eliahou Uzan, « Béchala’h : n’oubliez pas vos tambourins », vidéo sur Torah Box.
Joy Galam, « Béchala’h : faire du shopping pour provoquer la guéoula », article sur Torah Box.
« Le pouvoir de la femme » article lu sur le site Levtov.fr
Menahem Brod, « Peut-on hâter la délivrance ? », article lu sur le site Chabad.fr.
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