Le document indique que les recommandations de traitement « à taille unique » ont entraîné des maladies et des décès inutiles.
À 13 heures vendredi après-midi, la déclaration avait recueilli plus de 3 100 signatures de médecins et de scientifiques du monde entier. (Voir ci-dessous pour le nombre actualisé).
Un groupe de médecins et de scientifiques s’est réuni à Rome, en Italie, au début du mois pour un sommet mondial de trois jours sur la Covid-19 afin de dire « la vérité au pouvoir sur la recherche et le traitement de la pandémie de Covid ».
Le sommet, qui s’est tenu du 12 au 14 septembre, a donné aux professionnels de la santé l’occasion de comparer les études et d’évaluer l’efficacité des différents traitements mis au point dans les hôpitaux, les cabinets médicaux et les laboratoires de recherche du monde entier.
Le document, reproduit ci-dessous dans son intégralité, est issu d’une conférence de médecins à Porto Rico :
La déclaration des médecins a été lue pour la première fois au sommet Covid de Rome, catalysant une explosion de soutien actif de la part des scientifiques médicaux et des médecins du monde entier. Ces professionnels ne s’attendaient pas à ce que leur carrière soit menacée, à ce que leur réputation soit attaquée, à ce que leurs articles et leurs recherches soient censurés, à ce que leurs comptes sociaux soient bloqués, à ce que les résultats des recherches soient manipulés, à ce que les essais cliniques et les observations de patients soient interdits, et à ce que leur histoire professionnelle et leurs réalisations soient modifiées ou omises dans les médias universitaires et grand public.
Le Dr Robert Malone, architecte de la plateforme vaccinale à ARNm, a lu la déclaration de Rome lors du sommet :
Des milliers de personnes sont mortes de la Covid-19 parce qu’on leur a refusé un traitement précoce qui pouvait leur sauver la vie. Cette Déclaration est le cri de guerre des médecins qui se battent quotidiennement pour le droit de traiter leurs patients, et le droit des patients de recevoir ces traitements, sans crainte d’interférence, de rétribution ou de censure de la part du gouvernement, des pharmacies, des sociétés pharmaceutiques et des grandes entreprises technologiques.
Nous exigeons que ces groupes s’écartent et honorent le caractère sacré et l’intégrité de la relation patient-médecin, la maxime fondamentale « D’abord ne pas nuire », et la liberté des patients et des médecins de prendre des décisions médicales en connaissance de cause. Des vies en dépendent. Nous, médecins du monde, unis et fidèles au serment d’Hippocrate, reconnaissant que la profession de médecin telle que nous la connaissons est à la croisée des chemins, sommes contraints de déclarer ce qui suit ;
ATTENDU QU’il est de notre plus grande responsabilité et de notre plus grand devoir de défendre et de restaurer la dignité, l’intégrité, l’art et la science de la médecine ;
ATTENDU QUE notre capacité à prendre soin de nos patients fait l’objet d’une attaque sans précédent ;
ATTENDU QUE les décideurs publics ont choisi d’imposer une stratégie de traitement « à taille unique », entraînant des maladies et des décès inutiles, plutôt que de défendre les concepts fondamentaux de l’approche individualisée et personnalisée des soins aux patients, qui s’est avérée sûre et plus efficace ;
CONSIDÉRANT que les médecins et les autres prestataires de soins de santé qui travaillent en première ligne, en utilisant leurs connaissances en épidémiologie, en pathophysiologie et en pharmacologie, sont souvent les premiers à identifier de nouveaux traitements susceptibles de sauver des vies ;
CONSIDÉRANT que les médecins sont de plus en plus découragés de s’engager dans un discours professionnel ouvert et dans l’échange d’idées sur les maladies nouvelles et émergentes, mettant ainsi en danger non seulement l’essence de la profession médicale, mais surtout, plus tragiquement, la vie de nos patients ;
CONSIDÉRANT que des milliers de médecins sont empêchés de fournir un traitement à leurs patients, en raison des barrières érigées par les pharmacies, les hôpitaux et les agences de santé publique, ce qui rend la grande majorité des prestataires de soins de santé impuissants à protéger leurs patients face à la maladie. Les médecins conseillent maintenant à leurs patients de simplement rentrer chez eux (permettant ainsi au virus de se répliquer) et de revenir lorsque leur maladie s’aggrave, ce qui entraîne des centaines de milliers de décès inutiles de patients, en raison de l’absence de traitement ;
CONSIDÉRANT que ceci n’est pas de la médecine. Ce ne sont pas des soins. Ces politiques peuvent en fait constituer des crimes contre l’humanité.
PAR CONSÉQUENT, NOUS AVONS RÉSOLU, que la relation médecin-patient doit être restaurée. Le cœur même de la médecine est cette relation, qui permet aux médecins de mieux comprendre leurs patients et leurs maladies, de formuler des traitements qui donnent les meilleures chances de succès, tandis que le patient est un participant actif à ses soins.
RÉSOLU, que l’intrusion politique dans la pratique de la médecine et la relation médecin/patient doit cesser. Les médecins, et tous les prestataires de soins de santé, doivent être libres de pratiquer l’art et la science de la médecine sans crainte de représailles, de censure, de calomnie ou de mesures disciplinaires, y compris la perte éventuelle de l’autorisation d’exercer, des privilèges hospitaliers, la perte des contrats d’assurance et l’ingérence des entités et organisations gouvernementales – qui nous empêchent encore davantage de soigner les patients dans le besoin. Plus que jamais, le droit et la capacité d’échanger des résultats scientifiques objectifs, qui font progresser notre compréhension des maladies, doivent être protégés.
RÉSOLU que les médecins doivent défendre leur droit de prescrire des traitements, en respectant le principe « D’ABORD, NE PAS NUIRE ». Les médecins ne doivent pas être empêchés de prescrire des traitements sûrs et efficaces. Ces restrictions continuent de provoquer des maladies et des décès inutiles. Les droits des patients, après avoir été pleinement informés des risques et des avantages de chaque option, doivent être rétablis pour recevoir ces traitements.
RÉSOLU, que nous invitons les médecins du monde entier et tous les prestataires de soins de santé à nous rejoindre dans cette noble cause, alors que nous nous efforçons de restaurer la confiance, l’intégrité et le professionnalisme dans la pratique de la médecine.
RÉSOLU que nous invitons les scientifiques du monde entier, qui sont compétents en matière de recherche biomédicale et respectent les normes éthiques et morales les plus élevées, à insister sur leur capacité à mener et à publier des recherches objectives et empiriques sans craindre de représailles sur leur carrière, leur réputation et leurs moyens de subsistance.
RÉSOLU, que nous invitons les patients, qui croient en l’importance de la relation médecin-patient et en la possibilité de participer activement à leurs soins, à exiger l’accès à des soins médicaux fondés sur la science.
Mise à jour :
Au lundi 28 septembre après-midi, plus de 4 600 médecins et scientifiques du monde entier avaient signé la Déclaration de Rome.
A 10h30 le 29 septembre, plus de 7 200 médecins et scientifiques avaient signé la Déclaration de Rome.
Debra Heine
Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone
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