Reçu pour un court « Défi de la vérité » à cette occasion, M. Verhaeghe a relevé qu’il existait dans les bases publiques de l’ANSM des « tableaux détaillés sur la nature des effets graves produits vaccin par vaccin, et que sur le vaccin Pfizer il y avait plus de 900 décès déclarés. »
Voir : COVID-19 – Vaccins – Suivi des effets indésirables – Pfizer BioNTech Comirnaty 24 septembre
« Ces chiffres datent de fin septembre et le ministre [Véran] a déclaré le 15 octobre qu’à sa connaissance il n’y avait pas de décès enregistré du fait du vaccin. Il y a aujourd’hui une distorsion flagrante entre les chiffres que nous pouvons consulter sur les sites publics […] et les affirmations extrêmement légères du ministre de la Santé. »
Tout en reconnaissant qu’il s’agit d’effets secondaires « soupçonnés », l’ancien haut fonctionnaire note que « si l’ANSM juge utile de les relever, c’est parce que cette suspicion est sérieuse et mérite d’être prise en considération » et que « s’il s’avérait qu’Olivier Véran avait menti devant la représentation nationale, cela remettrait en cause sa légitimité même à exercer son mandat de ministre »
Enfin, dénonçant un « sacré problème démocratique », Eric Verhaeghe appelle de ses vœux la création d’une « commission d’enquête parlementaire sur les possibles morts du fait du vaccin. Il faut que le ministre de la Santé soit appelé à témoigner sous serment. »
Source : FranceSoir
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