Je sens souvent les choses avant de les savoir. Hier, j’ai vu sur internet un film américain intitulé “la maison hantée” (the haunted). Pas vraiment le genre de film qui abonde parmi mes dvd.

Mais j’ai quand même “senti” qu’il y avait quelque chose là. Même si le film, américain, accentue le caractère sensationnel des événements, je me suis retrouvé en terrain connu.

Le film se présente comme inspiré de faits vécus par une famille dans les années 70 et 80. Après avoir été victime d’un ouragan dans un Etat plus méridional, trois générations d’une même famille s’installent dans une même maison en Pennsylvanie. Ils sont catholiques. Au bout de quelque temps, il commence à se passer des choses étranges. La mère de famille est déstabilisée. Les objets ne sont plus à la place où elle les a mis. Elle entend des voix. Des portes claquent. Le père de famille la suspecte de troubles mentaux. Puis c’est ensuite la grand-mère qui perçoit également des manifestations inquiétantes. Finalement, les choses prennent une telle ampleur que même le père les expérimente à son tour. Ils cherchent alors à trouver une aide au combat spirituel mais leur église est peu empressée.

Tour à tour, un prêtre catholique, un couple plus ou moins « medium « puis un prêtre épiscopalien (ce qu’est devenu l’église anglicane aux Etats-Unis à l’indépendance de ce pays puisqu’il était incompatible avec celle-ci que subsiste une structure ecclésiale dont les rois d’Angleterre sont l’équivalent des papes) leur apportent un certain répit mais pas une victoire décisive.

Il est facile de comprendre pourquoi. La famille essaie de se protéger avec des statues de « Marie », des crucifix, des chapelets, de l’eau bénite, des rosaires. Elle prie à haute voix quand les ténèbres se déchaînent mais on sent qu’ils ne sont pas au niveau de la foi en Jésus, plutôt dans la croyance à des sortes de grigris magiques.

Évidemment, cela n’a JAMAIS marché et les Actes des Apôtres nous en relatent une illustration : Quelques exorcistes juifs ambulants essayèrent d’invoquer sur ceux qui avaient des esprits malins le nom du Seigneur Jésus, en disant: Je vous conjure par Jésus que Paul prêche! 14 Ceux qui faisaient cela étaient sept fils de Scéva, Juif, l’un des principaux sacrificateurs. 15 L’esprit malin leur répondit: Je connais Jésus, et je sais qui est Paul; mais vous, qui êtes-vous? 16 Et l’homme dans lequel était l’esprit malin s’élança sur eux, se rendit maître de tous deux, et les maltraita de telle sorte qu’ils s’enfuirent de cette maison nus et blessés ». (Actes 19:13-17).

Ou, pour le dire avec les mots de Paul, cette forme de religion a l’apparence de la piété mais en renie ce qui en fait la force. (2 Tomothée 3:5). Les ténèbres les suivent quand ils partent faire du camping et même quand ils déménagent dans une autre maison en 1985.

Je suis retourné vivre chez mes grands-parents en septembre 1967, dans leur maison où j’étais pratiquement né à une dizaine de kilomètres de Paris, alors que mes parents devaient rester encore 5 années à Alger. Mes grands-parents faisaient du spiritisme. Étant encore très petit, je ne me rendais pas bien compte de la gravité de ce qu’ils faisaient, et eux non plus ! Je m’émerveillais de regarder le tabouret voleter au-dessus de la table de la cuisine comme un tapis volant et de voir mon grand-père soulever sa bru avec deux doigts.

Mais, le revers de la médaille, c’était que la maison était habitée et cela je le sentais, surtout la nuit. Il y avait quelque chose d’angoissant. Je ressentais souvent une impression étrange de « moisi. »

Ma grand-mère était catholique. Il y avait des crucifix dans toutes les pièces, des statues de « Marie », et même des phosphorescentes, des chapelets, de l’eau bénite … mais cela ne gênait pas les hôtes invisibles. Quand mon grand-père fut très malade du mal qui devait l’emporter, les manifestations devinrent proprement terrifiantes, des coups sourds dans des portes à l’étage, des bruits de pas lourds, des livres pourtant parfaitement empilés qui tombaient à terre plusieurs fois de suite, une fenêtre qui s’ouvrit toute seule … Oui, j’ai connu tout cela.

Mais j’ai connu ensuite et de mieux en mieux Dieu, Sa Parole, le sacrifice de Jésus, l’Esprit et ces ténèbres ne se sont plus manifestées dans ma vie une fois que j’ai eu quitté la maison natale en 1987.

Pourtant, cette expérience a été, pour utiliser un mot très employé der nos jours, comme une précieuse vaccination. Sous couvert de laïcité, en principe l’expression juridique de la liberté de conscience, l’école publique dans laquelle j’ai été enseigné faisait souvent, de façon subtile, la promotion d’une vision matérialiste athée de monde. Eh bien, cela n’avait aucun effet sur moi. En ce temps-là, le « ciré » était un manteau imperméable populaire pour les enfants et il ne laissait pas passer la moindre goutte de pluie. Il en allait de même quand des instituteurs ou des professeurs prenaient des chemins détournés pour ravaler la croyance en Dieu au rang des fables de Grimm et de Perrault . « Cause toujours, pensais-je alors, tu ne sais pas de quoi tu parles ». Dieu écrit des lignes droites avec des lignes courbes et je Lui suis reconnaissant de m’avoir fait passer par ces lignes courbes car elles ont préservé la semence de foi en moi.

Il y a aussi un second intérêt. Sous l’influence de la modernité et du modernisme, bien des Chrétiens ignorent à peu près tout de ces réalités et certains, nombreux, nient jusqu’à leur existence. Mais personne n’est en position de force vis-à-vis d’un ennemi dont l’existence est déniée. Sans devenir nécessairement un expert, il n’est pas inutile d’avoir quelques notions et d’avoir aussi une écoute dans la vérité pour ceux qui sont aux prises avec cette forme de combat spirituel.

Mais qu’est-ce que je devais savoir ou de quoi devais-je me rendre mieux compte en regardant ce film hier ? Eh bien, comme le dit Jésus Lui-même, satan n’est pas divisé contre Lui-même. Le satan subtil et le satan terrifiant, c’est le même.

Au début de l’épidémie, j’ai écouté Lorraine Day, interviewée par une Juive messianique, dire : « Tout le monde a laissé tomber Dieu. Ce à quoi on assiste, c’est Dieu qui Se retire et dit : « Vous ne voulez pas de Moi, très bien ». C’est un gentleman. Il se retire mais Il ajoute : « Je vais laisser satan diriger votre monde et vous allez voir comment c’est quand c’est lui qui dirige votre monde. Et Je peux vous le dire : ce sera l’enfer sur terre ! ».

J’ai reçu cela vraiment comme une parole prophétique en me disant : c’est exactement cela !

Comme de nombreux Chrétiens, je suis attentif aux passages eschatologiques de la Bible, aux livres de Daniel, de Jérémie, de Zacharie, à l’Apocalypse, aux chapitres eschatologiques des Evangiles. Je sais donc dans quel sens se développe l’histoire du salut et le passage par un temps d’épreuves et de douleur avant le retour du Messie en gloire. Mais ce que je n’avais pas du tout vu venir, c’est le rôle central qu’allait jouer la médecine à cet égard.

Il n’y a pas de médecine chrétienne. Cela fait assez longtemps que cela m’interpelle. Il y a une médecine chinoise, une médecine ayurvédique, une médecine théosophique … mais il n’y a pas de médecine fondée sur la révélation judéo-chrétienne. Certes, il y a toujours eu des médecins et autres professionnels de la santé croyants, et il en reste encore. Mais aucun n’a posé les fondements épistémologiques d’une médecine intégrant l’âme et son interaction avec le corps, la prière et l’intervention de Dieu et tous ces riches enseignements spirituels que nous révèle la Bible. Non, la médecine occidentale qui s’est implantée dans le monde entier, à la différence du droit car il y a bien un droit judéo-chrétien, reste fondamentalement matérialiste athée et étanche à la spiritualité. Elle s’enorgueillit de ses techniques de pointe mais, au final, elle est une somme de connaissances purement humaines, relatives, tronquées, sans puissance. Cette médecine ne connaît même pas l’homme. Elle a quelque chose de misérable et pitoyable, pauvre, aveugle et nu !

En fait, c’est pire que cela. Il y a bien longtemps que je ressens un gros malaise en voyant le symbole que les professionnels de la santé collent sur leur pare-brise. Le serpent ! Ce n’est pas le serpent de cuivre du livre des Nombres. C’est le symbole bien païen du bâton d’Esculape. Et comme je sens les choses avant de les savoir, il y a longtemps que je sens qu’il est la traduction du gros problème spirituel sur la médecine occidentale dont les fondements ne glorifient pas Dieu.

Quand l’épidémie a commencé, cette épidémie planifiée, préparée, magouillée, où l’on a vu partout en Europe les Autorités sanitaires interdire ou contrarier les principes actifs efficaces contre tous les variants, quinine, hydroxychloroquine, chloroquine, ivermectine, artémisinine, ces mêmes Autorités donner la consigne criminelle de laisser les malades chez eux avec du Doliprane jusqu’à ce qu’ils commencent à suffoquer, euthanasier activement au Rivotril dans des pays où l’euthanasie active est constitutive du crime d’homicide volontaire, ce qui est encore le cas en France, j’ai vu avec sidération les médecins et le personnel médical mettre en masse à exécution ces consignes démentes. Mes collègues médecins, qui avaient été à mes côtés dans la lutte contre la violence au travail, adhéraient à ce délire sans broncher.

Cela reste, je dois le dire, mon plus grand choc. Non pas qu’il y ait à la tête de l’industrie pharmaceutique des possédés qui ont décidé de réduire drastiquement la population mondiale ; non qu’il y ait tant de politiciens véreux, soudoyés par la mafia pharmaceutique et prêtant allégeance à des structures internationales de subversion des Etats comme le Forum économique mondial. Je sais bien que, pour accéder au grade de chevalier kadosh, les élites maçonniques ont pour rite de poignarder une Bible pour mieux se mettre au service de lucifer. Ce qui me laisse bouche bée, c’est la masse de tous ces gens qui ont happé le grossier hameçon sans aucun discernement. Et tout particulièrement les professionnels de la santé qui, eux, avaient toutes les connaissances pour que leur esprit critique se mette en révolution.

Et je ne développerai pas le cas de tant de leaders religieux, de commissions d’« éthique » évangéliques qui appellent sans ciller à recourir à des vaccins qui sont notoirement testés par Pfizer et Moderna sur des reins de bébés avortés par césarienne (HEK 293).

Mais voilà, en regardant ce film hier, je comprenais bien. Dieu me montrait que c’est exactement ce même satan, car il n’y en a pas deux, qui est en ce moment à l’oeuvre dans le monde et qui utilise la médecine comme joug de fer pour asservir les peuples en Egypte. Le bâton d’Esculape, c’est son bâton et le serpent sur ce bâton, c’est lui !

Ce satan qui terrorise des gens qui lui ont ouvert la porte d’une manière ou d’une autre, c’est bien lui qui se prépare à prendre directement le gouvernement du monde, sous la forme de la quatrième bête de Daniel 7:19-22.

Nous arrivons DANS une période charnière, une période de guerre spirituelle sans précédent mais aussi de jugement où s’opère un grand tri, comme un examen de toute l’humanité en même temps. Et le test consiste au final à vérifier où est notre confiance car la confiance, c’est l’essence de a foi.

Serons-nous de ceux, même Chrétiens, qui disent « quand c’est sérieux, il faut faire confiance à la médecine », c’est à dire, au mieux, à des matérialistes athées et au pire à des chevaliers kadosh consacrés à Lucifer ?

«2 Chroniques 16:: 12 La trente-neuvième année de son règne, Asa eut les pieds malades au point d’éprouver de grandes souffrances; même pendant sa maladie, il ne chercha pas l’Éternel, mais il consulta les médecins. »

Que Dieu nous garde tous car ces temps sont mauvais.

Olivier Caisou-Rousseau

Lëtzebuerg