Certains faits sur la guerre des Arabes contre les Juifs en Palestine sont difficiles à cacher. Même les médias n’y parviennent pas (en toute honnêteté, avouons qu’en les empêchant de vous les faire oublier, nous y sommes pour quelque chose)
Par exemple :
Israël a signé la paix avec deux de ses voisins arabes, l’Egypte et la Jordanie. Comment soutenir qu’il n’est pas possible de négocier avec Israël ?
Par contre, les Palestiniens sont en conflit avec l’Egypte, qui a été contrainte de fermer sa frontière avec Gaza, et ceux de Ramallah sont en conflit avec ceux de Gaza ! Mahmoud Abbas, Alain Rubin nous le rappelait il y a quelques jours, ne peut même pas se rendre dans sa maison de Gaza sans risquer sa vie ! Qui peut négocier avec eux ?
Et pourquoi les Palestiniens sont-ils rejetés par les arabes de la région ?
Un Egyptien épouse une palestinienne, celle-ci ne peut obtenir la nationalité égyptienne.
Au Liban, en Jordanie et en Syrie, les réfugiés palestiniens sont enfermés dans des camps. Ils n’ont le droit d’en sortir que dans des conditions strictes. Ils ne peuvent obtenir la nationalité du pays, ne peuvent exercer le métier de leur choix, et s’ils doivent voyager, on leur délivre un visa de voyage, mais pas de passeport (croyez-vous que les défenseurs des droits de l’homme réagiraient bien, si la France parquait ses réfugiés ?)
Les journalistes feignent d’oublier que trois fois, Israël a officiellement accepté la création d’un Etat pour les Palestiniens, et que trois fois, les arabes palestiniens ont refusé :
Une première fois en 1947. Israël a accepté le plan de partage de l’ONU qui donnait un Etat aux Arabes et un autre aux Juifs. Israël voulait bien que les Arabes aient leur Etat. Eux n’ont pas voulu.
En 2000, à Camp David, Bill Clinton a convaincu Ehud Barak d’accepter d’importantes concessions. Le Premier ministre israélien a validé le plan qui donnait un Etat aux Palestiniens, connu aux Etats-Unis sous le nom des Clinton Parameters. Qui a refusé ? Arafat, et il a déclenché la seconde intifada.
En 2008, Israël, en la personne de son Premier ministre Ehud Olmert, a fait, une nouvelle fois, d’énormes concessions, jusqu’à accepter la division de Jérusalem. Israël a, pour la troisième fois, accepté la création d’un Etat palestinien. Qui a refusé ? Mahmoud Abbas.
Aujourd’hui, la situation a beaucoup évolué : les Arabes ne veulent toujours pas d’un Etat palestinien (en 2009, Mahmoud Abbas a exigé de Netanyahou un gel de 10 mois des constructions en Judée Samarie comme condition pour reprendre les négociations de paix. Netanyahou a gelé les constructions pendant 10 mois. Abbas a refusé de reprendre les négociations de paix. En 2015, Abbas a refusé de rencontrer Nétanyahou, alors qu’ils étaient l’un de l’autre en même temps dans l’immeuble de l’ONU à New York).
La situation a beaucoup évolué : les Arabes veulent toujours la disparition de l’Etat juif. Avec l’invasion en cours de la France, de l’Europe, les Français commencent à comprendre de quoi je parle n’est-ce-pas ?
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Il faut comprendre pourquoi Israël veut d’un État palestinien, mais pas les terroristes palestiniens.
Si c’était le cas, toutes les agressions palestiniennes seraient OBLIGATOIREMENT reconnues, INTERNATIONALEMENT, comme » casus belli » … et non comme des soi-disant actes d’autodéfense. Et la réplique d’Israël serait tenue pour ce qu’elle est : une défense légitime de son propre territoire.
Les terroristes palestiniens le savent très bien. C’est pourquoi depuis trente ans ils se moquent des nations, de l’ONU, et pleurent pour leur » Etat « , tout en le refusant dès que les conditions sont mises en place !
Le Coran permet de mentir: ils ne s’en privent pas !
J’étais interpellée autrefois quand je lisais dans la bouche de Paul: » Crétois, toujours menteurs, ventres paresseux … »
Jusqu’au jour où j’ai vérifié que les » Crétois » dont il parle, c’était les Keréthiens, de fait des Philistins originaires de Crète, terre dont ils ont été chassés par les Grecs… ils se sont répandus en Canaan.
Hé oui, toujours les mêmes menteurs, et cela fait au moins 2000 ans que ça dure… et que ça marche, auprès des Européens et des Américains, décidément bien candides face à la perversion issue du Coran… et/ou des Crétois-Philistins, qui s’étaient déjà emparés par la force de la bande de Gaza que Dieu ne leur avait pas donnée !
Deutéronome 2:23
Les Avviens, qui habitaient dans des villages jusqu’à Gaza, furent détruits par les Caphtorim, sortis de Caphtor, qui s’établirent à leur place.
Caphtor, c’était sans doute la Crète de l’époque !
Jamais, dans toute l’Histoire, les Philistins n’ont eu le moindre droit sur la bande de Gaza. Ils se sont toujours emparés de la terre d’autrui !
Si Israël était exterminé, cela signifierait que notre Bible a été faussée et que le Coran est juste : c’est ce que l’Islam veut démontrer.
Mais nous savons ce qui va arriver: exactement le contraire. Dieu va sauver Israël (un faible reste), tandis que toutes le nations qui seront venues contre Jérusalem vont disparaître de la carte du monde… et nous savons que l’Egye et l’Arabie seront unie à Israël et que Ismaël va demander pardon à Israël.
Trop long de donner toutes les références, mais il y en a dans Zacharie, dans Osée, dans Esaïe, …et jusqu’en Apovalypse (12)
Hélas, tant de Chrétiens ont encore des illusions: nos nations ont déversé en Palestine des soutiens financers ahurissants. Cet argent a rarement aidé la population, mais il n’a as été perdu pour tout le monde, ni pour Yasser Arafat, ni pour Mahmoud Abbas, reçu à l’Elysée comme un chef d’Etat, comme yasser Arafat par le passé (pourtant , un État fantôme !), alors qu’ils relèvent de la justice pour corruption aggravée… et ne parlons pas des attentats à répétition contre israël !
Les affaires familiales de Mahmoud Abbas
Mahmoud Abbas, 80 ans, ne souhaite pas quitter prochainement la présidence de l’Autorité palestinienne. Contrairement à certaines informations, il n’est pas prêt à céder son poste à ses prétendants : Mohammed Dahlan, Jibril Rajoub, Saeb Erekat, ou Marwan Barghouti. La raison principale est simple et elle concerne ses propres affaires économiques et commerciales.
Les deux fils de Mahmoud Abbas, Tarek et Yasser, possèdent un empire économique dans les Territoires qui vaut aujourd’hui des centaines de millions de dollars. La prospérité de leurs affaires commerciales dépend bien entendu des liens directs avec leur père. Ce dernier fait ces jours-ci un effort considérable pour trouver un successeur approprié aux entreprises familiales, qui assurera à ses deux fils des garanties solides et à long terme.
La bataille de succession a pris une mauvaise tournure depuis que Mahmoud Abbas a rejeté la requête de quatre grands pays arabes – Egypte, Jordanie, Arabie Saoudite et Emirats Arabes Unis – pour se réconcilier enfin avec son farouche adversaire Mohammed Dahlan.
Certains dirigeants arabes préfèrent, en effet, Dahlan aux autres candidats à la présidence de l’Autorité palestinienne. Ils pensent que le refus d’Abbas pour un retour éventuel de Dahlan est un « suicide politique » mais Abbas, lui, est complètement indifférent aux pressions exercées ; seules les affaires familiales l’intéressent vraiment. Il persiste et signe, et n’a aucune intention, pour l’heure, de changer d’avis. Cependant, à la demande de l’Egypte et de la Jordanie, opposées à la montée en puissance du Hamas en Cisjordanie, il a annulé les élections municipales prévues le mois prochain.
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Mais voilà que ces jours-ci, Ahmed Qurei (Abou Alla), membre du Comité exécutif de l’OLP et » architecte » des Accords d’Oslo, révèle comment Mahmoud Abbas est devenu président de l’Autorité palestinienne. Cette révélation pourrait faire toute la lumière sur les intrigues du leader palestinien, et comment, en l’absence de nouvelles élections dans les Territoires, un nouveau président sera nommé.
Dans une interview accordée à l’Agence de Presse palestinienne Amad, le 10 septembre 2016, Abou Alla raconte que c’était bien lui qui avait proposé à Abbas de succéder à Arafat. Il précise que cette proposition a été faite au moment où Arafat agonisait dans son lit d’hôpital à Clamart, près de Paris, le 11 novembre 2003.
Abou Alla précise encore que Yasser Arafat n’a jamais parlé de succession, ni laissé entendre que Mahmoud Abbas le remplacerait un jour. Il rappelle que les deux hommes ont eu dans le passé de nombreuses disputes à propos de l’avenir du processus de paix avec Israël.
Soulignons qu’après la mort d’Arafat en France, tous les membres de la direction du Fatah sont tombés d’accord pour que Mahmoud Abbas devienne son successeur jusqu’aux élections présidentielles.
L’amère bataille de succession au sein de l’OLP a incité les parties intéressées à révéler publiquement la richesse de la famille Abbas. Chaque jour paraîssent dans les médias et les réseaux sociaux des révélations au sujet de certaines malversations et corruptions au sein de l’Autorité palestinienne.
Dans un article publié le 11 septembre 2016, le journaliste égyptien Hussein Yousef du journal Al-Masri Al-Youm rapporte des informations précieuses sur les différentes activités des deux fils de Mahmoud Abbas : Yasser et Tarek. Il décrit en détail le vaste empire commercial de la famille Abbas.
Yasser et Tarek Abbas possèdent un consortium d’affaires du nom de « Falcon ». Celui-ci commerce avec le monde arabe et européen. Mahmoud Abbas soutient le groupe, et il lui a offert des avantages financiers et fiscaux par rapport aux autres entreprises. Le consortium Falcon supervise de nombreuses sociétés au sein du marché palestinien et arabe. Il contrôle notamment les infrastructures de l’électricité, les médias, la publicité, les assurances, et les investissements, ainsi que les débits de tabac…
Falcon a de nombreuses succursales en Cisjordanie, en Jordanie, et dans les Émirats arabes unis. Mahmoud Abbas aurait obtenu une aide financière de 890 000 dollars pour le développement du consortium. Les bénéfices de la société d’investissement sont estimés à plus de 60 millions de dollars. La valeur de la compagnie d’assurance Al-Mashrek, qui dispose de 11 succursales dans les Territoires, est estimée à 35 millions de dollars.
Toujours selon le journal égyptien Al-Masri Al-Youm, la famille Abbas a accumulé sa richesse depuis de nombreuses années. Il révèle que Mohammad Rashid, ancien Trésorier et conseiller économique de Yasser Arafat, affirme que Mahmoud Abbas a détourné la somme fabuleuse de 100 millions de dollars.
Yousef révèle aussi que Tarek Abbas soutient la contrebande de collection d’antiquités dans les Territoires et l’exportation de nombreuses pièces archéologiques à l’étranger.
Selon Dahlan, la richesse de Mahmoud Abbas est considérable car il avait obtenu après la mort d’Arafat plus de 1,4 milliard transféré par le Premier ministre, Salam Fayyad. Où est-elle passée cette fabuleuse somme puisque la transparence dans la gouvernance n’existe pas au sein de l’Autorité palestinienne ?
Dans une interview publiée sur le site jordanien Amon, le 8 juin 2016, Dahlan avait aussi affirmé qu’au départ, il avait lui même embauché les deux fils d’Abbas avec un salaire mensuel de 5 000 dollars, mais aujourd’hui, toujours selon Dahlan, leur richesse est estimée à plus de 300 millions de dollars.
Toutes ces révélations expliquent pourquoi Mahmoud Abbas, malgré son âge avancé, s’accroche à son poste et cherche un successeur approprié qui permettra de sauvegarder l’empire économique de ses deux fils après sa retraite.
La corruption au sein de la famille Abbas est un sujet brûlant qui préoccupe la population dans les Territoires. Dans un premier temps, Abbas avait voulu nommer comme successeur, son fidèle conseiller Saeb Erekat, secrétaire général du Comité exécutif de l’OLP. Cependant, Erekat manque de charisme, de crédibilité et surtout de popularité dans les Territoires. Il aurait sans doute servit les intérêts de la famille Abbas. La nomination d’Erekat aurait aussi rencontré une forte opposition de la part des membres du Comité central du Fatah dirigé par Jibril Rajoub, considéré également comme successeur. En fin de compte, Erekat se trouvait dans l’obligation de renoncer à la présidence.
Depuis lors, un autre candidat a été suggéré, en la personne du général Majid Freij, chef des services du Renseignement palestinien, considéré comme un proche collaborateur d’Abbas. Jusqu’à ce jour, Abbas ne l’a pas encore proposé officiellement ni ne l’a nommé comme vice-président.
Apparemment, Mahmoud Abbas se trouve dans une situation très délicate. Il craint toujours d’affronter la jeune garde du Fatah, les nouveaux loups de la politique palestinienne, et particulièrement Mohammed Dahlan.
Yoni Ben Menahem