Message de la fin des temps.La montagne de gravats en face de chez moi a disparu, je vois à présent un paysage plus serein synonyme de guérison. Durant des jours des camions n’ont pas cessé de déblayer ce désastre où la mort avait frappé lors d’une triste nuit de février. (Lire : https://michelledastier.com/temoignage-nuit-de-secousse-muriel-max/)

Je prends ça comme un signe, un signe de Dieu qui annonce sa venue pour nettoyer la terre et ôter tout ce qui la détruit comme au temps de Noé, comme au temps de Sodome et Gomorrhe.

Mais avant il y aura certains événements que les Écritures ont décrits dans le livre de l’Apocalypse, des faits que nous devons comprendre et qui sont déjà sur la scène mondiale, déjà à portée de nos regards, déjà à l’horizon qui sonnera le deuil de ce monde.

Afin de rentrer pleinement dans cette fabuleuse espérance signée par un nom des plus lumineux de notre histoire : Jésus-Christ.

Je ne suis pas prophète, je ne suis pas pasteur, ni scientifique, néanmoins si mon existence a été bouleversée un soir il y a près de trente ans dans le silence et la solitude de ma chambre en glorifiant ce Dieu que je découvrais enfin, mon esprit a aussi été totalement changé et plus encore il y a quatre ans lors d’un choix qui allait sceller un acte d’amour envers Celui qui m’avait sauvé et donné la vie : Le fils de Dieu.

A partir de ce moment, la paix que nous a promise Jésus-Christ s’est emparée de moi et ne m’a jamais quittée. Mais pas seulement.

Ma passion pour les Écritures s’est accentuée alliée aux événements mondiaux attestant les prophéties que l’Éternel nous révèle avec davantage d’éclat pour ceux qui s’appuient sur LUI exclusivement.

Signes des temps, autour de l’Amérique à ses sources

Les chrétiens évangéliques et donc le Saint-Esprit ont porté Donald Tramps à la tête des USA, la vraie liberté s’incarne dans la majorité des Américains et prend le dessus sur les libertés Woke, progressistes centrées sur les plaisirs individuels et un monopole déjà quasi totalitaire (en France et en Europe) de la pensée (Pensée Athée unique).

Certes, le personnage Trump est atypique, mais les capacités n’ont pas toujours à voir avec l’apparence. Avons-nous bien lu et accepté le prophète Elie dans ses manières d’exercer son ministère ? Élie était parfois outrancier, voire choquant dans plus d’une scène où il était pourtant, même là, pleinement un serviteur de Dieu :

– il court longtemps devant le char d’Achab ; un geste qui peut paraître fanfaron et strictement inutile.

– il se moque des les faux prophètes puis les égorge, par centaines, sur le Mont Carmel. Quelle boucherie !

– il se couche trois fois sur un enfant mort et le guérit. (Imaginer la réaction des chrétiens d’aujourd’hui ! D’autant que la loi de Moïse interdisait de toucher un mort… Ils auraient été horrifiés)

– pour le guérir de la lèpre, il fait plonger dans la rivière Naaman, le général en chef du roi de la puissante Syrie, sans daigner se déplacer lui-même ;

– au torrent de Kerith, ce sont des corbeaux qui le nourrissent jour après jour. Comment ? Être nourri pas l’oiseau considéré comme le plus impur qui soit par Israël ? Ça n’a gêné en rien Elie, bien peu soucieux des dogmes religieux lorsqu’il savait que cela venait de Dieu.

– sur un coup de tête il part dans le désert où Dieu l’interpelle enfin au bout de quarante jours. Heureusement, un ange l’avait nourri et abreuvé avant son départ ! Un seul repas pour tenir quarante jours ! (1R 19). oui, sur un coup de tête. Sinon Dieu ne lui aurait pas demandé: « Que fais-tu ici, Elie ? »

Bref, il n’avait cure de ce qu’on pouvait penser ou dire de lui. Et c’était cette liberté qui lui permettait d’être un serviteur du vrai Dieu.

On peut transposer aujourd’hui: la force spirituelle qui l’animait avait besoin de cette audace face aux qu’en dira-t-on, et face au « spirituellement et politiquement correct ». Du moment que cela venait de Dieu !

Des siècles plus tard, l’Eternel Dieu trouvera en Jean Baptiste (Luc1.17) fils de Zacharie et d’Elisabeth, un homme sans souci de l’apparence, sans souci de « ménager » les autorités religieuses (Mt 3:7), qu’il n’hésitait pas à traiter de « races de vipères », le même type d’homme, qui n’hésite jamais à CONFRONTER. Jésus dira d’ailleurs de Jean-Baptiste qu’il avait l’esprit d’Elie.

Quel esprit !

Et nous voici avec Donald Trump qui dénote par toute son existence d’une particularité qui le conduisit à devenir milliardaire, et, malgré un revers, il y a 4 ans, à redevenir Président des Etats-Unis. Pour moi, c’est plus qu’un parallèle à faire :

Notre Dieu est toujours le même et aime agir à travers des êtres humains que la peur ou les convenances sociales ne brident pas. C’est d’autant plus vrai, réalisons-le bien, que ce sont des chrétiens évangéliques qui ont fait, par leur vote, la différence. Sans parler des multitudes de chrétiens de tous pays qui ont prié pour que la volonté de Dieu se fasse.

Donald Trump est-il chrétien ?

Croyant certainement, né de nouveau peut-être, car la nouvelle naissance ne se manifeste pas forcément par l’apparence d’une maturité spirituelle.

Et quant bien même il ne serait pas « born-again » (à moins que Donald Trump, en fin politique, ait choisi de ne pas trop le montrer*), il a un cœur pour son pays fondé par d’authentiques chrétiens qui, notamment, aspiraient à une vraie vie libre avec leur Dieu plutôt que de se soumettre à quelque religion dévoyée.

* MAV : Lors de son premier mandat, en de nombreuses circonstances il a montré que c’était un chrétien authentique. Ce pourrait ne pas être que de l’intelligence politique : les ricanements méchants et blasphémateurs que cela engendrait chez les démocrates étaient graves devant Dieu. Donald Trump s’est contenté de dire que Dieu l’avait protégé… juste un rappel d’une évidence !

Les premiers présidents américains témoignaient tous de leur attachement à la Bible et aux valeurs évangéliques (Même s’ils n’étaient pas toujours parfaits).

Et puis nous avons l’exemple de Nabuchodonosor que Dieu soumit à sa seigneurie (Daniel 9), ou encore de Cyrus Roi de Perse, un païen oint par Dieu, qui permit et donna les moyens aux enfants d’Israël déportés de rentrer dans leur pays et d’y reconstruire le temple de Jérusalem. Mais pas que ! Il a bousculé la terre entière:

Ainsi a dit l’Éternel à son oint, à Cyrus, que j’ai pris par la main droite, pour terrasser devant lui les nations et délier les ceintures des rois, pour ouvrir les portes devant lui, tellement qu’elles ne soient plus fermées:

Cette victoire de Donald Trump (« Trompette » en français !) est aussi un camouflet (je pense) à de nombreux chrétiens qui sont « de gauche », sans réaliser que cette aile de la politique n’offre que de la poudre aux yeux et n’amène pour l’essentiel que des lois antéchrist sous couvert d’un humanisme social : une doctrine athée qui s’est constituée comme un contre évangile entre le 18ème et 20ème siècles, en jetant « le bébé avec l’eau de son bain », c’est-à-dire Dieu, avec des systèmes religieux qui le représentaient si mal.

Espace tampon entre les religions dites chrétiennes, la Laïcité naquit comme une idéologie jusqu’à devenir une religion (dixit Vincent Peillon philosophe et ministre).

Nous sommes, par le résultat électoral américain, plus que jamais dans le signe du temps de la fin des nations.

Mais cette élection est, paradoxalement, contraire à la notion de « fin des nations » et de gouvernance mondiale. Pourquoi ?

Cela s’explique par la Bible et on verra dans le prochain article ce que représente plus particulièrement cette élection par rapport aux prophéties bibliques, notamment en Apocalypse, avec l’apparition de deux personnages.

Nota : ce qu’on appelle des démocrates en Amérique et « la Gauche » chez nous correspondent au cheval rouge de l’Apocalypse (Chapitre 6) avec cette couleur typique au socialisme (national socialisme ou nazisme) et socialisme collectiviste, ou au communisme.

De Claude T et Muriel