Source:  L’UNESCO est une Organisation Immorale et Antisémite

Les pays imprégnés de décence éthique devraient partir.

Bien que l’Europe prétende respecter les droits de l’homme et les droits des peuples, elle contribue à  violer le droit le plus essentiel du peuple juif : la reconnaissance du fait qu’il existe depuis plus de 3 000 ans et que son existence est ancrée dans ses monuments sacrés. Pire encore, l’Europe se comporte ainsi au nom d’un peuple inventé il y a moins de 50 ans.

Aucun chercheur sérieux ne peut trouver trace de  » peuple palestinien  » avant la fin des années 1960.

 

L’Europe a apparemment été très heureuse d’accepter des mensonges.

Tout en prétendant combattre le terrorisme, l’Europe respecte les exigences d’un mouvement terroriste qui ne cherche même pas à  cacher son caractère terroriste. Lorsque Mahmoud Abbas parle arabe, il incite sans cesse à  l’assassinat de Juifs. Il a récemment répété qu’il ne cesserait pas de rémunérer les assassins jugés, condamnés et emprisonnés, qu’il qualifie de « martyrs » héroïques. Sur toutes les cartes utilisées par l’Autorité palestinienne et dans les manuels palestiniens, Israël n’existe pas ; le seul nom qui figure est  » Palestine « .

Les Européens, imprégnés d’un sentiment de culpabilité générique, ont commencé à  attribuer tout ce qui ne va pas sur terre à  la civilisation occidentale. Parce qu’ils ont colonisé une partie du monde musulman, les Européens ont oublié de se souvenir que la culture musulmane avait, en fait, colonisé la Perse, l’Empire byzantin, le Proche-Orient, la Grèce, Chypre, les Balkans, l’Afrique du Nord, le Sud de l’Espagne.

La directrice de l’Agence de secours et de travaux des Nations Unies (UNRWA) au Liban, Ann Dismorr, pose avec une carte ne comportant pas la moindre trace de l’État d’Israël, et présentée comme une carte de la  » Palestine « , Mai 2013. (Image : Palestinian Media Watch)

Le 7 juillet, l’UNESCO a adopté une résolution définissant la vieille ville d’Hébron et le Caveau des patriarches comme des sites appartenant au patrimoine  « palestinien« . Avant cela, en 2016, deux résolutions porteuses de définitions falsificatrices du même type concernant la vieille ville de Jérusalem, le Mont du Temple et le Mur Occidental avaient déjà  été adoptées. Et l’année précédente, en 2015, l’UNESCO avait réécrit l’histoire et redéfini deux sites bibliques anciens, la tombe de Rachel et le Caveau des patriarches comme des lieux saints de l’islam, quand bien même l’islam n’existait pas à  l’époque de la construction des monuments concernés.

Trois jours avant l’adoption de la résolution concernant Hébron, une résolution, réaffirmant les résolutions concernant Jérusalem, avait été soumise au vote et été elle-même adoptée.

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