“KRIKET’”
D’aussi loin que je me souvienne, ma première rencontre avec Jésus, le tout début de l’histoire a commencé à la Guadeloupe.
J’avais huit ans, et bénéficiais d’une assez grande liberté de mouvement, car évoluant car dans un environnement soi-disant “protégé”, entre gens de la petite et moyenne bourgeoisie insulaire de l’époque,
J’étais seule sous l’arbre à mombins (prunes tropicales), au fond de la résidence.
Et quand j’entendis cette voie douce et pleine d’amour, qui me parlait sous l’arbre, j’ai tout de suite su qui c’était. Il m’a donné en vision, et a comme téléchargé en moi, tous les évènements qui allaient m’arriver dans ma vie :
Les graves dépressions de ma mère, le combat spirituel qui aurait lieu dans cet appartement, entre un homme, mon père, complètement perdu et lié dans des héritages de sorcellerie multi générationnelle, à laquelle il ajouta ses propres pratiques occultes, ce qui eut pour effet d’en faire un parfait pervers narcissique, qui s’appliquait à nous détruire mentalement, ma mère, mes deux frères et moi .
J’avais reçu une ouverture spirituelle aux entités démoniaques, que je voyais de nuit comme de jour circuler dans cet appartement : des ombres, des pas retentissants, sans aucune personne visible aux alentours. La douche qui se mettait en route toute seule, au beau milieu de la nuit… et bien d’autres choses encore…
Qui aurait pu soupçonner ce qui s’y déroulait ?
Jésus m’a fait voir le calvaire que j’allais vivre :
J’ai vu les viols que j’allais subir, depuis mon enfance, par de nombreux agents de l’ennemi, d’abord des garçons de mon environnement, à peine plus âgés que moi, puis par des hommes, toujours habités du même, oui, du même type de présence infernale…
J’ai vu la tentative de meurtre de mon père sur sa propre famille, un jour où il était complètement possédé et ou ses pupilles avaient laissé la place au blanc de ses yeux,
Il m’a informé pour la venue de mon fils, et aussi du fait qu’il souffrirait d’un handicap (l’autisme).
Puis Il m’a dit de ne pas lâcher Sa main, j’en étais toute bouleversée, oui, bien plus par le fait qu’Il s’en allait que par tout ce qui venait de m’être révélé. Avant tout, sa présence… connaître cela a été une des plus fortes expériences de ma vie ! Cela s’est gravé comme en négatif dans ma psyché.
Il m’a dit de ne pas l’abandonner ; je le lui ai juré, Et d’un coup, Il était reparti. Et je me retrouvais seule avec mes secrets trop lourds pour mes épaules. Sans plus aucune protection. Du moins le croyais-je !
Je m’étais trouvée ma propre armure, dans la rébellion, et je faisais de la résistance, face à mon père, de façon subtile, car l’animal avait du répondant, et une autorité quasi surnaturelle.
Ma mère intériorisait trop, à mon goût, face à toute la cruauté qu’elle subissait. Ce qui, associé aux pratiques sorcières de son entourage, ne manquaient pas de la plonger dans une énième “dépression”.
Nous venions de subir à ce moment-là la tentative de meurtre venant de mon père, la tension spirituelle s’étant accrue, – maman s’étant convertie vers mes treize ans, bien que malade -. Cette tension avait atteint son zénith dans ce même temps.
Mais moi, je ne voyais que la honte dans les yeux de mon institutrice de mère, car j’étais orientée en BEP, et je me jurais de remonter la pente pour ne plus jamais y lire cette expression.
Je me jurai alors d’avoir mon bac – que j’obtins avec mention “assez bien”. Enfin, c’était juste ce qui me fallait pour pouvoir m’envoler loin de tout ce marasme et pouvoir enfin voler de mes propres ailes. Et faire ce que j’aimais, peindre, à Paris.
J’avais 19 ans, et débarquais à Paris, à Noisy le Grand précisément. Je m’installais donc dans un douillet studio d’une résidence pour étudiants. C’est au pied de ce bâtiment, à l’arrêt de bus, que je rencontrai celui qui allait devenir le père de mon fils et compagnon durant une douzaine d’années : Gabriel, dit “Rudy”.
Fraichement débarqué de Londres, il était venu au secours de son frère M., artiste mythique de la scène reggae dance hall française, qui trustait les charts et avait été créé et intronisé par le groupe NTM, légende du rap français.
Et bien sûr, comme j’avais déjà une consommation frénétique de marijuana et d’alcool festif, autant vous dire que ça a vite collé avec lui !
Je déménageais donc dans le 19e, après cette première année de prépa, pour me rapprocher de mon lieu d’études, en plein Paris, Nathalie, ma cousine, sous un bras, et Rudy sous l’autre.
Mon entré à l’ENSBA avait été compromise, et je m’étais repliée sur René Descartes, ou je voulais faire de la pub, et où j’ai eu le dégout de constater que l’on m’avait mise en sociologie : beurk !
N’y voyant rien de créatif, je me désintéressais progressivement des études, leur préférant les volutes de beuh, et les revendications sociales.
Entre temps, Rudy était devenu le producteur de son frère, et sa renommée se répandit très vite. L’argent coulait à flots, et les excès aussi : carrés VIP, débauche, célébrité, champagne, plateaux télés, radios, herbe, et coulisses des plus grandes boites de productions musicales de la place de Paris, tournées nationales et internationales, etc…
C’est à ce moment que je tombais enceinte.
Je récupérais donc le petit appartement de mon frère dans l’hyper centre de Paris, dans le quartier Montorgueil, et y vécus pendant trois ans quelques-unes des plus belles années de ma vie, avec mon petit Yahotep et son papa. Tout semblait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Mais après cinq ans d’un succès qui semblait pouvoir durer éternellement, les entrées d’argent se mirent à ralentir : le marché commençait à changer.
Je découvrais aussi un autre Rudy. C’était juste un homme qui avait envie de s’amuser avec sa jolie poupée. C’était tout.
Mais, un beau jour, la directrice de la crèche me contacta d’urgence. Le timbre de sa voix ne laissait rien espérer de bon ; elle me somma alors d’arrêter de travailler sur le coup !
Premier séisme :
Yahotep, deux ans à peine, était en train de régresser ! Que dire : de perdre tous ses acquis, et à une vitesse fulgurante !! À partir de là, le sol se déroba sous mes pieds.
Je récupérai mon petit garçon, que je ne reconnaissais pas : il hurlait, en continu, pleurait et poussait des cris stridents de douleur, se griffait, ne nous regardait plus dans les yeux, se cognait la tête dans les murs, etc…
Je me rappelais alors son cri de douleur lors de la brutale injection du ROR à la pmi du 2e arrondissement… Mon cœur se brisait en mille morceaux : ma vie venait de basculer, et c’était le début d’une longue descente aux enfers.
Cela me prit deux ans avant d’avoir le diagnostic d’autisme. Deux ans à courir de pédiatres en spécialistes, et de spécialistes en pédopsy… Pour finalement m’entendre dire que lors de sa conception, j’avais fantasmé inconsciemment un rapport incestueux avec mon père !!!
Merci les freudiens, les incompétents de tous bords, et les psy kk dans l’âme et la pratique !!!
Merci quand même à ce médecin, car ce fut un déclic pour moi : après avoir failli perdre le tête, j’ai pu tirer un premier bilan de ma situation : J’étais seule. Toute seule, avec mon bébé malade. Et il n’avait que moi.
Ma mère m’avait a tourné le dos, Ma belle-famille m’avait tourné le dos, Les psys se demandaient si j’étais une mère frigidaire, ou une mère crocodile.
Je ne vivais plus que pour sortir mon fils de l’autisme. C’était ma bataille.
2003, Ne pouvant acheter l’appartement de Tiquetonne, J’atterris à Créteil, à l’Échât, dans une jolie résidence privée de banlieue.
Ce fut la découverte de la persécution par les psychiatres le jour pour mon fils et moi, la débauche la nuit, dans le shit arrosé d’alcools, qui vous font oublier quelques instants. Mais ensuite, tout recommence…
Juste quand je pensais que je ne pouvais pas descendre plus bas, je réalise que je vivais seule, grâce à une bonne psychologue, cette fois. Elle me fit prendre conscience que cet homme était présent, mais virtuellement, et qu’en réalité, je vivais toute seule.
Trois ans plus tard, rebelotte. Avec un enfant handicapé, sans travail, et un boulet au pied, je perds mon second appart quand la proprio veut vendre.
Et là c’est du sérieux.
Ma mère, malgré nos rapports houleux, m’aidait financièrement.
J’étais devenue celle qui allait pleurer auprès de son assistant social pour ne pas finir sous un pont avec son gosse.
C’est lui qui me donnât le plus étrange des conseils. Un jour, il me dit :
- “écoute, je vais faire le maximum pour toi, mais là, tu es réellement en danger, alors prie. Prie de toutes tes forces.”
Cela m’avait marqué, parce que ce « conseil » ne correspondait que très peu avec le personnage.
Pourtant, j’ai suivi son conseil. Étant alors errante d’hôtels en hôtels, je priais fermement, et de tout mon cœur !
Le surlendemain, il me rappela : il m’avait décroché une place à l’année dans un hôtel à vocation sociale à Bonneuil. Après deux ans de galère, je récupérais enfin un logement décent.
J’étais décidée à regagner tout le temps que j’avais perdu, et faire oublier à mon fils ces temps de vaches maigres. Mais hélas, je tentais de le faire uniquement par mes propres moyens. J’avais déjà remisé la prière au placard.
Je voulais écrire un roman graphique, racontant l’autisme, vécu de l’intérieur, et je cherchais dans mon carnet d’adresses qui pourrait m’orienter et me mentorer pour mettre sur pied ce projet.
Je tombai sur mon ancien prof tronc d’art plastiques, le mec cool de l’établissement d’arts plastiques de Nation.
Je l’appelai donc, et il me donna rendez-vous chez lui, à proximité du Père-Lachaise,
C’était un homme d’une soixantaine d’années, avec quelque chose dans le regard de surprenant, voir dérangeant, malgré sa jovialité et sa gentillesse apparente.
Il m’avouera plus tard, dans ses habitudes de travail en ateliers d’art, avoir hypnotisé ses élèves, promotions après promotions, histoire de bien les avoir “en main”.
Puis il me fit lui montrer mes planches de dessin, qu’il trouva plutôt correctes, avant de me faire une proposition : Il m’aiderait à percer dans ce milieu, dont il connaissait tous les acteurs de la place parisienne, sous entendant fortement qu’il avait la possibilité de faire et défaire des carrières.
À quelques conditions :
- Que je sois sa “copine”,
- Que je me spécialise en PNL,
- Que j’obéisse à toutes ses directives, y compris d’aller travailler aux postes ou il me placerait,
- Que j’accepte de me laisser “enseigner par lui (pratiques indouistes, magie (inoffensive, selon ses dires))
- Que je l’accompagne au cercle magique de Paris, dont il était sur le point de devenir le directeur,
Et bien sûr et surtout :
Renier Jésus. Avant tout. Et pas de discussion possible.
Alors, j’ai dit oui. Oui, parce que pour moi, ces histoires de Jésus, ce n’était que du folklore. Je savais au fond de moi qu’il y avait un loup dans sa proposition, mais j’avais trop soif de succès et de réussite pour me confier à un Dieu en qui je ne croyais, de toute façon, pas vraiment.
Je renonçais donc à Jésus. Et instantanément, je ressentis quelque chose de très étrange, à vous donner des frissons dans le dos : c’était comme si le haut de mon crane s’était ouvert comme les deux battants d’une fenêtre, et que j’avais donné accès à “quelque chose”. Quelque chose qui me dépassait.
Tout a commencé à basculer à compter de ce jour. Je pouvais voir au-delà du visible, et commençait à distinguer à quels moments c’était mon prof qui me parlait, et à quel moment c’était l’entité démoniaque qui se tenait derrière lui.
Le dénuement financier dans lequel je me trouvais ne le dérangeait pas plus que ça, si bien qu’il me jura de ne jamais me financer, même en prêt !
Je me suis donc résolue à trouver un autre protecteur. Et un beau jour, lasse de cette situation, j’envoyai bouler mon prof et lui fit part de l’existence de l’autre entité visible derrière lui.
Il ne s’énerva pas ouvertement, contrairement à ce que j’avais pensé, mais me promit que “je verrai”.
Je commençais soudainement à avoir de la claire audience, et peu après, en attente du bus de nuit, je basculai soudainement dans le surnaturel. Je pouvais entendre ces esprits discuter entre eux, s’enquérir que du fait que j’avais accès à leur fréquence, et que je les entendais.
J’ai cru que je perdais la boule, Mais je n’avais pas peur, pas encore. Peu de temps avant de rentrer chez moi, je décroche mon tel. C’était mon prof, qui me donna ces directives :
Il me dit qu’il allait allumer mon Macintosh à distance. Je rentre donc, et, comme dit, l’ordinateur s’allume. Tout seul. Il me rappelle et commence à m’apprendre des codes numériques secrets sur le clavier, et des imageries occultes apparaissent à l’écran ! Symbole de l’infinité, ouroboros, têtes de démons, et bien d’autres horreurs. Et là, j’ai peur.
C’est comme si tout le film repassait en accéléré dans ma tête, en plus des voies démoniaques que j’entendais, de plus en plus méchantes et agressives. Je sens que ça bouillonne en moi. Et tout d’un coup, tout prend son sens, j’étais allée trop loin !
Mais je n’avais même pas pu prendre le temps de réfléchir à cela que j’entendis toquer à ma porte. Il devait être trois heures du matin, passées. J’ouvre la porte, et je vois là, devant ma porte, deux rangées de petits démons, hideux et grimaçants, qui me faisaient comme une haie d’honneur !
Je claque la porte, et cette fois, je sais ! Je les ai vus ! Et là c’est la révélation : JE SAIS QUE S’ILS EXISTENT, C’EST DONC QUE JESUS AUSSI EXISTE VRAIMENT ! LUI SEUL EST LA SOLUTION !
Je me jettes donc à terre et le supplie de me sauver, je lui demande pardon, du plus profond de mon âme, et je commence à vomir à grands jets, alors que mon estomac était vide de deux jours !
Je me roulais à terre et implorais le pardon de Jésus, je vomissais, je pleurais et implorais, je vomissais encore, et cela dura comme ça pendant presque trois heures.
J’étais tétanisée, seule chez moi avec mon fils dans sa chambre ; avec devant moi la télé allumée.
Mais satan n’était pas prêt à me lâcher aussi facilement. Les voix reprirent, et commencèrent à faire un compte à rebours, après avoir dit que “tout commencerait à zéro.”
À zéro, toutes les lumières s’éteignirent dans le bâtiment. Tétanisée par la peur, j’ai réveillé mon fils en urgence, l’ai vêtu à la va vite, et j’ai couru chercher de l’aide.
Où ? qui ? Je ne savais pas, j’étais si isolée !
Je décidai donc d’en découdre avec cet homme, qui, à mon sens, causait mon malheur. Je pris donc la direction de son logement.
Je me rendais bien compte, ne serait-ce que sur le chemin, que quelque chose n’allait vraiment pas, et c’était terrible : je voyais ce qui habitait l’intérieur des gens, certaines personnes n’en avaient que l’aspect, mais étaient des démons, d’autres abritaient des entités démoniaques, dont je pouvais voir en transparence les visages grimaçants.
Mais certains êtres étaient angéliques, et me fixaient avec un amour et une compassion indescriptible,
Je compris qu’il y avait guerre au sein de mon âme ce jour-là.
Sur le chemin, j’essayais de prononcer le nom de Jésus, mais ma langue me trahissait, et j’invoquais le cœur de Marie à la place, et ce à ma plus grande surprise, car je n’en avais jamais été fan ! J’essayais de toutes mes forces de dire “Jésus », et j’eus des visions angéliques, et entendis le chant des anges !
Ce fut ainsi tout le long du trajet jusqu’au père-Lachaise.
Je tambourinais de toutes mes forces à sa porte, en vain, jusqu’à ce que les trois portes des voisins de palier s’ouvrent, laissant apparaitre des personnages habités, aux faciès grimaçants, qui se mirent littéralement à aspirer hors de moi toute mon énergie et ma force vitale. Là mes cheveux ont blanchi d’un coup.
J’essayais de crier “Jésus !”, mais j’avais comme un garrot, et le nom de Jésus restait bloqué dans ma gorge. Mais je Le savais là. À force, je parvins à le bredouiller. J’arrivai au rez-de-chaussée. Mais je ne tenais pas en place, et demandais conseil en m’arrêtant devant une maternelle.
Je devais faire peur à voir car la gardienne fut prise de panique à ma vue, et appela les flics. Et me voici embarquée pour l’hôpital. Et là, mon cœur se brisa. Non pas de me trouver piquée, attachée à mon lit, et toujours possédée de multiples démons, mais de les voir partir avec mon fils.
Je me réveillai donc en HP. Les hôpitaux psy ne cachent pas que des fous, savez-vous. Il y a beaucoup de gens possédés qui y finissent, aussi. Mais même là, le Seigneur veille. Je m’apaisais de plus en plus. Je fis un mois et demi d’hôpital.
Et un jour je reçus la visite de ma mère. Dès qu’elle avait su pour mon internement, elle avait pris l’avion, pour moi, bien sûr, mais surtout pour que Yahotep ne finisse pas entre les mains des services sociaux. Et, grâce à Dieu, elle l’avait récupéré in extremis.
Je voulais sortir. Je devais sortir, pour mon fils.
Je leur avais témoigné de Dieu, de ce par quoi j’étais passée, et du fait que le Seigneur existe vraiment. Mais pour les médecins, j’étais un mystère : ils ne comprenaient pas “ce que j’avais.
“Mais au cas où, on vous met quand même un traitement pour bouffée délirante”, me dirent ils, sans rire.
Au moins j’étais libre. En tout cas, en partie.
Je rentrais chez moi, avec ma mère, et durant trois mois, nous priâmes. Nous priâmes de jour et nous priâmes de nuit. Nous priâmes sans cesse.
Et les liens se brisaient, les uns après les autres.
Après son départ, je m’en remettais entièrement au Saint Esprit, qui me guida à la petite église congolaise brésilienne de Champigny, ou je suppliai le pasteur de me baptiser. Ce qu’il fit. Je fréquentais cette église quelques mois, mais quelque chose me manquait… la puissance du Saint Esprit en action.
Un beau jour, ma mère me parla d’un article paru dans le Top Chrétien, sur un jeune évangéliste danois dont l’approche pourrait m’intéresser.
C’était la Dernière Réforme, ou j’ai trouvé ma place, et avec laquelle j’évolue depuis. À travers ce mouvement, notre Seigneur Jésus nous a donné de faire et voir de grands miracles et sa main à l’œuvre.
Il m’a également mis devant des réalités terribles, comme la mort de mon fils, en janvier 2022, des suites d’un covid fulgurant. C’était devenu mon idole, mon fils. Or je lui avais promis, à Jésus, de l’aimer et de ne jamais plus rien faire passer devant lui.
Yahotep, devenu autiste de haut niveau, avait demandé son baptême, chose qui avait été faite, 4 ans auparavant. Et depuis… Je constate que Dieu m’utilise encore bien plus qu’avant, et me fait rentrer dans mon appel, là où Il veut, pour les autres.
Sauvés pour servir, Comme j’en comprend le sens ! Mais malgré la douleur, et toutes mes mésaventures, je ne regrette rien, Nous servons un grand Dieu, Et où il voudra, j’irai !
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