»Transmis Par Patrice – source : http://lessakele.over-blog.fr/article-les-reveries-d-un-promeneur-solidaire-d-israel-fran-ois-celier-109525576.html
En ce 25 août Cévenol 2012 étouffant, avec en arrière-plan dans mes pensées les bruits et rumeurs de guerre totalitaire que me projetait Internet. Pendant que j’empruntais un sentier grimpant d’une colline toute stridulante du chant des cigales, mon esprit était tourmenté par la proximité des grandes dérélictions humaines qui allaient déferler sur le monde.
Homme de foi judéo-chrétienne, je m’interrogeais sur le sens de l’existence en général et sur la foi qui m’habitait depuis 40 ans. Durant les 33 ans d’athéisme qui précédèrent le jour où » le ciel me tomba sur la tête » (1), j’estimais jusqu’alors que la métaphysique n’était qu’une branche de la sagesse universelle portant sur la recherche des causes et des premiers principes. Depuis des siècles, celle-ci tentait d’expliquer la nature profonde de l’homme, la genèse du monde sur lequel il se meut, l’espace-temps cosmologique qui lui était perceptible et son interaction avec lui-même.
Après avoir expérimenté une longue marche dans plus de cent vingt pays, il m’apparût que ma somme de connaissances accumulée était très incomplète, tributaire qu’elle était des évènements et de l’actualité militaro-politique, scientifique et technologique des quatre décennies écoulées.
Avant de tirer sa révérence au monde actuel, mon ami Manitou (2) m’enseigna qu’il suffisait parfois de quelques mots pour réjouir notre esprit d’une connaissance plus universaliste. C’est ainsi que tout en progressant sur la raideur d’un sentier pierreux, je m’adonnais à quelques rêveries très peu rousseauistes, lui préférant l’amour de Sion qui ne me quittait jamais.
Une pensée flasha mon esprit exprimant l’idée qu’exister dans une foi active consistait à résister à tout ce qui pouvait l’entraver, afin de grandir, ne serait-ce que d’un iota. Le mot qui me guida ce fut celui de Sé’hel שכל et ses déclinaisons. Après l’avoir retourné en tous sens, il me signifia la source de l’intelligence mentale et spirituelle s’appliquant à nos interrogations, à savoir : l’Esprit (au sens spirituel), la raison, le bon sens, une culture élargie, la sagesse de la prudence, la capacité de déjouer les pièges, l’aptitude à rationaliser les options intellectuelles et morales.
Bref, permettant de croître en améliorant une certaine éthique de la vie sociétale. Par exemple, la Déclaration des Droits de l’Homme (et de la femme) relevait à la fois de l’ordre métaphysique et d’une dimension spirituelle, vu que 3000 ans d’intelligence hébraïque ensemencèrent antérieurement les consciences humaines jusqu’à l’avènement de ces mots : « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. » Quelle splendide synthèse !
Cet Article 19 me parut ce jour-là si remarquable qu’il me sembla que tout être doué de raison ne pourrait y contrevenir ni le falsifier. Mais hélas, il fut bientôt altéré, dénaturé par ceux-là mêmes chargés de l’appliquer à la chose publique et politique.
Sur le plan spirituel, la seconde parole qui me vint à l’esprit était gravée sur une plaquette argentée que je portais à mon cou depuis mon dernier voyage à Jérusalem.
Datant de 2600 ans, c’était la plus ancienne des bénédictions provenant d’un Rouleau trouvé dans la vallée de Hinnon, 300 ans avant les fameuses découvertes de Qumram. Ces lettres signifiaient la bénédiction de Moïse à Aaron et aux fils d’Israël :
» Que l’Eternel te bénisse et te protège ! Que l’Eternel fasse rayonner sa face sur toi et te soit bienveillant ! Que l’Eternel dirige son regard vers toi et t’accorde la paix « (3)
Ses paroles étaient contemporaines du Premier Temple, soit 7 siècles avant Jésus-Christ (Yéchoua. ivwy = nom hébreu de Jésus, qui veut dire « Dieu sauve « , » Yéshoua Hanostéri Woumelekh Hayéhoudim ! « . Pour moi qui étais jusque-là hors la foi, elles nommaient celui qui allait donner tout son sens à ma vie. Dès lors, spiritualité, métaphysique et rationalité se complétèrent dans mon esprit et ma pensée.
Ma toute première visite au Mur occidental de Jérusalem, capitale indivisible d’Israël, me bouleversa par la densité de la présence de l’Eternel. Alors que je priais à voix haute (avec des mots provenant d’une langue ancienne, à mon insu), les yeux noyés de larmes d’adoration, un rabbin s’approcha et me dit en français : Vous dites des choses très belles au Seigneur de la vie… Et, ajouta-t-il, dans notre langue.
Décontenancé, tenant une kippa de carton en équilibre sur ma tête, je répondis : Monsieur, pardonnez-moi, mais j’ignore l’hébreu ou l’araméen ? Et de surcroît, je ne suis pas juif.
L’homme en cafetan noir me répondit : Je vois… mais sachez que votre cœur est circoncis.
Cette parole me demeura énigmatique jusqu’en 2012. En effet, après avoir parcouru le monde comme évangéliste (porteur de la nouvelle du salut en Christ pour ceux qui l’acceptaient), puis conférencier international, je compris qu’il ne s’agissait pas de dépasser mon christianisme itinérant pour en judaïser la foi, mais de vivre celle-ci avec la conviction que c’était la sève des racines juives qui alimentait celle-ci, peut-être depuis cette lointaine prière au Mur occidental d’un cœur circoncis.
Les pensées qui me préoccupèrent ensuite furent celles de l’état du monde actuel, profondément menacé par une troisième idéologie totalitaire, celle d’un islam conquérant et chaque jour plus arrogant de sa puissance.
Sa stratégie subtile ou destructrice pèse lourdement sur une civilisation occidentale qui s’étourdit à danser sur son volcan, tout comme sur le monde arabe, bien qu’il en soit l’ordonnateur coranique et la première victime. Depuis 14 siècles.
Depuis son diabolique engendrement (appelons un chat un chat), en parcourant l’histoire de sa trajectoire séculaire, son impressionnante expansion (56 pays à l’heure actuelle), leurs gouvernances gravitaient toujours sur les mêmes schémas anciens : oligarchie familiale (mahométane au premier chef), tribalisme, autocratie militaire, théologie fataliste et enfin, obsession d’établir une théocratie religieuse fondée sur un fantasmatique Califat mondial.
Solidement ancrés sur un socle moyenâgeux, tous les commandements coraniques s’y prêtent : sultanat tyrannique, fascisme et socialisme totalitaires. Aucun recours ni réaménagement possible. Tous proviennent du vortex dévorant de ses premières versions (celles de Médine notamment), jusqu’à l’actuel coran monumental, inamovible et intouchable, procréant d’infantiles et meurtrières fatwas, cruelles mutilations, peines de mort des apostas, privation d’un Paradis-lupanar et certitude d’enfers éternels.
Mandaté par lui-même (là réside son génie), son fondateur Mahomet emprunta sans vergogne au judaïsme et au christianisme tous les éléments permettant de corseter en mailles de fer inextricables ses dogmes religieux et ses Lois d’une Sharia’h barbaresque. Sans doute que ce fatras d’interdits et d’ordonnances aberrantes empêchèrent le monde musulman d’évoluer positivement au cours des âges. Cela entraina les pays conquis par le sabre ou la ruse à leur stagnation par le verrouillage intellectuel de leurs populations asservies (culturellement castrées) à régresser, en dépit d’immenses richesses mal-acquises jadis par razzias, pillages, esclavagisme et, de nos jours, manne pétrolifère, chantage au terrorisme et à la terreur atomique.
De l’enfance au trépas, être conditionné depuis mille et une générations par de puissants mantras (ou sourates) forme la structure mentale d’un endoctrinement récitatif politico-religieux. Outre que le coran constitue un parfait manuel de guerre stratégique, il peut provoquer des schizophrénies à caractère mystique, ou des aliénations paranoïaques meurtrières. Par ailleurs, cela engendre souvent une souffrance morale secrète ou une stressante tension intellectuelle dans l’esprit de ses croyants : Le bien, c’est le mal de l’autre. Le culte de la mort plutôt que celui de la vie.
Notre monde politique et notre gestion de la Cité occidentale reposent sur les colonnes culturelles gréco-romaines et judéo-chrétiennes jusqu’à nos imparfaites démocraties (néanmoins perfectibles). Pour l’entendement musulman, verrouillé depuis si longtemps, bien qu’il bénéficie de nos avancées scientifiques et civilisatrices, elles sont des ennemies à combattre et à supplanter féodalement pour la gloire d’un improbable dieu arbitraire, sous peine d’être mortellement apostasiés ou devenir fous à lier, tels les islamikazes, fidèles observateurs de l’islam pur et dur.
Dans cette approche, métaphysique et spirituelle, nous devons préserver -s’il est encore possible-, nos Droits individuels et notre liberté d’expression contre les assauts islamistes qui veulent les détruire. Les dirigeants, de ce qui résiste encore dans la civilisation occidentale (déjà largement colonisée), doivent réaffirmer que nos Droits sont universels, inaliénables et égaux pour quiconque, et déclarer hors-la-loi cette Sharia’h étrangère, radicalement incompatible avec nos valeurs et principes fondamentaux.
Il convient d’avoir instamment à l’esprit que l’Article Premier de la Déclaration des Droits de l’homme du Caire (c’est-à -dire la Sharia’h datant du 5 août 1990) stipule que Tous les êtres humains constituent une même famille dont les membres sont unis par leur soumission à Allah.
Ce qui est l’exacte antinomie de nos Droits de l’homme (et femmes) de 1948.
Rappelons à nouveau que les valeurs de l’islam sont : le pouvoir tribal, la propriété absolue des femmes (et leur infériorité), l’asservissement des étrangers et l’impérialisme d’un pouvoir musulman en vertu d’un califat-divin, grand maître le monde.
Autrement dit, la capitulation des Occidentaux à l’islam signifierait : privation de liberté de conscience, de pensée individuelle, jusqu’au droit d’en rêver (nous pourrions parler dans notre sommeil !) Pour le Moyen-Orient musulman et ses tristes printemps sanglants, la seule feuille de route lui indiquant la direction de son avenir le reconduirait aux sables du 7ème siècle tribal, en s’évertuant d’y entraîner notre molle et veule civilisation moderne, tant convoitée, décriée et abhorrée.
Sous nos yeux incrédules, l’inéluctable menace qui se déploie à proximité de nos frontières est représentée par l’islam politique des Frères Musulmans (Al-Qaeda et le Hamas). En son temps, Winston Churchill avait remarqué la similarité entre les nazis et les forces islamo-fascistes.
Il induisait la nécessité de comprendre les similitudes entre les armées nazies et celles du terrorisme arabo-islamique. Aussi, d’outre tombe continue-t-il de nous exhorter : » N’abandonnez jamais. Jamais, au grand jamais, n’abandonnez jamais en rien, si ce n’est pour l’honneur et le bon sens. Ne cédez jamais à la force. Ne cédez jamais à l’apparente puissance écrasante de l’ennemi. »
Quelle heure est-il avant que n’advienne le déclenchement de l’ultime horreur atomique, décrite il y a trois millénaires par le prophète hébreu Zacharie ? A combien de mois, de semaines, de jours sommes-nous avant la conflagration thermonucléaire entre l’Iran et Israël ? (4) Qu’en est-il des déferlantes du grand jihad sur la France, l’Europe, les USA et toute la civilisation occidentale ?
De plus en plus de voix (parfois prophétiques) s’élèvent en clamant qu’il est déjà trop tard. Quand bien même -in extremis- arriverait à l’arraché, un développement diplomatique positif. Trop tard, trop de montagnes de mensonges, de défaut de courage, d’abus de langage en écran de fumée, de falsificateurs politico-journalistiques. Trop de graines de violences semées dans les esprits de nos enfants, trop d’ensemencement de haine répandue dans le monde entier.
Après nombre de tueries provoquant l’exil des juifs d’Orient (mais aussi d’Europe à présent), la stratégie des islamistes consiste à massacrer les chrétiens en Égypte, en Irak, aux Philippines, en Indonésie, au Pakistan, au Nigeria et autres nations ignorées des médias. Tout en agressant méthodiquement le peuple d’Israël, en s’attaquant aux églises, aux prêtres, aux religieuses, aux fidèles, les islamistes veulent abattre le cœur même de la foi judéo-chrétienne qui subsistent ça et là , de la culture, de la civilisation occidentale, de la démocratie, des Droits de l’Homme et du progrès tel que nous l’avons conçu.
Parvenant au faîte de ma colline escarpée, je m’écriais les yeux au ciel et la respiration oppressée : « Mais alors, puisque tout semble perdu, que faire, Seigneur Eternel ? »
C’est alors que quelque chose de doux comme un murmure me fit tressaillir. Le souvenir mon énigmatique circoncision du cœur me revint à l’esprit. Des paroles simples et claires se précisèrent peu à peu : Revenir à la source de la première église… Restaurer les puits comblés au cours des siècles… Réhabiliter ce qui fut occulté ou dénaturé par des traditions trop humaines.
Par la force mimétique de l’habitude et des traditions religieuses, je prenais conscience que j’étais aussi coupable que la plupart de mes frères chrétiens. Ma confusion fut profonde aussi, ma première contrition fut de reconnaître mon irrespect (inconscient n’étant pas juif) du quatrième commandement. Le shabbat.
À présent, je sais que cette première prise de conscience sera suivie de nombreuses autres…
Dès le 3ème siècle, les autorités religieuses imposèrent à tous leurs fidèles judéo-chrétiens de trancher tous les liens qui les reliaient à la foi juive. Un christianisme ad hoc triomphant se développa ensuite durant 17 siècles, dans toutes les dénominations et les styles de christianisme.
Au fil du temps, les chrétiens oublièrent (ou occultèrent sciemment) de nombreuses injonctions bibliques. Ignorant que le Shabbat était réservé à tout le peuple de Dieu, je compris enfin que ce jour de repos consistait à honorer le Créateur, à nous rappeler sa bonté, à construire notre foi, à illustrer notre salut et l’éternité auprès de Lui et aussi qu’il permettait de libérer sa puissance (comme Il le fit jadis) face aux immenses défis que nous allons affronter au XXIème siècle. Es 58-13/14.
Pour avoir l’honneur d’être un fils de Sion et un ami de nos frères juifs, nos aînés dans la foi, que devais-je faire sans avoir à judaïser ? Sans en épouser toute sa rigueur sourcilleuse ? Du temps passa et la paix s’instaura dans mon être intérieur cependant qu’une grande joie m’envahissait à tel point que je me mis à chanter et danser de joie (5)… Là résidait la source de ma foi réajustée : complaire à mon Père Céleste, chaque samedi, avec joie et chants d’allégresse !
En revenant sur terre (…), je sus qu’il était encore temps pour que notre civilisation laïque et judéo-chrétienne se ressaisisse. Dans un article précédent, j’avais énoncé que les dirigeants israéliens souhaitaient une aide politico-militaire américaine, en dépit des félonies de Barak Obama et son cercle étroit de conseillers privés. C’est pourquoi, pour l’amour de Sion, j’ose vous dire, membres de la Knesset, qu’il serait sage d’y renoncer. Adonaï Sebaot n’est-il pas le Tout Puissant Seigneur des batailles lorsque ses fils sont en danger ?
En fait, singulièrement, les seuls qui seraient un réel soutien pour contribuer à la défense d’Israël sont des millions de chrétiens sionistes, cœurs circoncis (à leur insu ?) revêtus de toutes les armes de l’Esprit. Ils seraient même susceptibles de s’engager comme volontaires supplétifs dans l’armée juive de défense de Tsahal… À ces millions de cœur sionistes de par le monde, par cet article peu orthodoxe, je lance un appel au ralliement des consciences judéo-chrétiennes et à une levée de boucliers de la foi. Qu’ils s’apprêtent à se mobiliser un jour prochain, en paroles et en actes, à combattre aux côtés des juifs, enfin reconnus comme frères d’armes et de foi, sous le regard de l’Eternel.
©François Celier
Notes
Titre d’un de mes livres témoignant de ma conversion.
Professeur Léon Askenazi, alias » Manitou « , son nom de résistant.
Livre des Nombres 6 :24-26
Quelle étrangeté que ce soit le peuple iranien (Perse) qui symbolise actuellement la grande menace atomique. Juifs et judéo-chrétiens devraient se souvenir et prier en conséquence que » le fondateur de l’Empire Perse le Roi Cyrus le grand, finança le mouvement sioniste de l’époque. Il demanda aux juifs exilés à Babylone de retourner chez eux à Jérusalem en Judée pour y reconstruire le Temple détruit par Nabuchodonosor Roi de Babylone. Personne mieux que les Perses (les Iraniens) ne sont mieux placés pour comprendre le lien entre les Juifs et Jérusalem puisqu’ils furent à l’origine du premier mouvement sioniste de l’Histoire il y a plus de 2500 ans « .
Les judéo-chrétiens d’aujourd’hui ne doivent plus ignorer que Jésus est aussi le Seigneur du shabbat. Le chant le plus ancien de la première » église juive » disait ceci :
» Bénis-sois-tu, Seigneur Yeshoua, notre joyeuse lumière, pur éclat du Père Eternel !
Alors que nous nous assemblons au coucher du soleil (de vendredi) et allumons les bougies du soir, nous remercions et louons notre Père, le Fils et le Saint Esprit.
Toi, le Fils de Dieu, Toi, le donateur de la vie, digne es-tu en tous temps d’être loué et adoré par des voix joyeuses ! Sois glorifié par toute la création ! Amen ! «
©François Celier, pasteur, écrivain
C’est un excellent témoignage, nous ne devons pas seulement prier pour la paix de Jérusalem mais surtout nous positionner contre l’islamisation, la barbarie en tant que chrétien sioniste!
Il est temps que chaque chrétien porte la cause d’Israël, beaucoup sont dans l’ignorance et franchement j’en connais qui ne se sentent pas concernés car beaucoup pensent à tort que l’église a supplanté Israël!
Une chose m’etonne, L’Eternel D.ieu d’Israël et son Saint Fils, Jésus de Nazareth, notre Seigneur et Sauveur, veut-Il vraiment qu’on aille les armes à la main, combattre l’Islam, auprés de Tsahal ?
N’est-ce pas d’abord dans la prière d’intercéssion pour la paix de Jérusalem, qu’Il nous attend devant le trône de sa Gloire, pour qu’Il puisse intervenir selon Sa Sainte Volonté ?
Je doûte quà 49 ans, sans aucune disposition, ni entrainement, l’armée d’Israël veuille de moi, çà c’est pour le point de vue humain.
Mais pour ce qui est spirituel, là , L’Eternel D.ieu veut que nous soyons sur la brêche et que nous intercédions pour Israël, et pour que Le Seigneur D.ieu d’Israël ajoute à l’Eglise tout ceux et celles qui doivent être sauvé !
Mestchersky Boris
Michèle H : Boris, faut te renseigner ….. Il y a beaucoup à faire en Israël ! et même à 49 ans !
🙂
Comme il est énoncé dans le texte: la présence du Seigneur est palpable et c’est si bon !
Pour être plus précis !
N’est-ce pas un simple appel à la guerre sainte ?
Un genre de djihad, ce qui est ardâmment reproché à ces mêmes islamiques fondamentalistes ?
N’est-ce pas un leûrre que de vouloir combattre l’ennemi avec seulement des armes et des moyens humains ?
Pour l’Amour d’Israël, de l’Etat juif d’Israël, le peuple hébreu, n’y a t-il pas une autre voie par éxcéllence ?
C’est d’une manière biaisée que cet appel est fait à la jeunésse chrétiènne !
Qu’elle soit juive ou autre !
L’heure est grâve et l’on a averti le peuple de l’Eternel D.ieu d’Israël, notre Père, depuis bientôt des années !
Nous sommes comme Jéremie le grand prophête et d’autres petits prophêtes.
Nous sommes devant ce constât térrible que le sablier de l’Eternel a une fin et que ce qui est écrit doit arriver finalement, selon sa volonté !
Il a une finalité, une échéance qui finit devant nous !
Les sceaux se décachêtent et les trompettes sonnent vraiment !
Il n’y a pas plus sourd que celui qui ne veût pas entendre, ni aveugle qui ne vêut absôlument pas voir !
Tel est le peuple de D.ieu; les enfants de D.ieu sont plongés dans un sommeil !
Tels les disciples dans le jardin des oliviers.
Alors maintenant qu’il y a urgence, on sonne du Tocsin, on ébranle la termitière, éspérant Un " Déus est machina "
L’enlêvement se fera dans une totale incrédulité, comme maintenant. Dormez brâves gens, tout va bien !
Combien en ont payé les frais, par la tromperie des hommes, devant le jeu cruel des hommes méchants, par le passé ?
Il y a un temps pour toutes choses dit l’Ecclésiaste, un temps vient de passer, un autre commence, rien içi bà s ne perdure éternèllement; et c’est la volonté de l’Eternel D.ieu, notre Père, qu’il en soît-ainsi !
Si ces jours n’étaient abrêgés, personne ne serait sauvé.
Le prophête Osée nous en explique le pourquoi !
Mestchersky Boris
Michèle H : « Il ne dort ni ne sommeille Celui qui veille sur Israël ! » Il avertit de tout temps son peuple et son Eglise ! C’est Lui qui prépare son Epouse.
Ce n’est pas encore le temps de l’endormissement ! Il fait encore clair pour travailler !
Et le Seigneur parle encore ! Relis, il répond immédiatement au questionnement de l’auteur il y a quelques jours ….
Je vais juste faire une rectification au nom du Seigneur : C’est Yeshoua Hanotsri OuMelech Hayehoudim: YHVH. C’est là le tétragramme que les religieux ont vu sur la croix. Yeshoua Le Nazaréen Le Roi des Juifs. C’est la raison pour laquelle les sacrificateurs avaient demandé d’enlever l’écriteau sur la croix et qui les mettait en furie. Nous avons eu la réponse de Pilate dans Jean 19.23. La lettre « vav » en hébreu donne le « ou ». C’est pas nouveau … cela m’a été enseigné il y a 20 ans.
Merci à François Celier pour son témoignage et ses rêveries qui intéressent le Seigneur au plus haut point !
Que pensez-vous de l’appel à la conscience chrétienne d’envisager de se porter volontaire supplétif dans l’armée de Tsahal et de s’appreter à combattre en frères d’armes et de foi sous le regard de l’Eternel?
Michelle: Je ne pense rien. Dans ce genre de chose, c’est le Seigneur qu’il faut consulter, pas les hommes !
La chute de Daesh
par le pasteur François Cellier
déc 12, 2014
Que ceux qui veulent entendre l’origine et l’ampleur de la terrible guerre métaphysique qui se déroule invisiblement autour de la Terre, et méditer sur ses effets dévastateurs, dont Daesh n’est qu’un des avatars, se lèvent et s’apprêtent à devoir combattre. Cet article dévoile l’entièreté de ce que j’avais esquissé précédemment dans Les Démons de Daesh.
A l’aube des temps et de l’Espace, dans un univers spirituel, l’entité nommée Lucifer occupait un poste prestigieux. Mais il s’est enorgueillit puis se rebella contre son Créateur. Le Livre des révélations bibliques relate cette séquence de guerre spirituelle, en langage crypté : Alors il y eut une bataille dans le ciel : Mikha’el et ses anges combattirent le dragon, et le dragon et ses anges ripostèrent. Mais le dragon n’était pas assez fort pour vaincre, et il n’y eut plus de place pour eux dans le ciel. Le grand dragon fut jeté dehors, ce serpent ancien, appelé également le Diable et Satan (l’Adversaire), qui trompe le monde entier. Il fut jeté sur la terre et ses anges furent jetés avec lui (Apocalypse 12:7-9).
De rage, Satan s’employa à contaminer l’esprit des humains, les incitant à braver l’interdit du sens de la connaissance, afin qu’ils vivent entre le Bien et le Mal. Inspirés par ce mentor félon, les hommes édifièrent une Tour Babylonienne à la hauteur du Ciel, dans le but de contester la souveraineté du Créateur en revendiquant une autonomie politique et culturelle.
Babylone et Gratte-ciel contemporain devinrent symboles des villes de rébellion dans l’esprit des hommes, des Rois historiques et des Chefs d’Etats actuels. Elles perpétuent l’interdit d’interdire antédiluvien, jusqu’à vouloir créer un Nouvel Ordre Mondial, édifié sur le règne du pouvoir, de l’argent, de la violence conflictuelle (diviser pour régner), de la dégradation des valeurs éthiques, des modes de vie profane, associé à la complicité d’une religion mondialiste Politique, Papale ou Califate.
Cette volonté d’hégémonie implique l’édification de Cités rebelles, telles Sodome et Gomorrhe, New York, Pékin ou Paris, nantis de Places fortes financières. De ce fait, les Chefs d’Etats actuels et les peuples sont soumis aux fluctuations des monnaies, à la versatilité économique et politique, avec la vassalité inhérente des médias.
Par la conjoncture actuelle du regain de l’Islam, ce téméraire Nouvel Ordre Mondial politique compte s’associer à la force conquérante du très opportun Califat mystique, lui aussi ayant une vocation totalitaire.
Il y eut un précédent dans l’alliance ténébreuse entre le nazisme hitlérien et les légions islamistes du Grand Mufti Amin al-Husseini de Jérusalem.
Bien qu’ayant échoué à deux épreuves d’ontologie spirituelle (Adam et Sodome), l’homme poursuivit une civilisation ascendante, sans se douter que celle-ci était soumise à Satan, alias Père du mensonge. En conséquence, l’Occident judéo-chrétien actuel se trouve placé aux avant-postes d’une troisième guerre mondiale très complexe à déchiffrer.
De nombreux Chefs d’Etats, laxistes ou couards, et leurs courtisans corrompus (Haute Administration, marché économique, finance internationale, surenchère des Armées), comptent sur une défense molle, censée leur faire gagner du temps. Ils feignent d’ignorer que leurs nuisances gouvernementales sont suscitées par des entités maléfiques qui les environnent, falsifient les efforts des Institutions de Magistrature, Santé, Enseignement, Forces de Police, Familles, Grandes Ecoles, Médias et modus vivendi.
Tout semble concourir à un chaos contrôlé, orchestré par Satan, Maître du mensonge et de l’obscur. Néanmoins, par soif de Pouvoir politique, ces Dirigeants, généralement agnostiques ou athées, pressentent que quelque Chose les environne, les surpasse et les induit… En effet, des entités déforment leurs pensées, faussent l’entendement de ce qui est vrai et par là même, modifient la simple réalité des faits objectifs. Par méconnaissance des ravages d’ordre occulte qui se produisent en maints domaines, urbains, industriels, militaires, ces Dirigeants s’en accommodent au point qu’à leur tour, ils mentent, trompent, volent, bâillonnent ou font effacer ceux qu’animent des principes d’honnêteté.
De même que les islamistes convertissent, par ruse ou par force, corps et âmes, des infidèles, des politiciens démocrates orientent les pensées et les votes du plus grand nombre, alors qu’ils sont inféodés au pouvoir de Mamon, maître des monnaies. Dès lors, ces derniers inclinent au Mal, à l’immoralité, à l’inversion du réel et aux parjures. Devenus les disciples des Baal, Moloch, Mamon, Astarté, Chaos, Gloire, Fortune, Pouvoir et autres entités assujettis à Satan, ils sont de facto voués aux trafics d’esclaves, de dépravation des moeurs, d’homosexualité transgénique, de sodomie, sorcelleries, magies, divinations, franc-maçonnerie et autres sectes ésotériques.
Leurs esprits se sont livrés à l’étrangeté terrifiante de puissances occultes dirigées par des esprits démoniaques.
Quelle est donc cette force irrationnelle qui amène les moudjahidines Daeshiens à vouloir conquérir le monde de nos jours et à tout prix, sans craindre la mort ?
Ne provient-elle pas de leur Manuel du Coran, sic incréé ?
N’est-il pas la source idéologique qui les envoûte ? Les arabes doués de courage et de bon sens ne devraient-ils pas la démystifier d’urgence ? Pour la désaliénation mentale d’innombrables musulmans qui en sont les victimes ? Ce qui serait une noble entreprise de salut public moyen-oriental.
D’après les spécialistes des Agences d’Intelligences Services des pays membres de l’ONU, de l’OTAN et autres instances Internationales, il est admis que sur le milliard et demi de musulmans, plus ou moins pratiquants, près de trois cents millions d’entre eux vouent une haine atavique à l’effacement d’Israël, en premier lieu, puis au cupide pillage des USA et des riches nations occidentales de culture judéo-chrétienne de préférence.
Fondés sur la stratégie de la peur, rien ne les arrête : attentats, enlèvements, viols, tortures, lapidations, décapitations, assassinats et massacres de populations civiles. Les islamistes du DAESH progressent à marche forcée. Cimeterres levés, ils décapitent quiconque leur semble infidèle. Par ce levier de l’effroi propagé sur de vastes territoires conquis, ils contrôlent les populations en leur imposant le fatalisme anxiogène d’entière soumission.
Un grand nombre de citoyens européens ne veulent pas vivre à genoux cinq fois par jour, ni mourir décapités. Lorsqu’ils atteindront le fond de l’humiliation, ils se dresseront pour combattre les Daeschiens et leurs disciples.
Dans cette guerre métaphysique dont les contours se dessinent, un espoir se fait jour : celui de la levée du bouclier de la foi judéo-chrétienne, avec des israélites amoureux de Sion; des disciples de Jésus le juif et d’innombrables Justes dans les nations. Ils représentent le potentiel d’une grande armée civile d’appoint, répartie sur tous les fronts des avancées djihadistes.
Plus d’un milliard de pratiquants d’un islam dit modéré, ou en sommeil, savent qu’ils devront obéir à la sentence d’Ibn Kahldoun qui, dès le XIVième siècle résume l’impératif divin de conquête : Dans l’islamisme, la guerre contre les infidèles est d’obligation divine, parce que cette religion s’adresse à tous les hommes et qu’ils doivent l’embrasser de gré ou de force. On a donc établi chez les musulmans la souveraineté spirituelle et la souveraineté temporelle, afin que ces deux pouvoirs s’emploient simultanément dans ce double but.
Nul n’ignore désormais que le monde entier est entré dans une guerre à double face : religionnaire d’un côté, civilisationnelle de l’autre.
Bien que certaines nations se défaussent derrière le leurre de la neutralité objective, la vérité des faits les atteindra de plein fouet elles aussi.
Concernant les musulmans dits modérés, qui se taisent massivement, l’Oumma, la Communauté de tous les mahométans les contraindra à adhérer à la guerre djihadique globale. Ce sera d’autant plus aisé que d’après les radicaux, tout musulman devra prouver son allégeance et sa fidélité, non en incantations pieuses, mais par le sang versé des infidèles. Sang dont il sera dédouané par l’exemplarité de Mahomet et par cette parole déculpabilisante : Ce n’est pas vous qui tuez les ennemis, c’est Allah…
Pour l’Occident chrétien, Jésus le juif est mort sur la croix, afin de libérer tous les captifs de la puissance de Satan. Mahomet, pédophile névrotique, égorgea lui-même des centaines de juifs de ses propres mains. Ce (haut) fait historique est avéré par les musulmans eux-mêmes.
Confortés par la manne financière de l’or noir et des armes, les Daeshiens sont convaincus de vaincre… Après avoir conquis 56 pays en 14 siècles, les succès de la stratégie de l’effroi qu’ils appliquent les galvanisent. Cette arme psychologique est une sorte de contrat mystique passé avec la Mort, plutôt qu’avec la vie, est une démonstration de pouvoir déconcertant.
Le rejet existentiel de l’Etat d’Israël est du même ordre que celui de la menace de Abou Bakr al-Naghdadi, Calife d’ISIS, affirmant qu’après la Syrie, l’Irak et autres pays limitrophes, le Califat des musulmans dans le Sinaï n’est qu’une première étape dans son avancée conquérante sur Jérusalem
La récente guerre nommée Bordure défensive s’est caractérisée par le déferlement sur Israël de milliers de missiles dans les airs et des dizaines de tunnels d’assauts terroristes, surgissants de dessous terre.
Cette fureur d’anéantir ce pays honni et jalousé montre que leurs techniques criminogènes se sont perfectionnées, semblablement à celles des nazis à la conquête du monde. Le mot d’ordre des armées Daeshiennes consiste à ne jamais reculer, quitte à se cacher un temps parmi les populations civiles prises en otages, avant de reprendre leurs assauts suicidaires.
Néanmoins, les islamikazes qui proclament n’avoir nulle peur de la mort sacrificielle, par-delà cette bravade martiale, craignent l’abîme des ténèbres… Ils savent bien qu’un jour, ils y seront précipités, comme le fut leur mentor satanique à l’aube des temps…
Indépendamment de la prime d’argent perçue par leur famille, et de l’honneur d’être martyr, serait-ce la raison pour laquelle ils manifestent tant de crédule passion pour un Paradis posthume dans lequel coulerait le vin à volonté, avec 70 jeunes femmes dotées de virginité récurrente ?
Par ailleurs, la question de la singulière analogie historique entre celle de la Pureté de la race Nazie et celle de la Pureté de l’Islam mahométan est à considérer. De même, qu’en est-il de l’ulcérante incrédibilité d’un Etat Palestinien ? La réponse relève de l’honnêteté foncière de chacun, montrant de quel côté son coeur et son intelligence inclinent… et par là même, quel est la réalité de son intégrité morale : intoxiquée par l’amour du mensonge, ou fermeté à l’égard de la vérité.
Le monde arabe, riche et cultivé, soucieux de ce qui est réel, tangible, monnayable et cohérent, parvient à y échapper, car il n’ignore pas que la Palestine est un mythe astucieusement créé, un génial prétexte pour fomenter conflits récurrents contre Israël et contre l’Occident, y compris le gain des mannes financières internationales qu’ils perçoivent en retour…
Dans l’horreur des faits qui défraient l’actualité, le message des quasi zombies Daeshiens est clair : Si vous pouvez tuer un incroyant américain ou européen, en particulier les méchants et sales français, comptez sur Allah et tuez-le de n’importe qu’elle manière. Si vous ne pouvez pas trouver d’engin explosif ou de munition, alors isolez l’Américain infidèle, le français infidèle…Ecrasez-lui la tête à coups de pierres, égorgez-le avec un couteau, renversez-le avec votre voiture, jetez-le dans le vide ou empoisonnez-le ….brûlez sa maison ou son entreprise, ou détruisez ses cultures…
La montagne de Sion est le coeur de Jérusalem. C’est le lieu trois fois millénaire le plus saint du peuple juif, sur lequel se trouvent des coupoles islamiques. Visionnaire, le prophète hébreu Zacharie désignera comme l’Abomination de la désolation ces bâtiments religieux enkystés sur l’Esplanade du Temple juif. Or, ce qui est certain, c’est qu’elle ne deviendra jamais le haut lieu du Califat islamique, ni la capitale d’un Daesh fantasmatique qui rêve d’y installer son improbable Mahadi messianique.
Par l’expérience de la terreur, leur culture du pillage (les razzias d’antan) et l’iniquité de la Chariah, les islamistes Daeshiens ne peuvent saisir la portée des Paroles prophétiques qui les concernent. Jésus disait explicitement : L’homme naturel ne reçoit pas les choses qui viennent de l’Esprit de Dieu, pour lui ce sont des choses insensées ! De plus, il est incapable de les saisir, parce que c’est par l’Esprit qu’elles peuvent être discernées, d’où l’absolue nécessité de naître de nouveau.
Les hommes de guerre expérimentés savent que la vraie puissance n’est pas dans l’horreur sanguinaire du terrorisme, ni le nombre de chars blindés, de porte-avions, de sous-marins atomiques, d’escadres aériennes, de satellites et de drones militarisés, mais elle siège dans le coeur des hommes qui respectent la beauté et la grandeur de la vie, et qui appliquent avec génie leur intelligence pour le Bien de tous, y compris dans la défense armée des innocents.
Néanmoins, outre le combat militaire, hautement technologique et destructeur, il faut tenir compte d’avoir à lutter par la foi dans le monde spirituel, dans sa réalité invisible aux yeux naturels. Mais alors, peuvent s’interroger à juste titre des hommes de guerre : En quoi cette foi, invisible et déterminante pour les croyants, pourrait-elle nous assister ?
Les prophètes hébreux ou les visionnaires du monde actuel nous enseignent qu’elle est une démonstration de puissance des choses qu’on ne voit pas. Cependant, nous pouvons en connaître des faits réellement accomplis, par le passé et de nos jours. L’arme de la terreur qui tétanise les infidèles de l’islam n’est qu’un des aspects de la contrefaçon sanguinaire qu’opèrent les djihadistes Daeshiens. Ils répandent le sang (et le sang c’est la vie) comme s’il s’agissait de litres d’eau, mais par là même, ils se rangent dans une catégorie d’êtres inhumains, manipulés qu’ils sont par de cruelles entités maléfiques.
Jadis, des hommes et femmes connaissaient la réalité du domaine intangible et spirituel, en relation avec leurs combats contre des forces démoniaques. A ce sujet, la Bible précise : Car nous ne luttons pas contre des êtres humains mais contre les souverains, les autorités et les puissances gouvernant les ténèbres, contre les forces spirituelles maléfiques dans les lieux célestes.
Le Roi David comprenait le combat spirituel. Il connaissait le Seigneur Adonaï, le Dieu des armées du ciel, comme un Dieu qui s’engage dans les combats aux côtés des hommes de foi. C’est pourquoi, ces derniers discernaient ses interventions surnaturelles comme si elles étaient déjà accomplies… et qu’il leur incombait alors d’agir en conséquence, jusqu’à leur totale évidence
Il est grand temps de déclarer fermement que tous les daeshiens seront abattus et que l’abîme des ténèbres les attend. Qu’ils sachent qu’en dépit de l’actuelle lenteur des stratégies militaires à se coordonner, d’innombrables hommes justes des nations, d’israélites aguerris et des disciples de Jésus le juif se lèvent pour combattre et vaincre les suppôts de Daesh, avec l’esprit d’Adonaï.
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© François Celier. Pasteur pour Europe Israël
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