Enfin ! Après des mois d’attente, les conclusions de l’étude Discovery viennent d’être révélées. Discovery est cette grande étude française qui devait trancher une fois pour toutes l’efficacité de plusieurs traitements contre la Covid. Eh bien les résultats sont enfin tombés, et ils sont saisissants.

Parmi les médicaments testés sur des patients hospitalisés pour Covid-19, c’est l’hydroxychloroquine du Pr Raoult qui obtient les meilleurs résultats.

Oui, il y a moins de morts dans le groupe qui a bénéficié de l’hydroxychloroquine que dans le groupe qui n’en a pas reçu.

Il y a aussi plus de patients guéris au bout de 29 jours parmi ceux qui ont reçu l’hydroxychloroquine.

Le seul problème est que ce résultat est peu significatif « statistiquement ».

Mais il faut bien comprendre ce que cela veut dire.

Statistiquement, on a plus de chances d’avoir raison que tort en affirmant que l’hydroxychloroquine est efficace.

Mais il reste quand même un risque non négligeable (40 %) que ce résultat positif soit dû au hasard.

Pour une raison simple : l’étude ne compte pas assez de patients.

Et c’est justement là le scandale.

Pour atteindre des résultats « significatifs », au-delà de tout soupçon, il aurait fallu continuer l’étude et intégrer plus de patients.

Mais nos autorités sanitaires l’ont interdit !

Le 26 mai dernier, l’Agence du médicament a suspendu cette étude[1] sur l’hydroxychloroquine, sous prétexte que ce médicament était controversé.

A l’époque, j’avais déjà trouvé cette décision invraisemblable.

Mais on apprend aujourd’hui que cette décision a été prise alors que l’étude était en train de démontrer la supériorité de l’hydroxychloroquine !

Je ne sais pas si vous vous rendez compte de ce que je suis en train de dire.

On a arrêté une étude, au prétexte que l’hydroxychloroquine était risquée, alors que les patients de cette étude qui prenaient ce médicament avaient de meilleurs résultats que les autres !!!

Cela paraît invraisemblable.

Mais il y a encore plus fou :

Une autre étude stoppée montrait 50 % de mortalité EN MOINS avec l’hydroxychloroquine !

Une autre étude française, Hycovid, a été stoppée alors qu’elle donnait des résultats encore plus spectaculaires[2] !

Dans cette étude randomisée contre placebo menée à Angers, les malades traités par HCQ étaient 48 % de moins à mourir des suites de la Covid, par rapport au placebo !

Près de 50 % de mortalité en moins !!

Certes, comme dans Discovery, le nombre total de patients testés était trop faible pour qu’on puisse avoir un résultat « significatif », sur le plan statistique.

Mais c’était une raison impérieuse de continuer l’étude, avec plus de patients, plutôt que de l’arrêter !

Car le signal était clair, positif, et il y avait une probabilité supérieure à la moyenne que l’hydroxychloroquine soit efficace.

Et dans tous les cas, les patients traités dans ces études s’en sortaient mieux que les autres, ce qui fait qu’il n’y avait aucune bonne raison de l’arrêter !

Sauf, bien sûr, si l’objectif était de cacher l’efficacité de ce médicament dont le Ministre Olivier Véran a privé les Français !

Je rappelle que c’est le Ministre de la Santé Olivier Véran qui a interdit aux médecins généralistes de prescrire l’hydroxychloroquine le 27 mars, en pleine épidémie.

C’est aussi Olivier Véran qui a interdit de prescrire l’hydroxychloroquine à l’hôpital, sauf exception.

Donc si deux mois plus tard, une étude venait prouver que l’hydroxychloroquine est efficace, vous vous rendez compte des conséquences ?

Même si l’hydroxychloroquine a une efficacité minime, même si elle ne réduit la mortalité que de 5 %, son utilisation aurait sauvé plus de 1 000 personnes en France.

Cela fait au moins 1 000 morts sur la conscience du Ministre.

Les autorités de santé ont-elles essayé de « sauver le soldat Véran » ?

A-t-on volontairement arrêté des études, pour éviter qu’elles ne révèlent au grand jour l’efficacité du traitement du Pr Raoult ?

Pour moi, la réponse est clairement « oui ».

Car 10 jours seulement après la décision de suspendre Discovery, l’INSERM a appelé à reprendre l’essai clinique, dans un communiqué intitulé : « L’hydroxychloroquine pourra être réintroduite dans Discovery après le feu vert des autorités compétentes »[3].

Mais les « autorités compétentes » n’ont jamais donné leur feu vert.

Alors que Discovery pointait vers un résultat bénéfique de l’hydroxychloroquine.

Alors que Hycovid était en passe de prouver un résultat spectaculaire sur la mortalité.

Pour moi, c’est ce que les Américains appellent un « smoking gun », un pistolet fumant.

Si vous trouvez un pistolet fumant dans les mains d’un homme, à deux pas d’un cadavre criblé de balles, c’est probablement lui le coupable.

Le Pr Raoult ne s’y est pas trompé, en posant clairement la question :

« Pourquoi avoir arrêté l’hydroxychloroquine, seul traitement efficace à 29 jours ? (non-significatif car pas assez d’inclusions)

Discovery tend à montrer l’efficacité de l’HCQ sur la mortalité ! »[4]

Clairement, il y a eu une attitude criminelle de nos autorités de santé.

Et si vous reprenez l’affaire chloroquine depuis le début, tout commence à s’éclairer.

Toutes les pièces du puzzle s’assemblent parfaitement.

Lisez bien ce qui suit – mais je vous préviens, la vérité n’est pas belle à voir :

Souvenez-vous : au départ Discovery n’avait même PAS prévu de tester l’hydroxychloroquine !

Je rappelle que l’étude Discovery a été conçue contre la science et l’intérêt des malades, dès le départ.

Car les auteurs de l’étude avaient décidé de ne pas tester l’hydroxychloroquine.

C’est invraisemblable, car à ce moment-là, début mars, c’était clairement la molécule la plus prometteuse contre la Covid.

Pas parce que le Pr Raoult en avait parlé dans une vidéo.

Mais parce que tous les éléments scientifiques pointaient vers une possible efficacité contre la Covid !

Déjà en 2005, la chloroquine avait montré une nette efficacité in vitro contre le SRAS (SARS-coV), un coronavirus très proche du nouveau SARS-coV-2[5].

En 2017, la chloroquine a aussi montré une activité in vitro contre le MERS (MERS-coV), l’autre coronavirus qui cause des détresses respiratoires[6].

Trois ans avant la crise actuelle, la conclusion des chercheurs était claire :

« En résumé, la chloroquine a un potentiel à large spectre pour traiter les infections à MERS-CoV et SARS-CoV.

La chloroquine a de nombreux avantages et pourrait être un excellent candidat pour un traitement combiné à d’autres antiviraux.

L’hydroxychloroquine, un dérivé de la chloroquine, pourrait être une alternative en raison de sa moindre toxicité et de son profil pharmacologique similaire ».

Voilà pourquoi, en janvier 2020, la chloroquine a été testée en priorité par les Chinois.

Et dès le mois de février, une étude a confirmé que l’hydroxychloroquine et la chloroquine sont efficaces contre le nouveau coronavirus SARS-coV-2, in vitro.

Mais surtout, quelques jours après, les Chinois ont annoncé que la chloroquine a une efficacité sur des malades, sur la base d’essais cliniques.

C’était même un des plus grands virologues au monde, le Dr Zhong, grand spécialiste du SRAS, qui l’a confirmé publiquement, le 21 février :

« A mon avis, le phosphate de chloroquine n’est pas un médicament miracle contre la Covid-19, mais il est efficace sur la maladie.

Et il a un grand avantage, ainsi que tous les remèdes de la médecine chinoise traditionnelle (MCT), c’est qu’ils sont inoffensifs. C’est leur principal avantage »[7]

Je précise que le Dr Zhong est l’équivalent du Dr Antony Fauci aux États-Unis : c’est le spécialiste en virologie que les Chinois respectent le plus[8].

Donc, l’hydroxychloroquine était clairement le remède le plus prometteur à ce moment-là.

Surtout que ce médicament avait énormément d’avantages pour contrer cette nouvelle pandémie :

  1. L’hydroxychloroquine est un médicament facile à fabriquer et déjà produit massivement par de nombreux laboratoires dans le monde : il était donc possible de fournir aux malades du monde entier des milliards de doses dès le mois de mars ;
  2. C’est une molécule ancienne, avalée par des centaines de millions de patients depuis une cinquantaine d’années : non seulement c’était un des médicaments les plus sûrs au monde, mais on connaissait parfaitement ses rares effets indésirables, ses éventuelles interactions et les moyens de les éviter.
  3. C’est un médicament qui se prend par voie orale : il peut donc être prescrit par un médecin généraliste et avalé par le patient chez lui, dès les premiers symptômes, ce qui est crucial pour bénéficier de son potentiel effet anti-viral ;
  4. Et pour ne rien gâcher, ce médicament ne coûte presque rien, à peine 5 euros la boîte.

Les auteurs de l’étude Discovery savaient tout cela, bien sûr.

Mais le 11 mars, ils ont décidé d’écarter l’hydroxychloroquine de leur étude.

A la place, ils ont préféré tester en priorité un autre médicament, le remdésivir.

Certes, ce nouveau médicament avait lui aussi montré une efficacité in vitro.

Mais contrairement à la chloroquine, les scientifiques chinois n’avaient constaté aucune efficacité sur leurs patients.

Pire, le remdésivir présentait des inconvénients évidents et énormes : 

1) Le remdésivir n’était pas un médicament commercialisé : il n’avait encore jamais été mis sur le marché, et le laboratoire Gilead n’avait pas la capacité de le produire en quantité suffisante en plein cœur de l’épidémie (mars-avril-mai), pour soigner des centaines de milliers de patients ;

 

2) Comme c’était un médicament nouveau, on n’avait aucun recul sur ses effets indésirables – les résultats des essais cliniques étaient même plutôt inquiétants, avec une toxicité avérée pour les reins ;

 

3) Le remdésivir est un médicament qui est injecté en intraveineuse : il ne peut donc être administré qu’à l’hôpital, donc au moins 7 à 10 jours après l’infection, alors qu’on sait que les anti-viraux ne fonctionnent vraiment qu’au début d’une infection.

 

4) Et pour couronner le tout, le remdésivir était annoncé à plusieurs milliers d’euros le traitement, un prix exorbitant.

Vous le voyez : début mars, il n’y avait pas photo entre le remdésivir et l’hydroxychloroquine.

Avec l’hydroxychloroquine, on avait un traitement très sûr, immédiatement disponible partout dans le monde, que l’on pouvait prendre dès les premiers symptômes… et qui avait montré son efficacité, non seulement in vitro mais aussi in vivo, chez des vrais malades, par au moins une étude chinoise, randomisée et en double aveugle.

Et pourtant, le 11 mars, on apprend que le grand essai clinique français Discovery ne testera pas l’hydroxychloroquine. 

Il a fallu la pression du Pr Raoult et de l’opinion publique pour que les chercheurs de Discovery reviennent sur cette décision et finissent par intégrer l’hydroxychloroquine !

Vous le voyez : les dés étaient pipés, dès le départ, contre ce médicament peu coûteux.

Mais ce qui s’est passé après est encore plus grave :

L’étude Discovery a été stoppée sur la base d’une étude BIDON !

Fin mars, les autorités ont déclaré qu’il ne fallait pas traiter les patients, tant qu’on n’avait pas les résultats de Discovery.

Et on nous a promis que ces résultats allaient arriver très vite.

D’abord, on nous a annoncé des résultats pour début avril[9]. Puis pour fin avril[10], donc à la fin du pic épidémique, quand c’était trop tard.

Et en septembre, on n’avait toujours pas les résultats.

Mais entre-temps, il s’est produit un des plus grands scandales scientifiques de l’histoire.

Je parle de la fameuse étude parue dans la revue The Lancet, le 22 mai.

Cette étude retentissante concluait que l’hydroxychloroquine était inefficace et dangereuse : à en croire ses auteurs, ce médicament pourrait tuer 10 à 30 % des patients atteints de Covid.

Problème : la revue The Lancet a beau être une revue prestigieuse, il était évident dès le début que l’étude était faussée.

Le Pr Raoult l’a tout de suite vu, et l’a dit haut et fort dans les médias.

Moi-même, modeste Xavier Bazin, je vous écrivais le 26 mai « Je vais vous démontrer pourquoi on ne peut pas croire un mot à l’étude récente du Lancet » (vous pouvez voir mes arguments ici)

Et nous avions raison : le 4 juin, la revue The Lancet a dû rétracter l’étude, reconnaissant qu’elle était probablement frauduleuse.

Mais entre-temps, cette étude bidonnée a fait des dégâts effroyables, avec l’arrêt du traitement par hydroxychloroquine dans de nombreux pays du monde.

En France, le Ministre de la Santé Olivier Véran a sauté sur l’occasion pour demander au « Haut Conseil » de revoir ses recommandations sur l’hydroxychloroquine.

Et dans la foulée, les études cliniques françaises sur l’hydroxychloroquine ont toutes été arrêtées, les unes après les autres, notamment Discovery et Hycovid.

On a aussi suspendu Covidoc, qui était la seule étude au monde à tester entièrement le protocole Raoult, c’est à dire hydroxychloroquine + azythromicine de façon précoce.

Sur le coup, le responsable de l’étude Covidoc et patron du service des maladies infectieuses du CHU de Montpellier s’en était ému dans la presse :

« Lundi 25 mai, j’ai reçu un mail de l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), et j’ai suspendu immédiatement les essais.

Si on en reste là, on n’aura pas de réponse sur l’intérêt du traitement.

L’étude du Lancet est un « assassinat » en règle. »[11]

En effet, l’étude du Lancet était criminelle.

Et j’ose le dire, elle a très probablement été conçue pour cela : pour torpiller l’hydroxychloroquine.

C’était le moyen idéal de tuer définitivement ce traitement prometteur, qui avait l’inconvénient de faire de l’ombre au remdésivir à 2000 euros, et aux vaccins à venir.

C’était un assassinat mondial : aux États-Unis aussi, l’étude du Lancet a servi de prétexte pour arrêter le seul grand essai clinique qui s’apprêtait à tester le protocole Raoult sur plus de 2 000 patients.

Mais c’est en France que le scandale est le plus manifeste.

Car en France, on a osé stopper des études qui montraient un impact bénéfique de l’hydroxychloroquine.

Sur la base de chiffre frauduleux publiés dans The Lancet, on a stoppé des essais cliniques qui étaient en train de prouver l’efficacité du traitement du Pr Raoult !

Alors, qui est coupable ?

Qui est derrière cette machination contre l’hydroxychloroquine ?

Pour répondre à cette question, regardez bien cette succession de décisions absurdes et criminelles contre ce médicament :

  • Début mars, l’hydroxychloroquine est écartée de la grande étude Discovery;
  • Fin mars, la France interdit aux médecins de donner l’hydroxychloroquine aux malades, alors que c’était un médicament sûr et prometteur ;
  • Fin mai, une revue prestigieuse publie une étude manifestement frauduleuse, qui conclut à une mortalité invraisemblable de l’hydroxychloroquine ;
  • Dans la foulée, la France suspend tous les essais cliniques sur ce médicament, alors qu’ils montraient un effet bénéfique sur les patients traités ;
  • Et en juin, même après la rétractation de l’étude du Lancet, aucune de ces études n’est relancée, parce qu’elles risquaient de prouver l’efficacité du protocole Raoult.

Qui est capable de faire ceci, à l’échelle mondiale, sinon des intérêts puissants et organisés ?

Dans cette affaire, Olivier Véran et l’ANSM sont coupables, mais ils ne sont que des vulgaires exécutants d’intérêts qui les dépassent.

Pour mieux comprendre le fond de cette affaire, je vous renvoie à ma lettre sur la puissance tentaculaire du laboratoire Gilead et de Big Pharma sur la science française et mondiale[12].

Mais je dois l’avouer : la situation est encore plus grave que ce que j’imaginais.

Avant cette crise sanitaire, je croyais tout connaître des manœuvres des grands laboratoires pharmaceutiques contre la santé publique et je vous en ai souvent parlé.

Mais jamais je n’aurais imaginé qu’ils pourraient fabriquer de toutes pièces une étude frauduleuse pour faire croire qu’un médicament est dangereux, et qu’ils réussiraient à la publier dans The Lancet.

Et surtout, jamais je n’aurais pensé que des autorités françaises oseraient arrêter des études favorables à un médicament, en pleine crise sanitaire, alors que ce médicament aurait pu sauver des vies.

Et pourtant, c’est ce qui s’est passé.

Interviewé sur CNews, le Pr Raoult a fait un appel solennel aux médias :

« Je fais appel aux journalistes d’investigation, je voudrais bien savoir pourquoi les deux essais comparatifs avec l’hydroxychloroquine faits dans ce pays, Discovery et l’essai fait à Angers (Hycovid) ont été arrêtés prématurément tous les deux, alors que l’hydroxychloroquine donnait des résultats supérieurs au placebo.

Je voudrais bien que des journalistes d’investigation interrogent les gens responsables de ces essais pour leur dire : comment se fait-il que vous les ayez arrêtées, quel est le rationnel scientifique, alors que les résultats préliminaires sont en faveur de l’hydroxychloroquine ? »[13]

Mais à ce jour, aucun grand média ne s’est emparé de cette affaire.

Alors je compte sur vous : transférez cette lettre à tous vos contacts, c’est VITAL.

Nous devons nous unir pour révéler au grand jour ce scandale sanitaire sans précédent.

Toutes les preuves sont là : on a cherché à assassiner le protocole Raoult.

Et le résultat, c’est que des milliers de patients sont morts, alors qu’ils auraient dû rester en vie.

Bonne santé,

Xavier Bazin