Rarissime vidéo : Les palestiniens trahis par leurs ancêtres – par Jean-Patrick Grumberg
Publié le 19 mai 2011 par Jean-Patrick Grumberg
!!!Au coeur du conflit israélo-palestinien réside un noeud, celui de l’histoire des événements de 1948 qui ont suivi la déclaration d’indépendance de l’Etat Hébreu.
Les palestiniens, depuis 1998, en ont fait le jour de la Naqba, la catastrophe. Pourquoi ? Parce que selon leur version de l’histoire, ils étaient là , en 1948, assis sans faire de mal à personne, et ils se sont fait massacrer, expulser de leurs terres et de leurs maisons par les sionistes, qui les en ont dépouillés.
Les juifs soutiennent à peu près l’inverse, à savoir que d’une part ils étaient sur leurs terres rendues légalement par l’ONU, et que non seulement les arabes (le mot palestinien date de 1967) ont suivi les consignes des pays arabes, dont les cinq armées ont déclenché une guerre d’extermination des Juifs, non seulement ils leur ont demandé de partir et de laisser momentanément place libre pour les opérations militaires, non seulement beaucoup d’arabes ont fui de leur propre décision, mais en plus, loin d’être ces victimes innocentes, ils ont participé au massacre des juifs.
Dans ce contexte porteur de tous les échecs, la semaine dernière s’est terminée la célébration annuelle par les palestiniens de la Naqba.
Une vieille dame, une arabe de 92 ans, qui se trouve là , est interviewée par un journaliste qui lui demande de lui raconter les événements dont elle se souvient.
Ce témoignage est unique. Il est de la plus grande importance. Car c’est la première fois qu’un témoin visuel, à ma connaissance, reconnait la version avancée par les juifs, et avoue l’inavouable : le massacre des juifs par les « palestiniens », en 1948. Il s’agissait d’un émission en direct, et la chaîne n’a pas pu la couper. On voit le journaliste, très gêné, tenter d’écourter l’interview, et d’interrompre la vieille femme. Mais cette dernière est intarissable…
(si les sous-titres français n’apparaissent pas, il faut cliquer sur le petit triangle dans la barre inférieure)
!!!Il aura donc fallu attendre soixante-deux ans pour que la vérité, qui remet en cause le paradigme palestinien, éclate.
On pourrait penser que ce document va changer le cours des événement futurs. On pourrait penser que les palestiniens se mordent les doigts d’avoir laissé filtrer un témoignage aussi compromettant.
Qu’ils se rassurent, les journalistes n’ont aucun amour pour des faits qui pourraient détruire leur reconstruction de l’histoire, et il ne s’en trouvera aucun pour faire son travail de journaliste d’investigation, à partir de ce début de preuve accablant.
Reproduction autorisée avec les mentions suivantes, et le lien vers cet article :
© Jean-Patrick Grumberg pour Drzz.fr
Super!!
Evelyne m’envoie cette information, datée du 15 juin 2011:
SOURCE: PORTES OUVERTES
http://www.portesouvertes.fr/inf...
Gaza : Ils craignent d’aller à l’église
Effrayés par ce qui se passe au Moyen-Orient et par les violences dont ils sont témoins chez eux, les chrétiens craignent d’aller à l’église.
L’Eglise à Gaza traverse une période difficile. Les chrétiens gazaouis craignent pour leur vie. Gadil, pasteur, raconte : » Ce qui s’est passé en Egypte contre les chrétiens a fait peur aux paroissiens. Le dimanche qui a suivi l’attaque du Caire, seulement 10 d’entre eux ont eu le courage de venir assister au culte. Les gens ont peur. »
De plus, la situation à Gaza même ne cesse de se détériorer. » Les récents combats ont effrayé la population. Les écoles ne sont plus ouvertes que 4 jours par semaine pour des raisons de sécurité » explique Gadil.
– » Le groupe de jeunes d’une des principales églises de Gaza ne s’est plus réuni depuis février. »
Pour palier à ce manque, les églises essaient d’apporter aux jeunes chrétiens des formations bibliques pour les enraciner dans la foi. Des projets sont aussi mis sur pied pour leur permettre de se rencontrer malgré tout, comme cette chorale qui réunit des jeunes entre 15 et 25 ans depuis 2009.
L’année dernière, Portes Ouvertes a organisé des formations pour les responsables de groupes de jeunes qui ont été très appréciées. De nouvelles formations sont prévues mais il convient de rester prudents : » Pour l’instant le gouvernement nous surveille » explique Gadil. » Il y a quelques jours, les autorités locales sont venues me voir pour m’interroger. Ce n’est pas par hasard. Nous sommes dans leur collimateur. »
Gadil termine en lançant un appel à l’aide : » S’il vous plaît, priez pour nous ! «