L’état pitoyable actuel de la France n’est pas dû au virus,[1] mais avant tout aux mesures prétendument sanitaires qui nous été imposées pour soi-disant éviter la submersion du système hospitalier.
Le caractère dogmatique et politique des mesures devient encore plus évident avec l’imposition du passe en France sans considérer ses résultats sur l’évolution de l’épidémie dans les pays qui l’ont instauré avant nous.
Ce résumé court vise à combler cette lacune en s’appuyant sur les chiffres officiels de l’OMS et leurs transcriptions en courbes par l’université John Hopkins.
Les données de l’OMS prouvent que le passe est médicalement dangereux
Quelques pays européens ont imposé le passe à leur population depuis plus de deux mois. L’examen des courbes de l’épidémie dans ces pays montre que cette mesure, loin de ralentir les contaminations, paraît les exacerber.
L’Autriche a imposé le passe début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 22
La Grèce a imposé le passe en espérant attirer ainsi les touristes étrangers
Malheureusement le passe a été suivi par la multiplication par 5 du nombre quotidien de contaminations et la saison touristique en a souffert ne retrouvant pas son niveau de 2019 (-30 %)
La Tchéquie a instauré le passe début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 4
En Roumanie le passe a été imposé début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 160.
Au Danemark la mise en route du passe a été suivi par une augmentation franche du nombre quotidien des contaminations (multiplication par 5 en un mois.)
Depuis le Danemark a supprimé le passe.
Ainsi dans tous les pays champions du passe, les évolutions de l’épidémie ont été marquées par une accélération paradoxale importante des contaminations
L’échec du passe a été également observé dans tous les concerts-tests récents dont l’entrée était subordonnée à la présentation d’un passe.
Les 20 000 participants du festival Verknipt à Utrecht ont montré leur passe sanitaire, via l’application CoronaCheck avant d’y être admis. Mais quelques jours après le festival, sur les 20 000 participants, on dénombrait, plus de mille nouveaux infectés par le coronavirus (dont une majorité de vaccinés !).
Les 50 000 participants des festivals Canet Rock, Vida et Cruïlla qui ont eu lieu en Catalogne, entre le 1er le 11 juillet ont dû présenter des tests négatifs et porter des masques avant d’y participer. Ces festivals test ont entraîné la contamination directe de près de 2300 personnes [soit au total 842 de plus que dans les groupes témoins équivalents). Ce surplus de contaminations confirme que ni les pass, ni les tests, ni les masques ne protègent vraiment et qu’ils peuvent donner un sentiment de sécurité injustifié.
En France aussi, le passe n’empêche pas les clusters d’apparaître.
Malgré le passe sanitaire, on a recensé 80 contaminations dans une discothèque à Lille, 44 dans les Vosges ou encore une trentaine d’adolescents dans un camping en Corse.
Comment peut-on expliquer ces échecs cuisants du passe partout où il est utilisé ?
Le concept du passe repose sur les hypothèses que les pseudo vaccins empêchent d’être malade et encore plus d’être contaminant. Ces deux croyances sont fausses ainsi que le ministère l’a officiellement reconnu devant le Conseil d’État. Les fortes reprises d’épidémies récentes en Israël et Grande-Bretagne champions des injections Pfizer et Astra Zeneca le confirment amplement.
Les porteurs de passe, victime de la propagande officielle se croient protégés et négligent fréquemment les mesures de protection s’exposant ainsi davantage à la contamination. Cela a été remarqué lors de la plupart des concerts avec passe aux Pays-Bas comme en Catalogne.
Le passe majoritairement refusé ou abandonné en Europe
En Europe, la majorité des états ont refusé ou abandonné le passe, qu’il s’agisse de l’Allemagne, de la Grande-Bretagne, de la Russie, du Danemark, de la Suède, de la Norvège, de la Finlande, de l’Estonie, de la Pologne, de la Bulgarie, de la Biélorussie.
Seuls principalement les pays du sud suivent encore les recommandations de la Commission européenne.
Il faut espérer que les décideurs de ces pays considèrent enfin les mauvais résultats avérés de cette mesure et se rendent compte qu’au lieu de ralentir l’épidémie, le passe l’accélère.
Le Danemark dont la situation sanitaire actuelle ressemble beaucoup à la nôtre vient d’abandonner le passe. On ne comprend pas que notre gouvernement s’obstine à l’imposer, niant ainsi le monde réel.
Je suis quelque peu étonné…
En effet, il a été largement démontré que le test pcr tel qu’il est utilisé, c’est à dire avec un nombre de 40 cycles est totalement hors de propos et ne prouve plus rien, contamination ou pas.
Or je lis dans cet article écrit par une personne de valeur, et comme dans bien d’autres écrits par ailleurs, que le nombre de contaminations augmente, malgré telle ou telle mesure liberticide. Mais de quoi parle t’on? Sérieusement…
On ne peut pas d’un côté décrier un test non approprié et servant au possible le mensonge, et l’utiliser pour démontrer la nocivité du pass, du vaccin ou de je ne sais quoi. Car cela revient à dire qu’on accepte ce test comme élément recevable… A force d’écouter le mensonge, on l’accepte et il devient vérité.
Moi je ne l’accepte pas, ni lorsqu’il dit qu’il y a des contaminations (tiens, plus de malades, que des contaminés… bizarre), ni lorsqu’il dit que tout s’arrange.
Si l’on part du principe que tout cela est basé sur le mensonge, il ne sert à rien d’en discuter, qu’on soit titulaire d’un doctorat ou pas. Moi je ne discute pas sur la base du mensonge. Il n’y a donc pas lieu de discuter test, contamination, ce n’est pas un langage de vérité
C’est un médecin qui parle de ce qu’il connaît. Pas de tests tordus… Il y a bien d’autres tests maintenant, et surtout des chiffres sur les contaminations réelles ! Il parle du pass, donc essentiellement de la vaccination
Le Dr Delépine n’a cessé d’alerter sur les mensonges gouvernementaux et nous avons mis ici beaucoup de ses articles, ainsi que ceux de sa femme. Je crois que tu as mal compris