Source : LA VIE NE SERA PLUS JAMAIS LA MÊME

La vie telle que nous la connaissions ne sera plus, elle s’estompe déjà dans un futur imprévisible où tout est devenu possible, même l’impensable.

Les épreuves que notre nation endurent depuis plusieurs années vont s’intensifier.

Des bouleversements s’en viennent, plus violents que jamais, plongeant des multitudes dans l’angoisse, l’incompréhension, la peur, la souffrance et la solitude.

Ce virus n’a pas seulement paralysé les nations, il a mis en lumière nos failles et notre arrogance.

Le temps était venu de nous interroger, de sonder la raison d’être de nos existences, et bien que des gestes de solidarité aient été accomplis, ici et là, l’essentiel n’a pas été saisi.

Notre nation, l’Europe toute entière est malade, le cœur défaillant, le corps défiguré par des plaies teintées de sang.

Le sang des innocents.

Des innocents qui ne peuvent ni crier, ni se défendre car là où ils sont, personne ne peut les voir. Ils sont invisibles au regard du monde…et pourtant, les battements de leur cœur résonnent telles des notes de musique saluant les frémissements de la vie.

Nous avons accepté le meurtre de millions d’enfants dans le lieu censé être le plus sécurisant pour eux : l’intimité de la femme, ce sanctuaire sacré où des mains se sont introduits pour en arracher le fruit le plus précieux : la vie.

Les ventres sont devenus des temples de mort, parce que c’est devenu un « droit ». Le droit de tuer ce qui me dérange, ce qui fait obstacle à ma vie sociale, à mes ambitions, pour des nuits de plaisir sans lendemain qu’il faut effacer de la mémoire…vite, sans regret, sans déranger.

Le corps endormi, ces femmes ne voient pas ces instruments retirer les petits membres, un à un… à l’aveugle, on appelle cela « l’extraction ».

Un petit bras, une petite jambe, que l’on pose sur la table, puis la colonne vertébrale, les intestins, le cœur, et les poumons. Le Docteur Levatino a eu le courage d’expliquer la procédure de cette « opération » avec honnêteté et courage. Courage parce que ces médecins se retrouvent au Tribunal ou sous les feux médiatiques impitoyables quand ils osent clamer une vérité dérangeante.

Ces êtres en devenir étaient uniques, précieux, et si l’indifférence a gagné la plupart de nos pays, elle ne l’est pas pour LUI.

DIEU.

Rien ne LUI échappe, ni nos crimes, nos iniquités, les unions déviantes, les immoralités sexuelles et morales, le mensonge, la calomnie, les faux témoignages, l’hypocrisie, la jalousie, la méchanceté, la moquerie… toutes ces lois qui piétinent les siennes nous mènent chaque jour davantage vers la destruction et la folie.

IL EST!

« JE SUIS« , annoncé depuis le commencement, est un Dieu patient, lent à la colère, un Créateur extraordinaire, majestueux, stupéfiant, Unique, d’une sagesse et d’un amour infini.

Et d’une Justice parfaite.

Dédaigné, malgré le salut offert par Celui qui s’est fait chair pour nous racheter et nous arracher à un destin effroyable…Jésus-Christ, ce fils bien-aimé représentant son amour fou pour nous.

Patient oui, et lent à la colère.

Mais ce temps s’achève.

Les jugements ont déjà commencé, toutefois, qui y a pris garde ?

J’ai ressenti sa peine, effleuré dans les larmes sa douleur… et cette voix qui me dit :

– Dis-leur !

Voilà les plaies qui s’en viennent, les avertissements qui retentissent, fermes, et qui s’accompliront inexorablement.

 » Quels châtiments nouveaux vous infliger, Quand vous multipliez vos révoltes? La tête entière est malade, Et tout le cœur est souffrant. De la plante du pied jusqu’à la tête, rien n’est en bon état: Ce ne sont que blessures, contusions et plaies vives, Qui n’ont été ni pansées, ni bandées, Ni adoucies par l’huile. Votre pays est dévasté, Vos villes sont consumées par le feu, Des étrangers dévorent vos campagnes sous vos yeux, Ils ravagent et détruisent, comme des barbares.…  » Isaïe

La trêve sera courte.

Comme les douleurs de l’enfantement, les contractions de plus en plus rapprochées, la souffrance s’intensifiant, notre nation va sombrer dans le désordre, dans l’insécurité, dans la violence, dans l’injustice, dans la pauvreté.

J’assouvirai ainsi ma colère, je ferai reposer ma fureur sur eux, je me donnerai satisfaction; et ils sauront que moi, l’Eternel, j’ai parlé dans ma colère, en répandant sur eux ma fureur. Ezéchiel 5.13

La porte de la grâce se referme, ne refusez pas un si grand salut… pendant qu’il est encore temps.