Suite de partie 1
Partie III. Le lien avec ce que nous sommes en train de vivre
Nous sommes comme dans une tempête aujourd’hui, mais peut-être pas celle que vous pensez, et pourtant tout aussi virale …
Cette tempête se lève dans la vie de nombres de personnes, y compris des croyants, car ils se sont laissés contaminer par le monde, par ses attraits, par l’agitation. Par l’avidité de « se tenir informé », pour des raisons qui ne sont pas forcément louables, la tempête peut se lever dans ta vie, et c’est toi qui l’a permis.
Jésus pleure donc sur son Église, car il est dans la barque de chacune des pierres qui la composent.
Or, ces pierres sont vivantes, mais beaucoup ne vivent pas cette vie de résurrection que Christ leur a acquise. Beaucoup font partis de l’église de Laodicée, qui se font passer pour vivants, mais qui sont morts.
C’est ainsi qu’à Pessah (Pâques), Christ en se sacrifiant, nous a rendu réellement libres, nous a affranchis, libérés de l’esclavage du péché, qui n’a plus prise sur nous. A l’image du peuple hébreu libéré de l’esclavage de l’égypte (mitsraïm en hébreu, signifiant les limites). Crucifiés et ressuscités avec Christ, les limites que nous pouvons avoir, sont uniquement celles auxquelles on se borne. Pour quoi ? Pour quelle utilité ? Pour faire comme le monde ? Ou par manque de foi, par incrédulité, par oubli de notre premier amour pour notre seul Sauveur et Seigneur ? Lui a tout donné pour que je sois réellement libre.
Jésus rappelle que « Celui qui me suit, doit renoncer à ses droits sur lui-même. »
Jésus peut nous accorder une maison, une épouse, si c’est ce que nous désirons, mais cela doit déjà passer par la croix, et alors, ce que nous désirons, nous est accordé, béni par sa main, accordé en son temps à lui, au-delà de ce que nous désirions !
Oui vraiment, vie sacrifiée = vie libérée = vie bénie
Et c’est ce que notre souverain Père céleste nous destine, si nous lui faisons confiance, et cela rime avec patience.
Mais l’église actuelle n’a ni patience, ni confiance, et s’est laissée contaminer par l’agitation ambiante et s’est soumise à bien des niveaux, à nouveau à des limites … pyramidales …
Oui même les assemblées, beaucoup ont relégué le Saint-Esprit sur un banc, n’a pas la place ni le temps de s’exprimer, car il faut d’abord que se déroule la liturgie. L’Esprit de notre Seigneur, de liberté, est troqué alors par un esprit de contrôle, où l’homme est au centre.
L’Église est malade, a besoin de prière, et c’est une des raisons, sinon la principale, de ce que nous vivons actuellement, ce que j’ai écrit dans l’article « Le secret de ce confinement. »
Dieu passe ainsi le tamis, Dieu purifie, Dieu se fait justice, Dieu émonde et ramène à ses pieds, ses enfants, ceux qui lui appartiennent.
Cela passe par cette épreuve qui dure, de confinement, d’actualités troublées, et celui qui n’est pas réellement attaché au Seigneur, ne tiendra pas.
Dieu regarde au cœur.
Ainsi, il est temps pour chacun de faire shabbat. Pour l’heure, ces shabbats sont profanés.
Faire shabbat, c’est vivre et proclamer que nous ne sommes pas (plus) du monde et que nous vivons d’ores et déjà dans une attente glorieuse et non attentiste du Royaume de Dieu.
Nous déclamons au monde terrestre et spirituel notre appartenance et notre différence : « Ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi. »
À chacun de demander une révélation au Père concernant ce sujet, tellement important.
Ieshoua est notre Pâques, faire shabbat l’inscrit en nous et nous le fait vivre.
Ce que nous vivons est donc comme une tempête qui nous donne de crier à Ieshoua, qui nous rapproche de son cœur et qui nous fait capituler.
Cette tempête a lieu durant la traversée d’un monde à l’autre, d’un monde dominé par le péché à un monde où le péché est chassé, brisé, où règnent Ieshoua et les siens.
D’après les visions que j’ai reçues ainsi que d’autres personnes, je peux dire que nous nous apprêtons à être revêtus particulièrement, pour vivre une (ultime?) période apostolique.
Les mois à venir, et particulièrement Pessah 2021, vont être très forts :
Le monde va être visité.
L’humanité va être face un choix, car un événement arrive, celui qui donnera faim et soif à une multitude, d’entendre les paroles de l’Éternel (Amos 8.11)
Beaucoup se mettront en marche pour acquérir une Bible, tellement ils auront soif.
Ceux qui vont être revêtus seront envoyés de par le monde entier, pour être les témoins de Ieshoua, qui mettra sa lumière en leur cœur. Oui cela a déjà lieu dans une certaine mesure, mais ce qui arrive n’a pas de commune mesure, hormis celle des apôtres de l’église primitive : oui un ministère d’apôtre va être donné à plusieurs élus, pour mener l’Église dans sa glorieuse destinée.
Cela est tout proche.
Celui qui doute dans son cœur quant à l’existence de Dieu doit demander une révélation, il l’obtiendra, car celui qui cherche trouve. J’encourage dans ce sens la personne concernée qui est en train de lire cet écrit.
Jésus revient bientôt ! Et la repentance doit être prêchée aux pécheurs, car le temps de la grâce est sur le point de s’éteindre, tel une petite bougie fébrile.
A l’instar des juifs : le temps est encore à faire leur alya, dans des conditions favorables.
Mais bientôt, ils seront chassés, et pourront tout perdre, dans cette alya forcée qu’ils seront obligés de vivre.
Pour l’Église, c’est la même chose au niveau spirituel. Il est encore temps de gravir la montagne de Dieu, par l’obéissance, la sanctification et la dépendance. Pour l’heure, le peuple est comme au pied de la montagne. Et certains y resteront, car ils se laissent accuser par l’ennemi, contaminés par le monde, et envahir par les eaux agitées, comme lors de la tempête sur le lac.
Nous vivons donc tous comme une sorte d’alya, car nous sommes tous en exil, qu’on le veuille ou non.
Je choisis de vivre cette alya, Jésus me dirige vers ce monde glorieux, où je régnerai avec lui, avec tous ses élus. Et il y aura un tel amour entre tous et chacun, qui dépasse l’entendement.
Pour d’autres qui aiment finalement la tempête, car ils la provoquent en étant avides de choses terrestres (les « infos », les biens matériels, le flouze, les plaisirs charnels …), ils passent à côté, et l’alya sera très difficile, et ils pourront être sauvés comme à travers le feu ?!
Bien-aimés, je nous encourage donc à tenir ferme, sachant que c’est par beaucoup de tribulations que nous rentrons dans le royaume de Dieu.
Dieu va équiper, revêtir de manière très spéciale, très bientôt, tous ceux qui y sont appelés.
A chacun de faire tout ce qu’il peut pour se sanctifier, se laisser émonder.
L’obscurité s’épaissit comme au temps des fléaux en égypte. De manière symétrique, c’est ce que nous vivons actuellement. La lumière va jaillir très fortement de cette épreuve, et faire changer le monde de règne, celui de la vérité à la place du mensonge.
Les élus vaincront l’ennemi et ses hordes, et ce, très largement, car Ieshoua est avec eux dans la bataille.
Ainsi, l’actualité n’est pas sombre, elle est enthousiasmante, car les plans de Dieu s’accomplissent.
Pour terminer cette méditation, et comme pour la parachever, il m’est donné un rêve pendant la dernière nuit de l’année 2020 qui me fait dire : le Roi attend sa fiancée, parée de belles étoffes. Elle est pour l’heure comme emprisonnée, mais bientôt, elle va être libérée et va rentrer dans sa glorieuse destinée, celle de se marier avec le roi. Elle sera revêtue de manière glorieuse, en un instant, et elle ira à la rencontre de son Roi.
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