Article de Dreuz.Info
Dans un livre qui vise à faire toute la lumière sur « l’affaire Fillon », des révélations du Canard enchaîné à l’élimination de l’ex-candidat, Hervé Lehman dénonce la connivence entre le pouvoir judiciaire et l’exécutif.
Un an après l’élimination de François Fillon au second tour de la présidentielle, l’affaire semble au point mort. Comment expliquez-vous cette lenteur après la rapidité de sa mise en examen?
Hervé LEHMAN.- Le rythme actuel de la procédure visant François Fillon est normal, c’est-à -dire conforme à la durée habituelle des procédures d’instruction. Ce qui est stupéfiant, c’est la rapidité avec laquelle l’affaire a été traitée au début, comme si on avait voulu éliminer le principal candidat de l’opposition. Comme il était procéduralement impossible de faire comparaitre François Fillon devant un tribunal dans les quelques mois de l’élection présidentielle, on a choisi d’ouvrir une instruction qui permettait sa mise en examen, cette pré-condamnation des présumés innocents.
À peine l’instruction ouverte, les juges d’instruction ont été désignés; à peine désignés ils ont convoqué, après avoir étudié le dossier pendant le week-end, François et Penelope Fillon pour les mettre en examen. Où était l’urgence? L’affaire remontait à plusieurs années… Certains disent: oui, mais si François Fillon avait été élu, il aurait bénéficié de l’immunité présidentielle pendant son quinquennat et l’affaire aurait été bloquée. Si c’est bien le raisonnement suivi par les juges, cela signifierait qu’ils avaient conscience que la mise en examen allait empêcher François Fillon d’être élu. C’est cette interférence du judiciaire dans le processus électoral qui pose un problème.
L’ancien directeur du FBI, James Comey, vient d’écrire dans son livre qu’il avait eu conscience de nuire à la campagne d’Hillary Clinton en relançant publiquement son enquête quelques jours avant l’élection. Les magistrats en charge de l’affaire Fillon ont-ils pu ne pas avoir conscience qu’ils interféraient dans le rendez-vous démocratique majeur qu’est l’élection présidentielle ?
Le Parquet national financier était-il légitime dans cette affaire?
Le parquet national financier a été créé pour lutter contre « la grande délinquance financière ». La loi lui donne compétence pour les affaires de détournement de fonds publics « d’une grande complexité ». L’affaire de l’emploi de Penelope Fillon est d’une grande simplicité. On n’a pas créé un parquet national financier pour vérifier l’emploi du temps d’une assistante parlementaire de la Sarthe. Si le parquet national financier s’est saisi, précipitamment (le jour même de la sortie de l’article du Canard enchaîné), en raison de la dimension politique de l’affaire, alors ce n’est plus un parquet national financier, mais un parquet national politique.
Cette saisine est d’autant moins compréhensible que, pour les affaires apparues à la même époque, la soirée à Las Vegas d’Emmanuel Macron organisée par Business France qui était dirigée par Muriel Penicaud, l’affaire des assistants parlementaires du Modem de François Bayrou, l’affaire mettant en cause Richard Ferrand, le parquet national financier ne s’est pas saisi, alors même que les deux premières sont plus complexes que le cas de Penelope Fillon.
Il n’y a pas d’explication officielle satisfaisante à ce mystère. Interrogé par La Voix du Nord, le procureur de la République financier a répondu: « je n’ai pas de sens politique ».
François Fillon n’a-t-il pas lui-même commis un certain nombre d’erreurs? À commencer par se mettre entre les mains des juges…
Il est évidemment plus facile de commenter après coup, que d’agir dans la tourmente. Mais il est certain que François Fillon a sous-estimé la virulence de l’offensive judiciaire dont il faisait l’objet. Pour qui avait analysé les conditions de la création du parquet national financier et la fermeté de son action dans les affaires mettant en cause la droite, en particulier Nicolas Sarkozy et son entourage, il était évident que ce parquet créé par François Hollande ne se saisissait pas de cette affaire avec une extrême rapidité dans le but de blanchir François Fillon avant l’élection présidentielle. En proclamant dans un premier temps qu’il lui faisait confiance, François Fillon a fait preuve de naïveté.
Il en a été de même lorsqu’il a déclaré qu’il se retirerait de l’élection présidentielle s’il était mis en examen, parce qu’il était convaincu, à tort, que ce n’était techniquement pas possible. On pourrait dire qu’il a alors donné le mode d’emploi à ses adversaires judiciaires.
Après avoir sous-estimé l’offensive judiciaire, François Fillon a surjoué, tardivement, l’indignation en criant au complot et au cabinet noir. Ce n’était plus audible, après ce qu’il avait précédemment dit.
L’ancien Premier ministre a évoqué un cabinet noir. Croyez-vous à cette théorie du complot?
Il n’y a pas de cabinet noir, et pas de complot. Les choses sont plus subtiles que cela. Il y a une chaîne de magistrats, dont la plupart ont été nommés par François Hollande et Christiane Taubira, dont plusieurs ont été aux cabinets de Lionel Jospin ou de Ségolène Royal, dont certains ont été militants ou sont proches du Syndicat de la magistrature. Évidemment, ces magistrats n’ont pas une sensibilité proche de François Fillon ou de Sens commun. Ils ont agi selon leur conscience et leurs convictions.
Comment le juge d’instruction est-il nommé?
Lorsque le juge Tournaire a été désigné comme juge d’instruction principal, la presse a dit: c’est « le juge de fer, François Fillon va passer un sale moment ». Mais personne ne s’est interrogé sur la raison pour laquelle c’est ce juge qui s’est trouvé en charge de l’affaire Fillon. Le juge d’instruction n’est pas tiré au sort, il est désigné par le président du tribunal de grande instance. Évidemment, la désignation ne se fait pas au hasard ; elle ne se fait pas non plus sur des critères objectifs et pré-établis. Elle résulte d’un choix non justifié et non motivé.
Il doit donc être constaté qu’a été choisi pour l’affaire mettant en cause le candidat de l’opposition à l’élection présidentielle un juge qui est réputé pour traiter les politiques comme les délinquants de droit commun, qui était déjà en charge d’affaires mettant en cause Nicolas Sarkozy, qu’il a mis sur écoutes téléphoniques pendant huit mois et qu’il vient alors de renvoyer devant le tribunal correctionnel pour l’affaire Bygmalion contre l’avis de son collègue co-saisi. Le même juge qui mettra en garde à vue Nicolas Sarkozy, ancien président de la République, en mars dernier, puis Vincent Bolloré en avril. Ici encore, faut-il croire que le choix a été fait en l’absence de tout « sens politique »?
Diriez-vous comme Napoléon Ier que « le juge d’instruction est l’homme le plus puissant de France »?
La procédure d’instruction est archaïque. Elle est très lourde, très lente, et dépend entièrement de la qualité du juge d’instruction saisi.
Nos grands voisins, l’Allemagne et l’Italie, y ont renoncé ; la plupart des pays démocratiques n’ont pas de juge d’instruction et ont un système clair dans lequel, entre le procureur qui enquête et accuse et la défense, il y a un juge qui ne fait que juger. Comme le dit Robert Badinter, le juge d’instruction est mi-Maigret mi-Salomon, mi-policier mi-juge. C’est une fonction schizophrénique.
La commission Delmas-Marty, mise en place par François Mitterrand et la commission Léger, désignée par Nicolas Sarkozy, de sensibilités différentes et à vingt ans d’écart, sont arrivées à la même conclusion: il faut abandonner la procédure d’instruction. Mais c’est un tabou: dès qu’un projet voit le jour, les conservatismes, notamment syndicaux, crient à la mort de la démocratie et le projet est enterré pour vingt ans. Le prétexte est que le parquet n’est pas indépendant et qu’il pourrait manipuler les affaires politiques. Pour 1 % des affaires, dites politiquement sensibles, on maintient un système qui marche mal pour les autres 99 %. Surtout, il est possible de mettre en place des garde-fous pour les affaires politiques. Et on voit avec l’affaire Fillon que l’existence du juge d’instruction n’est pas une garantie contre des dérives dans les affaires politiques.
Si l’on maintient la procédure d’instruction, il faut à tout le moins supprimer la mise en examen qui est un fléau judiciaire. Le mis en examen est juridiquement présumé innocent, il est médiatiquement et socialement présumé coupable. Chaque année, environ dix mille personnes mises en examen sont finalement déclarées innocentes, mais restent aux yeux de tous suspectes parce que le sceau d’infamie de la mise en examen est indélébile. Techniquement, la mise en examen n’est pas nécessaire ; pour les mis en examen qui seront reconnus innocents des années plus tard, elle produit des effets catastrophiques.
Dans votre livre, vous rappelez que le syndicat de magistrature, à l’origine du mur des cons, est né en 1968 et que son texte fondateur est la harangue de Baudot: que cela signifie-t-il?
Oui, c’est cette harangue en effet, qui proclame: « Soyez partiaux… Ayez un préjugé favorable pour la femme contre le mari, pour l’enfant contre le père, pour le débiteur contre le créancier, pour l’ouvrier contre le patron, pour l’écrasé contre la compagnie d’assurances de l’écraseur, pour le malade contre la sécurité sociale, pour le voleur contre la police, pour le plaideur contre la justice ».
« Soyez partiaux », c’est une injonction terrible parce que c’est l’opposé même de la notion de justice, le contraire du droit à un tribunal impartial affirmé par la Convention européenne des droits de l’homme. Lorsque l’on entend dire que la harangue de Baudot est un texte ancien, qui remonte à plus de quarante ans et serait « prescrit », on doit bien constater qu’il a gardé un écho chez certains magistrats, heureusement fort minoritaires. Qui trouvait-on sur le mur des cons affiché crânement au siège du Syndicat de la magistrature et « enrichi » au fur et à mesure par les magistrats qui s’y rendaient? Des politiciens de droite, bien sûr, mais aussi deux pères de jeunes filles violées et assassinées. Les cons, ce sont les victimes!
L’immense majorité des magistrats sont impartiaux et insensibles aux influences politiques. Une minorité reste dans l’esprit de la harangue de Baudot. Il vaut mieux ne pas passer devant eux quand on est un politicien de droite ou un chef d’entreprise.
Source : Lefigaro
Pour ma part, dès le début de l’affaire Fillon, le parallèle avec l’affaire Strauss-Kahn m’a sauté aux yeux. Ni l’un ni l’autre ne sont certes des « anges », mais et surtout, ils l’étaient encore bien moins face à l’oligarchie islamo-gaucho-mondialiste… Donc, tout a été fait pour les détruire à tous prix.
Les images totalement surréalistes de D. Strauss-Kahn, directeur du F.M.I. (Front Monétaire International), menotté dans le dos entre 2 policiers, sont encore aujourd’hui dans toutes les mémoires. J’ai re-visionné sur YouTube les vidéos du Sofitel de New-York où l’on voit vers la fin 2 individus en fou rire se congratuler en dansant après le départ de Strauss-Kahn (quittant l’hôtel d’un pas tranquille vers son taxi après avoir réglé la note à la réception sans aucune précipitation !)… Quant à la soi-disante « victime »de Strauss-Kahn, on l’aperçoit an arrière-plan très visiblement non stressée. Ces images se passent de commentaires ! Elles puent la conspiration à plein nez…
Seulement voilà , D. Strauss-Kahn est juif et, par dessus le marché, certains sondages le pressentaient vainqueur dès le 1er tour de la Présidentielle de 2012… Insupportable pour les gnomes de l’ombre qui avaient dans leur manche le sinistre et falot toutou Hollande et leur programme sociétal infâme qu’il devait appliquer sans délai. Oui, je dis bien « leur » programme… On connaît la suite !
Quant à F. Fillon, de droite de surcroît, dans un pays dont l’inconscient collectif demeure marqué au fer rouge du marxisme-léninisme et donc ne supportant pas l’idée du moindre privilège associé au pouvoir, il était facile de gratter les fonds de tiroir pour en sortir les inepties complaisamment étalées par les médias qu’on a entendues. Entre l’histoire des costumes et la montre à 10.000 €… C’était parfaitement grotesque, mais ça a passé comme lettre à la Poste dans l’opinion.
C’est donc la sécrétion de Hollande, Macron et son programme-brouillard, qui a été propulsé dans la course présidentielle. En face, il fallait absolument que l’épouvantail Le Pen soit bien présent au 2è tour, car si ça avait été Fillon… Ainsi, le résultat ne pouvait faire aucun doute, hélas.
Donc, les « procédures » de destruction des carrières politiques de Strauss-Kahn et Fillon ont atteint le même but : l’empêchement de ces candidats à accéder à la fonction suprême, car « anti candidats » du Nouvel Ordre Mondial qui se met en place. C’est pas plus compliqué que ça !
Et, vous verrez que, si d’aventure, un candidat « hors système » ose se présenter aux prochaines échéances présidentielles, je suis prêt à parier qu’il subira le même sort que Strauss-Kahn et Fillon. On parie ?
Eh puis, qui a soulevé dans la presse politico-gauchiste (99 % des mégrands médias ? ) le financement de la campagne de Macron ? Des dizaines de millions d’euros, sans doute, alors qu’il n’avait aucun parti pour le soutenir ! Et comme tout était bien déjà préparé d’avance (combien de millions d’euros) pour son » grand » speach devant la pyramide du Louvre ? Qui ? Personne. Tous ces médias se sont jetés comme des hyènes sur les quelque dizaines de milliers d’euros indument versés à sa femme (oh, ils le faisaient tous, tout à fait légalement, mais pas moralement !), mais là , silence radio.
Mais tout ce qui est caché est mis en lumière. Un jour la vérité sera étalée au grand jour. Oui, Hollande-Macron, même esprit, … et sans doute même obédience maçonnique. Des vrais frères… pour kidnapper la France à leur profit.
Justement, l’affaire Macron dite « Buiseness France » réapparaît… espérons que le juge qui enquête sera aussi zélé que celui qui s’est attaqué à Fillon…
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2018/05/08/97002-20180508FILWWW00099-affaire-business-france-muriel-penicaud-convoquee-le-22-mai.php
SÛREMENT PAS: c’était forcément des gens à la solde du régime gauchiste, ou un lâche. Ces Gouvernements successifs ont une tendance marquée à déplacer à Pétaouchnok les juges qui les dérangent !
Je pense que Dieu peut permettre malgré les statistiques.
Attendons cette audition de la ministre le 22 mai.. et voyons.
Sur le papier au moins (Constitution de 1958), les magistrats du siège sont inamovibles et peut-être pas tous de gauche..
http://www.democratie-royale.org/2017/05/emmanuel-macron-est-franc-macon-dans-la-super-loge-fraternite-verte-et-dans-la-super-loge-atlantis-aletheia.html
12 Mai 2017
Publié par Bien Commun
Emmanuel Macron est franc-maçon dans la super-loge » Fraternité verte » et dans la super-loge » Atlantis Aletheia »
Nous savions déjà que Emmanuel Macron était « Young Leader » de la French American Foundation puis qu’il a participé à la réunion du club para-maçonnique Bilderberg en 2014 et à une « tenue blanche fermée » de la secte maçonnique du Grand Orient de France en juin 2016.
Gioele Magaldi (franc-maçon italien au 30ème degré) et le journaliste juif franc-maçon Serge Moati révèlent qu’Emmanuel Macron est effectivement franc-maçon :
( http://valentin.beziau-ump77.over-blog.com/2017/05/l-appartenance-maconnique-d-emmanuel-macron-revele-par-gioele-magaldi-franc-macon-italien-au-30eme-degre-et-le-journaliste-juif-fran )
Gioele Magaldi est Grand Maitre franc-maçon italien, initié franc-maçon en 1998 à la loge « Har Tzion / Monte Sion » n ° 705 obédience de la secte maçonnique du Grand Orient d’Italie (G.O.I), fondateur de la secte maçonnique du Grand Orient Démocratique (G.O.D) scission de la secte maçonnique du Grand Orient d’Italie (G.O.I), il est spécialisé dans l’étude de l’hermétisme et de la kabbale juive, initié au 30ème degré (chevalier Kadosh) du Rite écossais ancien et accepté (REAA) en 2005, affilié à la secte maçonnique de la Ur-Loge « Thomas Paine » et président du Mouvement Roosevelt.
Dans une interview donnée à la radio italienne Colors Radio, Gioele Magaldi révèle l’appartenance maçonnique du nouveau président de la République française, Emmanuel Macron :
« Emmanuel Macron est dans la parfaite continuité de Hollande… Déjà banquier des Rothschild, il a été consultant puis ministre du même Hollande. De plus, il est le chouchou du franc-maçon Jacques Attali… Macron en personne se vante de son appartenance maçonnique dans l’Ur-lodge (super-loge) » Fraternité verte » où l’a amené Hollande, et dans la super-loge » Atlantis Aletheia « … Son mentor Attali ? Un raffiné franc-maçon, un intellectuel d’envergure qui a travaillé pour le centre-gauche et a participé à la construction de cette Europe technocratique et oligarchique, … opération cosmétique qui a porté Macron à l’Élysée. »
Le journaliste juif franc-maçon Serge Moati révèle aussi l’appartenance maçonnique d’Emmanuel Macron : « Macron est devenu président en marchant vers la lumière » et « Macron devant la pyramide du Louvre : » Un rite initiatique, indispensable » »
« Ce soir c’est l’Europe, c’est le Monde qui nous regarde. Ils attendent que nous défendions les Lumières » dixit Emmanuel Macron
AUTRES SITES :
https://www.hiram.be/blog/2016/02/10/ces-super-loges-qui-gouvernent-le-monde/
https://catholicussemperidem.wordpress.com/2017/05/12/emmanuel-macron-coopte-a-la-loge-la-fraternite-verte-par-francois-de-hollande/
S’il veut se démarquer, Macron devrait rappeler qu’Abd El Khader était esclavagiste :
http://www.islamisation.fr/archive/2014/10/30/francois-bayrou-inaugure-une-allee-emir-abd-el-kader-un-prof-5479219.html
El Kader un franc-maçon sincère…
Voici quelques hauts faits de ce franc-maçon sincère :
À cette occasion, il m’est revenu à l’esprit qu’Abd-el-Kader était un humaniste tout à fait particulier. Dans la guerre qu’il menait contre les Français, pour les droits de l’homme musulman de conserver un harem et de pratiquer l’esclavage, il y eut quelques trêves, et au cours de l’une d’elle, les Français acceptèrent de rendre à l’émir une centaine de ses esclaves noirs, qui avaient cru trouver la liberté en se réfugiant sous notre drapeau. Abd-el-Kader les fit tous décapiter.
Il n’était, ce faisant, qu’un très modeste émule de Mahomed qui, lui, avait fait couper le cou des 900 juifs de la tribu des Banou-Caraïza, pour mettre leurs jolies femmes dans le lit de ses guerriers. Tamerlan devait faire mieux encore en édifiant des pyramides avec les têtes des infidèles tombées sous le cimeterre.
[…]
Fort heureusement, des gestes comme l’inauguration de l’allée Abd-el-Kader prouvent que l’on peut être esclavagiste et coupeur de têtes, et tout de même tenu pour un grand homme par la République. Madame Taubira même, a tenu à aller plus loin dans l’humanisme. Dans l’express du 4 Mai 2006 elle affirmait : » Il ne faut pas trop évoquer la traite négrière Arabo-Musulmane pour que les jeunes Arabes ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits de leurs Pères ! » A remarquer que la justice Taubirienne a déjà porté ses fruits : je lis aujourd’hui sur internet qu’un certain Karim vient d’être interpellé par la police pour la 197ième fois ! En voilà un au moins qui n’est pas traumatisé par l’héritage de ses pères, et qui pourra revoter Hollande la prochaine fois. Nous n’en avons pas fini de découvrir les beautés du Système !
De leur côté, les humanistes de Boko Haram et quelques autres ne relâchent pas leurs efforts pour arracher la jeunesse Africaine à la déchéance Occidentale. Il y a quelques semaines, c’était 200 lycéennes qui étaient enlevées à Chibok. Avant-hier c’étaient 60 femmes enlevées à Wagga. Hier c’étaient 30 Jeunes razziés à Mafa. La religion d’Abd-el Kader manifeste partout une semblable ferveur, et à mon sens ce n’est pas une simple allée qui devrait garder la mémoire du premier vaincu du Djihad, mais une autoroute !
Avec bien sûr, dès l’entrée, l’emblème du croissant et de l’étoile, pour éclairer les destinées de la république.
Alexis Arette.
Et un autre supporter du « kaderisme » montant :
http://chretienslibres.over-blog.com/article-francois-bayrou-inaugure-une-allee-emir-abd-el-kader-124921001.html