La haute trahison du traité d’Aix-la-Chapelle – Analyse de François Asselineau

Il y a, pour une fois, une chose qui est réjouissante avec les réseaux sociaux d’où ont émergé les Gilets jaunes, c’est qu’ils deviennent un véritable contre-pouvoir aux mensonges de la clique politico-médiatique. Elle est désormais sans cesse sur la défensive et confrontée à  ses manigances et manipulations. D’autant plus qu’il lui est impossible, pour l’instant, de contrôler ce qui se passe sur ces réseaux, ne serait-ce que par le caractère ultra spontané des flux d’échanges qui s’y répandent à  la vitesse de l’éclair…

On le constate une nouvelle fois avec ce traité d’Aix-la-Chapelle où Macron, en pleine cérémonie de signature du traité, a dû se fendre d’une déclaration pour tenter d’étouffer les « fake news » qui circulent sur cette grave trahison. S’il n’était pas autant enquiquiné par ces prétendues fake news, pourquoi une telle déclaration qui fait tache dans le cadre solennel d’un tel traité ? Il aurait pu simplement les faire balayer d’un revers de main par ses attachés de presse, non ?

Si les réseaux sociaux deviennent le poil à  gratter dans le dos des gouvernants manipulateurs et menteurs, il subsiste une toute petite lueur d’espoir que leurs manigances ne seront plus sans conséquences graves pour leurs fauteuils. Sans aucunement soutenir les menaces, en particulier de mort, à  l’encontre d’élus godillots, ils savent désormais que la braise est sous leurs pieds et qu’elle peut s’allumer à  tout instant.

Et si ces réseaux peuvent contribuer, petit à  petit, à  faire abroger les lois « sociétales » infâmes votées ces dernières années (ce que revendiquent nombre de Gilets jaunes…), alors merci au Seigneur d’utiliser le bon côté de ces réseaux pour faire régurgiter les tonnes de couleuvres infectes qu’on a fait avaler au « petit peuple » depuis bien trop longtemps.