Pour ceux qui ont vu le film « La Liste de Schindler », la séquence inoubliable de l’exécution ratée de cet ouvrier qui, lors d’une inspection du commandant SS du camp, a été confronté entre sa performance en rapidité pour la fabrication d’une charnière et… le vide du réservoir recevant ces pièces terminées qui aurait dû être quasiment plein à l’heure de l’inspection. Le malheureux est alors amené en dehors de l’atelier pour y être abattu.
Et voilà que le pistolet de ses bourreaux s’enraye, tentant rageusement de recharger plusieurs fois la chambre de leur arme, sans succès ! Le malheureux ouvrier s’en tire avec un coup de crosse sur le crâne.
C’était là de toute évidence une intervention d’En-Haut. Quand ce n’est pas l’heure…
Cette nuit du 8 mars, j’ai fait un rêve similaire. J’étais avec d’autres terré à plat ventre dans les décombres boueux d’un champ de bataille urbain et nous tenions à bouts de bras au-dessus de nos têtes… des drapeaux rouge sang dont nous prenions soin qu’ils soient parfaitement joints, sans le moindre interstice entre eux (un peu comme les « tortues » de boucliers des légionnaires romains). Pour cela, chacune de nos mains renforçait celle des autres pour ne pas fatiguer ni défaillir.
C’est alors que nous entendons surgir derrière nous un groupe d’individus dont les éructations ne laissaient guère de doute sur leurs intentions : tuer, tuer et encore tuer. Ils s’approchent furtivement, grimpent sur les drapeaux et nous sentons leurs bottes sur notre dos et en administrent des coups sur la saillie de nos mains maintenant fermement les drapeaux joints. Ils soupçonnent quelque chose en dessous et se mettent à nous labourer le cuir chevelu avec le canon de leurs fusils mitrailleurs à la recherche d’une faille ou d’un orifice au travers des drapeaux et de se livrer ainsi à un méga carton. Sans succès…
Cela dure quelques dizaines de secondes, les bruits de bottes s’éloignent et puis, plus rien…
Fin du rêve.
Ce rêve était-il en lien avec les événements d’Ukraine et leur possible développement vers une prochaine guerre mondiale ? C’est très possible. En tous cas, le Seigneur semble nous avertir qu’Il sera à nos côtés si nous nous trouvons piégés au milieu de la tourmente.
Les drapeaux rouge sang au-dessus de nos têtes semblent représenter le sang de Yeshoua dont nous serions alors recouverts. Et qu’ils seraient comme une protection indestructible quelle que soit la rage déployée par l’ennemi. Nous verrions la mort de très près, mais elle ne nous atteindrait pas :
« Tu n’auras point peur de ce qui épouvante de nuit, ni de la flèche qui vole de jour.
Ni de la mortalité qui marche dans les ténèbres; ni de la destruction qui fait le dégât en plein midi.
Il en tombera mille à ton côté, et dix mille à ta droite; mais la destruction n’approchera point de toi. » (Psaume 91:5-7)
Les mains qui supportent celles des autres compagnons peuvent signifier que rien ne pourra se faire seul, qu’il faudra être en communion de cœur et de prière avec eux pour que le Seigneur nous accorde victoire et vie sauve. Amen !
Il y a peut-être d’autres interprétations possibles.
Que ce soit un encouragement pour chacun. Soyez bénis.
En rappel, cette prophétie de Saint-Nylus du 5ème siècle d’un réalisme saisissant pour notre époque :
https://michelledastier.com/prophetie-de-saint-nylus-5eme-siecle/
Je l’avais oubliée; Impressionnant !
Pour ceux qui ont vu le film « La Liste de Schindler », la séquence inoubliable de l’exécution ratée de cet ouvrier qui, lors d’une inspection du commandant SS du camp, a été confronté entre sa performance en rapidité pour la fabrication d’une charnière et… le vide du réservoir recevant ces pièces terminées qui aurait dû être quasiment plein à l’heure de l’inspection. Le malheureux est alors amené en dehors de l’atelier pour y être abattu.
Et voilà que le pistolet de ses bourreaux s’enraye, tentant rageusement de recharger plusieurs fois la chambre de leur arme, sans succès ! Le malheureux ouvrier s’en tire avec un coup de crosse sur le crâne.
C’était là de toute évidence une intervention d’En-Haut. Quand ce n’est pas l’heure…
Cette nuit du 8 mars, j’ai fait un rêve similaire. J’étais avec d’autres terré à plat ventre dans les décombres boueux d’un champ de bataille urbain et nous tenions à bouts de bras au-dessus de nos têtes… des drapeaux rouge sang dont nous prenions soin qu’ils soient parfaitement joints, sans le moindre interstice entre eux (un peu comme les « tortues » de boucliers des légionnaires romains). Pour cela, chacune de nos mains renforçait celle des autres pour ne pas fatiguer ni défaillir.
C’est alors que nous entendons surgir derrière nous un groupe d’individus dont les éructations ne laissaient guère de doute sur leurs intentions : tuer, tuer et encore tuer. Ils s’approchent furtivement, grimpent sur les drapeaux et nous sentons leurs bottes sur notre dos et en administrent des coups sur la saillie de nos mains maintenant fermement les drapeaux joints. Ils soupçonnent quelque chose en dessous et se mettent à nous labourer le cuir chevelu avec le canon de leurs fusils mitrailleurs à la recherche d’une faille ou d’un orifice au travers des drapeaux et de se livrer ainsi à un méga carton. Sans succès…
Cela dure quelques dizaines de secondes, les bruits de bottes s’éloignent et puis, plus rien…
Fin du rêve.
Ce rêve était-il en lien avec les événements d’Ukraine et leur possible développement vers une prochaine guerre mondiale ? C’est très possible. En tous cas, le Seigneur semble nous avertir qu’Il sera à nos côtés si nous nous trouvons piégés au milieu de la tourmente.
Les drapeaux rouge sang au-dessus de nos têtes semblent représenter le sang de Yeshoua dont nous serions alors recouverts. Et qu’ils seraient comme une protection indestructible quelle que soit la rage déployée par l’ennemi. Nous verrions la mort de très près, mais elle ne nous atteindrait pas :
« Tu n’auras point peur de ce qui épouvante de nuit, ni de la flèche qui vole de jour.
Ni de la mortalité qui marche dans les ténèbres; ni de la destruction qui fait le dégât en plein midi.
Il en tombera mille à ton côté, et dix mille à ta droite; mais la destruction n’approchera point de toi. » (Psaume 91:5-7)
Les mains qui supportent celles des autres compagnons peuvent signifier que rien ne pourra se faire seul, qu’il faudra être en communion de cœur et de prière avec eux pour que le Seigneur nous accorde victoire et vie sauve. Amen !
Il y a peut-être d’autres interprétations possibles.
Que ce soit un encouragement pour chacun. Soyez bénis.