Bonne analyse. Etonnamment parmi ceux qui se revendiquent « sola scriptura » et martèlent que, conformément à la parole, la femme ne peut enseigner, peu vérifient le sens des termes originaux.
Pourtant, une traduction n’est pas la Parole, mais une interprétation de la Parole. Par conséquent ces personnes se fient à une interprétation particulière plutôt qu’aux termes voulus par l’auteur initial.
L’autre aspect intéressant de cet enseignement porte sur la vacuité de l’application d’une loi ou d’un précepte sans y adhérer. Il y a une parfaite concordance sur ce point entre Jésus et Paul (Isaïe…). Une action, fut elle conforme à la loi, sans le consentement volontaire est vaine. Ce n’est pas une bonne action, c’est une action contrainte. C’est une action hypocrite. On retrouve cette nuance dans toute la Torah.
Paul ne prêche pas une libération de la loi, mais une libération de l’obéissance contrainte, qui est vaine. C’est la nuance qui est, trop souvent, mésestimée.
Excellent enseignement qui remet les pendules à l’heure.
Personnellement j’ai été un temps défavorable au ministère des femmes, étant membre d’une église pendant près de 10 ans qui « obligeait » les femmes à se voiler…et désapprouvait les femmes pasteurs ou autres.
Grâce à Dieu et à ce genre d’enseignement j’ai changé radicalement d’avis et j’estime effectivement que le voile ne signifie rien en soi si le coeur n’est pas sincère et la vie de la personne non conforme à l’Évangile.
De toutes façons, les églises qui considèrent la femme comme n’étant pas autorisée à parler sont à 99,99% des sectes religieuses, autant que celles qui imposent le voile ou autres règlements vestimentaires ridicules.
L’essentiel est d’être « propre » à l’intérieur comme à l’extérieur, c’est-à -dire d’être un bon témoignage.
Le reste, on s’en fiche.
Bonne analyse. Etonnamment parmi ceux qui se revendiquent « sola scriptura » et martèlent que, conformément à la parole, la femme ne peut enseigner, peu vérifient le sens des termes originaux.
Pourtant, une traduction n’est pas la Parole, mais une interprétation de la Parole. Par conséquent ces personnes se fient à une interprétation particulière plutôt qu’aux termes voulus par l’auteur initial.
L’autre aspect intéressant de cet enseignement porte sur la vacuité de l’application d’une loi ou d’un précepte sans y adhérer. Il y a une parfaite concordance sur ce point entre Jésus et Paul (Isaïe…). Une action, fut elle conforme à la loi, sans le consentement volontaire est vaine. Ce n’est pas une bonne action, c’est une action contrainte. C’est une action hypocrite. On retrouve cette nuance dans toute la Torah.
Paul ne prêche pas une libération de la loi, mais une libération de l’obéissance contrainte, qui est vaine. C’est la nuance qui est, trop souvent, mésestimée.
Excellent enseignement qui remet les pendules à l’heure.
Personnellement j’ai été un temps défavorable au ministère des femmes, étant membre d’une église pendant près de 10 ans qui « obligeait » les femmes à se voiler…et désapprouvait les femmes pasteurs ou autres.
Grâce à Dieu et à ce genre d’enseignement j’ai changé radicalement d’avis et j’estime effectivement que le voile ne signifie rien en soi si le coeur n’est pas sincère et la vie de la personne non conforme à l’Évangile.
De toutes façons, les églises qui considèrent la femme comme n’étant pas autorisée à parler sont à 99,99% des sectes religieuses, autant que celles qui imposent le voile ou autres règlements vestimentaires ridicules.
L’essentiel est d’être « propre » à l’intérieur comme à l’extérieur, c’est-à -dire d’être un bon témoignage.
Le reste, on s’en fiche.