La plupart de ceux qui liront ce texte le savent aussi bien que moi. Le coronacircus n’avait rien à voir avec la santé. Il avait bien des objectifs mais certainement pas d’objectif sanitaire, bien au contraire.
L’un des objectifs bien évidents était de tester la docilité des populations à se conformer aux manipulations mensongères les plus grossières de manière à mesurer la facilité avec laquelle pourrait être imposé le reste du plan, à savoir la grande réinitialisation ou quatrième révolution industrielle ou encore passage à l’humanité ”améliorée” des transhumanistes (human 2.0).
A l’arrivée, imminente, le gros de l’humanité aura perdu les droits, encore illusoirement évidents, suivants:
– le droit de se déplacer librement car les hommes vont être concentrés (dans le sens de ”camps de concentration”) dans des villes de 15 minutes (comprendre ”ghettos”) ;
– leur droit de propriété privée (au sujet duquel l’article 17 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen proclame pourtant qu’il est inviolable et sacré ; droit constitutionnel garanti à l’article 36 de la constitution luxembourgeoise ; c’est dire l’ampleur de la subversion de nos ordres juridiques que préparent les ploutocrates avec la complicité des politicards corrompus à leur solde, les fameux ”Young global leaders” de Schwab que sont notamment Macrignol, Rutte et Trudeau parmi tant et tant d’autres). La formule de Schwab ”vous ne posséderez rien et vous serez heureux” est maintenant connue dans le monde entier. Peu toutefois ont compris que cela implique avant tout que les ploutocrates pervers pédophiles (appelons-les les ”PPP”) posséderont absolument tout. Ils vont devenir les propriétaires exclusifs de la planète. Nous assistons à une expropriation de l’humanité (Les Chrétiens comme moi savent que le véritable propriétaire de la planète est Dieu Lui-même donc, pas besoin d’être prophète pour se douter que, tôt ou tard, les PPP vont avoir affaire à Lui. Comme dit la Parole : « chose terrible que de tomber entre les mains du Dieu vivant » (Hébreux:10-31)) ;
– la liberté de penser car chaque humain doit être connecté au cloud, ce qui permettra de lire de l’intérieur ses pensées et ses intentions et d’y substituer celles qu’imposera l’intelligence artificielle au service des PPP. Si vous doutez, comme moi, qu’il existe quoi que ce soit qui puisse être à la fois intelligent et artificiel, vous devinez qu’il s’agit d’une autre monumentale supercherie ;
– pour les croyants, vous n’aurez plus accès aux textes authentiques qui fondent votre foi. Harari, le conseiller de Schwab annonce déjà que la Bible pourra faire l’objet d’une réécriture « correcte » via l’intelligence artificielle (s’agissant d’un homosexuel militant, je vois déjà nettement ce que son intelligence artificielle a dans le collimateur). Que les Musulmans se rassurent. Ces braves gens ne s’arrêteront pas en bon chemin et leur intelligence artificielle produira sûrement aussi un Quran « correct ». Faites-leur confiance !
Je ne cherche pas à faire aujourd’hui une liste exhaustive de tout ce que les PPP veulent vous retirer dans le cadre de la grande réinitialisation. On peut le résumer simplement ainsi : vous perdrez tous vos droits. Vous serez un sous-homme et eux une race de seigneurs. Cela vous rappelle le nazisme ? Eh oui, c’est fondamentalement cela. C’est le principe du hachis Parmentier : vous faire manger exactement la même viande mais sous une autre forme.
Je veux simplement, sous une forme humoristique, illustrer la supercherie du prétexte sanitaire du coronacircus.
Je suis Luxembourgeois. En 1815, échaudée par l’aventurisme militaire de Napoléon, l’Europe installe en vis-à-vis des nouvelles frontières du Royaume de France des Etats territorialement renforcés pour avoir la capacité de lui résister. L’un d’entre eux est le nouveau Royaume des Pays-Bas qui recouvre tout le territoire de l’actuel Benelux. A vrai dire, ce n’était pas la construction la plus farfelue du Traité de Vienne. Avant la sécession des Provinces-Unies devenues calvinistes, la région constituait une grosse partie du Kreis « Burgund » du Saint-Empire romain germanique, à l’exception de l’Evêché de Liège.
Mais, beaucoup de choses avaient changé depuis le XVIème siècle. Le latin n’était plus la langue officielle écrite des pays d’Europe occidentale. En ce début du XIXème siècle, la coexistence dans un même, petit, royaume d’une population néerlandophone et d’une population francophone, sans même parler des « francicophones », n’allait plus de soi. En outre, le Roi des Pays-Bas adopta un style autoritaire de gouvernement monarchique qui, lui non plus, n’était plus de saison.
Sans entrer dans davantage de détails, cela allait aboutir entre 1830 et 1839 à la question, compliquée, de la sécession de la Belgique et au tracé de frontières par endroits très « original ».
Je vais prendre un premier exemple, bien connu dans ma région : Martelange. Pour résumer, à Martelange, en roulant vers le nord sur la route principale, le trottoir de gauche est dans le Royaume de Belgique, celui de droite est dans le Grand-Duché de Luxembourg. C’est très facile : l’essence étant taxée de moindres accises dans le Grand-Duché, toute la partie droite de la route principale est occupée par des stations-services.
Eh bien, que pensez-vous qu’il arriva lors de la phase de la coronescroquerie où les frontières furent fermées sous le fallacieux prétexte d’enrayer la contagion ? Les habitants du trottoir de gauche de Martelange eurent interdiction, sous peine d’amendes, de faire leur plein sur le trottoir de droite.
Ils durent donc faire le trajet de 40 km allez-retour que j’ai tracé en noir ci-dessous. Du petit Martelange, ils durent se rendre dans la ville nettement plus peuplée de Bastogne. La contribution d’une telle mesure à enrayer la propagation d’une épidémie vous paraît évidente, n’est-ce pas ? Non ? Les autorités savaient bien qu’il s’agissait de l’esbroufe planétaire du millénaire et, donc, sans complexe, elles ont géré la situation de manière à faire rentrer davantage d’accises sur l’essence dans les caisses du Trésor belge. Les gens de Martelange n’ont pas été dupes de la supercherie. Et nous non plus !!!
Une situation analogue eut lieu encore plus près de chez moi, au lieu dit « La Forge » (Schmiede) du village de Huldange, le point le plus septentrional du territoire actuel du Grand-Duché de Luxembourg. Il y a longtemps que s’y est installé le grand centre commercial « Knauf » qui attire une clientèle des régions frontalières belges et allemandes. Le weekend, des gens y viennent faire des courses de bien plus loin, y compris des Pays-Bas.
Longtemps, il n’y a eu que des friches du côté belge, les premières habitations y étant quelques kilomètres plus au nord, à Beho. Mais, à la faveur de la facilitation des activités transfrontières, une zone industrielle et commerciale s’y établit. Avant le coronacircus, personne n’avait jugé nécessaire de démarquer le tracé de la frontière.
Pour qui connaît parfaitement les lieux, la frontière passe au milieu de l’allée que l’on voit en arrière-plan, au-delà de laquelle est établi un magasin vendant des plantes.
Lors de l’épisode de fermeture de la frontière dans le cadre du coronacircus, des policiers fédéraux étaient venus se poster sur le parking du marchand de plantes pour infliger des amendes salées à des clients venus du Grand-Duché. J’imagine que la plupart n’avaient même pas conscience que ce magasin se trouve derrière la frontière. Vous imaginez la justification sanitaire de l’opération ? Les Belges, de toute façon, ne s’approchaient plus de la frontière en dehors de justifications impérieuses et aller acheter des plantes n’était pas considéré tel. Représentez-vous donc la contribution dramatique à la propagation de l’épidémie que constituait la venue de quelques clients luxembourgeois ?
La police communale locale côté belge fut si choquée de l’exploit de ses confrères fédéraux qu’elle s’en désolidarisa dans un communiqué.
Le coronacircus, le plus grotesque cirque auquel j’aurai assisté dans toute ma vie !
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