La base de données Eudravigilance permet de faire des recherches sur les effets secondaires suite aux vaccinations pour les deux vaccins actuellement autorisés en Europe. Celui de Pfizer depuis le 21 décembre 2020 et celui de Moderna depuis le 6 janvier 2021.
Nous allons nous intéresser plus particulièrement au vaccin de Pfizer qui a déjà été largement utilisé sur le continent.
Avec un plus d’un mois de recul, on commence à avoir un aperçu des effets secondaires de ce vaccin. Au 23 janvier, 16 479 personnes ont déclaré des effets secondaires. Première chose, qui frappe lorsque l’on commence les recherches est que cela concerne principalement les 18-64 ans (+ de 80%). 1089 personnes entre 65-85 (6,6%) et 818 chez les plus de 85 ans (5%).
Cela concerne aussi très majoritairement les femmes (76,1%).
Les effets indésirables les plus souvent rapportés concernent des problèmes généraux (température, douleur, malaise, etc..), le système nerveux, musculo-squelettique et gastro-intestinal.
On trouve de nombreux effets indésirables considérés comme sérieux. Cela représente selon les cas 1/3 (système nerveux), parfois la moitié (maladies cardiaques) et jusqu’au 2/3 des réactions (système immunitaire et infections).
Le système cardiovasculaire semble bien mis à mal avec 911 rapports (concernant une fois encore plutôt les personnes jeunes) et ayant provoqué pas moins de 63 décès dont 22 arrêts cardiaques.
14 Covidés et 7 pneumonie : 34 infections en tout.
Eudravigilance n’a pas rendu les choses simples pour connaitre le bilan des morts suite à la vaccination. J’ai du retranscrire les chiffres sur Excel un par un dans chaque catégorie pour pouvoir avoir un bilan : 438 décès en un mois.
6786 cas sont considérés comme non résolus et 959 comme ayant des séquelles.
Ce témoignage d’un infirmier américain confirme que ce vaccin tue.
« James rapporte qu’en 2020, très peu de résidents de la maison de soins infirmiers où il travaille sont tombés malades du COVID, et aucun d’entre eux n’est décédé pendant toute l’année 2020.
Cependant, peu de temps après avoir administré les injections expérimentales d’ARNm de Pfizer, 14 sont décédés dans les deux semaines, et il rapporte que de nombreux autres sont sur le point de mourir.
Il précise très clairement qu’il s’agissait de patients qu’il connaissait et qu’il soignait (il est aussi un «pasteur laïc»), et qu’après avoir reçu une injection d’ARNm, les résidents qui avaient l’habitude de marcher seuls ne peuvent plus marcher. Les résidents qui avaient l’habitude d’avoir une conversation intelligente avec lui ne pouvaient plus parler.
Et maintenant, ils meurent. « Ils tombent comme des mouches ».
Le système VAERS du CDC qui permet d’accéder librement à la base de données des effets indésirables indique que 181 personnes sont décédées dans les jours qui suivent la vaccination dont 44 le jour même et 40 le jour suivant (29 supplémentaires au bout de 2 jours). Donc 113 personnes sont décédés dans les 48H suivant la vaccination. À noter que les décès ne concernent pas que des personnes âgées. Ce rapport rapporte le cas d’un bébé mort né. Deux jours après la vaccination, le bébé bougeait moins et au troisième jour, il était en arrêt cardiaque.
Contrairement au site européen, il est possible de faire des recherches précises avec des informations sur chaque décès. On constate par exemple que certaines personnes sont mortes moins de 2H après l’injection.
Ou que d’autres développent une détresse respiratoire (entraînant la mort) dans les 24H comme dans la base de données européenne.
Le vaccin n’a pas l’air de réussir aux patients testés positifs au COVID.
De tels chiffres ne plaident clairement pas en faveur d’une généralisation de la vaccination contre le COVID, en particulier pour les moins de 65 ans qui semblent plus touchés par les effets secondaires.
Une généralisation de la complémentation en vitamine C et vitamine D en prévention et l’utilisation d’ivermectine et d’artemisia (en curatif) seraient des mesures bien plus cohérentes pour faire reculer l’épidémie et surtout celle-ci ne risquent pas de nuire aux personnes en bonne santé contrairement à ce vaccin expérimental.
Note MAV: Il y a de nombreux tableaux dans cet article, que je n’ai pas insérés (mauvaise qualité, sauf quand on clique sur chacun d’eux). Vous pouvez les retrouver en cliquant sur
Voilà pourquoi les labos sont en panique !
Info-lettre hebdomadaire du magasine Néosanté
Extraits :
Aujourd’hui, je suggère d’appréhender autrement le phénomène de mutation virale qui angoisse tant nos dirigeants et qui leur sert d’alibi pour un prévisible renouvellement du verrouillage général. Voici trois bonnes raisons de ne pas redouter l’émergence des fameux et affreux variants.
Les variants sont plus contagieux, donc moins dangereux.
Dès le début de la « crise Covid-19 », j’ai rappelé une règle de base de la virologie : un virus ne peut pas être à la fois très dangereux et très contagieux. Pour la raison bien simple qu’une particule virale a besoin d’un hôte vivant pour se répliquer, elle ne va jamais cumuler virulence élevée et grande facilité à se propager. Si elle était à la fois très agressive et très transmissible, elle se tirerait en quelque sorte une balle dans le pied puisque ses « proies » viendraient à manquer.
[…] Même les bactéries, qui ne sont pourtant pas considérées comme des parasites, se plient à cette loi naturelle : plus un agent infectieux est dangereux, moins il est contagieux, et inversement. Bizarrement, on dirait que les virologues des plateaux télé ont complètement oublié l’ABC de leur discipline car ils n’ont eu de cesse d’agiter l’épouvantail d’un coronavirus conjuguant un grand pouvoir de nuisance et l’art de voyager avec aisance. Et avec l’arrivée des variants, ils redoublent de zèle catastrophiste en cherchant à nous faire croire que l’ennemi viral a aussi bien gagné en cruauté qu’en faculté à se diffuser.
[…] Il y a quelques jours, Jean-François Delfraissy, le président du conseil scientifique français, y allait encore d’une envolée outrancièrement dramatisante en qualifiant le sars-cov-2 d’ « intelligent et diabolique ». Intelligent, on veut bien, car la nature est dotée d’un dessein, mais pourquoi diabolique ? Il y a au contraire tout lieu de penser que les variants viraux ont perdu de leur dangerosité à mesure qu’ils progressaient en infectiosité.
[…] Selon les premières études, les nouveaux venus seraient entre 50 et 75% plus contagieux que leur papa chinois. Et cela se vérifie sur le terrain puisque le taux de contamination est en train de redécoller. En Belgique, par exemple, 3/4 des enfants sont testés positifs dans certaines écoles. Or les écoliers restent en excellente santé et ne manifestent, dans leur écrasante majorité, aucun symptôme.
Les variants sont peut-être enfants des traitements
[…] Une autre possibilité a été évoquée dans un article paru en décembre dans le prestigieux National Geographic : les mutations du sars-cov-2 et leur fixation dans le génome viral auraient été favorisées par la transfusion de plasma. À l’appui de leur intuition, des chercheurs britanniques ont révélé les résultats de leur investigations dans le Kent. En essayant de comprendre pourquoi cette région était le berceau de la variation anglaise, les chercheurs ont découvert que les patients porteurs avaient souvent « bénéficié » de la thérapie expérimentale consistant à leur injecter du sang de patients convalescents.
[…] Tout comme les antibiotiques le font avec les bactéries, la thérapie plasmatique ferait des dégâts insoupçonnés en poussant les virus à s’adapter rapidement, quitte à devenir plus virulents.
[…] Angleterre, Brésil, Afrique du Sud : est-ce un hasard si les trois variants dont on brandit le spectre proviennent des pays où les vaccins anti-covid ont été expérimentés et/ou administrés à vitesse TGV ?
[…] L’apparition de variants est un événement qui pourrait carrément remettre en cause l’utilité des campagnes vaccinales. Tout comme le vaccin grippal, dont l’efficacité est régulièrement réduite à peu de chose par la mutation véloce des virus influenza, la vaccination covid pourrait fort bien être sabotée par les transformations du virus corona, à la différence que cette évolution récente procéderait de l’acte vaccinal lui-même : un auto-sabotage pour ainsi dire ! Vous voyez l’embrouille et vous comprenez la panique qui s’empare des labos ?
[…] La vérité, c’est que les virus à ARN n’arrêtent pas de muter et que le produit censé prévenir l’infection n’est déjà plus opérant au moment de son injection.
[…] Va-t-on assister au même épilogue, c’est-à-dire à un fiasco magistral de la stratégie vaccinale ? C’est de l’ordre du probable et c’est à nos yeux très souhaitable. D’abord parce que les autorisés sanitaires n’auraient alors pas d’autre choix que de privilégier d’autres approches, comme le soutien à l’immunité (Vitamine D, Zinc…) et le repositionnement de vieilles molécules peu onéreuses comme l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine, auxquelles vient de s’ajouter la colchitine suite à une étude canadienne prometteuse : 44% de « covidécédés » en moins dans le groupe ayant reçu ce médicament prescrit habituellement contre la goutte !
[…] Mais l’échec du vaccin aurait surtout pour conséquence très réjouissante d’éviter un possible et gigantesque gâchis humain. Alexandra Henrion-Caude, encore elle, mais aussi la microbiologiste irlandaise Dolores Cahill avertissent en effet que la vaccination pourrait tourner à la catastrophe : dans six mois ou dans un an, on verrait les gens tomber comme des mouches suite à une nouvelle rencontre avec le coronavirus. Pourquoi ? Parce que les « anticorps facilitants » supplanteraient alors les « anticorps neutralisants » et sèmeraient la pagaille dans le système immunitaire des infortunés vaccinés. C’est un phénomène connu et documenté.
Yves Rasir, mercredi 27 janvier 2021