Est-il possible d’avoir l’assurance du salut? Une personne peut-elle savoir avec certitude que si elle meurt en ce moment elle sera sauvée? Absolument, oui.
L’apôtre Jean avait écrit:
« Je vous ai écrit ces choses afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyiez au Nom du Fils de Dieu » (1 Jean 5:13).
Les prédicateurs de la fausse grâce notent fréquemment ce verset pour stimuler la confiance de ceux qui professent croire en Jésus. Mais souvent, ils passent complètement à coté de la signification.
D’abord, Jean avait dit qu’il écrivait à ceux qui croyaient au Nom du Fils de Dieu, non à ceux qui croyaient qu’ils étaient sauvés parce qu’ils avaient cru à une certaine doctrine du salut. Ce n’est pas croire que le salut s’obtient par la grâce qui nous sauve – nous sommes sauvés en croyant en une personne divine. Et si nous croyons que Jésus est une personne divine, nous agirons, parlerons et vivrons selon ce que nous croyons.
En plus, remarquez que Jean avait dit qu’il écrivait « ces choses » afin que ses lecteurs puissent savoir qu’ils avaient la vie éternelle.
De quelles choses parlait-il ?
Jean avait fait cette déclaration à la fin de sa lettre « en tenant compte des choses » qu’il avait dites auparavant. Il avait écrit toute sa lettre pour que ses lecteurs sachent qu’ils avaient la vie éternelle. En évaluant leur vie à la lumière de ce qu’il avait considéré comme les véritables marques de vrais chrétiens, ils pouvaient déterminer s’ils étaient vraiment sauvés.
En nous évaluant nous-mêmes par rapport à ce que Jean avait défini comme les marques de vrais chrétiens, nous aussi, nous pouvons déterminer si la grâce de Dieu nous a réellement changés. Si tel est le cas, nous avons l’assurance que nous sommes sauvés.
Ceci ne signifie pas que nous nous fions à nos œuvres pour nous sauver. Au contraire, c’est recevoir l’assurance du salut à travers la preuve de la grâce de Dieu qui se manifeste par nos œuvres et dans nos personnes. Beaucoup d’antinomiques ou contradicteurs s’accrochent à la mémoire de la prière faite comme assurance de leur salut alors que les vrais chrétiens peuvent regarder leurs vies et voir l’œuvre transformatrice de la grâce de Dieu.
Nous pouvons savoir 1 si nous sommes sauvés.
Qu’est ce que Jean avait écrit pour nous aider à faire notre propre évaluation ? Jean mentionne sans cesse trois tests :
l’un est moral (2:3-6, 2:28, 3:10),
l’autre est social (2:7-11, 3:11-18, 4:7-21)
et un autre encore est doctrinal (2:18-27); 4:1-6).
Voyons les trois.
—>Le Test Moral :L’obéissance Au Commandement De Jésus.
» Si nous gardons Ses commandements, par-là nous savons que nous L’avons connu. Celui qui dit : je L’ai connu et qui ne garde pas Ses commandements est un menteur et la vérité n’est point en lui. Mais celui qui garde Sa parole, l’amour de Dieu est véritablement parfait en lui :Par là , nous savons que nous sommes en Lui. Celui qui dit qu’il demeure en Lui doit marcher aussi comme Il a marché Lui-même » (1 Jean 2:3-6).
Si nous gardons ses commandements, nous (1) savons que nous l’avons connu et (2) nous savons que nous sommes en Lui.
Certains voudraient que nous croyions que » connaître Jésus » est une expression qui représente les chrétiens qui sont suffisamment mûrs en Christ. Les jeunes chrétiens immatures ne » connaissent » pas réellement Christ comme les vieux chrétiens. Ainsi, certains concluent que Jean disait que nous pouvions dire si nous sommes mûrs ou pas par notre obéissance ou notre désobéissance.
Mais est-ce cela que Jean voulait dire?
C’est clair que c’est non, pour plusieurs raisons. Dans le passage que nous venons de lire, Jean a aussi utilisé l’expression » en Lui « , montrant que nous pouvions aussi savoir si nous sommes en Christ, si nous gardons ses commandements.
Toute personne qui a lu le Nouveau Testament sait que tous les vrais chrétiens sont en Christ. Et non seulement les chrétiens mûrs.
Comme ceux qui sont en lui et ceux qui Le connaissent se font distinguer par l’obéissance à Ses commandements, Le connaître doit être l’équivalent d’être en Lui.
Deuxièmement, Jésus lui-même avait utilisé la même expression Le connaître comme étant l’équivalent d’être sauvé:
» » Ils (les pharisiens)lui dirent donc : Où est donc ton Père ? Jésus répondit :vous ne connaissez ni moi, ni mon Père. Si vous me connaissiez, vous connaîtrez mon Père » (Jean 8:19)
« Je suis le bon berger. Je connais mes brebis (ceux qui sont sauvés) et elles me connaissent « (Jean 10:14)
« Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon père. Et dès maintenant, vous le connaissez, et vous l’avez vu » (Jean 14:7;1 Jean 17,3).
» Or, la vie éternelle est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ « (Jean 17:3)
Troisièmement, Jean avait aussi utilisé l’expression Le connaître, quelque par ailleurs dans sa première épître qui établit clairement que le connaître veut dire être sauvé:
« Voyez quel amour le père nous a témoigné, pour que nous soyons appelés enfants de Dieu! Et nous le sommes. Si le monde ne nous connaît pas, ce qu’il ne l’a pas connu » (1 Jean 3:1).
Quatrièmement, le contexte de cette expression, Le connaître, dans la première épître de Jean, qui parle des tests de la foi authentique, confirme encore plus d’application de cette expression aux vrais chrétiens. Dans la deuxième discussion de Jean du test moral, par exemple, sans détour que « la pratique de la justice« est une preuve de la nouvelle naissance:
« Et maintenant, petits enfants, demeurez en lui, afin que, lorsqu’il apparaîtra, nous ayons de l’assurance, et qu’à son avènement, nous ne soyons pas confus et éloignés de lui. Si vous savez qu’il est juste, reconnaissez que quiconque pratique la justice est né de lui » (I Jean 2:28-29).
Pour ces raisons, nous pouvons conclure que lorsque Jean écrit de connaître Jésus, il ne parle pas d’être intimement lié à Jésus comme le sont beaucoup de chrétiens mûrs, mais il parle d’être sauvé.
Ceux qui le connaissent lui obéissent.
Jean réaffirme encore le test moral dans le dernier paragraphe.
» Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n’a pas encore été manifesté; Mais nous savons que lorsque cela sera manifesté, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu’il est. Quiconque a cette espérance en lui se purifie comme lui-même est pur. Quiconque pêche transgresse la loi, et le péché est la transgression de la loi. Or, vous savez, Jésus a paru pour ôter les péchés, et il n’y a point de péché en lui. Quiconque demeure en lui ne pêche point; quiconque pêche ne l’a pas vu et ne l’ a pas connu. Petits enfants, que personne ne vous séduise. Celui qui pratique la justice est juste, comme lui-même est juste. Celui qui pèche est du diable car le diable pêche dès le commencement. Le fils de l’homme a paru afin de détruire les œuvres du diable. Quiconque est né de Dieu ne pratique point le péché car la semence de Dieu demeure en lui; et il ne peut pécher parce qu’il est né de Dieu. C’est par-là que se font reconnaître les enfants de Dieu et les enfants du diable. Quiconque ne pratique pas la justice n’est pas de Dieu, non plus que celui qui n’aime pas son frère » (1 Jean 3:2-10).
Pouvait-il être beaucoup plus clair que ceci ? Par sa grâce, Dieu transforme ceux qui croient réellement en Jésus, étant des enfants obéissants. Jean avait écrit » ces choses « afin que nous » puissions savoir que nous possédons la vie éternelle « (1 Jean 5:13).
Obéissez-vous aux commandements de Jésus ? Il vous faudra peut-être relire la liste de ses commandements (que l’auteur donne au chapitre neuf de son livre: liste non exhaustive, en bas d’article !).
Aucun chrétien n’y obéit parfaitement, mais les vrais chrétiens sont plus caractérisés par l’obéissance que par la désobéissance.
—> Le Test Social :L’amour Des Frères.
» Car, ce qui vous a été annoncé et ce que vous avez entendu dès le commencement, c’est que nous devons nous aimer les uns les autres, et à ne pas ressembler à Caïn qui était du malin, et qui avait tué son frère. Et pourquoi le tua t-il ? Parce que ses œuvres étaient mauvaises et que celles de son frère étaient justes. Ne vous étonnez pas, frères, si le monde vous hait. Nous savons que nous sommes passés de la mort à la vie, parce que nous aimons les frères. Celui qui n’aime pas demeure dans la mort. Quiconque hait son frère est un meurtrier, et vous savez qu’aucun meurtrier n’a la vie éternelle demeurant en lui » ( 1 Jean 3:11-15).
Lorsque nous naissons de nouveau, Dieu, par son Saint-Esprit vient vivre en nous. Évidemment, il ne met pas de coté sa nature divine. Dieu est amour, comme le dit Jean (1 Jean 4:18), et quand Il entre, l’amour vient aussi. Paul avait écrit:
» L’amour de Dieu a été répandu dans nos coeurs par le Saint-Esprit qui nous a été donné « (Rom. 5:5).
Ceux qui sont spirituellement nés de nouveau, découvrent, en particulier, qu’ils possèdent un amour surnaturel pour leurs frères chrétiens, leurs frères et sœurs spirituels. En fait, si leurs parents naturels ne sont pas nés de nouveau, ils vont se rendre compte qu’ils préfèrent passer le plus clair de leur temps avec leurs parents spirituels. Ou lorsqu’une voiture passe sur une auto-route avec une auto collant avec « J’aime Jésus« , ils éprouvent de la sympathie pour les occupants de la voiture, bien qu’inconnus. Auraient-ils vécu à l’époque du philosophe grec Celsius, au deuxième siècle, ils auraient aussi été l’objet de ses critiques : » Ces chrétiens s’aiment les uns les autres, même avant qu’ils ne se connaissent! «
Cet amour divinement acquis va au-delà des embrassades et des salutations à la sortie de l’église. C’est le même amour que Dieu a pour ses enfants, compatissant et prévenant:
« Nous avons connu l’amour, en ce qu’il a donné sa vie pour nous; nous aussi, nous devons donner notre vie pour les autres. Si quelqu’un possède les biens du monde, et que, voyant son frère dans le besoin, il lui ferme ses entrailles, comment l’amour de Dieu demeure en lui? Petits enfants, n’aimons par en paroles et avec la langue, mais en actions et en vérité » (1 Jean 3 :16-18).
L’amour que les vrais chrétiens ont les uns pour les autres est réel car cela les identifie comme disciples de Christ à la vue des païens (Jean 13:35) et les distingue des païens devant Dieu. Ceux qui n’aiment pas leurs frères n’aiment pas Dieu (1 Jean 5:13).
Cet amour peut évidemment croître, et ceux qui le possèdent réellement, le démontrent toujours parfaitement. Cependant, chaque véritable chrétien est conscient du réservoir interne qui cherche à filtrer à travers ses mains, ses yeux, ses pensées et ses paroles. Il aime les autres disciples de Jésus. Faites-vous de même? Jean avait écrit ces choses afin que nous sachions que nous avons la vie éternelle (1 Jean 5:13).
—> Le test doctrinal.
» Qui est menteur sinon celui qui nie que Jésus est le Christ ? Celui-là est l’antéchrist qui nie le Père et le Fils. Quiconque nie le Fils n’a pas non plus le Père; Quiconque confesse le Fils aussi le Père » (1 Jean 2:22-23).
Ce test doctrinal est souvent le test que les antinomiques considèrent comme valide. Si quelqu’un confesse que Jésus est Christ, le Fils de Dieu, il est considéré comme sauvé, même s’il échoue aux deux autres tests de Jean.
Sachez qu’il est possible de confesser verbalement que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu alors qu’on le renie par ses actions.
Au moins trois fois dans sa première épître Jean écrit à propos de ceux dont les paroles sont annulées par leurs actions:
» Celui qui dit :je l’ai connu et qui ne garde pas ses commandements est un menteur et la vérité n’est pas en lui « (1 Jean 2:4)
» Celui qui dit qu’il demeure en lui doit aussi marché comme lui-même a marché « (1 Jean 2:6).
» Si quelqu’un dit :j’aime Dieu et qu’il hait son frère, c’est un menteur, car celui qui n’aime pas son frère qu’il voit, comment peut-il aimer Dieu qu’il ne voit pas ? » (1 Jean 4:20).
À la lumière de ceci, nous serions insensés de penser que nous avons réellement réussi au test doctrinal de Jean si nous échouons à ses premiers tests. Les trois sont d’importance égale. Voyez comment Jean réunit les trois en résumant cette déclaration à la fin de sa lettre:
» Quiconque croit que Jésus est Christ (test doctrinal) est né de Dieu; quiconque aime le Père aime son Fils (test social. En ceci, nous savons que nous aimons les enfants de Dieu lorsque nous aimons Dieu et que nous observons ses commandements « (1Jean 5:1-2).
Jean avait écrit ces choses » afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle « ( 1 Jean 5:13).
La lettre de Jean remplit d’assurance ceux qui sont réellement nés de nouveau et met en garde ceux dont la foi laisse à désirer.
Comme je l’ai écrit au début de ce livre, si je m’étais trompé à propos de mon salut, il vaut mieux que je découvre la vérité maintenant qu’après la mort. Maintenant, on peut se repentir et se confier à Christ. Mais en ce moment-là , il sera trop tard.
Ceux qui ont la conscience hyper sensible.
J’ai découvert qu’il y a un léger pourcentage des vrais croyants en Christ qui ont sans raison la tendance à s’alarmer à propos de leur situation, spécialement après avoir lu un livre comme celui-ci, et cela est dû à leur personnalité. Ils sont déjà très dévoués à Christ et ont placé la barre très haut pour eux-mêmes. Ils sont souvent perfectionnistes dans leur vie.
Dans certains cas, ils ont grandi sous l’influence d’un parent très exigent aux yeux duquel ils n’ont jamais senti avoir « satisfait à ses demandes ». Dans d’autres cas, ils sont restés longtemps emprisonnés dans des églises légalistes où le péché était le sujet principal des sermons et non la grâce ; ou bien, là où les choses extérieures comme le style de cheveux, la longueur des habits étaient les éléments déterminants dans l’évaluation du salut d’une personne.
Peut-être aussi qu’ils ont reçu la doctrine selon laquelle il perdait leur salut chaque fois qu’il pêchait.
Ceux-ci sont des chrétiens, faute de meilleures expressions pour les qualifiés sont dites avoir une conscience hyper sensible. Ils sont prompts à se condamner. S’ils paient leur dîme et aident trois enfants pauvres, ils se condamnent pour n’en avoir pas aidé quatre; par conséquent, ils se demandent s’ils sont réellement sauvés. Ils servent les autres, à l’église, sans arrière pensée, mais puisqu’ils n’arrivent pas à s’accommoder avec un vieux diacre grincheux, ils se mettent à se questionner sur leur salut. Ils annoncent l’évangile à leurs collègues de service, mais ils se sentent coupables parce qu’ils n’ont pas abandonné leur travail pour devenir missionnaire en Haïti. Ils sont des chrétiens qui rapportent trente et non cent (Marc 4 :8). Ils ne commettent pas l’adultère, la fornication, l’homosexualité; ils ne sont ni idolâtres, ni ivrognes, ni menteurs, ni voleurs; mais comme ils ne sont pas parfaits, ils craignent d’aller en enfer, même si leur vie est caractérisée par la justice.
De tels chrétiens ne peuvent être équilibrés que par la parole de Dieu. Si vous êtes un tel chrétien, je vous encourage à lire tout le Nouveau Testament et vous noterez les imperfections de beaucoup de ceux qui étaient rachetés. Nous trébuchons tous d’une façon ou d’une autre, spécialement dans ce que nous disons (Jacques 3:2). Le fruit de l’esprit peut encore grandir, mûrir dans toutes nos vies. L’œuvre de Dieu en nous n’est pas complètement achevé. Ne permettez donc pas de tordre ce que Dieu a dit et ne vous condamnez pas vous-mêmes. Dieu vous aime et, jusqu’à présent, Jésus est son seul Fils parfait.
==================================================================
LES COMMANDEMENTS DE JÉSUS
- Que nous ne le tentions pas (Matthieu 4:7).
- Que nous adorions le Seigneur, notre Dieu et que nous ne servions que Lui (Matthieu 4:10).
- Que nous nous repentions pour être sauvés (Matthieu 4:17).
- Que nous nous réjouissions et que nous soyons dans l’allégresse quand nous sommes persécutés (Matthieu 5:12).
- Que notre lumière brille devant les hommes afin qu’ils voient nos bonnes oeuvres (Matthieu 5:16).
- Que nous gardions et que nous enseignions les commandements de Dieu, même le plus petits d’entre eux (Matthieu 5:19).
- Que nous ne commettions pas de meurtre, que nous ne haïssions pas notre prochain ni ne lui causions un quelconque tort (Matthieu 5:21-22).
- Que nous recherchions la réconciliation avec ceux qui nous ont offensé (Matthieu 25-25).
- Que nous ne commettions pas d’adultère et que nous ne convoitions pas non plus (Matthieu 5:27-28).
- Que nous enlevions toute chose qui nous fait tomber dans le péché (Matthieu 29-30).
- Que nous ne divorcions pas si ce n’est que pour cause d’infidélité (Matthieu 5:32).
- Que nous ne jurions ni ne mentions, mais que nous respections toujours notre propre parole (Matthieu 5:33-37).
- Que nous ne nous vengions pas nous-mêmes, mais que nous fassions preuve d’une extrême tolérance et que nous fassions du bien à ceux qui nous maltraitent (Matthieu 5:38-42).
- Que nous aimions nos ennemis et que nous prions pour nos persécuteurs (Matthieu 5:44-47).
- Que nous nous efforcions d’être parfaits (Matthieu 5:48).
- Que nous ne fassions pas le bien afin d’être loué par les autres (Matthieu 6:1).
- Que nous donnions de l’aumône (Matthieu 6:2-4).
- Que nous puissions prier (Matthieu 6:5-6).
- Que nous ne fassions de répétitions inutiles mais que nous suivions le modèle de « la prière du Seigneur » (Matthieu 6:7, 6:9-13)
- Que nous pardonnions les autres (Matthieu 6:14).
- Que nous jeûnions (Matthieu 6:16).
- Que nous n’amassions pas de trésor sur terre, mais que nous le fassions au ciel (Matthieu 6:19-21).
- Que nous servions Dieu et non l’argent (Matthieu 6:24).
- Que nous ne nous inquiétions pas pour les besoins matériels (Matthieu 6:25-32).
- Que nous cherchions d’abord le royaume de Dieu et sa justice (Matthieu 6:33).
- Que nous ne jugions pas les autres (Matthieu 7:1-5).
- Que nous ne donnions pas ce qui est saint aux chiens (Matthieu 7:6).
- Que nous demandions, cherchions et que nous frappions (Matthieu 7:7-11).
- Que nous fassions aux autres ce que nous accepterions des autres (Matthieu 7:12).
- Que nous entrions par une porte étroite (Matthieu 7:13).
- Que nous fassions attention aux faux prophètes (Matthieu 7:15-20).
- Que nous fassions ce que Jésus nous dit de faire de peur que nous ne soyons détruits (Matthieu 7:24-27).
- Que nous prions que le Seigneur envoie des serviteurs dans sa moisson (Matthieu 9:38).
- Que nous puissions confessions Jésus devant les autres et que nous ne le reniions pas (Matthieu 10:32-33).
- Que nous aimions Jésus plus que nos plus proches parents (Matthieu 10:37).
- Que nous prenions nos croix et que nous suivions Jésus (Matthieu 10:38).
- Que nous soyons prêts à perdre nos vies pour l’amour de Jésus (Matthieu 10:39).
- Que nous prenions le joug de Jésus (Matthieu 11:28-30).
- Que nous soyons pour Jésus et que nous rassemblions avec lui (Matthieu 12:30).
- Que nous ne blasphémions pas le Saint-Esprit (Matthieu 12:31).
- Que nous fassions la volonté du Père (Matthieu 12:50).
- Que nous honorions nos parents (Matthieu 15:4-6).
- Que nous ne nous souillions pas par les mauvaises pensées, le meurtre, la fornication, l’adultère, le vol, le mensonge et l’escroquerie (Matthieu 15:19-20).
- Que nous renoncions à nous-mêmes (Matthieu 16:24).
- Que nous nous convertissions et que nous devenions comme des enfants, humbles (Matthieu 18:3-4).
- Que nous ne fassions tomber aucun enfant qui croit en Jésus (Matthieu 18:6).
- Que nous ne poussions personne à succomber (Matthieu 18:7).
- Que nous ne méprisions aucun enfant (Matthieu 18:10).
- Que nous reprenions en privé tout frère qui a péché contre nous (Matthieu 18:15).
- Que nous obéissions les instructions de Jésus en ce qui concerne la discipline de l’église (Matthieu 18:16-17).
- Que nous pardonnions à nos frères de tout notre coeur (Matthieu 18:35).
- Que nous aimions nos prochains comme nous mêmes (Matthieu 19:19).
- Que nous soyons au service des autres (Matthieu 20:26-28).
- Que nous puissions payer à l’Etat ce qui le revient et donner à Dieu ce qui est à Lui (Matthieu 22:21).
- Que nous aimions le Seigneur, notre Dieu, de tout notre coeur, âme et pensée (Matthieu 22:37).
- Que nous ne permettions à personne de nous appeler « Maître » ou « directeur » et que nous n’appelions personne d’autre notre Père si ce n’est que celui qui est dans les cieux (Matthieu 23:8-10).
- Que nous ne nous élevions pas nous-mêmes, mais que nous soyons humbles (Matthieu 23:12).
- Que nous n’empêchions personne à entrer dans le royaume de Dieu (Matthieu 23:13).
- Que nous nous ne maltraitions pas les veuves (Matthieu 23:14).
- Que nous n’influencions personne à agir avec hypocrisie (Matthieu 23:15).
- Que nous ne négligions pas les provisions les plus lourdes de la Loi, telles la justice, la miséricorde et la fidélité (Matthieu 23:23).
- Que nous ne soyons sous aucune façon hypocrite (Matthieu 23:25-28).
- Que nous ne soyons pas effrayés par les guerres ou les rumeurs des guerres précédant la venue de Christ (Matthieu 24:6).
- Que nous ne tombions, ne trahissions ou haïssions un frère (Matthieu 24:10).
- Que nous ne nous permettions pas d’être déroutés par les faux prophètes (Matthieu 24:11).
- Que nous ne permettions pas à notre amour de se refroidir à cause de l’augmentation de l’injustice (Matthieu 24:12).
- Que nous endurions jusqu’à la fin (Matthieu 24:13).
- Que nous ne croyions pas les fausses nouvelles du retour de Jésus (Matthieu 24:23-26).
- Que nous reconnaissions les vrais signes du retour de Jésus (Matthieu 24:32-33).
- Que nous soyons sur notre garde à cause du retour de Christ (Matthieu 24:42).
- Que nous soyons toujours des serviteurs fidèles et sensibles, anticipant le retour imminent de notre Seigneur, ne reculant jamais dans la foi mais lui obéissant toujours (Matthieu 24:45-51).
- Que nous utilisions les talents, le temps et les trésors que Dieu nous a confiés pour son service (Matthieu 25:14-30).
- Que nous donnions à manger, à boire, un abri et les vêtements aux chrétiens pauvres et que nous visitions les chrétiens malades ou emprisonnés (Matthieu 25: 34:40).
- Que nous prenions part au repas du Seigneur (Matthieu 26:26-27).
- Que nous fassions de toutes les nations les disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, les enseignant à observer tout ce que Jésus avait ordonné (Matthieu 28:19-20).
- Que nous fassions attention à ce que nous écoutons (Marc 4:24).
- Que nous ne négligions pas les commandements de Dieu au profit des traditions (Marc 7:9).
- Que nous n’ayons pas honte de Jésus, ni de sa Parole (Marc 8:38).
- Que nous soyons en paix avec les autres (Marc 9:50).
- Que nous n’empêchions pas les enfants à aller vers Lui (Marc 10:14).
- Que nous ayons foi en Dieu (Marc 11:22).
- Que nous croyions que nous avons reçu toute chose que nous demandons dans la prière (Marc 11:24).
- Que nous fassions attention aux enseignants religieux qui portent des habits qui les font distinguer, qui aiment les salutations respectueuses, les places d’honneur, qui maltraitent les veuves et qui font de longues prières pour l’apparence (Marc 12:38-40).
- Que nous ne nous inquiétions pas de ce que nous allons dire devant le tribunal, mais que nous disions ce que le Saint-Esprit nous dit de dire en ce moment (Marc 13:11).
- Que nous soyons baptisés (Marc 16:16).
- Que nous bénissions ceux qui nous maudissent (Luc 6:28).
- Que nous donnions à toute personne ce qu’il nous demande sans chercher à avoir en retour ce que les autres ont pris d’entre nos mains (Luc 6:30).
- Que prêtions aux autres sans rien attendre en retour (Luc 6:35).
- Que nous soyons miséricordieux (Luc 6:36).
- Que nous ne condamnions pas les autres (Luc 6:37).
- Que nous donnions (Luc 6:38).
- Que nous ne montrions point la paille qui est dans l’oeil du prochain alors que nous avons une poutre dans l’oeil (Luc 6:42-42).
- Que nous ne l’appelions pas Seigneur à moins de faire ce qu’il ordonne (Luc 6: 46-49).
- Que nous recevions la parole de Dieu et que nous la tenions fermement afin qu’avec la persévérance, nous puissions porter les fruits (Luc 8:12-15).
- Que nous écoutions la parole de Dieu et que nous l’appliquions (Luc 9:48).
- Que nous recevions les enfants au nom du Seigneur (Luc 9:48).
- Que nous ne nous retournions pas après avoir mis la main à la charrue (Luc 9:62).
- Que nous demandions le Saint-Esprit (Luc 11:13).
- Que nous veillions à ce que la lumière en nous ne devienne pas ténèbres (Luc 11:35).
- Que nous n’aimions ni les salutations respectueuses, ni les places d’honneur (Luc 11:43).
- Que nous n’écrasions pas les autres avec de lourds fardeaux que nous ne sommes pas disposés à porter nous-mêmes (Luc 11:46).
- Que nous ne persécutions pas Ses prophètes (Luc 11:49).
- Que nous n’emportions pas la clé du savoir ni n’empêchions personne à entrer dans la vraie connaissance de Dieu (Luc 11:52).
- Que nous fassions attentions aux chefs religieux hypocrites (Luc 12:1).
- Que nous ne soyons pas effrayés de ceux qui ne peuvent nous tuer physiquement seulement (Luc 12:4).
- Que nous craignions celui qui après avoir tué, a l’autorité d’envoyer en enfer (Luc 12:5).
- Que nous ne parlions contre ni ne blasphémions Jésus ou le Saint-Esprit (Luc 12:10).
- Que nous fassions attention à toute forme de cupidité (Luc 12:15).
- Que nous n’amassions pas de richesse pour nous-mêmes, mais que nous soyons riches envers Dieu (Luc 12:21).
- Que nous vendions nos biens et que nous les donnions en aumône (Luc 12:33).
- Que nous portions des fruits (Luc 13:6-9).
- Que nous nous efforcions à entrer par la porte étroite (Luc 13:24).
- Que nous ne prenions pas de place d’honneur et que nous ne élevions pas non plus, au contraire, nous devons être humbles, prenant toujours la dernière place (Luc 14:8-10).
- Que nous l’aimions beaucoup plus que ceux que vous aimons le plus (Luc 14:26).
- Que nous sachions d’abord le prix à payer en devenant son disciple (Luc 14:28-32).
- Que nous mettions sous sont contrôle nos biens matériels (Luc 14:33).
- Que nous nous réjouissions lorsque Dieu montre sa miséricorde aux pécheurs et qu’il les sauve (Luc 15:1-32).
- Que nous ayons pitié des pauvres (Luc 16:19-31).
- Que nous soyons fidèles dans les petites choses et en ce qui concerne l’argent (Luc 16:9-11).
- Que nous reprenions le frère, s’il pêche et que nous le pardonnions, s’il se repent (Luc 17:3-4).
- Que nous nous considérions comme des serviteurs indignes, mêmes tout ce qui nous a été commandé (Luc 17:7-10).
- Que nous priions à tout moment et que nous ne perdions pas le courage (Luc 18:1).
- Que nous ne considérions pas nous-mêmes des justes et que nous ne regardions pas non plus les autres avec condescendance (Luc 18:9).
- Que nous soyons toujours en alerte, priant toujours afin d’avoir de la force pour échapper aux épreuves précédant la venue du Christ et que nous puissions tenir devant Jésus (Luc 21:36).
- Que nous proclamions dans toutes les nations la repentance des péchés au nom de Jésus Christ (Luc 24:47).
- Que nous naissions de nouveau (Jean 3:3).
- Que nous croyions en Jésus (Jean 3:16).
- Que nous l’adorions en esprit et en vérité (Jean 4:23-24).
- Que nous honorions Jésus (Jean 5:23).
- Que nous recherchions la gloire venant de Christ (Jean 5:44).
- Que nous croyions les écrits de Moïse (Jean 5:46-47).
- Que nous ne travaillons pas pour la nourriture qui périt, mais pour celle qui sert à la vie éternelle que Jésus donne (Jean 6:27).
- Que nous mangions le corps et que nous buvions le sang de Jésus-Christ (Jean 6:53-54).
- Que nous ne jugeons pas selon les apparences, mais selon la justice (Jean 7:24).
- Que nous demeurions dans la parole de Jésus (Jean 8:31).
- Que nous gardions les paroles de Jésus (Jean 8:51).
- Que nous servions Jésus (Jean 12:26).
- Que nous nous aimions les uns les autres comme Jésus nous a aimés (Jean 13:34).
- Que nous croyions qu’Il est dans le Père et que le Père est en lui (Jean 14:11).
- Que nous fassions les oeuvres que Jésus avait accomplies et que nous en fassions de plus grandes (Jean 14:12).
- Que nous aimions Jésus et que nous gardions ses commandements (Jean 14:15).
- Que nous demeurions dans l’amour de Jésus (Jean 15:9).
- Que nous lui demandions n’importe quoi, au nom de Jésus (Jean 16:24).
- Que nous ayons du courage dans les tribulations (Jean 16:33).
Et les ordres ou directives qui sont extraits simplement de la lettre aux Romains:
Dieu veux que :
- Nous n’oppressions pas la vérité (Romains 1:18)
- Nous ne soyons pas coupables d’idolâtrie (Romains 1:23)
- Nous ne remplacions pas la vérité de Dieu par le mensonge (Romains 1:25)
- Nous ne soyons pas homosexuels (Romains 1:26-27)
- Nous ne soyons ni cupides, ni envieux, ni trompeurs, ni malicieux, ni insolents, ni menteurs, ni arrogants, ni colériques, ni désobéissants envers nos parents,
- indignes de confiance, méchants et impitoyables (Romains 1:29-31)
- Nous ne soyons ni adonnés aux commérages, ni à la calomnie (Romains 29:30)
- Nous n’approuvions pas ceux qui commettent le péché (Romains 1:32)
- Nous ne prenions pas à la légère les richesses de sa bonté et de sa patience (Romains 2:4)
- Nous persévérions à bien faire (Romains 2:7)
- Nous recherchions la gloire, l’honneur et l’immortalité (Romains 2:7)
- Nous n’ayons pas d’ambitions égoïste (Romains 2:8)
- Nous ne maudissions, ni ne disions des paroles amères (Romains 3:14)
- Nous nous considérions morts au péché, mais vivants en Christ (Romains 6:11)
- Nous ne permettions à aucun péché de régner dans notre corps en obéissant à ses désirs (Romains 6:12)
- Nous nous présentions à Christ comme ceux qui sont revenus de la mort et que nos membres comme instruments de la justice pour Dieu (Romains 6:13)
- Nous ne convoitions pas (Romains 7:7)
- Nous ne vivions pas selon la chair, mais que nous fassions mourir les oeuvres de la chair par l’esprit (Romains 8:12-13)
- Nous présentions nos corps comme des sacrifices saints et vivants (Romains 12:1)
- Nous ne soyons pas conformes au monde, mais que nous soyons transformés par le renouvellement de notre intelligence (Romains 12:2)
- Nous ne tenions pas nous-mêmes en haute estime (Romains 12:3)
- Nous exercions nos dons selon la grâce qui nous a été accordée (Romains 12:6)
- Nous aimions les autres sans hypocrisie (Romains 12:9)
- Nous détestions ce qui est mauvais, mais que nous nous attachions à ce qui est bon (Romains 12:9)
- Nous dévouions les uns aux autres dans l’amour fraternel, usant de prévenances réciproques (Romains 12:10)
- Nous ne manquions pas de zèle (Romains 12:11)
- Nous soyons fervents en esprit et que nous servions le Seigneur (Romains 12:11)
- Nous réjouissions en espérance (Romains 12:12)
- Nous soyons patients dans les afflictions (Romains 12:12)
- Nous persévérions dans la prière (Romains 12:12)
- Nous pourvoyons aux besoins des saints (Romains 12:13)
- Nous pratiquions l’hospitalité (Romains 12:13)
- Nous bénissions ceux qui nous persécutent et que nous ne les maudissions pas (Romains 12:14)
- Nous nous réjouissions avec ceux qui se réjouissent et que nous pleurions avec ceux qui pleurent (Romains 12:15)
- Nous n’aspirions pas à ce qui est élevé, mais que nous nous laissions attirés par ce qui est humble (Romains 12:16)
- Nous ne rendions à personne le mal pour le mal (Romains 12:17)
- Nous recherchions ce qui est bien devant tous les hommes (Romains 12:17)
- Nous soyons en paix avec tous, autant que cela dépend de nous (Romains 12:18)
- Nous ne nous vengions pas nous-mêmes (Romains 12:19)
- Nous nourrissions nos ennemis s’ils ont faim et que nous leur donnions à boire s’ils ont soif (Romains 12:20)
- Nous ne soyons pas vaincus par le mal, mais que nous le dominions par le bien (Romains 12:21)
- Nous soyons soumis aux autorités (Romains 13:1)
- Nous ne devions rien à personne si ce n’est l’amour (Romains 13:8)
- Nous laissions tomber les oeuvres de la chair et que nous nous revêtions de l’armure de la lumière (Romains 13:12)
- Nous marchions honnêtement, comme en plein jour, loin des excès et de l’ivrognerie, de la luxure et de l’impudicité, des querelles et des jalousies. Mais que nous nous revêtions du Seigneur, et que nous n’ayons pas soin de la chair pour en satisfaire les convoitises (Romains 13:13-14)
- Nous supportions ceux qui sont faibles dans la foi (Romains 14:1)
- Nous ne jugions nos frères ni ne les regardions avec condescendance (Romains 14:10)
- Nous ne mettions d’obstacle ni de pierre d’achoppement sur le chemin de notre frère (Romains 14:13)
- Nous recherchions tout ce qui contribue à la paix et à l’édification des uns et des autres (Romains 14:19)
- Nous devions supporter les faiblesses de ceux qui ne sont pas forts et ne pas nous complaire en nous-mêmes (Romains 15:1)
- Nous devions prendre garde à ceux qui causent des divisions et des scandales, au préjudice de l’enseignement que vous avez reçu. Nous devons nous éloigner d’eux (Romains 16:17)
……
Cette page est tirée d’un livre de David Sheperd : » THE GREAT GOSPEL DECEPTION » (chapitre 11) – Source http://www.eglisedemaison.com/livres/kirkwood/ggd/index.html
============================================
À LIRE DANS LE MÊME ORDRE D’IDÉE…
UNE FOIS SAUVÉ, TOUJOURS SAUVÉ : Est-ce un autre évangile ? Par Claude Lamontagne
http://www.michelledastier.org/index.php/2008/01/10/954-une-fois-sauve-toujours-sauve-est-ce-un-autre-evangile-par-claude-lamontagne __ UNE FOIS SAUVÉ TOUJOURS SAUVÉ,__ suite, Par Claude Lamontagne
[…] Source : https://michelledastier.com/l-assurance-du-salut-par-david-shepherd/#more-342 […]