» Car il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni rien de secret qui ne doive être connu » (Mat 10 :26)



Connaissez-vous un excellent moyen d’enrichir les banques et les sociétés financières privées ? Rien de plus simple : déclencher des guerres et des catastrophes !

C’est un remède très efficace qui a fait ses preuves durant des siècles. Seules ont changées les tactiques et les armes :

Haïti (janvier 2010), la marée noire du Golfe du Mexique (Deepwater Horizon/BP- avril 2010), World Trade Center (2001), Tchernobyl(1986), Bhopal (Union Carbide 1984), et aujourd’hui Fukushima au Japon, sans oublier l’actuelle ingérence meurtrière des Nations unies, au nom d’un certain  » impérialisme humanitaire  » en Libye et en Côte d’Ivoire… que nous réserve encore le monde de demain ?

La misère humaine est une denrée qui se vend : les médias font leurs choux gras d’images saisissantes qui dépeignent avec force détails les situations les plus horribles. Famines, séismes, épidémies, accidents nucléaires ou autres font l’objet de reportages qui frappent de plein fouet l’imaginaire et le quotidien des centaines de millions de spectateurs que nous sommes, impuissants à  faire quoi que ce soit, si ce n’est à  nous lamenter et à  déplorer une fois de plus la triste condition de cette humanité en plein déclin. C’est aussi une bonne façon d’encenser les ONG et autres associations humanitaires qui, grâce à  la détresse des autres peuvent confortablement vivre, et dont les fonds, amassés en agissant sur les émotions et les peurs refoulées, ne servent pas forcément pour ce à  quoi ils devraient…

La journaliste canadienne Naomi Klein, dans son best-seller  » La stratégie du choc  » paru en 2008, avait dénoncé ce capitalisme du désastre qui consiste à  mettre en place des opérations concertées dans le but d’assurer la prise de contrôle de la planète par  »  les tenants d’un ultralibéralisme tout-puissant « . La loi du marché, par le truchement des accords de libre-échange et la spéculation, sont les maître-mots, et se substituent aux valeurs démocratiques auxquelles aspirent les peuples. C’est cette stratégie qui est directement issue de la dialectique hégélienne : thèse-antithèse-synthèse. Créer le désordre pour imposer un nouvel ordre, avec ou sans l’assentiment du peuple, considéré comme quantité négligeable. D’ailleurs une des préoccupations essentielles de ces élites mafieuses sans scrupules, à  l’esprit retors, est de diminuer la population mondiale par tous les moyens (la fin justifie les moyens) pour mieux jouir des bienfaits d’une terre renouvelée et plus conforme à  un idéal  » écologiquement correct  » où seuls ceux qui en ont les moyens pourront vivre confortablement.

Chronique d’une catastrophe annoncée


Le Japon dépend à  80% de l’étranger pour son approvisionnement en énergie primaire. Il est un des plus gros importateurs de pétrole derrière les Etats-Unis, de gaz naturel liquéfié et de charbon. Le secteur de la production électrique est dominé par 10 grandes compagnies privées disposant d’un quasi-monopole régional, la plus grande d’entre eux étant TEPCO (Tokyo Electric Power Compagny). Ces 10 compagnies fournissent à  elles seules 75% de la production totale d’électricité du pays. Les 54 réacteurs nucléaires produisent 30% de la production électrique et cette part aurait dû être portée à  40% en 2017…

Les gouvernements japonais d’après-guerre ont misé sur le nucléaire civil pour contribuer à  l’indépendance énergétique du pays, et ce développement se révèle être un enjeu stratégique majeur.

La fabrication des combustibles est dominée par le Japon. Cependant, AREVA(1), Mitsubishi Heavy Industries Ltd (MHI), Mitsubishi Material Corp. (MMC) et Mitsubishi Corporation (MC) ont signé en décembre 2008 un accord quadripartite pour établir une coentreprise (la MNF) spécialisée dans le combustible nucléaire. MNF intègrera le développement, la conception, la fabrication et la commercialisation de combustible nucléaire. En 2009, la compagnie japonaise Kansai-Sojitz a signé avec AREVA pour la prise d’une participation de 2,5% du capital de la holding de la Société d’enrichissement du Tricastin (SET). CEZUS, filiale d’AREVA, présente au Japon depuis plus de 20 ans, fournit directement et indirectement une part significative du zirconium(2) consommé au Japon. En septembre 2009, elle a pris une participation de 33% du capital du fabricant de tubes japonais Zirco Products. Cette société est un client de longue date de CEZUS. Cette alliance permettra à  AREVA de renforcer considérablement ses parts de marché au Japon, tout en développant des synergies industrielles avec ses usines européennes. Pour finir, CERCA, autre filiale d’AREVA et leader mondial dans la fabrication de combustibles pour les réacteurs de recherche, fournit 100% du marché japonais…

L’accident de la centrale nucléaire de Fukushima n’est pas due au hasard.

Il y a, sous réserve de preuves tangibles à  apporter, de fortes présomptions autour de ce que l’on pourrait appeler un enchaînement de circonstances pour le moins fâcheux. Maintenant reste à  savoir si cet enchaînement ne comporte pas en lui-même un enchaînement, disons, programmé, qui, justement obéirait à  cette volonté de destruction et de désordre qui est l’apanage des criminels en col blanc du Nouvel Ordre Mondial.

Un fait est certain : l’utilisation d’un combustible à  mauvaise réputation, le Mox (mélange d’oxydes) dans l’un des réacteurs de la centrale japonaise qui suscite de très nombreuses interrogations, et à  propos duquel la société AREVA préfère se taire, pourrait bien être indirectement à  l’origine de cette monstrueuse catastrophe. Certes le séisme et le tsunami qui s’en est suivi sont incontestablement des facteurs déclenchants, nul ne peut le nier. Mais depuis que nous connaissons l’existence de la technologie HAARP(3), l’hypothèse de la  » fabrication  » du séisme peut être sérieusement envisagée, avec les conséquences que l’on sait.

 » Les écologistes s’opposent à  un convoi de combustible Mox fabriqué par une filiale d’Areva en direction du Japon.

Les Écologistes ne relâchent pas la pression contre le nucléaire. Europe Écologie Les Verts appelle vendredi le gouvernement français à  annuler un convoi de combustible Mox de Cherbourg vers le Japon. Le mouvement juge ce transport « indécent » au moment où le peuple japonais « pleure ses morts dans l’angoisse permanente des rejets, contaminations et risques insupportables que fait peser la centrale de Fukushima. » D’autant plus indécent que c’est justement « le réacteur chargé en MOX -le numéro 3- qui suscite le plus d’inquiétude », peut-on lire dans un communiqué.

EELV rebondit alors que Greenpeace a annoncé ce jeudi que ce convoi est bel et bien programmé autour du 4 avril, quand Areva avait évoqué un report la semaine passée. Areva n’a pas souhaité confirmé ce départ imminent.

Mais report ou pas, le débat n’est en tout cas pas prêt de s’éteindre autour du MOX, une grande spécialité française. Abréviation de « mélange d’oxydes », ce combustible combine de l’uranium appauvri mais aussi du plutonium (6 à  7 %) issu de combustibles usés sortant des centrales nucléaires ou du désarmement. Depuis plus de dix ans, Greenpeace souligne ses dangers et préconise d’y renoncer en particulier dans les réacteurs de Fukushima. D’abord car le MOX entre en fusion plus rapidement que les combustibles ordinaires, alimentés au seul uranium, souligne un communiqué de l’ONG. Il est « bien plus réactif que les combustibles standard », estime aussi Jean-Marie Brom, ingénieur atomique, directeur de recherches au CNRS, interrogé par l’AFP. Ensuite car le plutonium, qui n’existe pas à  l’état naturel, serait plus toxique que l’uranium. « C’est un poison chimique violent. Le mieux aurait été de ne pas en mettre du tout », ajoute Jean-Marie Brom. Sa « toxicité est redoutable: il suffit d’en inhaler une particule pour développer un cancer du poumon« , ajoute le Réseau Sortir du nucléaire (RSN).

En cause à  Fukushima?

Ce qui ne prouve pas -pour l’heure- son rôle dans l’accident nucléaire actuel, dont les causes restent encore à  déterminer, reconnaît Greenpeace: « L’état du combustible, l’étendue des dégâts, au sein du réacteur 3 restent peu clairs, en conséquence, définir s’il s’agit ou non d’un facteur de l’accident reste une question ouverte ». Toutefois, l’ONG estime que « l’utilisation du combustible MOX a réduit les marges de sécurité et a rendu la situation beaucoup plus difficile à  gérer pour les opérateurs, tout en augmentant quelque part les émanations radioactives ».

De son côté, Melox, filiale d’Areva et leader mondial de la fabrication de MOX, écarte toute responsabilité: « En l’état actuel des connaissances et d’après nos experts, il n’y a pas d’incidence particulière lié au fait d’avoir du combustible MOX dans le réacteur« , a indiqué la responsable de la communication de Melox, Nathalie Bonnefoy. « L’événement qui touche cette centrale est vraiment indépendant du type de combustible utilisé. La vraie problématique, c’est le refroidissement du cœur du réacteur », a-t-elle ajouté, sans manquer de rappeler l’un des arguments en faveur du MOX, le fait qu’il  » recycle  » une partie des matières irradiées. Mais le Mox lui-même n’est pas retraité après utilisation, doit-on préciser.

Début 2010, 38 réacteurs étaient chargés en MOX dans le monde: 36 en Europe, dont 20 en France, un aux Etats-Unis et un au Japon. Et deux nouvelles commandes ont été passées pour des réacteurs situés au Japon, selon Greenpeace.  » (Source : JDD.fr 25/03/2011)

Le nucléaire…mauvaise alternative à  l’épuisement du pétrole mondial

Lors de sa conférence annuelle en juin 2006 à  Ottawa (Canada), le Groupe Bilderberg s’est fortement inquiété au sujet des questions énergétiques mondiales. Ces  » têtes pensantes « se sont rendues à  l’évidence que les prix du pétrole allaient continuer à  augmenter de façon vertigineuse puisque les réserves mondiales étaient en train de s’épuiser, contrairement à  ce que l’on laissait croire à  l’opinion publique. C’est pour cette raison essentielle que les opérations de prospection et de construction de raffineries ont beaucoup diminué ces dernières années, car les patrons des plus grosses sociétés (BP, Royal Dutch Shell, Exxon Mobil…), qui sont d’actifs membres du groupe, ont peur de ne plus pouvoir rentabiliser leurs investissements. Pour eux, comme pour certains analystes financiers de journaux comme le Financial Times ou le Wall Street Journal, la fin du pétrole signifie clairement l’effondrement du système financier mondial. Au cours de cette réunion, il fut envisagé-déjà  à  l’époque- d’estimer le prix du baril à  150 dollars !

Il faut donc à  tout prix chercher du pétrole là  où il se trouve encore : au Moyen-Orient, ce qui va engendrer un problème stratégique majeur : comment faire pour s’approprier cette ressource vitale sans être  » obligé  » d’engendrer des conflits armés. L’invasion de l’Irak, et actuellement de la Libye nous donnent clairement la réponse.

Malheureusement l’énergie nucléaire ne peut pas être une alternative raisonnable à  la pénurie menaçante du pétrole, pour la bonne et simple raison que beaucoup d’industries ont encore besoin de pétrole pour fonctionner, et que la recherche sur les énergies de remplacement ne sont pas près d’aboutir…en outre c’est un mode d’énergie dangereux on le voit car difficilement maîtrisable, les conséquences environnementales et humaines en cas d’accident étant incalculables à  long terme


acrobaties financières du Groupe Carlyle-ses implications dans les  » affaires « .

C’est un fonds d’investissement privé américain créé en 1987 à  New-York. Actuellement présidé par Louis Gerstner Jr, ancien patron d’IBM et financé par des personnages tels Colin Powell, Caspar Weinberger, Henri Martre (Matra Aérospatial) George H.W. Bush, Fidel Ramos ex-président des Philippines et surtout Frank Carlucci, ancien directeur de la CIA, mais également Olivier Sarkozy, demi-frère de Nicolas Sarkozy, et Shafiq Ben Laden, demi-frère d’Oussama. Cette puissante organisation, surnommée  » le triangle de fer-Iron Triangle) a été surtout spécialisée dans la fabrication et le financement de trafic d’armes. Mais sa tactique préférée de réussite consiste dans la prise de contrôle de sociétés en difficulté ou sous-capitalisées, qui généralement proviennent d’anciennes firmes d’État privatisées. Après rachat et rentabilisation de ces sociétés, elles sont revendues au bout de cinq ans avec une plus-value très conséquente.

Carlyle est donc aussi un fonds spéculatif qui engrange de très confortables bénéfices qui serviront à  financer d’autres rachats, et surtout à  monnayer des conflits, et, pourquoi pas des coups d’État et autres guérillas, toujours dans le but d’apporter des solutions dont le groupe détient un quasi-monopole grâce à  toutes les firmes qui, à  la fois lui servent d’écran et sont les dépositaires et exécutants attitrés de son savoir-faire tous azimuts (Certains le qualifient de  » faux-nez de la CIA « ). Le groupe est ainsi capable de répondre à  n’importe quel appel d’offres, de l’aéronautique aux télécoms, de l’électronique de défense à  la décontamination nucléaire, bactériologique et chimique, en passant par la production d’armes lourdes (chars, canons, missiles…). Ses participations dans les nanotechnologies (micro puce), biotechnologies et semi-conducteurs en font l’un des principaux centres de recherche et développement sur les infrastructures de l’information, le nucléaire et les programmes génétiques (antiviraux). En octobre 2001 aux États-Unis est survenue la psychose liée à  l’anthrax.

Carlyle a vendu la solution, car détenant 25% d’une société, IT Group spécialisée dans le nettoyage de déchets environnementaux et toxiques. En situation financière délicate avant l’histoire de l’anthrax, IT Group signe, au cours de cette période, plusieurs contrats de désinfection dans des bâtiments  » contaminés  » comme le Hart Senate Office Building et le centre de tri postal de Trenton. Carlyle sera de nouveau en première ligne avec la société Bioport, détenant le seul contrat gouvernemental pour la réalisation d’un vaccin expérimental, et néanmoins controversé, contre l’anthrax.

On voit tout de suite le rapport…qui peut jurer que demain une société appartenant à  Carlyle ne sera pas en première ligne pour les travaux de décontamination du site de Fukushima et de ses environs ? Les appels d’offres ont déjà  commencé. On peut cyniquement estimer que grâce à  cette catastrophe les vieux jours des dirigeants et mécènes de Carlyle sont très largement assurés…

L’Autorité de sûreté nucléaire française(ASN), par la voix de son président M. Lacoste, estime qu’il faudra plusieurs dizaines d’années au Japon pour éradiquer les rejets radioactifs de sa centrale. Des relevés indiquent par exemple, des taux anormalement élevés d’iode radioactif et de césium dans l’eau d’un village situé à  plus de 40km de Tokyo. Le phénomène peut d’ailleurs s’aggraver en raison des conditions météo et s’étendre jusqu’à  plus de 100Km de la centrale…

Quoiqu’il en soit, c’est une fois de plus la population qui paye le prix fort de cet enchaînement de catastrophes, il ne faut pas l’oublier. Un dernier bilan fait état de 10.804 morts et 16.244 disparus ; 42.881 personnes évacuées qui se retrouvent dans des hébergements provisoires ; environ 177.500 habitants ont été évacués de la zone autour de la centrale ; 192.339 foyers sont privés d’électricité et 530.000 privés d’eau courante à  la date du 26 mars. Le gouvernement évalue les dégâts entre 16.000 et 25.000 milliards de yens soit 198 à  309 milliards de dollars (AFP-27/03/2011). Comme le relate l’article qui suit, cet accident s’inscrit bien dans le processus de mondialisation dont les échéances ne cessent de se préciser de mois en mois.

 » L’accident nucléaire au Japon plaide en faveur de la définition de règles mondiales en matière de sûreté nucléaire, à  l’instar de ce qui s’est fait dans l’aéronautique’, a déclaré aujourd’hui Pierre Gadonneix, ancien PDG d’EDF et président du Conseil mondial de l’énergie. « Le fait nouveau, c’est qu’il apparaît que le nucléaire, comme d’autres aspects de la sécurité industrielle, ne sont pas nationaux: ils sont mondiaux« , a dit M. Gadonneix sur BFM Radio. « Clairement, le monde entier est concerné dès lors qu’il y a un incident quelque part sur la planète. Donc je pense qu’il faut aller, et qu’on va aller, vers une gouvernance mondiale« , a-t-il ajouté. « On ne peut pas se contenter d’avoir des autorités de sûreté qui, chacune dans leur domaine géographique, définissent des règles et les contrôlent« , a plaidé M. Gadonneix, qui est président du conseil de surveillance de l’équipementier aéronautique Latécoère. Selon lui, les autorités du monde entier doivent s’entendre sur des « objectifs communs de sécurité« , à  l’instar de l’aéronautique où l’on « est arrivé à  des règles de sûreté qui sont mondiales« . Cependant, cette solidarité, qui implique qu’il ne « peut pas y avoir de la concurrence sur la sûreté« , revient pour les Etats à  abandonner une « forme d’autonomie« . « Ce n’est pas neutre sur le plan politique mais je pense que c’est un débat qui va s’ouvrir », a-t-il reconnu. »  » (Le Figaro.fr-16/03/2011)


Ce malheur qui frappe de plein fouet un pays développé et à  la pointe de la technique doit nous obliger à  réfléchir sur nous-même : pourquoi cela ne se passerait-il pas chez nous, après tout nous ne sommes ni meilleurs ni pires que les japonais, et comme le relate l’évangile à  propos de la tour de Siloé (Lc 13 :1-5), Jésus enjoint ceux qui l’écoutent à  se repentir plutôt qu’à  chercher des causes et des raisons à  tout.

Le temps des jugements est là . Dieu procède à  un grand nettoyage des nations de tout ce qui les souille : impudicité, avortements, crimes, corruption, sorcellerie…

 » Autrefois vous étiez ténèbres, et maintenant vous êtes lumière dans le Seigneur. Marchez comme des enfants de lumière ! Car le fruit de la lumière consiste en toute sorte de bonté, de justice et de vérité. Examinez ce qui est agréable au Seigneur ; et ne prenez point part aux œuvres infructueuses des ténèbres, mais plutôt condamnez-les. Car il est honteux de dire ce qu’ils font en secret ; mais tout ce qui est réprouvé apparaît en pleine lumière, car tout ce qui est ainsi manifesté est lumière. Prenez donc garde afin de vous conduire avec circonspection, non comme des insensés, mais comme des sages ; rachetez le temps, car les jours sont mauvais. «  (Ep 5 :8-14 ; 15-16)

Soyez bénis.

(1)AREVA, puissant groupe français, numéro un mondial du nucléaire, est dirigé par Anne Lauvergeon, membre actif du groupe BILDERBERG, club secret mondialiste bien connu. Elle est également membre de la COMMISSION TRILATERALE, autre organisation secrète, qui regroupe des personnalités d’Europe, des États-Unis et du Japon…et fait partie des Young Leaders France depuis 1996 (French American Fondation) une branche très active des mondialistes euro-atlantistes.

(2) Le zirconium est un élément chimique, de symbole Zr et de numéro atomique 40.Il a été découvert par Martin Heinrich Klaproth, qui l’a extrait du zircon en 1789 sous forme d’oxyde. En 1824, Jà¶ns Jacob Berzelius l’a isolé sous forme de métal. C’est un métal de transition appartenant, avec le titane et le hafnium, à  la colonne IVa de la classification périodique des éléments. (Wikipédia)

(3) voir nos chroniques  » SOS Haïti  » sur ce blog (15/01/ 2010) concernant le réseau HAARP et  » Indésirable Haïti  » (23/11/2010) à  propos du pillage du sous-sol haïtien riche en minerais précisément utilisés dans les centrales nucléaires, le tout entrant dans le cadre de l’agenda mondialiste concernant les ressources énergétiques.