Source: Dreuz-info

Je lisais encore les journaux français, à dose homéopathique, jusqu’au 3 novembre. J’ai cessé de les lire deux jours plus tard. Une dose trop élevée de malhonnêteté me donne des aigreurs d’estomac, et je m’en passe. Je vais consacrer un article à rappeler quelques vérités indispensables.

 

Je veux ici énoncer trois ou quatre points importants. D’abord, Joe Biden n’est pas davantage Président élu des Etats-Unis que je ne suis le roi de France ou un chef de tribu en Papouasie. On a inventé pour lui la notion de “Bureau du Président élu”, mais il n’a jamais existé dans l’histoire des Etats-Unis un “Bureau du Président élu”. On lui a construit un décor de carton dans un hangar à côté de chez lui pour qu’il s’y croie. Le décor me semble un peu grand pour pouvoir rentrer dans le sous-sol de sa maison où il a toutes les chances de devoir retourner au mois de Janvier.

Certes, il y a eu une fraude électorale d’une immense ampleur : les Démocrates ont vraiment fait les choses en grand. Ils ont fait voter des milliers de morts et on me dit qu’à Philadelphie, Benjamin Franklin lui-même a voté Démocrate, et cela reste à vérifier, mais cela ne m’étonnerait pas. Les Démocrates ont utilisé de faux bulletins de vote, utilisé des logiciels très élaborés qui permettent de faire passer des milliers de vote d’une colonne à une autre. Ils ont aussi utilisé des moyens plus artisanaux : falsification de signatures, mise à la poubelle de bulletins valides. Ils ont bénéficié de la complicité de tous les grands médias américains, de celle de Twitter, Facebook, Google et Wikipédia. Mais s’ils pensaient que la fraude ne se verrait pas, ils ont raté leur coup.

Et surtout, en voulant voler l’élection, ils ont choisi la mauvaise personne. Donald Trump n’est pas une lavette façon Mitt Romney ou Jeb Bush. C’est quelqu’un qui se bat, et qui a l’énergie requise. C’est aussi quelqu’un qui a l’intelligence requise. Je pense que cela va mal se passer pour les Démocrates, et c’est d’ores et déjà en train de très mal se passer.

Les Démocrates demandent à Trump de “concéder” : cela prête à sourire lorsqu’on connait Trump. La Cour Suprême des Etats-Unis a exigé que les votes arrivés après le 3 novembre à vingt heures en Pennsylvanie ne soient pas comptés et soient mis à part, et cela en soi, va faire repasser sans doute la Pennsylvanie du côté du vainqueur, Donald Trump.

La décision prise concernant la Pennsylvanie fait jurisprudence et s’appliquera à tous les Etats où les résultats sont litigieux, et en particulier dans le Michigan et le Wisconsin. En Géorgie les autorités locales ont pris les devants et décidé de faire procéder à un recomptage des bulletins en excluant tout bulletin arrivé après la date et l’heure. Une décision du même genre va être prise sans doute en Arizona. Rudy Giuliani, ancien procureur, ancien maire de New York, avocat de Donald Trump, a déposé un ensemble de plaintes à Philadelphie et à Pittsburgh, et il va être difficile aux juges de nier l’évidence dès lors que Rudy Giuliani va présenter des preuves innombrables. Le Ministre de la justice William Barr a lancé une série d’enquêtes et a déclaré qu’aucun résultat ne pouvait être validé pour le moment.

Des milliers de responsables de bureaux de vote démocrates, d’agents de dépouillement démocrates, de responsables de mairies vont voir arriver chez eux des agents du FBI, du ministère de la justice et du ministère de la sécurité intérieure et vont devoir répondre sous serment, en sachant que s’ils mentent et s’il y a des preuves de leurs mensonges, ils vont passer par la case prison : il est vraisemblable qu’on leur proposera de dire tout ce qu’ils savent en échange d’une mansuétude de la justice, et il est très probable que nombre d’entre eux parleront.

D’autres actions se préparent. Une grande manifestation est prévue samedi à Washington, DC. Donald Trump va parler. Ses plus récents messages sont éloquents : avant d’aller très sereinement jouer au golf Samedi, il a envoyé un tweet disant : I won, by a lot. « J’ai gagné, de beaucoup ». Mardi 10 novembre, il a dit : Wait until you see what is coming. « Attendez jusqu’à ce que vous voyiez ce qui va venir ». Et Donald Trump ne parle jamais à la légère. Répondant à un journaliste qui lui parlait de la transition du pouvoir vers les Démocrates, le Secrétaire d’Etat Mike Pompeo a répondu qu’il allait y avoir une transition douce du pouvoir vers une deuxième administration Trump au mois de Janvier. Et Mike Pompeo ne parle lui non plus jamais à la légère.  En dernier recours, la Cour Suprême sera appelée à trancher, et elle est la gardienne des institutions : elle comprend un juge d’une immense qualité, Clarence Thomas, que Joe Biden a tenté de lyncher en 1991, et Clarence Thomas sait vraiment qui est Joe Biden. La Cour Suprême comprend une majorité de juges respectant la Constitution, et celle-ci ne prévoit pas d’entériner les fraudes et de transformer les Etats-Unis en une annexe du Venezuela.

Il faut 270 grands électeurs pour être élu Président. Si on ne compte que les chiffres ratifiés, Joe Biden en a 226. Donald Trump en a 232. Il serait très surprenant que la Pennsylvanie ne rejoigne pas la colonne Trump, ce qui porterait le total de celui-ci à 252. La Géorgie porterait le total à 268. L’Arizona le porterait à 279. Ce serait suffisant.

CNN, l’Associated Press, et Fox News, qui a largement basculé à gauche et perdu samedi les deux tiers de ses téléspectateurs, pour le plus grand bonheur de Newsmax, continuent à placer Joe Biden au-dessus de la barre des 270, d’une manière pour l’heure totalement arbitraire. Le New York Times, le Washington Post, et toute la presse française s’accrochent aux chiffres de CNN, l’Associated Press et Fox News, et disent que Joe Biden est le 46ème Président. Cela s’appelle vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué, et vendre la peau de Donald Trump est pour l’heure très audacieux. C’est aussi entériner une action scandaleuse que j’ai défini comme un coup d’Etat. Il y a de fortes chances aujourd’hui que ce soit un coup d’Etat raté.

Si Donald Trump reste Président, il va y avoir des hurlements à gauche, des émeutes sans doute. Cela montrera un peu davantage le visage hideux, ignoble, malsain, vénéneux, exécrable de la gauche. CNN, l’Associated Press, Fox News, le New York Times, le Washington Post et toute la presse française diront que Trump est un usurpateur. Cela ne changera quasiment rien à ce qu’ils disent de lui depuis le 8 novembre 2016. Cela rajoutera juste quelques mots à leur vocabulaire ordurier. Ce sont déjà des médias crapuleux et méprisables, ce seront des médias très crapuleux et très méprisables. J’utiliserais bien volontiers le vieux proverbe qui s’appliquerait le cas échéant : les chiens aboient, la caravane passe, mais utiliser le vieux proverbe est insultant pour les chiens, qui ont en général plus de droiture que les journalistes de gauche. Les chefs d’Etat et de gouvernement qui se sont précipités pour déclarer Donald Trump éliminé sans attendre les résultats officiels auront montré qu’ils n’ont pas l’étoffe d’hommes d’Etat et se seront faits complices d’un coup d’Etat raté. Donald Trump s’en souviendra.

Il reste possible que le coup d’Etat réussisse, mais au vu de ce que j’écris ici, cela me semble assez improbable. Les institutions américaines sont solides. Elles ont résisté à des guerres, et même à une guerre civile. Je veux penser qu’elles peuvent résister à un coup d’Etat, le premier de l’histoire américaine.

Je suis beaucoup moins pessimiste qu’il y a quelques jours. Et je redis ce que j’ai dit déjà : qu’un homme sénile, profondément corrompu et tenu par la Chine, entouré de gauchistes haineux, puisse devenir Président des Etats-Unis n’a cessé de me paraitre impensable. Les Etats-Unis ont présentement l’un des plus grands Présidents de leur histoire, et face à lui une bande de criminels. Je n’ai jamais eu de sympathie pour les criminels, et j’ai choisi les Etats-Unis parce que c’est un pays qui produit des hommes de l’étoffe de Donald Trump : solides, courageux, intègres.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.