Bruno Lacroix, rappelons-le, est un scientifique et un chercheur
L’intubation et la ventilation étaient, au départ, considérées comme le seul moyen de traiter les patients atteints de la COVID-19, mais au fur et à mesure de la progression de la pandémie, cette idée a été remise en question.
C’est certainement grâce aux italiens qui ont pratiqués des autopsies que l’on sait que les personnes ne mourraient pas de pneumonie … mais d’une *coagulation intravasculaire disséminée (thrombose).
La Covid 19 affecte d’abord les cellules situées dans la muqueuse du nez et de la gorge et, dans les cas les plus graves, atteint les poumons.
Il ne s’agit pas de pneumonie à proprement parler, car le virus/bactérie non seulement tue les pneumocytes, mais utilise une tempête inflammatoire pour créer une thrombose vasculaire endothéliale.
Comme dans la coagulation intravasculaire disséminée, le poumon est le plus touché car il est le plus enflammé, mais il y a aussi crise cardiaque, accident vasculaire cérébral et de nombreuses autres maladies thromboemboliques
Mais il peut aussi s’étendre à de nombreux autres organes : la létalité de la COVID-19 s’étend à pratiquement tout le corps.
Si le virus/bactérie n’atteint que les plus fragiles et les personnes souffrant de co-morbidités, il ne faut pas oublier les aspects vasculaires délétères sur nos organismes…. Bruno Lacroix
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