Si les Chrétiens ne parviennent pas à manifester Christ comme le veut le Seigneur, leur travail est voué à l’échec.
Il y a nombre de personnes qui sont en étroite communion avec Christ, et beaucoup se pressent en foule vers Jésus.
Quelques-unes ont vraiment touché le Seigneur de dos, ou ont saisi sa main, ou même, en essayant d’agripper le Seigneur, ont déchiré ses vêtements.
Mais, pour ce qui est de la vie, il n’y a pas de relation entre elles et le Seigneur.
Parmi celles qui se pressaient en foule vers le Seigneur, la femme souffrant d’hémorragie n’était pas la seule à être malade, mais elle fut la seule à être guérie.
Aujourd’hui, il y a des gens qui connaissent vraiment le Christ de Béthesda, le Christ du pays des Géraséniens et le Christ d’Emmaüs. Il se peut que dans leur expérience ils aient vraiment vu des signes et des miracles, ou même accompli des signes eux-mêmes. Il se peut qu’ils soient en mesure d’expliquer les écritures avec la force touchante d’Emmaüs, et que leur coeur brûle vraiment au-dedans d’eux.
Néanmoins, tous ceux-là sont sans réelle valeur. Si nous ne pouvons donner aux autres le Christ qui nous à été révélé,
notre oeuvre sera vouée à l’échec.
Ici, nous pouvons voir qu’il existe deux positions foncièrement différentes:
—> l’une consiste à mettre l’accent sur les oeuvres, l’explication des écritures, la connaissance biblique, la recherche de dons spirituels, de signes, de miracles, de prodiges, etc.
—>l’autre est la faculté de donner aux gens le Christ qui nous à été révélé.
(d’après W. Nee)
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