Ces quatre étapes se déployèrent de surcroît dans un climat général de tension, d’anxiété, sur fond de discours culpabilisant qui maintint, voire renforça pour beaucoup de gens, la sidération initiale, leur ôtant toute capacité d’analyse et de réflexion.
Les effets délétères de la politique mise en place se font sentir depuis déjà plusieurs mois, en particulier les effets sur la santé mentale des Français, les adultes et aussi et surtout les adolescents et les enfants. D’après le vice-président de la FCPE récemment interrogé sur une radio grand public, ce serait 35% des enfants qui iraient mal, maltraités par l’obligation du port du masque, additionné à l’ignoble culpabilisation dont ils ont fait l’objet en fin d’année dernière et à l’angoisse dans laquelle ils baignent quotidiennement. Les urgences et services pédiatriques sont débordés par des enfants souffrant de troubles psychiques. Si l’on a parfois lu dans tel ou tel media que des étudiants avaient mis fin à leurs jours, sans pour autant qu’y soit écrit ce qui est la réalité constatée sur le terrain, à savoir qu’il n’y en a jamais eu autant, peu de journaux, radio ou télévision se sont fait l’écho des suicides de tout jeunes enfants.
Sourd et aveugle à cette souffrance, car ce n’est clairement pas le « chèque psy » annoncé qui résoudra le problème, le gouvernement trace sa route : la vaccination comme seul salut ! En attendant, il s’agit de maintenir les Français sous emprise.
Jouer avec les signifiants, mais de façon maligne
Il est aujourd’hui manifeste que le gouvernement français, conseillé on ne sait trop comment et par qui, puisque la CADA a confirmé qu’il n’existe aucun compte-rendu du Conseil scientifique et que rien ne filtre du Conseil de Défense, a décidé, dans la plus grande opacité, de n’envisager que la seule approche vaccinale pour lutter contre la maladie. Le matraquage médiatique de l’année écoulée, répétant ad nauseam qu’aucun traitement n’existe contre la maladie, a rendu inaudible tout autre discours de prévention, jusqu’à celui du ministre de la santé lui-même. Celui-ci a en effet déclaré, à sa sortie de l’hôpital de Poissy le 18 mars dernier, que les patients attendaient trop longtemps chez eux avec leurs symptômes, que de ce fait, quand ils se présentaient enfin à l’hôpital, leur état justifiait des soins lourds de réanimation et que, dans certains cas, antibiotiques et oxygénothérapie à domicile pouvaient être proposés. Le ministère dont il a la charge n’a pourtant pas poussé la sollicitude envers les patients et le souci de la population jusqu’à faire relayer sur les radios ce message, de la même façon que l’avait été l’an dernier celui qui incitait tout un chacun à rester chez soi avec son Doliprane sous la main !
La vaccination donc comme seule mesure ? Non, hélas ! Méprisant de la façon la plus radicale l’étude faite par l’épidémiologiste le plus renommé et reconnu de la planète, le professeur John Ioannidis de Stanford, qui conclut à l’inefficacité au plan sanitaire des mesures telles que le confinement ou la fermeture des bars, restaurants et lieux culturels, le gouvernement s’est prononcé pour la troisième fois en à peine un peu plus d’un an, pour un confinement général de la population, assorti du couvre-feu toujours en vigueur depuis la mi-octobre dans certaines régions, et dont le Premier ministre a annoncé qu’il restera en vigueur jusqu’à nouvel ordre.
À l’occasion de ce troisième confinement, est apparue dans le discours officiel une formulation nouvelle : ce qui nous est imposé, ce sont des « mesures de freinage ». Qu’entendre dans ce glissement de vocabulaire ? Un signifiant fourre-tout pour éviter que les Français ne réalisent pleinement qu’ils sont de fait et une nouvelle fois, assignés à résidence, prisonniers dans leur propre pays, punis comme des délinquants à la moindre incartade ? Ou alors au premier degré, un coup de frein mis… à quoi ? À une épidémie dont les chiffres montrent qu’elle vit hors du contrôle d’humains, dont certains se croient Tout-Puissant, et qu’elle avait commencé à régresser avant même le début de ce troisième confinement ? A une économie qui bien qu’elle soit sous respirateur depuis plus d’un an, est déjà en récession et se relèvera très difficilement de ces mesures qui lui sont imposées ? Ou bien encore aux velléités de rébellion des quelques-uns qui ne croient plus du tout au discours officiel ?
Jouer ainsi avec les signifiants est typique du discours pervers pour asseoir et entretenir son emprise sur sa victime. Le signifiant est en psychanalyse un élément du discours qui parle au conscient mais aussi et surtout à l’inconscient, un élément extrêmement important qui nous représente et nous détermine en tant qu’humain. Il se reconnaît en ceci qu’il a un effet sur une personne ; ce peut être un effet de sens, « mort » par exemple largement utilisé il y a un an pour sidérer, mais aussi d’acte, pour commander ou pacifier, endormir ou réveiller. Chacun jugera ainsi de l’effet du signifiant « freinage ».
Pendant que l’attention et l’énergie de sa victime sont mobilisées à analyser, décrypter, comprendre ou interpréter son discours, le pervers, lui poursuit son œuvre destructrice. Jouer avec les signifiants lui permet de mieux manipuler sa victime. Ainsi le signifiant « cas » avait remplacé en juillet dernier le signifiant « morts », dont le décompte journalier était devenu trop faible pour durablement entretenir la peur, «cas» cohabite aujourd’hui avec «contaminations». Dans la même veine s’inscrit l’amalgame fait entre lits de réanimation, lits de soins intensifs et lits de surveillance continue, amalgame bien pratique pour faire grimper le taux d’occupation des services de réanimations, dont on sait que même hors contexte épidémique, système de tarification à l’acte des hôpitaux (T2A) oblige, ils sont en permanence à la limite de la saturation. Or, au-delà du signifiant «lits », le concept que recouvre chacune de ces trois dénominations est bien spécifique. Il n’empêche, le temps que tel ou tel médecin honnête dévoile la supercherie, l’inquiétude dans la population a fait son chemin…
Une Toute-Puissance imaginaire, mais qu’il s’agit d’imposer quoi qu’il en coûte !
Et que dire du signifiant « vaccin » qui règne en maître en ce moment ! Maître de l’épidémie car maître du virus, il nous est présenté comme celui dont dépendraient désormais nos libertés les plus élémentaires : liberté pour une grand-mère d’embrasser ses petits-enfants selon la honteuse publicité gouvernementale, liberté de circuler, liberté de vivre « normalement », de sortir sans crainte et sans peur. La Toute-Puissance en flacon !
Ce Tout-Puissant « vaccin » est ainsi perçu comme le moderne Sésame qui permettra de sortir du cauchemar par une partie de la population qui, sous l’effet de ce signifiant « vaccin » familier depuis l’enfance, imaginairement amical et protecteur, qui ne saurait être dommageable (« vac-sain »), n’a qu’une hâte , en bénéficier, et ne s’interroge pas plus avant sur ce qu’il est au fond : une injection génique expérimentale, menée sous la responsabilité exclusive des États, les laboratoires concepteurs et producteurs s’étant, tel Ponce-Pilate, lavé les mains des conséquences dommageables sur les populations « vaccinées ». Une injection qui, dans les faits, ne permettra pas à la grand-mère d’embrasser ses petits-enfants puisqu’elle ne la dispense pas de porter un masque, ni à l’octogénaire d’échapper au confinement comme l’a récemment précisé le Conseil d’Etat, citant le mémoire en réponse du Ministère de la Santé après que cet homme de 83 ans l’eût saisi.
Le signifiant « vaccin » fonctionne donc sur un mode totalement imaginaire pour tous ceux qui croient encore en la parole officielle, soit qu’ils aient vraiment peur du virus au point parfois de porter leur masque tout seuls en voiture, soit qu’ils aient hâte d’en finir avec les mesures liberticides qui nous sont imposées et qu’ils veuillent au plus vite « reprendre la vie d’avant », sortir, voyager, aller au restaurant et au spectacle. Une simple lecture de documents sur ces vaccins écrits par des experts en la matière et basés sur des documents officiels, tels les nombreux articles publiés par le docteur Amine UMLIL (dont un écrit avec l’éclairage de Madame Catherine FRADE, docteur en pharmacie et ancienne directrice des affaires réglementaires internationales de l’industrie pharmaceutique) sur
le site du CTIAP de Cholet, pourrait a minima les faire s’interroger, quitte à ce que leur choix reste celui de se faire vacciner mais au moins ils le feraient de façon éclairée, en toute connaissance de cause. Mais la plupart du temps, force est de constater que ce n’est pas le cas et que seules la peur et la lassitude commandent ce passage à l’acte qu’est aujourd’hui cette vaccination.
Et les autres ? Les récalcitrants à cette vaccination ? Eux ont fait l’objet d’études assez poussées menées par des experts en sciences cognitives, non pas tant sur le bien-fondé de leurs réticences, balayées d’un revers de main, que sur la façon de venir à bout de ces réticences afin de les faire céder au plus vite et qu’ils finissent par accepter la piqûre miracle. Pour ce faire, trois types de recommandations non exclusives voire complémentaires sont proposés par ces experts aux gouvernants des pays.
La première recommandation consiste à tester un certain nombre de messages visant à faire basculer les hésitants, dans le but de déployer une campagne médiatique de masse, en usant de leviers identifiés au cours de recherches antérieures tels que l’altruisme, l’emphase mise sur la dangerosité de la maladie et le regret anticipé de ne s’être pas fait vacciner. Faut-il ici rappeler que nombre de messages de la communication officielle relayée par les media reprennent exactement ces thèmes ? Se faire vacciner pour se protéger soi et protéger les autres d’un virus dangereux et diabolique !
La seconde recommandation consiste à faciliter le plus possible l’accès à la dite vaccination, en la rendant gratuite, sans prescription préalable (ce qu’elle est déjà en France) facilement disponible chez son médecin afin qu’il puisse vous piquer quel que soit votre motif de consultation (Pour mémoire, en France, il est également possible de faire piquer par son pharmacien ou même son vétérinaire, autorisé à vacciner lui aussi à l’occasion de la visite de Médor ou Pomponnette !) La vaccination sur le lieu de travail est également considérée comme un levier conseillé par les experts auteurs de l’article. Est-ce un hasard si une ordonnance du 2 décembre 2020 autorise le médecin du travail de l’entreprise à vacciner contre le covid19 les salariés de l’entreprise ?
La troisième recommandation incite nos gouvernants à utiliser le levier de la « norme sociale », en d’autres termes la pression du social alliée au caractère grégaire de l’humain : faire arborer par les vaccinés un badge vantant l’altruisme de leur détenteur, personnel soignant en tête, pointer du doigt les récalcitrants en leur révélant l’ampleur du fossé qui les écarte de cette nouvelle norme sociale que doit être la vaccination. Une méthode qui a fait ses preuves, nous apprennent les auteurs de l’article, car c’est ainsi que les médecins qui prescrivaient « trop » d’antibiotiques ont corrigé leur comportement dès lors qu’ils ont été mis face à la norme en matière de prescription, et à l’écart qui les séparait de leurs collègues.
Le pass sanitaire, dont nos gouvernants nous avaient juré que jamais au grand jamais il ne verrait le jour, est un de ces leviers de « norme sociale », et un des plus coercitifs, qui sera, nous venons de l’apprendre, mis en œuvre à très court terme.
Nul n’ignore que le gouvernement français a signé avec plusieurs cabinets de conseil des contrats extrêmement juteux pour ces derniers afin d’accélérer le déploiement du processus vaccinal en France : France Info a ainsi révélé le 10 février dernier que le très controversé Mc Kinsey perçoit à cette fin de l’Etat Français 2 millions d’euros par mois. Quand on sait par ailleurs que ces cabinets sont particulièrement friands de toute méthode marketing visant à ne plus faire de l’humain qu’un consommateur sous contrôle, on peut légitimement se demander si ces méthodes prônées par des experts des sciences cognitives ne sont pas d’ores et déjà appliquées en France et s’interroger sur l’honnêteté et l’éthique de la démarche de notre gouvernement en la circonstance. Il apparaît assez clairement qu’est, dans la foulée, oublié le consentement éclairé du patient, et bafoué le secret médical ; le patient est traité comme un vulgaire consommateur auquel des méthodes de pur marketing sont appliquées pour lui faire adopter au plus vite la piqûre miracle. Sciences cognitivo- comportementalistes à l’appui !
Encore sommes-nous là dans des considérations qui visent, semble-t-il, les seuls adultes. Semble-t-il seulement, car il est absolument manifeste depuis quelques semaines que ce sont désormais les enfants et les adolescents qui sont les cibles de la folie de notre gouvernement. Pourquoi d’ailleurs s’en serait-il privé ?
Quand, au mois de novembre dernier, le masque est devenu obligatoire pour les enfants au-delà de 6 ans, les parents n’ont pas protesté. Pas en masse en tout cas, et le message qu’ils ont alors envoyé au gouvernement a été reçu cinq sur cinq en haut lieu. « Nous acceptons, nous, parents, de vous relayer auprès de nos enfants dans votre stratégie de maltraitance de la population. » Il était dès lors évident que l’étape ultérieure serait une très, très, forte incitation à faire vacciner les enfants et les jeunes, ce « réservoir » à vacciner comme les a si élégamment nommés le professeur Antoine Flahault dans une interview qu’il a donnée à LCI le 7 avril dernier.
Plus que jamais, les enfants comme cible
Mais avant d’arriver à cette étape de la politique de vaccination décidée par le gouvernement, il était nécessaire d’ancrer dans les esprits l’idée que les enfants et adolescents pouvaient, sinon être eux-mêmes en danger, du moins représenter un danger pour la société. Les bases avaient été posées avant les fêtes entre la vidéo abjecte de la grand-mère mourante parce que le baiser qu’elle avait reçu de son petit-fils pour son anniversaire l’avait contaminée, et l’incitation faite à Papi et Mamie de manger leur part de bûche dans la cuisine. Cela restait pourtant insuffisant. Aussi, dès le début de cette année, on a vu les campagnes de tests RT-PCR se multiplier dans les lycées, les collèges. Des campagnes de tests massives sont actuellement en cours de déploiement dans les écoles, avec comme objectif un million de tests salivaires par semaine. Le ministre a lui-même annoncé qu’au premier cas détecté dans une classe, celle-ci serait fermée. A-t-il réfléchi ne fût-ce qu’un instant à l’ostracisation dont risque d’être victime le pauvre enfant dont le test positif aura entraîné la fermeture de la classe ?
Est-il encore besoin de rappeler que ces tests RT-PCR, par prélèvement nasal ou salivaire, ne sont en aucune façon un outil de diagnostic, qu’avoir un test positif ne signifie en aucune façon être malade dès lors qu’on est asymptomatique ? Par ailleurs, cela a été dit, redit et répété, statistiques à l’appui : les enfants sont très rarement atteints par le covid19, et peu ou pas transmetteurs de la maladie.
Qu’importe ! La communication toujours plus anxiogène et délétère du gouvernement a néanmoins fait son œuvre en particulier au sein du corps enseignant dont beaucoup d’éléments sont absolument terrorisés à l’idée de se retrouver de nouveau face à ces élèves encore plus dangereux que par le passé, et d’autant plus que l’information sur les traitements précoces est toujours officiellement bannie et dénigrée. Nul doute que la multiplication des tests qui entraînera immanquablement des fermetures de classes en série, achèvera de semer la panique tant chez un grand nombre d’enseignants que chez de très nombreux parents, hypnotisés par les informations alarmistes des media grand public. C’est précisément ce qui est recherché : multiplication de tests donc multiplication de cas (de cas, pas de malades), augmentation de la peur, afin de rendre incontournable la vaccination des élèves, petits ou grands.
Un des rôles des parents est d’être des pare-angoisse pour leurs enfants, de les protéger des agressions du monde extérieur tout en leur donnant les moyens, progressivement et par leur éducation, d’être capable, avec le temps, de les affronter eux-mêmes. Or dans cette crise, nombre de parents ne tiennent plus cette place de pare-angoisse vis-à-vis de leurs enfants. L’obligation du port du masque à l’école a d’ores et déjà fait d’eux les relais, involontaires ou consentants selon les cas, de la maltraitance du gouvernement et a de facto reporté sur les enfants le caractère anxiogène de la gestion que celui-ci fait de la crise. Aujourd’hui, le discours officiel demande à ces mêmes parents de renverser radicalement la relation parents-enfants en faisant porter sur l’enfant la responsabilité de la protection de ses aînés, parents et grands-parents. Et comment ? En les faisant vacciner ! Certains parents adhèrent à ce discours d’une façon massive sans comprendre un instant que ce faisant, ils font porter à leurs enfants leur propre angoisse de la mort physique ou sociale, attendant d’eux qu’ils les délivrent de cette angoisse, fût-ce au prix de leur intégrité physique ! Les enfants ne sont pas dupes pour autant, certains ont même articulé que pour ne pas « tuer » leurs parents et grands-parents, ils étaient prêts à se sacrifier !
Se sacrifier ! Cette parole d’enfant ne peut qu’interpeller. Quand par le passé des enfants ont-ils dit être prêts à se sacrifier ou quand ont-ils pu penser qu’on allait les sacrifier ?
« Nous sommes en guerre » a dit Emmanuel Macron le 16 mars 2020. Il fut des temps de guerre où pour sauver la patrie en danger, les gouvernants envoyaient au front des jeunes gens, de plus en plus jeunes au fil du temps, enrôlés à 15 ou 16 ans à peine à la fin des guerres. Il fut des temps de guerre où de très jeunes gens, spontanément, s’engageaient ou entraient en résistance. Les enjeux d’alors étaient la liberté de leur patrie, de leur peuple, de leurs parents, de leurs amis. L’ennemi était clairement identifié, il s’agissait de le bouter hors des frontières afin de ne pas tomber sous son joug. Le Covid19 met-il à ce point notre patrie en danger qu’il faille sacrifier des enfants pour la défense du pays ?
Bien sûr certains diront : mais on ne sacrifie pas des enfants voyons ! Ah bon ? Le 7 avril dernier, le professeur Robert Cohen sur CNews martelait que la vaccination des enfants était indispensable pour assurer une couverture vaccinale de 80 à 90% de la population française et par là une « immunité collective », que faute de vacciner les enfants et adolescents, des épidémies « pourraient » se propager dans les écoles et les collèges et « pourraient » affecter les adultes, que donc la vaccination des enfants était un fondement incontournable pour assurer l’immunité collective et assurer un « retour à la vie d’avant » ; il précisait que l’on attendait de disposer des résultats des études chez les enfants. Que de conditionnels pour tenter de justifier une vraie folie : la vaccination des enfants est extrêmement réglementée, les essais ne doivent être envisagés chez eux que si les essais effectués chez les adultes et les adolescents se sont avérés concluants et rassurants quant à la balance bénéfice-risque. Or, il n’y a strictement aucun recul sur ces « vaccins » à moyen et long terme, pas plus sur les adultes que sur les adolescents. Aucun ! Cela n’a pas empêché les laboratoires pharmaceutiques d’entreprendre dès le mois de mars dernier des études cliniques sur les enfants, voire des bébés. Je le répète, la vaccination généralisée des enfants dans ces conditions est donc une vraie folie ! Pour qui, pourquoi, au nom de quoi faudrait-il la faire subir aux enfants ? Pour obtenir une « immunité collective » contre une maladie dont réchappe 99,95% de la population ? D’où sortent ces chiffres, 80 à 90% de la population vaccinée pour atteindre une immunité collective ? Des travaux des mêmes modélisateurs qui se sont si souvent et si lourdement trompés ?
Mettre potentiellement en péril la santé de 12 millions de jeunes de moins de 15 ans, en les vaccinant contre une maladie qui les affecte très, très peu, c’est faire fi, pour cette tranche de population, de toute considération de balance bénéfice-risque. En d’autres termes, c’est « sacrifier » 12 millions d’enfants et jeunes gens pour protéger les plus âgés et fragiles d’entre nous d’une maladie dont sont décédés au grand maximum 100 000 personnes en un an, des personnes dont l’âge moyen était de plus de 80 ans et qui pour la plupart présentaient des comorbidités. Encore faut-il prendre ce chiffre de 100 000 morts avec une grande suspicion, puisqu’il est bien connu aujourd’hui qu’ont été déclarés morts du covid, des patients éventuellement décédés avec le covid, mais d’une toute autre pathologie; un nombre important de personnes sont décédées le jour même ou le lendemain de leur arrivée à l’hôpital, conséquence directe de la décision strictement politique d’écarter du soin les médecins de ville ; par ailleurs toutes les autres affections respiratoires qui entraînaient des décès ont par miracle disparu depuis le début de la crise du Covid-19. A titre de comparaison, aux Etats-Unis, le Center of Disease Control a reconnu à plusieurs reprises que seuls 6% des décès attribués au covid étaient réellement dus au covid. Au Royaume-Uni, l’examen officiel des données du National Health Service, révélé par le Daily Expose du 30 avril 2021 a montré que sur les 86 308 décès attribués au covid, seulement 3542 personnes sans morbidités connues en étaient réellement décédées. En France de surcroît, le comptage officiel des décès liés au covid n’a pas été remis à zéro au 1er janviern à l’instar de ce qui se pratique pour n’importe quelle autre maladie, le but ici étant clairement de continuer à entretenir la peur inaugurale de l’emprise.
Il est manifeste que si ce sacrifice des enfants devait se produire, si les parents en acceptaient le principe, que ce soit à des fins de protection de l’ensemble de la population, l’enfant offert comme médicament prophylactique, ou pire, que ce soit afin d’obtenir un « retour à la vie normale », tels les sacrifices faits aux Dieux pour attirer leurs bonnes grâces (la pluie pour les moissons, la victoire dans le combat,…), et qui seraient faits là à ceux qui nous gouvernent pour pouvoir à nouveau sortir, aller au restaurant, au spectacle, ou voyager, alors un pas irrémédiable serait franchi vers une déshumanisation de notre société.
Le pire aura alors été commis, il sera ineffaçable de notre mémoire collective.
Pass sanitaire, vaccination des enfants : deux nouvelles étapes qui pourraient être franchies vers un asservissement radical des populations.
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