Comment les experts indépendants évaluent l’actuelle pandémie de coronavirus

Désolé de réagir un peu tard, mais je voudrais faire part de mon témoignage avec les vaccins. Cela fait 21 ans que je marche avec le Seigneur (du moins, j’essaie). Il y a 15 ans, pour entrer en formation professionnelle dans le domaine médico-social, j’ai dû mettre à jour tous mes vaccins. En réalité, je suis l’un des seuls parmi ma promotion d’alors à avoir observé cette règle aveuglément.

Nous les chrétiens, pouvons pécher par hyper-conformisme en voulant nous montrer exemplaires ; c’est ce qui m’est arrivé. Et je le paye très cher, car depuis 14 ans, je souffre d’une maladie chronique (Syndrome de fatigue chronique ou encéphalomyélite myalgique), vraisemblablement due au vaccin de la polio. Ce n’est pas prouvé officiellement, car on sait bien que la médecine orthodoxe fait tout pour préserver la sacro-sainte vaccination, mais la majorité des malades de ce syndrome semble avoir en commun d’avoir effectué des rappels vaccinaux dans les mois qui ont précédé l’apparition de leur syndrome. De plus, des études menées à l’étranger tendraient à le démontrer quand même.

En ce qui me concerne, cela s’est déclenché du jour au lendemain : il y a un avant et un après, aussi différents que le jour et la nuit. La nuit où j’ai déclenché ce mal, j’ai fait des rêves extrêmement anxiogènes et j’ai failli ne pas me réveiller, comme si mon âme restait prisonnière d’un lieu lointain que j’ai parcouru durant mon sommeil, coincé dans une sorte de double-sommeil. J’ai dû faire un effort surhumain et prier le Seigneur en rêve pour trouver la force de me réveiller, en passant d’abord par le sas d’un sommeil intermédiaire dans lequel je croyais être éveillé et où j’ai dû en refaire autant (j’espère être assez clair pour être compris).

En me réveillant, j’ai dû me traîner hors de ma chambre en rampant, tellement j’étais faible et sans voix pour appeler de l’aide. Mon sommeil et ma santé générale n’ont plus jamais été corrects depuis ; je vis chaque jour avec des séquelles très invalidantes. Socialement, j’ai dû arrêter de travailler ; j’en suis incapable, comme 95% des malades du même syndrome, semble-t-il. De plus, je n’ai jamais réussi à obtenir de reconnaissance médicale et je vis sous la menace permanente qui pèse sur les demandeurs d’emploi au RSA, tout en me sachant incapable d’en assumer un. Mais Dieu me garde dans Sa grâce immense ; je ne suis pas en situation de précarité, bien que souvent tout près de le devenir.

Mais le principal point où je voulais en venir, c’est que ma vie spirituelle elle-même en a pris un coup : de nombreuses choses dont j’étais libre auparavant ou dont le Seigneur m’avait affranchi me sont venues à la figure et ont miné ma relation à Dieu, comme, par exemple, toutes sortes de luttes contre des passions très difficiles à contrôler (emportements, agacement, irritation, angoisses, manque de maîtrise de soi, difficultés de concentration pénalisant mes temps de prière entre autres choses, impression d’être souvent dépassé par les circonstances ou les situations sans savoir réagir, difficultés de communication qui m’attirent des jugements et une forme d’exclusion sociale, etc.).

La lecture de la Bible m’accuse parfois là où, auparavant, je ne me sentais pas du tout concerné (les fruits de la chair…), voire même sur des points où d’autres me reconnaissaient des qualités particulières dans le Seigneur (patience, endurance, douceur). Pourtant, il est évident pour moi que cela est lié à ce moment où ma santé a basculé. Imaginez-vous l’état où vous pourriez être après deux nuits blanches consécutives en prenant les rares moments où vous perdez patience et en les amplifiant en intensité et en fréquence… c’est mon quotidien.

En résumé, une cause physique (le vaccin) peut bel et bien influencer la vie spirituelle dans le mauvais sens. Je ne peux pas dire comme l’apôtre Paul que je sois plus fort avec cette faiblesse. Je la prends comme une épreuve que je relève avec la grâce de Dieu, mais j’ai perdu beaucoup d’assurance et je connais beaucoup d’échecs, souvent dus à un excès de fatigue et un relâchement qui me font perdre en vigilance dans des moments cruciaux que je ne parviens pas à anticiper. Je me sens alors comme ces vierges folles qui ratent le rendez-vous, bien que je n’aie pas toujours chômé pour obtenir de l’huile. J’ai le sentiment d’être devenu un animal qui attend sa rédemption, comptant toujours plus sur la miséricorde de notre Seigneur.

Je viens de lire la vision prophétique du songe du loup et des brebis moi aussi. Cela me parle beaucoup, car l’idée d’une confusion spirituelle due à un vaccin m’est familière, même si, je l’espère, je n’en suis pas au point extrême décrit dans ce songe : être sous l’influence d’un esprit de mort et ne plus savoir entendre mon Seigneur et mon Berger.

Mais j’ajoute une part de foi à cette vision en partageant mon expérience ; cette sorte d’expérience que l’on a du mal à croire tant que l’on ne la vit pas soi-même : payer si cher, spirituellement, pour une erreur qui peut sembler si anecdotique et d’un registre très terre-à-terre. Je dépose cela dans les mains de Dieu, confiant en Sa patience, Sa justice et Sa possible action pour m’en délivrer, car Il sait que je n’ai pas cherché à sauver ma vie par ces vaccins, mais juste à accéder à un emploi comme tout le monde.

En outre, cette vision m’a mis sur la voie d’une possible prise d’autorité contre des puissances démoniaques qui auraient pu prendre des droits sur ma vie à cause des produits qui sont entrés dans mon corps. C’est un sujet délicat : certes, ce n’est pas ce qui entre dans le corps qui souille l’homme, mais ce qui en sort. Et en même temps, n’est-ce pas là une forme de profanation du Temple du Saint Esprit qu’est notre corps ? Je vais prier à ce sujet.

Croyez-moi : méfiez-vous des vaccins comme de la peste! Leur pouvoir est très grand. Je crois que Jésus est bien plus grand, mais en attendant Sa guérison (s’Il la veut), je peux assurer qu’une belle partie de ma vie a été gâchée et que de meilleurs fruits auraient pu en sortir pour Sa gloire!

Nous devons avoir le renouvellement de l’intelligence de Dieu dans tout ce que nous faisons, car rien n’est anodin ou sans conséquence. Satan essaie de nous nuire par tous les moyens, même les plus banals à nos yeux. Je pense avoir vécu, d’une manière moindre, ce qui est à venir si l’on en croit cette vision. Je me permets donc de me dresser en sentinelle pour sonner du cor à ce sujet : mieux vaut se préparer et se méfier en vain que d’être surpris comme je l’ai moi-même été! « Soyez prudents comme des serpents » a dit notre Seigneur.