Samedi 11 février 2023, le matin
Alors que j’étais sur le point de me réveiller, la vision suivante s’est présentée à moi:
- Une femme dont je remarque la blancheur de la peau, contrastant avec sa longue chevelure noire, s’allonge, pour y mourir, sur des têtes humaines entassées à la suite, apparemment, d’une série d’exécutions…
Je n’ai rien vu de plus.
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Au-delà du caractère macabre de la scène, la femme entrevue m’a rappelé une admirable servante de Seigneur, aujourd’hui auprès de son Créateur, rencontrée il y a des décennies.
Je me souviens comme si c’était hier de son profond Amour chrétien et de l’incomparable ministère d’accueil qu’elle exerçait aux côtés de son mari, ministère qui, mois après mois, allait déposer dans mon cœur de précieux rudiments de l’Evangile de Christ.
Issue d’une bonne famille de Suisse romande, cette grande dame du Royaume était à l’aise aussi bien dans l’Ekklesia que dans le monde christianisé tel qu’il existait encore quelque 25 ans avant la fin du 20ème siècle. C’est la raison pour laquelle je pense que la femme lui ressemblant, dans ma vision, est allégorique du type de société, imprégnée de principes et de valeurs divins, qui a fait, historiquement, la grandeur des nations dites occidentales.
Aujourd’hui, ces dernières sont moribondes et s’enfoncent chaque jour un peu plus dans le chaos répugnant de leur agonie. Cela nous amène aux têtes coupées qui m’ont été montrées et ont assez rapidement évoqué en moi la fin du Psaume 110.6.
Psaume 110.6 i.f. (TOB): Partout sur la terre, il a écrasé des têtes.
Nous sommes évidemment tous conscients que l’iniquité dont se repaissent les fils de la géhenne -expression utilisée par Jésus en Matthieu 23.15-, installés au pouvoir, ne va pas disparaître sans qu’une sérieuse correction leur soit infligée, à eux et leurs suiveurs. Nous pouvons en conséquence nous attendre à voir, effectivement, des têtes tomber dans un proche avenir.
C’est donc tout naturellement que, dans ce contexte prophétique, nous arrivons au Psaume 110.7, qui déclare à propos de Jésus, notre Héros Eternel:
Psaume 110.7: Il boit au torrent pendant la marche: C’est pourquoi il relève la tête.
Comme je l’ai souligné dans un commentaire mis en ligne le 24 octobre dernier, ce verset a une valeur numérique de 2000 et compte 23 lettres. Le reste, je le laisse à votre sagacité:
2000 + 23 = ?
SDG/NM – 11.02.2023
2023 est l’année de dévoilement ; Je me pose la question ; Est-ce un rêve allégorique ou est-ce la réalité, en d’autres termes est-ce que ce sont des têtes physiques qui vont tomber suite à des exécutions ou bien des personnages de la politique qui vont tomber..
Je pense que tu poses la bonne question, Jean-Claude.
Le premier élément de réponse qui me vient à l’esprit est que les têtes de certains dirigeants, dont la méchanceté n’a d’égale que l’incompétence, pourraient effectivement finir au bout de piques, cela s’est déjà vu. Evidemment, ce n’est pas ce que je leur souhaite –puissent-ils avoir un sursaut d’intelligence et comprendre qu’il n’y a qu’en Christ qu’ils trouveront la plénitude qu’ils recherchent en vain sous les lambris de leurs palais présidentiels.
Une autre possibilité consiste à prendre acte, au niveau spirituel, de la déchéance généralisée de la fonction politique. Aujourd’hui, il faudrait être très naïf pour croire en l’intégrité des élections (pour mémoire, cela fait plus de 40 ans que j’ai appris, dans un petit pays limitrophe de la France, que les personnes chargées du dépouillement des votes prenaient certaines « libertés » avec le contenu des urnes). Cela signifie que les décisions et mesures prises sur la base de ces parodies de démocratie sont nulles et de nul effet dans la sphère invisible et sont, dès lors, appelées à être balayées un jour ou l’autre.
Dans l’immédiat, je crois qu’il est sage de se situer dans le contexte de l’accomplissement de Daniel 2 et d’attendre l’exécution finale des 4 bêtes de Daniel 7 (au nombre desquelles je mets les usa, en phase de démence terminale, et la Turquie, qui s’effondre économiquement et physiquement, le quatrième animal étant selon moi la dévastation industrielle de la planète, qui DOIT cesser –faire la recherche « East Palestine, Ohio »).
Cela étant, je vais également répondre, ci-dessous, à Patrice, qui, par son commentaire, aborde aussi un point très intéressant.
J’avais pensé au cinquième sceau et aux témoins de l’Agneau égorgé :
9 Et lorsqu’il ouvrit le cinquième sceau, je vis sous l’autel les âmes de ceux qui avaient été égorgés pour la parole de Dieu et pour le témoignage qu’ils avaient rendu.
10 Et elles criaient à haute voix, disant : Jusques à quand, Maître, saint et véritable, ne juges-tu pas et ne venges-tu pas notre sang sur ceux qui habitent sur la terre?
11 Une robe blanche fut donnée à chacun d’eux; et il leur fut dit de se tenir en repos quelque temps encore, jusqu’à ce que fût complet le nombre de leurs compagnons de service et de leurs frères qui devaient être mis à mort comme eux.
Apocalypse 6.
Patrice, merci de nous rappeler ici la réalité douloureuse de l’Eglise persécutée.
Ton commentaire est d’autant plus important qu’il nous fait accéder à la dynamique de l’Apocalypse, dans laquelle le passage que tu cites, le cinquième sceau, nous propulse au chapitre 20, versets 4 à 6 (…ceux qui avaient été décapités…), porte d’entrée du Règne et du Millénium, promesse pour notre temps –sachons donc nous y cramponner.
Encore merci, j’aurais dû y penser (c’est pour ça que le travail d’équipe est si important)!
Pour ma part voici à quoi cela m’a fait penser en première lecture mot par mot :
Une femme : je pense à l’église
Blancheur de sa peau : blancheur comme l’état critique dans laquelle elle se trouve, mais j’ai également pensé à blanche comme occidentale, donc une femme occidentale.
Longue chevelure noire : noir = le contraste, le contraste blanc-noir, la chevelure est la gloire de la femme, la chevelure est le voile de la femme, alors la femme est sous un voile noir, un noir dense et opaque. Elle s’est elle-même voilée de noir, elle est maintenant empêchée de voir, elle ne voit plus rien. Donc noir comme sombre, ténèbres, voile comme empêchement de voir.
Pour y mourir : la femme va mourir, la dimension de l’église arrive/est à son terme. Cela va avec le noir qu’elle porte sur elle.
Sur des têtes humaines : affolant le nombre de morts qui se trouvent sous la femme, sous l’église-système. La femme-église a enfermé ceux qui s’y trouvaient et les a empêchés de sortir, les a empêchés de se libérer, de vivre, de voir, elle est remplie de morts. Les gens meurent dans les « églises ». J’ai essayé d’en avertir plus d’un, mais le système, les « responsables » ont rapidement tendus leurs filets sur ceux qui étaient presque prêts pour sortir, mais ils ont commis l’erreur dramatique de n’écouter finalement que les « ministères », les « responsables », précisément ceux qui tiennent captif.
Oui c’est sombre et dramatique, mais lorsque que l’on observe comment l’église-système tient fermement ses captifs !!! Oui, elle tient ses captifs, bien souvent jusqu’à la mort et très bientôt uniquement à la mort, car le temps est de sortir. Le temps de l’église est à son terme. Quant à la vraie Eglise elle est en cheminement pour enfin devenir l’Epouse. Il y a deux morts en vérité, la mort au sens du terme d’un processus, celui de l’Eglise, celui de la transformation vers l’étape suivante, la bonne mort pourrait-on dire, et, la mauvaise mort de ceux qui meurent captifs sous la chevelure du voile noir.
Nos regards ne s’opposent pas forcément, je ne cesse de dire que maintes vérités peuvent être vraies en même temps, donc je n’oppose pas cela a ce qui a été dit par mes frères, ce d’autant que tout ce qui a été dit peux tout à fait fonctionner avec, je cite simplement ce qu’il m’est passé en tête en toute première lecture. Avec comme point marquant le voile noir, la chevelure noire.
Après coup, cela fait également penser à la « femme Jézabel » qui doit mourir (Ap. 2.20) ce qui pourrait également se lier sans problèmes avec ma première lecture.
« Ap.2:20 Mais ce que j’ai contre toi, c’est que tu laisses la femme Jézabel, qui se dit prophétesse, enseigner et séduire mes serviteurs, pour qu’ils se livrent à l’impudicité et qu’ils mangent des viandes sacrifiées aux idoles. 2:21 Je lui ai donné du temps, afin qu’elle se repentît, et elle ne veut pas se repentir de son impudicité. 2:22 Voici, je vais la jeter sur un lit, et envoyer une grande tribulation à ceux qui commettent adultère avec elle, à moins qu’ils ne se repentent de leurs oeuvres. 2:23 JE FERAI MOURIR DE MORT SES ENFANTS; et toutes les Églises connaîtront que je suis celui qui sonde les reins et les coeurs, et je vous rendrai à chacun selon vos œuvres. »
Mourir de mort, cela en parallèle avec : « Genèse 2:17 mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras. »
Traduit correctement, comme Chouraqui, cela donne : tu mourras, tu mourras.
Dan
Très intéressante interprétation, qui m’interpelle beaucoup !
Apocalypse 2.21: « … elle ne veut pas se repentir de son impudicité ». Jézabel ne se repent pas, elle agresse. C’est ce qu’on appelle aujourd’hui « inversion accusatoire », une vieille technique du satan qui reproche aux autres ce qu’il fait.
Point intéressant, la redondance « Je ferai mourir de mort ses enfants », au v. 23, rappelle effectivement la tournure propre à l’hébreu (l’infinitif absolu) qu’on trouve en Genèse 2.17, littéralement « mourir, tu mourras ». En fait, c’est, à mon sens, une illustration de la première et de la seconde mort.
En 2 Rois 9.24, le fils de Jézabel est mortellement atteint par la flèche de Jéhu, entre les épaules. Mais, si on décortique bien le texte, voici ce que nous voyons: la pointe du projectile, synonyme de mort, traverse le cœur de Joram, qu’elle sonde en quelque sorte, puis elle ressort DEVANT le roi d’Israël, symbolisant un jugement A VENIR, celui menant à la seconde mort.
Merci beaucoup pour les précisions apportées, Dan, sur la base de nos analyses les cercles religieux ont du souci à se faire…
Réponse à Nico pour East Palestine Ohio – Serait-ce la réponse à la destruction de Nord Stream 2
Après avoir semé la tempête partout dans le monde, il est dans l’ordre des choses que les usa récoltent l’ouragan…
Parallèlement, je viens d’apprendre qu’un réveil est en plein essor à l’université d’Asbury, Kentucky et toucherait d’autres écoles du pays.
Je n’ai pas encore le loisir d’y réfléchir, mais mon premier feeling est qu’une vague de fond (au sens du shetheph/inondation de Daniel 9.26) a peut-être commencé à déferler.
Espérons!