Le président américain ne reviendra pas à la politique comme d’habitude. Grâce à son idéologie trumpiste, il pourrait être le fer de lance d’une révolution sociopolitique, tant dans son pays qu’à l’étranger.

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(Quelques têtes de chapitre ou passages) :
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Le trumpisme rejette le mondialisme, qu’il considère comme un mouvement autoproclamé qui veut régner sur le monde
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Programme anti-woke

Les trumpistes défendent un programme anti-woke qui s’oppose aux valeurs progressistes, telles que la politique de genre. Il s’agit notamment de ne reconnaître que deux genres, masculin et féminin (ce que Trump a explicitement indiqué dans son discours d’investiture) et de rejeter l’idée que l’homosexualité, la bisexualité et le transgendérisme devraient être normalisés. Les trumpistes rejettent également le féminisme et veulent démolir les perceptions négatives de la masculinité et des hommes qui prennent la tête de la société. De leur point de vue, personne ne devrait plus s’excuser d’être un homme. C’est pourquoi le trumpisme est parfois appelé la « révolution des frères » ou la « révolution des hommes ».

En contraste frappant avec ce que la théorie raciale critique épouse, le trumpisme défend la réhabilitation de la civilisation blanche. Bien qu’il y ait quelques partisans racistes blancs du trumpisme, ils ne reflètent pas l’ensemble du mouvement, mais se situent plutôt à l’extrême. La plupart des trumpistes blancs sont tolérants envers les autres races tant qu’ils n’exigent pas de repentance ou d’excuses de la part des Blancs.

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De plus, le trumpisme préconise des restrictions majeures sur l’immigration régulière et une interdiction totale des immigrants illégaux, appelant à l’expulsion des personnes qui se trouvent illégalement dans le pays. Et tous les immigrants qui viennent dans les sociétés occidentales devraient accepter les valeurs de leur nouveau pays d’accueil. Les trumpistes n’aiment pas le multiculturalisme tel qu’il est défendu par les libéraux de gauche.

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Ils sont également alarmés par la croissance des communautés musulmanes, qu’ils considèrent comme n’acceptant pas la culture et les attitudes occidentales. Ils blâment en grande partie les libéraux pour cela, qui, selon eux, se livrent aux minorités en acceptant et en célébrant leurs différences plutôt qu’en exigeant qu’elles s’intègrent.

 

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Les trumpistes s’opposent au politiquement correct, qu’ils considèrent comme une forme de censure libérale de gauche et préjudiciable à la lutte contre l’extrémisme. De leur point de vue, les libéraux ont mis en place un système élaboré pour manipuler l’opinion publique, mettant ainsi fin à la liberté d’expression, tant dans les médias grand public que sur les réseaux sociaux qu’ils contrôlent.

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Démantèlement des régimes mondialistes en Europe

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Pro-Israël et son extrême droite

Le deuxième grand thème de la politique étrangère du trumpisme est son soutien à Israël et à la soi-disant « extrême droite » qui s’y trouve.

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