L’Ecclesiaste, c’est à dire le roi Salomon, l’avait dit il y a 3000 ans: « Ce qui a été, c’est ce qui sera et ce qui s’est fait, c’est ce qui se fera. Il n’y a rien de nouveau sous le soleil ».

Le 18 octobre 2019, à New York, sous le haut patronage de la fondation Bill Gates et du forum économique mondial, c’est à dire de Klaus Schwab, se tint l' »event 201″ qui envisagea les conséquences possibles d’un scenario purement « fictif » de pandémie de coronavirus.

https://www.brighteon.com/ea5b5fe6-969b-4289-852d-adce0227288c

Et, « hokus pokus », quelques mois plus tard, leur bon ami Tedros, directeur général de l’OMS, déclarait une pandémie de coronavirus.

Une drôle de pandémie à défaut d’être une pandémie drôle.

Des gens en bonne santé étaient déclarés « malades asymptomatiques », un peu comme on dirait « eau sèche » ou « feu humide », sur base d’un test de réactions en chaîne par polymerase dont l’inventeur, le prix Nobel de chimie Kary Mullis, avait déclaré qu’il ne pouvait pas servir à établir une infection par quoi que ce soit. Mais sans doute ne savait-il pas à quoi servait son invention.

https://www.brighteon.com/358d6aab-020b-4653-b67a-70f60cb45648

Heureusement que Christian Drosten, bien qu’il n’ait jamais eu de prix Nobel, en savait plus que Kary Mullis !

C’est qu’ils étaient sensibles, ces tests pcr. Ils trouvaient des infections au covid 19 dans des papayes, dans des cailles, des chèvres …

https://www.youtube.com/watch?v=rMUUC1Z-mV4

Et puis allaient déferler des vaccins expérimentaux si sûrs et si efficaces que la fille de telle ministre devait en perdre (temporairement) la vue d’un oeil et la soeur de tel directeur dans l’administration en perdre (définitivement) la vie dans la foulée de l’injection.

Et en effet, le monde allait connaître un tsunami de turbo cancers, des cancers sans précédents qui se déclarent au stade 4 et qui ont plusieurs tumeurs mères, des AVC mortels, des myocardites, des péricardites, des ALS (Charcot), des Guilain-Barré, des Creuzfeld-Jacob (maladie de la vache folle), des scléroses en plaques, même des diabètes, c’est à dire toute la gamme des maladies auto-immunes. Sans oublier des amputations de doigts, d’orteils, de membres, des pertes de vue, d’ouïe, des acouphènes, des troubles menstruels et des stérilités …

Mais c’était juste des « coïncidences » …

Sauf que, quand des gens en parfaite santé, sans pathologie connue, tombent malades en ayant tous en commun d’avoir subi une injection covid 19, la Cour de Justice de l’Union européenne, dans son arrêt dans l’affaire préjudicielle C-621/15 (https://curia.europa.eu/juris/document/document.jsf?text=&docid=192054&pageIndex=0&doclang=FR&mode=lst&dir=&occ=first&part=1&cid=3027667) appelle cela « un faisceau d’indices dont la gravité, la précision et la concordance permettent de considérer, avec un degré suffisamment élevé de probabilité » que le vaccin est défectueux au sens de la directive 85/374/CEE concernant la responsabilité des fabricants de produits défectueux.

 

Et, en présence de tels indices, la Cour a estimé que « la conclusion selon laquelle l’existence d’un défaut du produit apparaît, nonobstant les éléments produits et arguments présentés en défense par le producteur, comme étant l’explication la plus plausible de la survenance du dommage de sorte que de tels défaut et lien de causalité peuvent raisonnablement être considérés avérés« . En effet, avec énormément de bon sens, la Cour avait constaté que « un tel degré d’exigence probatoire qui reviendrait à exclure tout mode de preuve autre que la preuve certaine issue de la recherche médicale aurait pour effet, ainsi que l’a relevé M. l’avocat général au point 45 de ses conclusions, de rendre, dans un nombre important de situations, excessivement difficile ou, lorsque, comme en l’occurrence, il est constant que la recherche médicale n’a permis ni d’établir ni d’infirmer l’existence d’un tel lien causal, impossible la mise en cause de la responsabilité du producteur, en compromettant, de la sorte, l’effet utile de l’article 1er de la directive 85/374 (voir, par analogie, arrêt du 9 novembre 1983, San Giorgio, 199/82, EU:C:1983:318, point 14).

32 Une telle limitation quant au type de preuves admissibles méconnaîtrait, en outre, certains des objectifs poursuivis par ladite directive au rang desquels figurent, notamment, ainsi qu’il ressort des deuxième et septième considérants de celle-ci, celui d’assurer une juste répartition des risques inhérents à la production technique moderne entre la victime et le producteur (voir, en ce sens, arrêt du 5 mars 2015, Boston Scientific Medizintechnik, C-503/13 et C-504/13, EU:C:2015:148, point 42) et, ainsi qu’il découle des premier et sixième considérants de la même directive, celui de protéger la sécurité et la santé des consommateurs (voir, en ce sens, arrêt du 5 mars 2015, Boston Scientific Medizintechnik, C-503/13 et C-504/13, EU:C:2015:148, point 47) ».

Par conséquent, non, et heureusement pour les patients, le droit européen n’exige pas la preuve scientifique du lien de causalité entre injection et effets secondaires pour établir la responsabilité du fabricant. Cela explique les clauses secrètes d’exemption de responsabilité des fabricants de vaccins dans les contrats signés par Ursula von der Leyen. Le contribuable paiera à la place du « pauvre » Big Pharma.

De façon « inexplicable », la mortalité a significativement augmenté à partir de 2021 dans les pays qui ont beaucoup vacciné comme le Portugal. En revanche, rien de tel ne fut constaté dans cette proportion dans les pays ayant peu vacciné comme la Roumanie et la Bulgarie, sans parler des pays africains. Ah, les coïncidences !!!

A propos de coïncidences, en mars 2021, à la Conférence de sécurité à Munich se tint un exercice similaire à celui de l' »event 201″ simulant une pandémie mondiale impliquant un virus de variole des macaques développé en laboratoire.

https://strangesounds.org/2022/05/in-march-2021-nti-partnered-with-the-munich-security-conference-to-conduct-a-tabletop-exercise-simulating-a-global-pandemic-involving-an-unusual-strain-of-monkeypox-caused-by-a-terrorist-attack-usin.html

Et voilà, « abracadabra », Tedros vient de déclarer la variole des macaques « urgence de santé mondiale ».

Et si cela tombe bien ! Après plusieurs échecs en assemblée de santé de l’OMS, celle-ci met toute son industrie à « convaincre » ses États membres à adopter un traité sur les pandémies d’ici novembre prochain (non, aucun lien avec l’élection présidentielle aux Etats-Unis où l’un des candidats dit qu’il retirera à nouveau son pays de l’organisation mafieuse) qui lui donnerait le pouvoir de décider, à la place des États, des mesures concrètes de santé à prendre et des les imposer aux populations.

Voyez le tableau ! Une organisation dont 80 % du budget opérationnel vient de l’industrie pharmaceutique disposant des pleins pouvoirs régaliens. Autant dire que Bill Gates et les Rockefeller deviendraient les imperators du monde !

Cerise sur le gâteau: le lapsus de Maria von Kerkhove de l’OMS lors de sa déclaration sur la variole des macaques « we are looking at how we can get these vaccines … Sorry! … these diagnoses into these countries« .

Une fois de plus, il ne s’agit que de Big Paharma et de son big business en vue duquel elle arrose généreusement media mainstream et principaux partis politiques.

La mafia des mafias !