Un lobbying payé par nous et piloté par le lobby pharmaceutique européen (EFPIA)

Sous son apparence de carte de vaccination de l’UE (avec QR-Code), nous assistons aujourd’hui à la mise en place discrète d’un passeport vaccinal mondial à l’initiative de l’ONU. Son projet, porte le nom de « Global Digital Health Certification Network ».

Au regard de l’expérience vécue avec le « EU Digital Covid Certificate » ou pass sanitaire en France, nous devrions plutôt dire, la mise en place du crédit social à la chinoise par l’ONU et l’UE : se souvenir des articles de presse de juin 2023 intitulés « L’OMS va lancer un pass sanitaire mondial, s’inspirant du certificat Covid numérique européen ».

Par exemple, la RTBF écrivait que : « L’Organisation mondiale de la santé va utiliser le certificat Covid numérique de l’Union européenne pour lancer un système de certification numérique mondial, grâce à un partenariat « historique » signé lundi. Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, et la commissaire européenne à la Santé Stella Kyriakides, ont signé cette « initiative historique pour renforcer la sécurité sanitaire mondiale » à Genève. »

D’une part, Stella Kyriakides n’avait aucun mandat des États membres pour signer un tel partenariat, mais en plus, le document en question n’a jamais été rendu public malgré les demandes de transparence. Voilà encore la Commission von der Leyen qui, à son habitude, agit dans l’opacité et viole l’état de droit tout en détruisant les traités qu’elle est censée protéger.

Pour faire accepter cet outil numérique de contrôle social auquel la population ne va pas adhérer naturellement si l’information lui est présentée de manière transparente, il faut un lobby. Le rôle de ce lobby est d’avoir recours à des pratiques de fabrique du consentement pour changer l’opinion de la masse. En bref, manipuler l’opinion publique par la ruse.

C’est alors qu’arrive EUVABECO pour « European Vaccination Beyond COVID-19 ». C’est le nom d’une « initiative » européenne 2024-2026 ayant pour partenaire l’EFPIA et qui est co-financée par la Commission européenne. Curieusement, cette plateforme de lobbying est non-déclarée dans le registre de transparence obligatoire des lobbys. À titre informatif, sachez que derrière l’EFPIA se trouve naturellement PFIZER qui a largement bénéficié des contraintes sociales et violation des droits fondamentaux car leur effet a été de maximiser les ventes et profits au détriment de la santé de la population.

L’objectif d’EUVABECO est clairement identifié : « L’un des outils clés qu’EUVABECO introduira est la carte européenne de vaccination (CEV), dont le lancement est prévu en septembre 2024 et qui sera d’abord testée dans cinq pays pilotes, à savoir la Lettonie, la Grèce, la Belgique, l’Allemagne et le Portugal. La carte vise à responsabiliser les individus en consolidant toutes leurs données de vaccination en un seul endroit facilement accessible. »

Dans un langage plus directe, il s’agit d’imposer l’outil via une stratégie de culpabilisation des citoyens et de violer de notre secret médical en numérisant et centralisant notre dossier médical. L’euthanasie programmée de notre secret médical. La propagande dit : « Malgré des décennies de sensibilisation, les zoonoses, c’est-à-dire les maladies transmises de l’animal à l’homme, continuent de représenter une menace importante pour la santé mondiale[1] Face à la crise sans précédent du COVID-19, notre manque de préparation à ces épidémies est apparu de manière flagrante. »

 

Sans réellement l’affirmer, ce plaidoyer suggère par concaténation d’idées que l’origine naturelle du COVID-19 serait une vérité acquise et incontestable. Autre point, à l’instar de tous les autres lobbys de la crise COVID, il affirme de manière péremptoire et fausse que les autorités publiques manquaient de préparation aux épidémies. Pourquoi ? Pour nous convaincre que les nouvelles pratiques « innovantes » et attentatoires tant aux droits de l’homme qu’à la démocratie sont le seul choix possible.

L’effet tunnel et le « nudge ».

La propagande soutenue par le lobby EFPIA et PFIZER cache à peine l’objectif de maximisation des ventes et profits par l’usurpation de consentement : « Le projet EUVABECO vise à améliorer les pratiques de vaccination dans le cadre de la vaccination de routine ou en cas d’épidémies futures dans les pays européens. Au cours de ce projet, nous formulons des plans de mise en œuvre basés sur des pratiques innovantes appliquées lors de la pandémie COVID-19, afin de les mettre en pratique et de valider leur mise en œuvre dans le cadre de projets pilotes tels que le ciblage des populations pour la motivation à la vaccination, la carte de vaccination numérique portable ou l’emballage neutre pour une distribution flexible des vaccins. »

Alors que la Commission Européenne ne peut ignorer qu’elle avait dû recourir à des faux intellectuels pour continuer à maintenir son pass en vigueur (EU Digital Covid Certificate) ou encore que le contrat Pfizer démontre dans sa partie censurée que ce type d’outil n’a jamais été prévu ou permis de lutter contre une quelconque pandémie, voilà le retour de l’outil de contrôle social.

Notre crédit social numérique mondial.

Envers et contre tout, l’industrie, la Commission von der Leyen, et ses lobbys restent visiblement insensibles et imperméables aux aveux publics du Dr. Anthony Fauci devant les sénateurs américains (personnage de premier plan ayant reconnu qu’il s’agit d’un outil de contrainte sociale), ou encore à la condamnation de la Commission von der Leyen par la CJUE du 17 juillet 2024 pour avoir abusivement censuré les contrats et donnés des avantages anormaux aux industriels. Le réel ne les intéresse pas, ils ne voient que leurs propres intérêts.

Enfin, pour ceux qui douteraient toujours qu’il s’agit bien de la mise en place d’une infrastructure publique digitale (DPI) ayant pour origine l’ONU, EUVABECO vous l’affirme :

« L’EVC (European Vaccination Card) permet à des personnes comme Anna de prendre le contrôle de leur propre carnet de vaccination, ce qui révolutionne la gestion des vaccinations et garantit un avenir plus sain à tous les Européens. Cette méthode de stockage et de partage des données centrée sur les citoyens, plutôt que de s’appuyer uniquement sur les systèmes de santé publique, a été rendue possible par le Réseau mondial de certification en santé numérique (GDHCN). Développé pendant la pandémie de COVID-19 pour le certificat numérique COVID de l’UE, le GDHCN est désormais géré par l’Organisation mondiale de la santé, ce qui permet de garantir l’authenticité des carnets de vaccination numériques.« 

La boucle Ursula von der Leyen – Stella Kyriakides – Tedros Adhanom Ghebreyesus étant bouclée.

Il n’est pas ici question de santé mais bien de traçage, ciblage, et contrôle de la population !

 

Sources: [1] https://sciensano.be/en/projects/european-vaccination-beyond-covid-19… [2] https://euvabeco.eu/partners/#922-members… [3] https://efpia.eu/about-us/membership/… [4] https://vaccinestoday.eu/stories/european-vaccination-card-will-be-piloted-in-five-countries/… [5] https://rtbf.be/article/l-oms-va-lancer-un-pass-sanitaire-mondial-s-inspirant-du-certificat-covid-numerique-europeen-11208623… [6] https://who.int/initiatives/global-digital-health-certification-network… [7] https://sciensano.be/en/projects/european-vaccination-beyond-covid-19… [8] https://euvabeco.eu/partners/#922-members…

 

Source : https://x.com/BaldanFrederic/status/1818925355018674513