Depuis des mois, Pap Ndiaye met la pression sur les établissements scolaires pour que tous les élèves de France se voient dispenser des heures d’éducation à la sexualité.
Vous le savez, pour SOS Éducation, ce n’est clairement pas le rôle de l’École, dont la mission est d’instruire.
Et encore moins une priorité quand un élève sur deux entre en 6e sans savoir lire !
Cette semaine, Pap Ndiaye est passé à la vitesse supérieure.
Il a carrément saisi le Conseil Supérieur des Programmes, le sommant d’élaborer des programmes d’éducation à la sexualité pour chaque niveau !
Trop, c’est trop !
Le ministre de l’Éducation nationale met l’éducation au plaisir sexuel au même niveau que l’enseignement des mathématiques et du français.
On aura vraiment tout vu…
Nous avons immédiatement réagi.
Nous avons pris notre plume et exposé la situation directement au président du Conseil supérieur des programmes, Monsieur Mark Sherringham.
Attention : c’est une lettre qui décoiffe !
Découvrez-la dès maintenant en cliquant ici ou sur l’aperçu ci-dessous :
Nous avons détaillé l’envers du décor : |
1) L’éducation sexuelle voulue par Pap Ndiaye n’a rien à voir avec la prévention |
Le ministre de l’Éducation nationale adopte les tristement célèbres Standards pour l’éducation sexuelle en Europe. |
2/ Ces standards sont contraires à l’intérêt de l’enfant |
3) L’enfant est empêché dans son développement psychoaffectif |
4) Ces standards ont été élaborés par des associations militantes |
5) On nous fait passer un discours idéologique pour un domaine d’enseignement |
6) L’éducation sexuelle va-t-elle devenir une matière académique ? |
Pour conclure, j’invite monsieur Sherringham à prendre contact avec SOS Éducation et l’assure de notre volonté de coopérer dans l’intérêt de tous les enfants. |
Espérons que le président du Conseil Supérieur des Programmes entendra nos alertes et se placera du même côté que vous et moi, pour :
Découvrez sans plus tarder notre courrier dans son intégralité ci-dessous.
Cette lettre complète s’adresse en réalité à tous ceux qui veulent comprendre comment on en est arrivé dans nos écoles à dire à des enfants de 9 ans « pour le plaisir la fille peut sucer le pénis du garçon » et « on peut faire le sexe dans les fesses ».
La légèreté avec laquelle ces situations sont abordées par nos institutions est inacceptable.
C’est pourquoi SOS Éducation s’est fendu d’un courrier qui prend soin de développer le pourquoi du comment de cette grave aberration éducative.
Espérons que ce courrier fera date et sera massivement relayé !
Je compte sur vous pour le transmettre largement autour de vous…
Et lorsque vous aurez lu ce courrier sans concession, et disons le franchement, qui décoiffe, n’hésitez pas à me faire part de vos commentaires ! |
Priorité à l’Éducation ! |
Sophie Audugé, |
P.S. : L’éducation à la sexualité sera le grand thème de la rentrée scolaire, tant les dérives qui nous remontent du terrain sont graves… et nombreuses !
Nous devons prendre très au sérieux cette infiltration de la sexualisation des enfants dans l’École.
Il s’agit en réalité d’une volonté de déconstruire l’innocence.
L’interférence dans le développement psychique de nos enfants n’est pas tolérable.
Depuis toujours, SOS Éducation a rappelé aux ministres de l’Éducation nationale que leur rôle est d’instruire, et non d’éduquer.
Et aujourd’hui, la situation est encore plus alarmante : nous devons empêcher nos gouvernants de nuire !
Si vous le pouvez, soutenez SOS Éducation.
Grâce à votre soutien, nous pourrons continuer nos actions essentielles pour protéger les enfants !
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