Sur l’ordre du Vatican, l’archevêque de Marseille, le cardinal Aveline, a ordonné la suspension des ordinations cette année dans le diocèse de Fréjus-Toulon, celui de Mgr Rey. François vient juste de « sortir » Mgr Aupetit du diocèse de Paris, un défenseur des valeurs chrétiennes et de la vie (questions de bioéthique).
Mgr Rey est sur la sellette parce qu’il a de nombreuses vocations dans les communautés dites traditionnelles. Qui sera le prochain en France ? Mgr Aillet qui a des doutes sur le bien fondé de la vaccination contre Covid ? Bergoglio serait-il celui qui est entré dans la bergerie pour décimer le troupeau ?
Quel lien y-a-t-il entre François et un Benoit XVI, un Jean Paul II ou un autre pape du XXième siècle ? Seulement un vêtement blanc ? Bergoglio démolit sans nul doute l’Eglise pierre après pierre et dans ce qui pourrait s’apparenter à un mutisme, particulièrement au sein de l’Eglise. Le Catéchisme de l’Eglise Catholique indique dans son article 882 que « le Pape, évêque de Rome et successeur de S. Pierre est principe perpétuel et visible et fondement de l’unité qui lie entre eux soit les évêques, soit la multitude des fidèles. En effet, le Pontife romain a sur l’Eglise, en vertu de sa charge de vicaire du Christ et de Pasteur de toute l’Eglise, un pouvoir plénier, suprême et universel qu’il peut toujours librement exercer ». Autrement dit, il détient tous les pouvoirs. Le Pape a de grandes responsabilités, l’Eglise enseigne qu’il est conduit par l’Esprit Saint et il aura des comptes à rendre, du moins à Dieu si ce n’est aux hommes.
Comment François empêche la création de prêtres au dernier moment
L’Eglise, sécularisée, est en train de mourir peu à peu faute de vocations. En France, en 2014, il y avait 5800 prêtre actifs, ils étaient encore 3000 prêtres actifs en 2020 et Louis Benoit Greffe indiquait en 2017 que les « tradis » deviendront incontournables pour sauver l’Eglise ». Un constat évident car les vocations se développent essentiellement – pour ne pas dire presqu’uniquement – au sein des communautés catholiques traditionnelles. François s’est clairement et explicitement opposé à la pratique de ces communautés sur le rite traditionnel – pourtant « redoré » par son prédécesseur Benoit XVI – en décrétant le motus proprio Traditionis custodes. Aujourd’hui, il bloque la création de prêtres et participe à la déchristianisation de la France. On s’attendrait plutôt à ce que cette action soit celle d’un anti pape, pas celle du pape. C’est un coup bas car cette information oblige l’évêché de Toulon à surseoir à ses ordinations de prêtres et de diacres qui devait avoir lieu le 29 juin 2022. La justification selon l’archevêque de Marseille : « plusieurs points posent question dans la formation et le discernement des candidats du séminaire de la Castille ». Par là il faut entendre un prétexte dont le flou artistique n’échappe à personne, digne de l’administration française dont l’Eglise institutionnelle de France s’est dangereusement rapprochée pour ne sembler plus faire qu’un avec elle. Le schisme de l’Eglise Universelle n’est plus très loin et Bergoglio y travaille avec acharnement.
Sa méthode consiste à changer les responsables de grandes institutions catholiques pour y placer des progressistes – comme à l’académie pour la Vie en 2017 ou encore à l’Institut Jean Paul 2 qu’il a ainsi purgé de sa substantifique moelle. Bien sûr, le Vatican se défend de toutes les critiques. L’ordre de Malte a également subi le contrôle interposé de François comme s’il s’agissait d’une organisation décadente. Il y en a d’autres encore…
Pourquoi empêcher les vocations sacerdotales en France et laisser faire une Eglise allemande qui préconise le mariage des prêtres ? Mais parce que François déconstruit l’Eglise, y compris les dogmes qui ont 2000 ans (l’enfer est évoqué notamment dans le livre de l’Apocalypse) : “L’enfer n’existe pas, ce qui existe c’est la disparition des âmes pécheresses” avait-il déclaré à la Republica en 2017.
Le pape, 1er défenseur des injections Covid, et ses liens avec les acteurs du Great Reset
Edouard Husson avait évoqué le rapprochement du Vatican avec les forces du Great reset : « l’Eglise semble devenir aujourd’hui un fervent supporteur des pouvoirs en place et du nouvel ordre mondial ».
« Le Pape François a rencontré deux fois secrètement le PDG de Pfizer, Albert Bourla, en 2021, avant de rendre la vaccination obligatoire au Vatican : telle est l’information explosive recueillie auprès de sources internes par le National Catholic Register, un média américain d’information catholique. On appréciera à sa juste mesure le fait que le pape qui a pris le nom de Saint François d’Assise, apôtre de la pauvreté, pousse jusqu’à fréquenter le PDG d’une entreprise qui a gagné des milliards durant la pandémie. Et même, qu’il se soit fait lobbyiste de l’industrie vaccinale en expliquant que la vaccination contre le COVID était en acte d’amour ». Les liens du Vatican avec la fondation Gates et l’association de cet autre milliardaire mondialiste, Soros, ont aussi été rapportés.
François, toujours prompt à défendre la vaccination contre Covid sans autre argument qu’une charité sans vérité, est coresponsable de la vaccination de millions de catholiques incluant les enfants. Ces vaccins, à ARNm ou à adénovirus, détruisent le système immunitaire, perturbent le système endocrinien et affectent le système neurologique et circulatoire. Les 17 000 scientifiques qui l’affirment ne semblent pas faire bouger ce pape arrimé au Great Reset.
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