Sources : tableaux issus de la vidéo réalisée par le Dr Peter El Baze
Sur les graphiques présentés ici, la courbe bleue indique le nombre de décès dans le pays avant la vaccination. Le début de la vaccination contre COVID est indiquée par une seringue et la courbe rouge fait état des décès après vaccination. Partout, on observe une forte et anormale augmentation des décès qui prend la forme d’un pic épidémique. En réalité, les personnes les plus fragiles sont menacées par la vaccination contre COVID et ce phénomène pourrait s’observer à chaque fois qu’un rappel vaccinal est proposé pour l’obtention par exemple d’un passe vaccinal ou de droits conditionnés à la vaccination.
On peut d’ores et déjà craindre une surmortalité à plus long terme par le développement de maladies à long court car les vaccins expérimentaux aggravent le risque de pathologies graves. Ce n’est pas une hypothèse mais une réalité déjà observée et volontairement peu médiatisée, à l’instar de ce médecin militaire haut gradé aux Etats-Unis, qui fait part devant une cours de justice de l’augmentation de 300% des cas de cancer en 2021 dans l’armée, s’inquiétant du lien avec la vaccination car l’armée américaine est vaccinée à 96%.
Il peut y avoir plusieurs explications au développement de maladies graves suite à l’inoculation des produits expérimentaux contre COVID. L’ « aggravation dépendante des anticorps » (antibody-dependent enhancement pour ADE) ou maladie aggravée par la vaccination (vaccine-associated enhanced disease pour VAED) pourrait expliquer – entre autres – cette surmortalité incessante. Elle s’exprime par le développement d’anticorps facilitants (le virus) au lieu des anticoprs neutralisants (le virus) que l’on espère grâce à la vaccination.
Ce problème a été dénoncé dès le mois de mars 2021 par le virologue Geert Vanden Bossche qui a vivement interpellé l’OMS sur le risque d’évasion immunitaire. L’organisation internationale n’a pas donné suite à sa requête ni respecter le simple principe de précaution dans une expérience de vaccination expérimentale sur la population mondiale.
Un article disponible sur le site de référence « Vidal » explique qu’ « aucun événement de maladie aggravée associée à la vaccination n’a été observé parmi les personnes infectées malgré la vaccination ». C’est inexact et ces affirmations ne tiennent nullement compte des taux de surmortalité post vaccinaux inexpliqués que les commissions d’enquête aux Etats-Unis ou en Europe ne se dépêchent pas d’investiguer.
C’est également faux parce qu’il existe des articles scientifiques montrant que le risque d’aggravation dépendante des anticorps est une réalité.
“Dans le cas de la variante Delta, les anticorps neutralisants ont une affinité réduite pour la protéine de pointe, tandis que les anticorps facilitants affichent une affinité étonnamment accrue. Ainsi, l’ADE peut être une préoccupation pour les personnes recevant des vaccins basés sur la séquence de pointe de la souche originale de Wuhan (ARNm ou vecteurs viraux)”. Ce que nous dit cette équipe de recherche, c’est que face aux virus recombinants – ici le delta qu’ils ont particulièrement étudié – les anticorps facilitants peuvent dominer les anticorps neutralisants et donc favoriser le développement d’un COVID et des maladies qui y sont associées. Chez certaines personnes, les vaccins auraient donc un effet contraire au but recherché : ils ne les protègent pas et favorisent la recombinaison de nouveaux virus. Comme les vaccins n’empêchent pas non plus la transmission du sars-cov2, on peut légitimement suspecter qu’ils entretiennent l’épidémie au lieu de la neutraliser.
La réalité épidémiologique vient confirmer ce qui est bien plus qu’une hypothèse puisque les pays en développement – notamment en Afrique – où les taux de vaccination sont faibles (< 10%) présentent les taux de COVID et les taux de décès les plus faibles au monde. Plus les taux de vaccination vont s’accroître sur le continent africain, plus l’épidémie va se développer et le nombre de décès augmenter.
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