Madame, Monsieur, cher ami,
Réagissez tout de suite !
C’est parce que nous sommes face à une situation d’extrême urgence que vous recevez ce courriel.
Soit, vous et moi agissons immédiatement, soit il sera très bientôt possible en France d’avorter un bébé jusqu’à l’instant précédant sa naissance.
Oui, l’avortement jusqu’au 9ème mois de grossesse risque d’être bientôt légalisé en France !
Rien ne peut être pire !
S’il vous plaît, empêchez cela en signant votre interpellation adressée aux présidents des groupes politiques à l’Assemblée nationale.
Pour cela, veuillez cliquer sur le lien ou le bouton ci-dessous :
https://petit.io/petition/droit-de-naitre/interpellation-aux-presidents-des-groupes-politiques-a-l-an-contre-l-avortement-jusqu-au-9eme-mois
Lisez et signez la pétition
En quelques mots, permettez-moi de vous expliquer ce qui est en train de se passer en ce moment-même.
Comme je vous l’avais annoncé dans un précédent courriel, quelques députés ont ajouté à la sauvette durant l’été un amendement à la loi de bioéthique.
Cet amendement autorise le recours à une soi-disant « Interruption Médicale de Grossesse » (IMG) en cas de situation de détresse « psycho-sociale ».
Un critère extrêmement flou qui permettrait d’avorter jusqu’au terme de la grossesse !
Heureusement, les sénateurs ont rejeté cet amendement épouvantable.
Mais voilà que ce dernier revient maintenant à l’Assemblée nationale et ce sont les députés qui vont avoir le dernier mot !
Jusqu’à présent l’IMG – l’avortement soi-disant médical – était autorisée dans deux cas bien précis : si la santé de la mère était en danger ou si le bébé était atteint d’une grave malformation.
Cela permettait déjà toutes les aberrations car tuer une vie innocente n’est jamais acceptable sur le plan moral.
Mais, si pour avoir accès à l’avortement médical on ajoute les cas de « détresse psycho-sociale », on change complètement de dimension !
N’importe qui peut en effet prétendre être confronté à une situation de détresse psychologique et sociale, surtout par les temps qui courent.
Comment nier qu’une femme qui vient de perdre son emploi ne se trouve en situation de détresse sociale ? Et que dire d’une femme qui se retrouve seule après l’abandon de son compagnon ?
Quant à la détresse psychologique, il est tout simplement impossible de la contester, puisqu’il s’agit là de quelque chose qui relève de la simple subjectivé.
Vous voyez, si cet amendement est approuvé, il sera de facto possible de tuer son bébé jusqu’au terme de la grossesse sur simple demande.
Et ce sera d’autant plus aisé que la plupart des médecins avorteurs sont des militants, souvent proches du Planning familial, le lobby de l’avortement.
Quant aux gynécologues qui s’y refuseraient, ils pourraient s’exposer à des poursuites judiciaires puisque, comme vous le savez, la clause de conscience des médecins relative à l’avortement est dans le viseur des députés.
J’ai un haut-le-coeur quand je songe aux avortements qui pourraient être commis à ce stade de la grossesse !
De nombreux bébés sont viables et naissent à partir du sixième mois. Alors avorter un bébé au neuvième mois …
« Pour prendre conscience de la réalité de la vie humaine des tout-petits nés à l’âge de développement concerné par l’amendement, j’invite les députés à venir dans un service de réanimation néonatale », proteste le spécialiste de chirurgie fœtale, Emmanuel Sapin.
Neuf mois, c’est le moment où le berceau est prêt pour accueillir le nourrisson et où les premiers vêtements sont mis dans la valise pour la maternité.
Ce que veulent les promoteurs de cet amendement, c’est que l’on puisse remplacer ce moment merveilleux par une mise à mort au moyen d’ignobles tortures !
S’il vous plait protestez auprès des présidents des groupes politiques à l’Assemblée nationale avant qu’il ne soit trop tard.
Pour cela, merci de cliquer sur le lien ci-dessous :
Ne nous payons pas de mot : un avortement à ce stade de la grossesse n’est rien d’autre que l’exécution cruelle – sans anesthésie – d’un petit être qui ressent la souffrance comme vous et moi.
Pour réaliser sa besogne, l’avorteur empoisonne le bébé provoquant une agonie intra-utérus qui peut être longue.
Comment ose-t-on faire croire que l’accouchement d’un petit cadavre va résoudre la souffrance psychologique de la mère ?
Quel mensonge et quel cynisme !
On cache cette barbarie sous le sigle neutre d’IMG, mais il s’agit d’une pratique digne des camps de la mort.
Cet acte cruel scandaliserait, à juste titre, l’opinion s’il s’appliquait sur des animaux.
Ici, c’est d’un être humain innocent, d’un bébé, qu’il est question.
Même Michel Onfray – pourtant partisan de la loi Veil sur l’avortement – s’est indigné : « Je trouve ça terrible ! On tue un enfant ! »
Les députés ont-ils un cœur pour autoriser une chose aussi ignoble ?
C’est la question que je vous invite à leur poser maintenant, avant que le couperet ne tombe.
S’il vous plaît, signez tout de suite votre interpellation aux présidents des groupes politiques à l’Assemblée nationale.
Depuis des mois, notre pays est embarqué dans une fuite en avant sur la question de l’avortement.
Ici on propose d’allonger le délai légal pour recourir à un avortement, là on prétend supprimer la clause de conscience des médecins, et maintenant on veut autoriser l’avortement d’un bébé sur le point de naître !
Qu’est-ce qui viendra après ça ? La légalisation de l’infanticide ?
C’est maintenant qu’il faut dire « ça suffit » et je compte sur vous pour cela.
Ensemble, pour le respect de la vie,
Georges Martin
Chargé de communication
Droit de Naître
P.S : C’est très urgent ! L’avortement jusqu’au terme de la grossesse est de nouveau proposé au vote des députés.
S’il vous plaît, interpellez les chefs des groupes politiques à l’Assemblée nationale en cliquant sur le lien ci-dessous :
https://petit.io/petition/droit-de-naitre/interpellation-aux-presidents-des-groupes-politiques-a-l-an-contre-l-avortement-jusqu-au-9eme-mois
JE SIGNE !
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