La scène s’est passée devant le Sénat américain, le 8 décembre dernier. Un grand médecin réanimateur, le Dr Pierre Kory, a expliqué avec passion qu’il existe un traitement « miraculeux » contre la Covid-19.
Après avoir donné toutes les preuves scientifiques, il s’est désolé du silence sidérant sur ce médicament efficace.
« Je ne sais pas combien de temps je vais tenir, en sachant qu’il va y avoir des morts inutiles à partir de maintenant, alors qu’il y a une solution immédiatement disponible »[1].
Et en effet, vous allez le voir, la solution dont il parle est ni plus ni moins « miraculeuse ».
Mais avant de vous en parler, il faut rappeler une chose.
Avant même ce médicament, l’épidémie pouvait être contenue avec le protocole dont je vous ai souvent parlé :
En prévention, pour tout le monde, chaque jour : 4 000 UI de vitamine D, 300 mg de magnésium, et un complément multivitaminé contenant 500 mg de vitamine C, 500 mg de quercétine, 20 mg de zinc, 50 ?g de sélénium et 50 ?g de vitamine K2-MK7 ;
En traitement, dès les premiers symptômes : les mêmes nutriments qu’en prévention mais avec des dosages plus élevés[2], ainsi que le protocole du Pr Raoult pour les personnes vulnérables (hydroxychloroquine + azithromycine) ;
En cas d’hospitalisation: continuer les nutriments et traitements précédents, mais prendre désormais une forme spéciale de vitamine D3 qui agit immédiatement (calcifediol)[3], ainsi que 3 à 10 mg de mélatonine au coucher (anti-inflammatoire potentiellement précieux contre la tempête cytokinique, et qui favorise un sommeil réparateur dans un contexte difficile à l’hôpital) ;
En cas de réanimation : en plus des soins habituels, le protocole Marik à base d’un corticoïde (méthylprednisolone) et de perfusions de vitamine B1 et de vitamine C[4].
A la place, voici ce qu’on fait et recommande aujourd’hui encore dans le monde occidental :
En prévention : rien ;
En traitement précoce : paracétamol en auto-médication ;
En traitement hospitalier/réanimation : paracétamol, corticoïdes et oxygénation (et, selon le cas, d’autres médicaments classiques comme des antibiotiques, anticoagulants, etc.).
Et c’est tout simplement criminel.
Avec le « bon » protocole (une sorte de « mix » entre celui de l’IHU de Marseille et celui d’un groupe de médecins américains[5]), il était clair que l’épidémie pouvait globalement être jugulée, avec très peu de morts.
(Sans même parler ici des remèdes prometteurs mais peu testés scientifiquement, comme un spray nasal de propolis, de simples tisanes de thym et de romarin, certaines huiles essentielles (ravintsara, cajeput, laurier noble) ou encore des plantes puissantes comme l’Artemisia Annua et la Scutellaire du lac Baïkal.)
Il existe des solutions immédiates et efficaces, et on ne veut pas en parler.
Mais le problème est qu’il était difficile de le prouver définitivement.
Certes, il y a des dizaines d’études scientifiques, en particulier sur le protocole Raoult et la vitamine D, qui montrent clairement que le bénéfice-risque de ces traitements est ultra-favorable.
Mais des gens de mauvaise foi pouvaient toujours pinailler sur telle ou telle étude, et continuer d’exiger d’attendre le Dieu Vaccin comme unique solution à la crise.
Or ce n’est plus le cas.
Car il y a désormais un médicament, l’ivermectine, qui a fait la preuve de son efficacité, au-delà de tout doute scientifique, même pour des gens de mauvaise foi !
Si vous ajoutez ce médicament au protocole décrit ci-dessus, vous n’avez plus d’épidémie, du jour au lendemain.
Car ce médicament fonctionne :
En prévention : il fonctionne mieux que le meilleur des vaccins ;
En traitement précoce : il a un effet anti-viral démontré ;
En traitement hospitalier : il a même un effet anti-inflammatoire !
Je sais que cela peut paraître incroyable.
Mais toutes les preuves sont là.
La belle histoire d’une maison de retraite en France
L’histoire a été publiée dans une revue scientifique, donc elle n’a rien d’un conte de fées[6].
Elle commence mal, avec une personne de l’Ehpad hospitalisée pour cause de « gale ». Trois autres résidents ont aussi été contaminés par cette maladie rare.
Immédiatement, le protocole classique est appliqué : tous les résidents et personnels soignants reçoivent de l’ivermectine, indiquée pour prévenir et guérir la gale.
Mais on était aussi en pleine épidémie de Covid-19, et 7 résidents sur 69 ont été testés positifs au coronavirus.
Et pourtant, malgré un âge moyen de 90 ans parmi les cas positifs, aucun résident n’est mort de la Covid-19, et un seul a dû être traité avec de l’oxygène. C’est assez spectaculaire, 0 mort, quand on sait que la mortalité était de 5 % dans les Ehpad d’à côté !
Voilà un signal très positif pour l’ivermectine, en prévention et en traitement !
Et c’est confirmé par les études.
Hyper-efficace en prévention : aucun cas positif chez les soignants argentins !
En prévention, l’ivermectine marche au moins aussi bien que le meilleur des vaccins.
La plus grosse étude de prévention est venue d’Argentine, avec des résultats spectaculaires[7].
Là-bas, 1200 personnels soignants ont été séparés en deux groupes :
Un groupe de 800 personnes a reçu 12 milligrammes d’ivermectine, une fois par semaine pendant plusieurs mois (+ un spray nasal) ;
Un groupe de 400 personnes n’a rien reçu.
Cela fait un taux de succès de 100 %, avec 0 personne contaminée d’un côté, contre 58 % des personnes contaminées de l’autre !
En Égypte, les résultats ont été un peu moins spectaculaires, mais extrêmement positifs.
Là-aussi, les personnels soignants ont été séparés en deux groupes[8] :
100 soignants ont reçu une dose élevée d’ivermectine aux 1er et 7ème jour ;
100 soignants n’ont rien reçu.
Résultat : il y a eu 5 fois moins de contaminations dans le groupe qui a bénéficié de l’ivermectine (2 soignants seulement contre 10).
Une autre étude randomisée, toujours en Égypte[9], a montré une diminution de près de 90 % du nombre d’infections chez les membres de la famille d’un patient de la Covid-19, lorsqu’ils ont reçu de l’ivermectine plutôt que rien du tout.
En Inde, une étude rétrospective a observé une réduction de 75 % du nombre de personnes contaminées par la Covid-19, grâce à l’ivermectine[10].
Au total, des chercheurs ont observé que les pays qui utilisent l’ivermectine pour prévenir les parasites ont beaucoup moins de cas positifs à la Covid-19 que les autres[11].
L’effet est encore plus net quand on regarde, au sein d’un même pays, les régions autonomes qui ont distribué de l’ivermectine par rapport aux autres.
Ainsi, au Brésil, les villes de Itajai, Macapa et Natal ont massivement distribué de l’ivermectine, avec des résultats bien meilleurs que dans les villes environnantes[12] !
En traitement : des baisses de 40 à 90 % de la mortalité !
L’efficacité spectaculaire observée en prévention se confirme aussi en traitement précoce.
La plus grande étude randomisée a été réalisée au Bangladesh (oui, les pays pauvres font des études utiles pendant que les pays riches ont testé le remdésivir inefficace à 2 000 euros).
Dans cette étude, tous les patients ont reçu un antibiotique (azithromycine ou doxycycline), mais ceux qui ont reçu en plus l’ivermectine ont été beaucoup plus nombreux à guérir rapidement[13].
Dans une autre étude réalisée en Irak, tous les patients ont été traités avec les éléments du protocole efficace décrit plus haut, notamment vitamine C, vitamine D, zinc et azithromycine – ce qui est une preuve supplémentaire qu’on est souvent mieux soigné dans les pays les plus pauvres qu’en Occident.
Sans surprise, avec ce protocole efficace, tous les patients s’en sont sortis sans problème.
Mais ceux qui ont reçu de l’ivermectine ont guéri au 6ème jour, contre le 12ème jour pour les autres ![14]
De fait, quand les médecins utilisent l’ivermectine, les résultats sautent aux yeux.
Le Chiapas, une petite région du Mexique, a décidé de soigner la population avec de l’ivermectine, contre les recommandations officielles.
Résultat : cette région a connu une chute du nombre de cas et de morts liés à la Covid, pendant que le reste du Mexique était toujours en butte aux dégâts de l’épidémie[15] !
Et les bienfaits de l’ivermectine sont confirmés chez les patients hospitalisés.
Au total, on dispose de 4 études randomisées sur les patients hospitalisés, avec d’excellents résultats à chaque fois.
La plus récente nous vient d’Iran, qui a observé 3 % de mortalité avec l’ivermectine, contre 19 % de mortalité sans ivermectine, soit 6 fois moins de morts grâce à ce médicament[16] !
Et pour compléter, il y a au moins un hôpital qui a sauvé l’honneur de l’Occident en s’intéressant à l’ivermectine. En Floride, aux Etats-Unis, des médecins ont comparé après coup les patients traités par ivermectine et les autres, et ont trouvé une nette diminution de la mortalité[17].
L’exemple incroyable du Paraguay pour conclure
Et si vous aviez encore un doute, voyez plutôt ce qui s’est passé au Paraguay.
Une petite région autonome, Alto Parana, a décidé en septembre dernier de distribuer massivement de l’ivermectine.
Pour éviter d’être réprimandée par les autorités étatiques, cette région a prétexté vouloir lancer une grande lutte contre les parasites (voyez jusqu’où vont la censure et l’absurdité !).
Au total, 30 000 boîtes d’ivermectine ont été distribuées en quelques semaines, et au 15 octobre, l’épidémie avait globalement disparu !
Voyez plutôt les résultats de cette région (en bleu) comparés aux résultats des autres régions du Paraguay[18] :
Bref, l’ivermectine marche, au-delà de toute espérance.
Et maintenant, observez bien ce que vont faire l’OMS et les autorités occidentales.
Ma prédiction : RIEN DU TOUT, malgré l’accumulation de preuves scientifiques.
Comme ils n’ont rien fait pour promouvoir la très efficace vitamine D. Comme ils ont tout fait pour diaboliser le protocole du Pr Raoult.
Tout récemment, une association courageuse a saisi le Tribunal Administratif de Paris pour obliger Olivier Véran à demander une recommandation temporaire d’utilisation (RTU) pour l’ivermectine contre la Covid-19[19]. En vain.
Je crains qu’on ne puisse rien attendre de nos autorités, corrompues intellectuellement ou financièrement.
Mais VOUS pouvez agir.
Alors transmettez ce message autour de vous.
Et si vous avez un proche vulnérable, malade de la Covid-19, dites-lui de demander de l’ivermectine à son médecin, en plus des autres nutriments naturels indispensables.
Cela pourrait lui sauver la vie.
Bonne santé,
Xavier Bazin
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