Source Contrairement à Emmanuel Macron qui l’ouvre toujours pour ne rien dire, quand le général Martinez prend la parole, ce n’est pas pour brasser du vent mais pour aller droit au but. “La patrie est en danger. Oui, notre patrie est en grand danger”, alerte le militaire dans un appel bouleversant à la résistance.

Le général rappelle la situation catastrophique de la France “après cinquante années au cours desquelles nos dirigeants politiques, toutes tendances confondues, ont fait preuve successivement de laxisme, d’absence de clairvoyance et de lucidité, de manque de vision et de volonté politique, de déni de réalité et, à présent, de renoncement face au plus grand des dangers qui menace notre nation: la guerre civile et ethnique.

Le général Martinez explique que “plusieurs peuples ne peuvent pas vivre sur un même sol. Plusieurs cultures ne peuvent pas coexister paisiblement sur un même territoire”, citant Julien Freund: “Une collectivité politique qui n’est plus une patrie pour ses membres cesse d’être défendue pour tomber plus ou moins rapidement car là où il n’y a pas de patrie, les mercenaires ou l’étranger deviennent les maîtres”.

Le militaire rappelle que le peuple “souffre de l’abandon de ses dirigeants face à l’instauration d’un communautarisme dicté par une idéologie mortifère devenant, grâce au nombre, de plus en plus vindicative et agressive. Combien de morts le peuple français, hébété devant tant d’ingratitude de la part des derniers arrivants légaux et illégaux qui crachent sur la France et veulent aujourd’hui réécrire son Histoire, acceptera-t-il avant de se révolter?

Face à cette situation: “Rien n’est écrit et tout est encore possible à condition de le vouloir”, rappelle-t-il. “C’est pourquoi, moi, Général MARTINEZ, j’appelle les Français, à me rejoindre pour entrer en résistance contre la démission et le renoncement” du pouvoir politique.

“Je les invite à se rallier à moi pour préparer l’élection présidentielle de 2022 à laquelle j’ai décidé de me porter candidat, hors des partis politiques”. Une candidature qu’il précise être “soutenue par d’autres généraux et amiraux”.

L’État doit, en effet, être au service de la vérité, des citoyens et du bien commun, et non pas à la solde de sordides appétits particuliers sur fond de conflits d’intérêts. […] Le combat que nous mènerons ensemble, sans haine mais avec détermination, nous est, en fait, imposé par le renoncement de nos dirigeants.