Permettez-moi de vous proposer aujourd’hui une séance de travaux pratiques dont les implications devraient vous intéresser au plus haut point.

 

Admettons que vous ayez décidé de vous préparer une boisson chaude, un thé, par exemple. Pour ce faire, vous sortez de l’armoire de la cuisine une tasse ainsi qu’un sachet de votre Darjeeling favori. Vous enclenchez ensuite votre bouilloire, préalablement remplie d’eau.

 

  • Question: à ce stade, où se trouve le thé ? La réponse est évidente, puisqu’il est contenu dans le sachet.

 

L’eau frémit. Vous la versez dans la tasse, dans laquelle vous plongez également le sachet. Après trois à cinq minutes, suivant les goûts, vous retirez celui-ci et le jetez à la poubelle sans même y penser.

 

  • Deuxième question: où le thé se trouve-t-il maintenant ? Dans la tasse, bien sûr ! Il y a eu transfert des arômes et parfums recherchés au liquide qui va faire vos délices.

 

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Pour comprendre où je veux en venir, penchons-nous un instant sur Juges 4.2:

 

« Et l’Eternel les vendit entre les mains de Jabin, roi de Canaan, qui régnait à Hatsor. Et le chef de son armée était Sisera, qui, lui, demeurait à Haroscheth HaGoïm. »

 

Iabin, ou Iavin, dans la langue de l’Ancien Testament, c’est « l’intelligent, l’habile », bref, le rusé, le malin. Hatsor, c’est la « cour », étymologiquement « l’endroit clos » où il est retenu (cf. Apocalypse 20.1-3). Sisera, le général qui mène la guerre pour le compte du précédent, c’est la bête d’Apocalypse 13 (cf. verset 2). S’il disparaît, son héritage, son influence subsistent, conformément au texte, qui nous dit qu’il « habite, demeure » à Haroscheth HaGoïm, c’est-à-dire, si nous collons à l’hébreu, dans la manière dont les nations (goïm) se sont construites (‘haroschet), dans la texture même de celles-ci.

Sur ce point, notez que ‘haroschet est sémantiquement très proche du grec charagma, la marque d’Apocalypse 13.16-17, que l’on retrouve en Actes 17.29 et que, dans ce dernier verset, Louis Segond rend par le participe passé « sculpté » en se référant à l’ouvrage d’un artisan.

Vous avez saisi? La bête, c’est le sachet qui a infusé pendant des millénaires dans les sociétés terrestres (les tribus, peuples, langues et nations d’Apocalypse 13.7) et les a imprégnées au plus profond de leur substance. Sous l’angle d’Apocalypse 17, le thé a eu tout loisir, au cours des siècles, de macérer dans les eaux qui portent la grande Babel (cf. verset 15) et qui ont désormais une nature fondamentalement opposée au Très-Haut, à son Oint et à ses saints.

La bonne nouvelle, c’est que dans mon analyse, étayée par les Écritures et les signes s’y rapportant, le sachet/bête/esprit d’antéchrist a été jeté dans le lac de feu conformément à Apocalypse 19.20. Cela explique la cacophonie qui remplace depuis quelques mois le morne concert des nations. Il est évident que ces dernières n’ont plus de chef d’orchestre, raison pour laquelle elles tombent chaque jour un peu plus dans le chaos.

A dire vrai, la seule baguette qui remettra les musiciens concernés au pas est celle du Psaume 2.9 (« Tu les briseras avec une verge de fer, Tu les briseras comme le vase d’un potier ») et les choses sont en train d’évoluer dans ce sens. Sachons donc discerner la partition que chacun d’entre nous aura à jouer dans le Nouvel Ordre… Messianique!

SDG/NM – 27.03.2022

PS: Le ratage abyssal de la politique sanitaire imposée à la planète depuis 2020 est un indice fort de l’accomplissement d’Apocalypse 19.20. Les gens qui ont créé, en Chine, une arme biologique utilisée dès 2019 contre la population mondiale pensaient qu’ils auraient le beau rôle en arrivant par la suite avec une injection salvatrice, sur laquelle les masses éperdues se jetteraient avec joie et reconnaissance. Les auteurs de cette escroquerie morbide n’ont toutefois pu produire qu’un cocktail, abominable dans son élaboration, cent fois pire que le mal qu’il était censé combattre, et dont les personnes censées se sont d’emblée méfiées.

La conclusion à en tirer est que le faux prophète, source de tous les « progrès » du modernisme, n’était pas au rendez-vous pour faire aboutir ce plan. Il avait été jeté, avec la bête, dans le lac de feu.