Dans le calendrier israélite, l’Ascension –la fin des 40 jours d’Actes 1.3– se situe le 25 iyar, date qui, cette année, tombait précisément sur le jeudi 26 mai, échéance marquée par un puissant tremblement de terre dans le sud du Pérou (magnitude 7,2).

Détail intéressant, le 25 iyar est également l’anniversaire du séisme le plus violent jamais enregistré, celui du 22 mai 1960 dans le calendrier grégorien, à Valdivia au Chili (magnitude de 9,4 à 9,6; voir https://michelledastier.com/50000-2/).

 

Coïncidence? Je vous livre ci-après quelques pensées qui vous permettront d’en juger:

 

  • Les secousses telluriques en question, et plus particulièrement celle de 1960, confirment que nous nous trouvons dans un contexte d’ébranlement majeur affectant les sphères spirituelle et physique.

 

  • Sous l’angle de l’ancien calendrier solaire des Hébreux, le 26 mai 2022 était le 72ème jour (cf. les chiffres de la première magnitude indiquée, 7,2) de l’année liturgique qui a débuté le 16 mars dernier, avec un tremblement de terre au large du site tristement célèbre de Fukushima au Japon (magnitude 7,3; voir https://michelledastier.com/signes-de-labime-par-nicolas-meyer/).

 

  • 72 équivaut à la moitié du nombre apocalyptique 144 (chapitres 7, 14 et 21 de l’Apocalypse de Jean) sur lequel je reviendrai dans mon prochain texte. Se pourrait-il dès lors que le signe du 26 mai ait été un jalon à mi-chemin du 144ème jour de l’année liturgique en question, le 6 août prochain? C’est une hypothèse à envisager, car c’est à cette date que sera commémorée la destruction des deux temples de Jérusalem (9 av 5782, dans le calendrier israélite actuel, cette fois).

 

  • Notez à cet égard que c’est le 9 av 5674, ou 1er août 1914, que l’Allemagne a déclaré la guerre à la Russie, au début de la première guerre mondiale…

 

Même si mon analyse –peut-être optimiste aux yeux de certains– m’amène à la conclusion qu’un troisième conflit planétaire est encore très éloigné dans le temps, ces différents facteurs sont à méditer. Il n’est jamais bon d’être pris au dépourvu.

 

 

SDG/NM – 28.05.2022