(Transmis par Bernard Groff)

« À peine cette folle année s’achève-t-elle que pointe la folie de la suivante avec le cycle infernal des crises multiples quand les mêmes causes produisent les mêmes effets et que les peuples s’endurcissent sous le joug de puissances rebelles et tyranniques.

Ne nous y trompons pas, après la marche forcée vers la mondialisation et l’engrenage systémique des problèmes se profile l’urgence mondiale d’une « vaccination » obligatoire, quand l’exacerbation des peurs sert à refouler le péril obsédant d’une dette abyssale…

Alors que le pire est encore à venir, nous ne pouvons que proclamer cette parole au seuil de l’année 2022 :

« Cessez de vous confier en l’homme, dans les narines duquel il n’y a qu’un souffle :

Car de quelle valeur est-il ? » Is 2 : 22

Loué soit Dieu pour la révélation du sacrifice de Christ qui a pris sur lui la dette du péché de l’humanité vouée à la mort. Christ s’est comme inoculé le virus du péché pour que son sang, versé sur la croix, en guérisse l’Homme.

C’est dans l’ADN du sang du Fils qu’est la régénération, la vie nouvelle et éternelle.

La vie régénérée par le sang de Christ nous ouvre la porte de l’arche de son Alliance et la connexion avec l’Esprit-Saint nous garde dans la vérité de sa Parole.

Ce qui fait dire à l’apôtre Paul :

« Soit donc que nous vivions, soit que nous mourions, nous sommes au Seigneur. »

Sa personne est donc le vaccin le plus excellent pour nous préserver de la mort.

Ainsi le déclare le Ps 91 :

« Tu ne craindras… ni la peste qui marche dans les ténèbres, ni la contagion qui frappe en plein midi.

Que mille tombent à ton côté, et dix mille à ta droite, tu ne seras pas atteint. »

C’est pourquoi dans ces temps de grande confusion où le monde s’égare et s’enfonce toujours plus dans le mal, gardons nos yeux fixés sur Jésus et soumettons-nous à la volonté du Seigneur en serrant sa parole dans nos cœurs.

« Béni soit l’homme qui se confie dans l’Eternel, et dont l’Eternel est l’espérance !

Il est comme un arbre planté près des eaux, (…) il n’a point de crainte, et il ne cesse de porter du fruit. » Jé 17 : 7, 8 »